Les karatékas du Fitaizana herin'ny zatovo malagasy (Fihezama) seront en lice à la Rencontre nationale sportive (RNS), prévue les 11, 12 et 13 avril 2009 à Nantes, en France. Ils sont ainsi 13 pupilles, benjamins, juniors et seniors à faire le déplacement à leurs propres frais. Cela dans l'espoir de briller à l’occasion de leur première participation.
Gildas Ratovomirija, champion de Madagascar des moins de 75kg en 2007 et vice-champion de Madagascar en open en 2006, Jean Luc, dans la catégorie des moins de 75kg, Tiamika Andriaherinavalona, champion de Madagascar des moins de 60kg en 2006, entres autres, tenteront de faire parler d'eux.
Le challenge est de taille pour nos porte-fanions, mais l'entraîneur Rivo Rakotondramasy déclare que les combats ne sont pas perdus d'avance.
« On n'a pas encore une idée précise de la compétition, étant donné que ce sera une grande première pour nos combattants. Certes, il y aura des invités de taille, mais on donnera le maximum. Les combattants se sont d'ailleurs bien entraînés », assure-t-il.

Soafara Ralaimidona
Date : 28-03-2009

PORT-LOUIS, 25 mars (Xinhua) -- Maurice a informé l'Union africaine (UA) de son intérêt d'accueillir le sommet de cette organisation en juillet prochain, a annoncé mercredi le ministre mauricien des Affaires étrangères Arvin Boolell à la presse.

Le prochain sommet devait avoir lieu à Madagascar en juillet. Le projet est compromis en raison de la situation actuelle après que l'UA eut décidé de suspendre Madagascar.

Maurice aura cependant à faire face à un concurrent de taille, la Libye qui a également signifié son intention d'Accueillir ce sommet et dont le leader, le colonel Mouammar Khadafi, assure la présidence de l'UA.

"Nous souhaitons que le sommet reste dans la région et que Maurice l'organise", a fait comprendre M. Boolell.

Le Conseil de paix et de sécurité de l'UA a pris la décision de suspendre Madagascar, estimant que la prise de pouvoir par Andry Rajoelina constitue "un changement inconstitutionnel de gouvernement".

Le Conseil de paix et de sécurité de l'UA a donné six mois à la Grande Ile pour qu'elle tienne des élections générales.

L'ex-président malgache Marc Ravalomanana, qui a été contraint à démissionner le 17 mars, est arrivé mardi au Swaziland. Ce pays doit accueillir à la fin du mois un sommet de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) consacré à la situation à Madagascar.

Il sera également question de décider si des sanctions doivent être prises contre ce pays.

Selon des sources bien informées, Andry Rajoelina rencontre présentement les ambassadeurs en poste à Madagascar à titre individuel.

Cependant, le gouvernement mauricien a demandé à son ambassadeur dans la Grande Ile, M. Lemaire, de ne pas accepter l' invitation pour le moment.

Bruno Ranarivelo, l'ambassadeur malgache à Maurice, poursuit ses activités normalement. Il soutient que l'ancien président a démissionné de ses fonctions et que la Haute Cour constitutionnelle de Madagascar a officiellement entériné mercredi dernier l'accession au pouvoir de M. Rajoelina et que, par conséquent, il n'y avait rien à dire.

Destination

Madagascar toujours sous pression

Publié le 24/03/2009 14:45:00

Après avoir manifesté pendant des jours pour obtenir la démission du président Marc Ravalomanana, c'est aujourd'hui contre son successeur Andy Rajoelina que la rue exprime son mécontentement.

Plusieurs milliers de personnes ont défilé aujourd'hui pour le deuxième jour consécutif contre la prise de pouvoir "illégale" de l'ancien maire de la capitale malgache, Andy Rajoelina, un ancien disc-jokey.

Les manifestants réclament le retour de Marc Ravalomanana.

Une instabilité politique qui ne fait pas les affaires des tours-opérateurs, alors que la haute saison s'approche sur l'île Rouge. Les programmes de vols ont été réduits : Air Madagascar opère deux vols par semaine jusqu'à fin avril au moins (Paris-Antananarivo et Paris-Marseille-Antananarivo) et Corsairfly un vol par semaine (Paris-Antananarivo).

C.R.
Source TOURHEBDO
http://www.pros-du-tourisme.com/actualites/detail/10226/madagascar-toujours-sous-pression.html

Le mouvement de « contestation de la prise de pouvoir par la force » a commencé sa manifestation, le jour même de l'installation du président de la Haute autorité de la transition (HAT), Andry Rajoelina, samedi. Ses adhérents se sont
donné rendez-vous sur la Place de la Démocratie à Ambohijatovo. Une descente sur la Place du 13-Mai est prévue ce jour.
Un des manifestants, composés pour la première journée de simples citoyens, a annoncé qu'il s'agit d'une prise de contact pour les prochaines manifestations. « Nous nous donnons rendez-vous tous les jours. Pour lundi, nous descendrons sur la Place du 13-Mai. Et mardi, nous nous rendrons devant l'ambassade de France », a-t-il confié.
Manifestation ouverte
Effectivement, les organisateurs de la première rencontre n'ont pas voulu donner une teinte politique au rassemblement. La preuve, le fondateur du Mouvement des citoyens pour le développement de Madagascar (MCDM), Alain Andriamiseza, est le seul politicien aperçu à Ambohijatovo samedi. Il a affirmé aux membres de la presse présents sur place qu'il assisterait à la manifestation en tant que simple citoyen. L'ancien maire de Mahambo a dénoncé, durant son temps de parole, « le coup d'État militaire par la force ».
Une source proche du régime Ravalomanana a qualifié d'action spontanée des citoyens le regroupement à Ambohijatovo ou sur le terrain de la route digue du côté de la bifurcation vers Ambohitrimanjaka, samedi. Mais la manifestation sera ouverte aux partisans et aux différentes entités à partir de ce jour. « Avec les autres partis, nous prenons en main l'organisation à partir de lundi », a-t-il confié au téléphone hier.
Constant Raveloson, dirigeant régional du « Mpitolona ho amin'ny fandrosoan'i Madagasikara » (MFM) à Analamanga, s'est déclaré prêt à entrer dans les rangs des manifestants si la situation le demande. « Nous nous définissons comme opposition à la prise de pouvoir par la force », a-t-il affirmé.
Le syndicaliste a aussi parlé des éventuelles perturbations au meeting de l'opposition sur la Place du 13-Mai, comme il l’aurait entendu ces derniers temps. « Nous n'envisageons pas d’aller à Ambohitsorohitra. Il s'agit d'une simple manifestation que l'autre camp devrait respecter. C'est un minimum de démocratie. On va voir », a-t-il lancé.

Fano Rakotondrazaka
Date : 23-03-2009

Fin d'un long cauchemar pour les opposants du précédent régime. En particulier Jean Eugène Voninahitsy et Pety Rakotoniaina, les deux généraux de l’armée et de la police Randrianafidisoa et Emmanuel Razafindrazaka surnommé Bolo, ainsi que le président de l’Association des réservistes pacificateurs de Madagascar (Arépam), Marson Lemiasa.
Vingt-trois « prisonniers politiques » sont sortis de la maison de force de Tsiafahy le soir même de la déclaration de grâce du président de la Haute autorité de la transition Andry Rajoelina en leur faveur, samedi. Mais ils ne pourront pas rejoindre leurs familles tant qu’aucun arrêté du ministère de la Justice n’a pas été pris en application de la mesure présidentielle. Coutiti Assolant et Rahitso font partie des détenus transférés à Amboanjobe.
Des proches et des membres de leurs familles se sont rendus immédiatement à Tsiafahy vers 17 heures à la suite des bruits sur leur éventuelle libération le même jour. Des politiciens, entre autres Alain Ramaroson, Faharo Ratsimbalson, Jonah Pikulas, Adolphe Ramasy, ont été aperçus sur place. Très impatient après un temps d’attente devant la prison, un certain commandant Koto a pris son téléphone et demandé à la ministre de la Justice une confirmation de l’information. Mais chacun a été déçu en apprenant la réponse de Christine Razanamahasoa. « Il faut d’abord un arrêté ministériel. Leur libération sera effective au plus tard mardi après-midi. « Cependant, la plupart des personnes venues à Tsiafahy n’ont pas tout de suite quitté l’endroit malgré l’explication de la ministre qui, après quelque temps, est apparue. La garde des Sceaux a avancé qu’elle doit d’abord faire un compte-rendu au président Andry Rajoelina.
La situation a évolué très vite en l'absence de la ministre. Le portail de l’établissement s’ouvrant, tout le monde a été surpris de voir dans la pénombre les prisonniers politiques. Le commandant Koto a tiré en l’air pour attirer l’attention de l’assistance. Fou de joie, le fils du général Fidy a porté son père sur son dos. D’autres partisans ont agi de même avec Jean Eugène Voninahitsy et Pety Rakotoniaina. Coutiti Assolant, habillé comme un musulman, a été particulièrement ramarqué.
Jean Eugène Voninahitsy a ajouté que les prisonniers politiques ne devront plus s'attarder en prison à partir du moment où le président Andry Rajoelina a proclamé la grâce. « Sinon, cela risque de devenir une détention illicite », a-t-il souligné.
Le Premier ministre Monja Roindefo a essayé d’arrondir les angles, hier. Il a évoqué que les détenus politiques auraient dû être placés dans une résidence surveillée ou dans une résidence fixe et non dans un camp pénal. Par ses propos, il veut justifier leur transfert au « Resto Gasy » durant l’examen cas par cas de leur dossier.

Fano Rakotondrazaka
Date : 23-03-2009

ANTANANARIVO, 19 mars (Xinhua) -- Andry Nirina Rajoelina, président de Madagascar nouvellement installé, a déclaré jeudi à Antananarivo que la Grande Ile de l'Océan Indien ne pourra jamais se séparer de la France.

Après sa rencontre avec le nouvel ambassadeur de France à Madagascar, Jean-Marc Châtaigner, qui est arrivé à Antananarivo mercredi dernier, Rajoelina a déclaré aux médias que Madagascar et de son ancien colonisateur a une histoire commune.

"Nous ne pouvons pas sous-estimer notre relation avec la France", a ajouté Rajoelina, dont le pouvoir a été légalisé par la Haute Cour Constitutionnelle (HCC) mercredi en tant que président de la République.

Jean-Marc Châtaigner, arrivé mercredi à Antananarivo, a fait une visite de courtoisie à Rajoelina jeudi matin. Il a été accueilli à l'aéroport international par Rajoelina. Il est également le premier diplomate étranger rencontrant Rajoelina depuis que ce dernier est devenu nouveau chef de l'Etat malgache.

Les relations entre Antananarivo et Paris ont connu un refroidissement depuis 2002, lorsque l'ex-président Marc Ravalomanana était arrivé au pouvoir après six mois de crise politique et que son prédécesseur Didier Ratsiraka partait en exil en France.

Jeudi, Rajoelina a aussi convoqué un conseil de son gouvernement de transition, durant lequel il a décidé de suspendre le fonctionnement des deux chambres parlementaires, l'Assemblée nationale et le Sénat.

Le porte-parole et ministre des Postes et de Hautes Technologies du gouvernement de transition, Augustin Andriamananoro, a déclaré aux médias que les 10 ministres nommés ont été ratifiés en vertu d'un décret signé par le Président Rajoelina.

Lors de sa première conférence de presse en tant que président du pays, Rajoelina a déclaré que l'objectif du conseil des ministres est de "discuter des stratégies sur la façon dont le gouvernement de transition devra fonctionner dans un temps limité".

Répondant à une question sur la réaction internationale sur la légalité de sa présidence du pays, il a déclaré que "tous les peuples dans le monde sont d'accord sur ce que la Haute Cour constitutionnelle a donné son accord".

"Le gouvernement de transition a de nombreuses tâches, notamment la réconciliation entre les forces armées, les politiciens, les hommes d'affaires et de les églises", a-t-il dit.

En début de soirée, Rajoelina a rencontré les corps diplomatiques et des représentants des organisations régionales et internationales.

Madagascar: prochain sommet de l'Afrique australe sur des sanctions

L'Afrique australe organisera un sommet d'ici la fin du mois pour réfléchir à d'éventuelles sanctions contre Madagascar, après la prise de pouvoir par Andry Rajoelina soutenu par l'armée, a indiqué vendredi le gouvernement sud-africain. Lire la suite l'article

"Nous allons réfléchir aux sanctions appropriées ou à l'usage d'autres ressources pour s'assurer que le pays retourne à la normale", a déclaré à la presse le ministre de la Défense sud-africain, Charles Nqakula.

Tomaz Salomao, le secrétaire exécutif de la Communauté de développement d'Afrique australe (SADC), se rendra samedi à Madagascar, qui est membre du bloc régional, pour examiner quelle action pourrait restaurer l'ordre, a-t-il ajouté.
 

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Madagascar: Etats-Unis et France parlent désormais de coup d'Etat

La communauté internationale, après plusieurs jours d'hésitations, a dénoncé vendredi un "coup d'Etat" à Madagascar, pays dirigé depuis mardi par Andry Rajoelina et qui a été suspendu de l'Union africaine. Lire la suite l'article

Après l'Union européenne, qui avait d'emblée parlé de "coup d'Etat", les Etats-Unis se sont, comme la France, ralliés vendredi à cette terminologie, après avoir d'abord évoqué un processus "non démocratique".

Pour Washington désormais, l'éviction mardi du président Marc Ravalomanana, après trois mois de crise politique et une centaine de morts, "équivaut à un coup d'Etat et les Etats-Unis ne vont pas maintenir leur partenariat actuel d'aide à Madagascar", a déclaré un porte-parole du département d'Etat, Robert Wood. "Les Etats-Unis suspendent toute leur aide non-humanitaire à Madagascar", a-t-il ajouté.

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http://fr.news.yahoo.com/2/20090320/twl-madagascar-etats-unis-et-france-parl-4bdc673.html#ynw-article-part2#ynw-article-part2

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Les Etats-Unis suspendent leur aide à Madagascar

Les Etats-Unis ont décidé de suspendre l'aide à Madagascar, Washington jugeant que le changement de gouvernement survenu cette semaine dans l'île de l'Océan indien, "équivaut à un coup d'Etat".

Le porte-parole du Département d'Etat Robert Wood a annoncé vendredi que l'administration Obama allait suspendre toutes les aides hors aide humanitaire à la suite de la démission du président Marc Ravalomanana, après deux mois de bras de fer politique avec son rival de l'opposition Andry Rajoelina. Robert Wood a appelé la population à prendre immédiatement des mesures pour restaurer un pouvoir constitutionnel. http://fr.news.yahoo.com/3/20090320/twl-madagascar-usa-aide-224d7fb.html#ynw-article-part2#ynw-article-part2

Une centaine de volontaires américains ont quitté Madagascar, abandonnant d'innombrables projets sociaux.

Les volontaires de Peace Corps regrettent de quitter la Grande île. Au nombre de 140, ils ont travaillé dans des programmes touchant la santé, l'environnement, l'éducation et les petites affaires. La dernière vague est partie mardi.
« Nous sommes désolés de devoir partir alors que nos projets commencent à enregistrer des impacts positifs auprès des paysans », explique une volontaire qui a servi dans le Moyen-Ouest. Elle a développé avec les paysans une petite entreprise pour trouver des débouchés à leurs produits artisanaux.
Ordre de Washington
Une autre volontaire s'est attachée à ses élèves dans un petit village du district de Fandriana. « Elle nous a beaucoup aidés dans l'enseignement de la langue anglaise. Nous nous sommes vraiment améliorés », souligne Heritiana Randriasoa, une lycéenne qui a côtoyé des volontaires dans son club d'anglais.
L'ambassadeur des Etats-Unis a été très préoccupé par la crise politique malgache. Il a encouragé ses compatriotes à partir dans les plus brefs délais sur ordre de Washington. L'arrivée d'une vague de volontaires
« environnementaux » prévue ce mois, a été annulée à la dernière minute. Des volontaires de l'éducation est également attendue en juin, mais leur arrivée n'est pas certaine.
« Nous espérons qu'ils reviendront car le programme du Corps de la paix est nécessaire pour le développement de notre commune », souligne Andriamidosy, maire d'Imito-Fandriana.
L'émission « Teen Talk » concoctée par des volontaires sur la télévision nationale a été aussi interrompue. Pourtant, elle a eu un écho positif auprès des jeunes dans l'apprentissage de la langue de Shakespeare.

Fanja Saholiarisoa
Date : 20-03-2009

Le personnel de la Jirama refuse le contrat de gestion. Les employés espèrent que la direction sera confiée à des Malgaches.

Le pouvoir change, tous aspirent à des changements. Les employés de la Jirama ne veulent plus du contrat de gestion pour le redressement de la société. Les nouveaux dirigeants du pays seront informés de cette position. C'est ce qu’ont annoncé les représentants des employés et de toutes les entités, mercredi, lors d'une conférence de presse.
Selon ces derniers, le contrat de gestion établi depuis 2005 avec la société Lahmayer, et par la suite avec le directeur général Bernhard Rohman et son adjoint Walter Espinoza, n'a rien apporté. Pour le prouver, ils avancent que les bailleurs de fonds n'ont jusqu'ici décaissé qu'une partie des dix millions de dollars prévus pour le redressement de la société.
Un audit de gestion
« Le contrat de gestion n'a pas abouti au redressement de la Jirama, preuve : les bailleurs de fonds n'ont depuis près de quatre ans décaissé que deux millions de dollars sur les dix prévus initialement », dénonce Oliva Andriamanalina, déléguée du personnel.
La valorisation des techniciens malgaches a aussi été avancée. « Pas besoin d'étrangers pour gérer la société, ils ont fait plus de gaspillage que les dirigeants locaux. Il faut valoriser les techniciens malgaches », estime un autre employé.
Les employés demandent aussi à ce qu'un audit de gestion soit fait avant la fin du contrat des deux ressortissants étrangers, prévue pour ce mois de mars. Ce qui, selon eux, servira de point de départ à de nouveaux dirigeants malgaches.
Mais face à leur interpellation, le nouveau chef d'État, Andry Rajoelina, a annoncé devant la foule de la Place du 13-Mai que des points techniques doivent être étudiés avant une prise de décision. Notamment concernant l'annulation des contrats avec les dirigeants étrangers.
D'ailleurs, lors de la dernière rencontre entre le personnel et Andry Ralijaona, président du Conseil d'administration de la Jirama, ce dernier leur a annoncé une prolongation de six mois du contrat. Une décision qui n'a cependant pas encore été officiellement mentionnée dans un communiqué du conseil de ministres.
Dans le cadre du plan de redressement, le contrat de gestion a été une condition des bailleurs pour le financement des infrastructures prévues pour l'amélioration des prestations de la Jirama. L'objectif est de donner une véritable indépendance de la société vis-à-vis de l'État, pour une rentabilité.

Lantoniaina Razafindramiadana
Date : 20-03-2009

Fil info de la journée MERCREDI 18 Mars 2009

16H52 : Theodore Ranjivason a été libéré ce matin
16H12 : Paris a pris acte mercredi du coup de force à Madagascar, le Quai d'Orsay appelant à une transition "coordonnée" et sans violence, tout en jugeant "trop long" le délai de 24 mois pour de nouvelles élections.
15H49 : L'investiture de Andry Rajoelina aura lieu samedi à Mahamasina
15H30 : Pierrot Rajoanarivelo trouve le délai de 24 mois trop long pour une élection. Il qualifie le gouvernement d'insurectionel selon reuters

14H35 : Le département des relations presse dit que l'ambassade des USA n'assure pas la protection et la sécurité pour Marc Ravalomanana
14H15 : Andry Rajoelina a cité en modèle de développement l'Ile Maurice. Il a dit qu'il s'occupera entre autre de Nosy Be et Sainte Marie . Il invite les investisseurs étrangers à venir à Madagascar
14H05 : La priorité pour Andry Rajoelina : le retour de l'ordre + Il dit qu'il ne fera pas d'ingérence dans la RNM et la TVM + Il veut une justice indépendante de l'Etat.
14H00 : Dans un communiqué, le Malagasy Tonga Saina de Rolland Ratsiraka s'indigne contre les actes de violence a l'égard des commercants à Tamatave. L'association dit n'appeler à aucune grêve dans la ville
13H55 : Andry Rajoelina est pret  a recevoir le sommet de l'Union Africaine en juillet 2009
13H53 : 1ères mesures : vente de Force One. 10% de la vente serviront a la construction d'un hopital.
13H50 :Andry Rajoelina appelle les entrepreneur pour une conférence pour les PPN
13H45 : Fin du meeting du 13 mai. Jean Lahaniriko, Norbert Ratsirahonana, et Andry Rajoelina ont pris la parole. Beaucoup de monde place du 13 mai.
13H36 : L'UA a demandé mardi soir aux parties malgaches de prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer la sécurité de M. Ravalomanana,
13H35 : Le ministre russe des Affaires étrangères Sergeï Lavrov et son homologue nigérian Ojo Maduekwe ont appelé mardi à la normalisation de la situation à Madagascar, ont rapporté les médias locaux
13H30 : La Haute cour Constitutionnelle ( HCC ) valide la fonction de président de la République pour Andry Rajoelina
12H50 : Andry Rajoelina parle en ce moment place du 13 mai
11H55 : Le domicile de Alain Ramaroson a été pris pour cible par des casseurs cette nuit

Infos de la nuit du 17 mars.
° Selon Andry Rajoelina, Marc Ravalomanana était toujours hier à Antananarivo.
° Pour sa première interview après le transfert de pouvoir, Andry Rajoelina a tenu à louer les efforts de la France.
° Les Etats Unis disent ne pas héberger Marc Ravalomanana à leur ambassade

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