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Nouvelles

Le drapeau français flotte au niveau de l’Etat Major Général de l’Armée Malagasy, le 26 juin, fête de l'indépendance - par MOISE

MADAGASCAR: A quel jeu joue la France ?

La position de la France sur la situation à Madagascar et vis-à-vis de la HAT demeure ambigüe. Si le Président Sarkozy a déclaré qu’il ne connaît que le Président élu de manière démocratique, les attitudes des militaires et de l’ambassadeur français posent à question ont déclaré les légalistes. Le drapeau français qui flotte au niveau de l’Etat Major Général de l’Armée Malagasy, le 26 juin, fête de l'indépendance, un haut responsable militaire français a assisté à la cérémonie organisée par la Haute Autorité de Transistion à Mahamasina si aucun des représentations diplomatiques n’a assisté à ces fêtes, et ce jeudi matin, deux officiers français ont été décorés par le ministre des forces armées de la Haute Autorité de Transition (HAT) des puschistes, une cérémonie assistée par Jean Marc Châtaigner.

Soit le Président Sarkozy est un hypocrite, soit il ne sait pas ce que ses militaires font ont déclaré les légalistes qui attendent une position ferme de la France. Depuis le début des manifestations légalistes, la part de responsabilité de la France dans la situation qui prévaut dans le pays a été largement évoqué, les légalistes de déclarer que la France est derrière la HAT.On cherche actuellement à remettre le pays sous le joug de la colonisation ont déploré les légalistes, mais nous ne le permettrons pas. La patrie est sacrée, s'il y a des pays qui pensent encore coloniser Madagascar, qu’ils rebroussent chemin.

Les légalistes de reprendre et de ranimer la lutte MDRM (1). « S’en est assez du PADESM(2), ilest temps pour nous descendants MDRM de nous lever » ont appelé les dirigeants légalistes.

Veille information, Madagascar

(1)MDRM: Le Mouvement démocratique de la rénovation malgache (MDRM) fut une organisation politique instituée officiellement à Paris le 22 février 1946 en vue de préparer l'accession de la colonie de Madagascar à l'autonomie et ensuite, l'indépendance.

(2) le PADESM (Parti des Deshérités de Madagascar), créé par les français pour contrer le MDRM. Le PADESM qui était, lui, résolument hostile à toute perspective d'indépendance



Vendredi 03 Juillet 2009 - 13:55
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Des hélicoptères de l'armée belge vendus à Madagascar - par MOISE

  Des hélicoptères de l'armée belge vendus à Madagascar
Madagascar va acheter 23 hélicoptères de type Alouette II appartenant à l'armée belge, a dénoncé, jeudi, le Groupe de recherche et d'information sur la paix (GRIP), un puissant groupe de pression en matière de sécurité.

Dans un communiqué publié à Bruxelles, le GRIP indique que les appareils vont être vendus au gouvernement du président Andry Rajoelina par l'intermédiaire de sociétés de courtage qui refusent de révéler le destinataire final des aéronefs de combat.

Le GRIP dénonce le fait que les hélicoptères, bien que démilitarisés, soient vendus à un Etat que la Belgique ne reconnaît pas, ajoutant que ces appareils pourraient servir ne serait-ce qu'au transport de troupes armées à Madagascar, pays où les tensions restent vives après le coup de force ayant entraîné le renversement du président démocratiquement élu, Marc Ravalomanana.

Au cabinet du ministre belge de la Défense, on soutient qu'il n'était plus nécessaire de vérifier, au départ, à qui les hélicoptères allaient être livrés, étant donné qu'ils sont démilitarisés.
 
Bruxelles - 02/07/2009

http://www.afriquejet.com/ocean-indien/madagascar/des-helicopteres-de-l%27armee-belge-vendus-a-madagascar-2009070230930.html

express.gifSécurité Réunion d’urgence au Palais d’État d’Iavoloha - par MOISE

Sécurité Réunion d’urgence au Palais d’État d’Iavoloha
Les premiers responsables de la sécurité ont été convoqués à Iavoloha hier matin. Ils ont discuté de la question de la sécurité avec Andry Rajoelina, président de la Haute autorité de la transition (HAT). Le rendez-vous n’a pas été programmé à l’avance. La preuve, la cérémonie de remise de décorations à deux officiers français a dû être reportée de deux heures, dans la mesure où le ministre des Forces armées, le colonel Noël Rakotonandrasana, le chef de l’état-major général de l’armée, le colonel André Andriarijaona, ainsi que le secrétaire d’État à la Gendarmerie, le général Claude Ravelomanana, ont été retenus à Iavoloha.
Interrogés sur la rencontre, les premiers responsables de la sécurité tentent de rassurer l’opinion. «Il n’y a pas de menace particulière», a soutenu le colonel André Ndriarijaona.
Le ministre des Forces armées a indiqué la préparation du déplacement de la délégation de la HAT à Bruxelles, lors du «dialogue politique» avec l’Union européenne, comme l’un des points de l’ordre du jour. Il a également évoqué la nécessité d'une prise de mesures, «compte tenu des intox et des bruits qui courent ici et là», a-t-il poursuivi, faisant allusion à l’histoire d’invasion militaire. Le Colonel André Ndriarijaona a également discuté d’autres points à Iavoloha. «Nous avons mis en place une stratégie dissuasive pour assurer la sécurité», a-t-il soutenu.

Iloniaina Alain
Date : 03-07-2009

A LIRE AUSSI

Selon la libre Belgique, l’armée Belge met en vente 23 vieux hélicoptères militaires dont la moitié sont des appareils légers et 6 hélicos russes m18. Parmi les candidats acheteurs figurait Madagascar. L’affaire suscite ainsi de nombreuses interrogations en Belgique. - 02/07/09
http://www.orange.mg/

http://www.lalibre.be/actu/international/article/513324/qui-sera-l-utilisateur-des-helicopteres-belges.html
L'armée belge met en vente 23 hélicoptères Alouette II. Parmi les candidats acheteurs figurerait Madagascar, déstabilisée par un coup d'Etat.

Le week-end dernier, l’agence Belga, citant "des sources concordantes au sein du ministère de la Défense", indiquait que l’"éventualité d’une vente à Madagascar de 23 vieux hélicoptères militaires belges excédentaires semblait se renforcer".

 

Or Madagascar est un pays où le président élu, Marc Ravalomanana, a été renversé par la pression de la rue et de l’armée, en mars dernier; le gouvernement de facto dirigé par le rival du Président renversé, Andry Rajoelina, n’a été reconnu par aucun Etat et le marché commun d’Afrique orientale et australe (Comesa) avait envisagé une intervention militaire sur la Grande île pour y rétablir l’ordre constitutionnel - avant d’en être dissuadé par l’Onu. Manifestations pour et contre Ravalomana s’y succèdent tandis que les forces armées malgaches sont en alerte, parce qu’elles redoutent un coup de force de "mercenaire à la solde" du Président déchu.

La nouvelle suscite donc une question immédiate : comment la Belgique pourrait-elle vendre des hélicoptères à un gouvernement qu’elle ne reconnaît pas ?

 

Au ministère des Affaires étrangères, on indique à "La Libre Belgique" que toute exportation par l’armée ou la police belges est bien une compétence fédérale, mais on ajoute n’avoir "pas été saisi" d’une demande de vente par la Défense.

 

Au cabinet du ministre de la Défense, Peter De Crem, on explique avoir d’abord prévu une procédure d’Etat à Etat annonçant que Bruxelles vendait ses 23 appareils en trois lots. Sans aucun succès. Un nouvel avis a alors été émis, accessible aux sociétés et particuliers. Le 28 mai, date de la clôture des soumissions, cinq offres étaient jugées recevables; elles sont maintenant à l’étude. "Le marché ira au mieux disant."

Les cinq offres émanent d’entreprises et individus européens et elles concernent du matériel démilitarisé ("à part la peinture, kaki"). Il ne faut donc pas de certificat d’utilisateur final, ajoute-t-on au cabinet De Crem en réponse à notre question sur Madagascar.

 

Son de cloche différent au Grip (groupe de recherche et d’information sur la paix), où Bernard Adam s’étonne : "Mais c’est le mécanisme classique du trafic d’armes !"

Et de préciser : "Dans notre pays, on a l’obligation de savoir à qui on va vendre : même si cela passe par des intermédiaires, la Belgique doit savoir à quel pays le matériel va aboutir. Depuis mars 2003, une loi sur le courtage d’armes instaure une surveillance des intermédiaires. Les Affaires étrangères et la Défense sont dans l’obligation de savoir."

 

Selon M. Adam, des hélicoptères démilitarisés sont considérés "comme, au minimum, à double usage, civil et militaire. Il est très facile de les remilitariser - ne fût-ce qu’en y mettant des militaires munis d’armes mobiles".

Or, ajoute-t-il, la loi belge a intégré deux points du Code de conduite européen sur les ventes d’armes : 1. On ne peut pas autoriser l’exportation d’armes ou de matériel à double usage vers un pays en conflit ou en proie à "des tensions". 2. Il faut que le coût de l’exportation soit compatible avec les capacités économiques du pays acheteur, "une manière d’éviter les trop fortes dépenses militaires" dans les pays pauvres, commente M. Adam.

Et de souligner que Madagascar est seulement 167e sur 179 pays pour son Produit national brut. Un pays parmi les plus pauvres, donc, où l’armée dispose, dit-il, "d’une vingtaine d’avions, dont la moitié sont des appareils légers, et de six hélicoptères russes MI8 permettant le transport d’une vingtaine de personnes. Si Madagascar achète 23 Alouette II - même si une partie d’entre eux est destinée à fournir des pièces de rechange aux autres - il faut se poser des questions".

 

Retour au cabinet de Crem - où l’on botte en touche. "C’est le problème de l’acheteur, qui devra obtenir des autorisations s’il veut exporter". On reconnaît cependant : "Si nous nous rendions compte que Madagascar était derrière une des cinq offres que nous avons retenues, nous aurions effectivement un problème. Les services de l’armée chargés des matières administratives devront contrôler que les cinq soumissions sont en règle."

 


express.gifLoi foncière La terre accessible aux étrangers - par MOISE

Loi foncière La terre accessible aux étrangers
Les surfaces accessibles aux investisseurs étrangers ne sont plus limitées. Ainsi stipule la nouvelle loi foncière applicable depuis décembre 2008.

Coup de théâtre, hier, au Damier à Androndra où la nouvelle loi foncière a été révélée à la presse. « Un événement préparé de longue date qui n'a rien à voir avec la conjoncture actuelle », a tenu à préciser un conférencier. Les dispositions de la nouvelle loi ne sont pas sans rappeler des souvenirs récents qui avaient défrayé la chronique.
Des centaines ou des milliers d'hectares. La nouvelle loi sur la propriété foncière, dont l'entrée en vigueur date de décembre 2008, ne mentionne aucune disposition qui limite la superficie, dont ils pourront bénéficier. Les impacts de leur projet sur la nation constitue une des principales référence en vue d'une attribution. La loi de 2003 permettant à un opérateur, qui investit au mimimun 500 000 dollars dans certains domaines comme le tourisme, d'acheter une terre de 25 000 m2 au maximum a été abrogée. Les investisseurs doivent déposer une demande d'autorisation d'acquisition auprès de l'Economic development board of Madagascar. Cette pièce leur est indispensable pour s'implanter sur la propriété. « Il revient au gouvernement et à l'EDBM de déterminer les retombées du projet et de voir si l'octroi des terres en vaut la peine. Mais le nombre de surface à accorder n'est pas limité dans cette législation, aussi bien dans le cadre de baux emphythéotiques ou d'achat », explique un membre du comité de révision de législation foncière et domaniale dans le cadre du Programme national foncier. C'était, hier, lors d'une conférence de presse programmée depuis un certain temps pour les informer de l'entrée en vigueur de la loi.
Pour les superficies de plus de 10 hectares, si le terrain est titré au nom de l'État, les acquéreurs doivent respecter un cahier de charge.
Réaction différente
Une mesure qui trébuche sur la divergence de la population. « L'octroi d'une superficie importante aux investisseurs ne devait pas être un problème, puisque très peu de Malgaches possèdent les moyens pour se lancer dans l'agriculture industrielle qui s'étend sur une grande surface », affirme Jeremy Hasindrazana, un opérateur économique qui intervient dans l'agro-alimentaire. « Il faut seulement que le projet bénéficie au pays et à la population », poursuit-il. Henriette Rafanomadio, une paysanne vivant à Ilempona Antsirabe, a pour sa part, souligné qu'il est nécessaire de limiter la surface à laquelle un étranger peut accéder pour que les Malgaches ne se sentent pas lésés, et que seules les terres qui ne sont pas occupées doivent leur être attribuées.

Encadré
Daewoo et Varun sur la touche
Des gros investisseurs se sont intéressés à louer des terres malgaches pour des périodes allant de 50 à 90 ans. La société sud-coréenne Daewoo logistics avait envisagé de louer 1300 000 hectares de terres, soit près de la moitié des surfaces cultivables pour cultiver du maïs. L'affaire avait fait l'objet d'une grosse polémique en 2008, étant donné que les contrats étaient opaques. Daewoo logistics avait abandonné le projet, au début de cette année.
Par ailleurs, la société indienne Varun international a aussi projeté de cultiver du maïs, du riz et des lentilles sur une surface de 500 000 hectares. Les terres sont réparties dans les régions du Menabe, Atsinanana et Sofia.

Lantoniaina Razafindramiadana
Date : 03-07-2009

express.gifHommage Madagascar pleure le Roi de la pop - par MOISE

Hommage Madagascar pleure le Roi de la pop
A l’instar de tous les peuples du monde entier, les Malgaches sont aussi marqués par l’émotion après le disparition de Michael Jackson. Un hommage lui est rendu hier.

Madagascar vibre avec le monde entier. Environ un millier de fans malgaches de Michael Jackson se sont retrouvés à la gare Soarano, hier en début de soirée, pour rendre un hommage populaire au « Roi de la pop», disparu à Los Angeles, jeudi 25 juin à l’âge de 50 ans.
A l’image des manifestations à Londres, à Paris, à Pékin, à Madrid, à Johannesburg, etc., le rendez-vous tananarivien a été certes au recueillement, mais pas forcément au deuil. Avec aucun «matos» sur le lieu, la manifestation s'est déroulée avec les moyens du bord.
Des fans éplorés se sont attroupés autour de quelques posters photocopiés ou bien de photos de la star sur papier où sont inscrits quelques messages du genre «Rest in peace Michael», «We just can't stop lovin you».
Quelques «accros» de la danse «Jackson» se sont mis à des «battle» improvisés avec les sifflements encourageants des spectateurs, apparemment de tous les âges.
L’heure est à la fête, à la reconaissance et au souvenir. «Plus jeune, j'étais un grand fan de Michael Jackson. Cette passion s'est un peu modérée au fil des années. Actuellement qu'il est mort, je me suis remis à écouter sa musique et je constate que celle-ci reste la meilleure», confie Odon Jaofera, un homme d'une quarantaine d’années.
Génial
« J’ai fondu en larmes en entendant la nouvelle. Je ne suis pas un grand fanatique de Michael Jackson, mais je salue tous les sacrifices qu’il a faits pour parvenir à être l’artiste unique qu’il était», regrette le guitariste Miary Lepiera.
Jaojoby se sent désolé par l’image torturée de la star, victime de sa célébrité et de ses excès.
« J’aurais souhaité qu’il réussisse sa réinsertion avant de s’en aller », note-t-il.

Hernan Rivelo
Date : 02-07-2009

express.gifAntsohihy Des forages de puits dans le Nord - par MOISE

Antsohihy Des forages de puits dans le Nord
L’approvisionnement en eau de certaines régions nécessite le forage de puits. Il s’agit de pomper l’eau des nappes phréatiques.

Le Nord, incluant les régions Sava, Diana, Betsiboka, Melaky et Sofia, bénéficiera d'un grand projet d'adduction en eau potable.
A partir de cette année, 350 forages sont prévus dans ces zones, sous la direction du Programme d'adduction d'eau potable en milieu rural (PAEAR).
La particularité de ces nouvelles installations consiste en l'usage de l’énergie solaire. « C'est la première fois que nous utilisons des pompes immergées actionnées à l’aide de l'énergie solaire. Un lot de 250 forages, sur les 350 à mettre en place dans ces régions, vont fonctionner avec cette nouvelle technologie », précise Mahefa Edouard Randriamiarisoa, coordonnateur national du PAEAR.
La réalisation technique est assurée par l'entreprise Reva, en charge de plusieurs travaux de forage dans toute l'Ile. « Le kit forage solaire peut atteindre une profondeur de 20 m avec un débit journalier de 30m3 », indique un technicien
de Reva.
Ce projet initié dans le Nord fait partie d'un ensemble de 1 000 forages répartis dans huit régions de Madagascar, dont Androy, Anosy, Atsimo Andrefana.
Le nouvel équipement se révèle bénéfique pour la population, dans la mesure où le château d'eau potable pour chaque puits est capable d'alimenter plusieurs branchements voire particuliers, pendant plusieurs années.
C'est le cas de celui d'Antafiandakana, à Antsohihy. « L'extension est possible si la collectivité le souhaite. La projection de ce forage peut s'étaler jusqu'en 2030 et tient compte de l'évolution démographique du village », complète le coordonnateur national du PAEAR. Environ 2 000 habitants d’ Antafiandakana vont bénéficier de cet approvisionnement en eau.
Patrimoine
Ce forage d'Antafiandakana a été inauguré par la première dame, Mialy Rajoelina, le 28 juin, dans le cadre de la célébration du Mois de l'enfance, et marquant sa première sortie dans les régions.
Le ministre de l'Eau, Nirhy Lanto Andriamahazo a axé son discours sur l'importance de cet élément naturel. « L’eau, dont nous avons la mission de fournir, est un patrimoine qui rassemble tous les Malgaches», spécifie-t-il.

Noro Haingo Rakotoseheno
Date : 02-07-2009

express.gifFestival panafricain Bakomanga et Tinondia à Alger - par MOISE

Festival panafricain  Bakomanga et Tinondia à Alger
Madagascar sera bel et bien représenté au Festival culturel panafricain. Cette grande rencontre aura lieu en Algérie du 5 au 21 juillet, avec 48 pays au rendez-vous.

Avec 48 pays représentés sur les 53 membres de l'Union africaine, le Festival panafricain d'Alger est certainement le plus grand et le plus important rendez-vous culturel du continent Noir.
La capitale de l'Algérie hébergera du 5 au 21 juillet la seconde édition de l’événement. Le menu sera diversifié, allant de la musique à la littérature, en passant par la danse, l'art plastique, le théâtre, le cinéma, etc.
Pour Madagascar, quelques artistes figurent dans la liste des représentants. Dans le domaine de la musique, citons Bakomanga, l'icône féminine de la musique folklorique des Hauts-plateaux, ainsi que le groupe Tinondia, un représentant de rang du Sud.
40 ans après
Pour l'art plastique, le sculpteur Rabemananjara et le peintre Gaston Randriankotoarijaona seront du voyage. «La sélection a été effectuée par le ministère de la Culture», précise-t-on du côté de l'ambassade d'Algérie à Madagascar.
La délégation malgache quittera la capitale ce soir. Un spectacle grandiose est prévu pour la cérémonie d'ouverture, le 5 juillet à 19 heures, au complexe sportif Mohamed Boudiaf à Alger. Il est conçu par le chorégraphe franco-algérien Kamel Ouali, célèbre pour ses comédies musicales à succès, telle «Le roi soleil».
Quelque 350 danseurs et chanteurs animeront la scène inaugurale. Des artistes de renom de la musique et de l’art africains en général y seront reçus comme invités d'honneur. Y figureront, entre autres, les Algériens Warda et Amazigh Kateb, le Sénégalais Youss N’dour, la Cap-Verdienne Cesaria Evora et l'actrice française d’origine algérienne Isabelle Adjani.
«Ressuscité» 40 ans après la première édition de 1969, sous le thème de «Révolution», le Festival panafricain d'Alger 2009 se déroulera sous le thème «La Renaissance de l'Afrique». Le sensationel sera certainement au rendez-vous.
«Lucy», la plus ancienne squelette, âgée de 3,2 millions d'années, sera mise en vedette à travers l'exposition au musée de Bardo, durant le festival. Elle a été découverte en Ethiopie en 1974, et surnommée par les scientifiques «la mère de l'Humanité».

Hernan Rivelo
Date : 01-07-2009

express.gifLangue Un mois pour consolider le malgache - par MOISE

Langue Un mois pour consolider le malgache
Juin est consacré par l’Académie malgache à la langue malgache, avec diverses activités au programme. Les travaux de préservation s'étalent sur toute l'année.

La langue malgache est célébrée durant le mois de juin. Dans cette optique, l'Académie malgache a organisé, organise et organisera diverses activités.
Depuis le 4 juin, de nouveaux ouvrages ont été édités, et dès la troisième semaine de ce mois, une exposition se tient au Rarihasina. On y présente des livres qui datent de la colonisation, des dictionnaires, et surtout le tout récent dictionnaire encyclopédique «Raki-bolana, Raki-pahalalana».
Toutefois, il est erroné de penser que l'Académie malgache ne travaille que durant le mois de juin. «Nous travaillons en permanence dans la préservation et l'amélioration du malgache», souligne Juliette Ratsimandrava, directrice générale du Centre de langue de l'Académie malgache et présidente de la section «Haikanto sy Hailaza» (Art et Lettre).
«Le 21 février, consacré Journée internationale de la langue maternelle par l'Unesco, et le mois de juin apparaissent comme des sonnettes d’alarme pour conscientiser les Malgaches de l'importance de leur langue maternelle», ajoute-t-elle.
Des preuves irréfutables
Les différentes sections au sein de l'Académie travaillent d’arrache-pied sur des livres qui englobent tous les domaines, à l'instar du commerce, de l'art, de la comptabilité, de la télécommunication.
De grandes entreprises de télécommunication, comme Orange Madagascar et DTS, sollicitent même la collaboration de l'Académie dans la traduction en malgache des termes
techniques de la télécommunication.
Mais surtout, les sections de l’auguste aréopage se penchent sur les dictionnaires, «qui ne sont autres que des bilans des savoirs au cours des années, car ils renferment les recherches et les évolutions de la langue», comme Juliette Ratsimandrava le souligne.
Actuellement, on ne parle plus de «fiteny ofisialy» (langue officielle) pour mentionner le dialecte merina, mais plutôt de «fiteny fenitra» (langue standard).

Solofo Ranaivo
Date : 30-06-2009

express.gifToliara Une tornade fait vingt blessés - par MOISE

Toliara Une tornade fait vingt blessés
La journée du 26 juin a été particulière à Toliara. Une tornade a dévasté une partie de la ville causant d’importants dégâts et blessant 25 personnes. Le bilan aurait pu être plus lourd si elle passait là où se tenaient les festivités marquant la Fête nationale.

La célébration du 26 juin à Toliara a été interrompue par une brusque et imprévisible tornade en fin d’après-midi. Elle a balayé le centre-ville et quatre fokontany causant des blessés, décoiffant plusieurs maisons et écrasant ou déplaçant quelques voitures sur son passage. En dehors des dégâts matériels qui ont mis dans la rue de nombreuses personnes, aucune perte en vie humaine n'a été déplorée.
Le phénomène météorologique est constitué d’un vortex (tourbillon) de vents extrêmement violents ayant une envergure d’une centaine de mètres de large sur quelques kilomètres de long. D’après des témoins, il a surgi aux abords de la plage de la Batterie, à Andaboly vers 18h50, traversé le fokontany de Nosivao, entrant dans la ville de Toliara à partir du fokontany de Tsianaloka, du côté de la mosquée Bhora.
Elle s'est ensuite précipitée dans la rue menant à l’école du Sacré-Cœur en passant par la Place de la République en plein centre-ville. Elle a ensuite suivi la rue du fokontany de Tanambao puis a disparu au niveau du bazar de Sakamà à Betania. Malgré la courte durée de son passage (environ cinq minutes), elle a fait des dégâts tout au long de son passage. Dégâts qui se voyaient aux traces laissées: des toitures se sont retrouvées sur des arbres ou sur d’autres maisons, plusieurs poteaux électriques en béton ont été balayé à terre laissant la ville toute entière sans électricité pendant dix-sept heures.
Un grand rugissement
La tornade a soufflé très fort. «Le rugissement ressemblait au vrombissement d’un Boeing qui atterrit. Les rafales de vent atteignaient peut-être 180 km/h et dans le ciel apparaissaient des éclairs et une lumière rouge», raconte un vendeur de brochettes de Tanambao. Le bilan officiel de la catastrophe a été évalué par l’antenne régionale du Bureau national de gestion des risques et catastrophes. Il fait état de vingt blessés dont sept gravement touchés; 230 cases et deux bâtiments administratifs décoiffés; onze ménages sans abris; 60 pirogues à balancier endommagées. Parmi les maisons dont la toiture a été emportée, il faut également citer deux établissements scolaires dont le Houssen Mémorial School à Tanambao-Morafeno, affirme-t-on.
Certaines victimes ont dû passer la nuit à la belle étoile, alors que d'autres ont été hébergés par des voisins. Informées, les autorités locales dirigées par le chef de la région Dimby François Benaria ont aussitôt accouru pour s'enquérir de la situation des victimes et les encourager. De même, les populations voisines continuent jusqu'à maintenant, dans un élan de solidarité, à leur apporter un soutien tant matériel et financier que moral.
Le pire a été évité car il s’en est fallu de peu que la tornade ne se soit dirigée vers le camp Raveloson Mahasampo. Une kermesse s'y tenait, réunissant plus de 15 000 personnes et on imagine assez le bilan avec la panique et le débordement qui auraient pu s’ensuivre.

Francis Ramanantsoa
Date : 29-06-2009

express.gifDiscours à la nation Rajoelina veut garder la main sur la Transition - par MOISE

Discours à la nation Rajoelina veut garder la main sur la Transition
Le président de la Haute autorité de la transition persiste et signe sur la tenue des Assises régionales et la participation de tous.

La Haute autorité de la transition (HAT) réaffirme sa volonté de continuer sur la voie qu’elle a tracée pour diriger le gouvernement. Son président, Andry Rajoelina, lance un appel pour resserrer les rangs derrière lui, à l’approche des Assises régionales du 30 juin au 3 juillet dans les 22 régions, face aux critiques, considérant le processus d’unilatéraliste.
«Nous souhaitons la participation de tous les Malgaches. Que personne ne se sente exclu de ce grand rendez-vous (Assises régionales)», a déclaré Andry Rajoelina au cours du discours à la Nation, lors de la célébration de la fête de l’Indépendance, hier à Iavoloha.
Le président de la HAT espère une large participation afin de légitimer les résolutions à l’issue du rendez-vous. «Je voudrais que ce soit une plate-forme d’échanges et de débats enrichissants pour tous : société civile, partis politiques, opérateurs économiques ou simples citoyens», a-t-il ajouté.
Pour réitérer la neutralité du régime de la transition, Andry Rajoelina réitère le principe de l’organisation des Assises à des individus et des entités privées, indépendants du gouvernement. «Nous avons ouvert la voie à tous les composants de la société civile, pour l’organisation des conférences régionales», a-t-il soutenu. Il fait allusion à la désignation de Blanche Nirina Richard, issue de la société civile, pour coordonner le comité de suivi des résolutions des Assises, afin d’insister sur l’idée d’objectivité dans la tenue des réunions.
Contre vents et marées
En parallèle aux conférences régionales, la Transition veut montrer qu’elle est capable de mener la barque de la Grande île vers une destination précise, à savoir le développement. C’est dans ce cadre-là qu’Andry Rajoelina annonce des mesures sociales, comme la création d’un hôpital spécialisé pour le traitement du cancer ou encore le projet socio-économique à Nosy Be, pour appuyer les paysans locaux. Il en est de même de l’officialisation de la création de la Force d’intervention spécialisée (FIS), censée contribuer à la sécurisation du territoire.
Le chef de la Transition, qui assure avoir «compris vos (population) messages après les «avoir écoutés», engage ainsi sa responsabilité politique dans la voie qu’il a optée, contre vents et marées. L’absence des ambassadeurs lors de la cérémonie de célébration de la fête de l’Indépendance peut être perçue comme un signal d’avertissement contre la démarche.
À l’instar d’Albert Zafy, président du Comité pour la réconciliation nationale (CRN), les autres mouvances engagées dans les discussions en vue d’adopter une charte de la transition, tirent également à boulets rouges sur la démarche de la HAT. «Celles-ci ne sont pas reconnues car elles n’émanent pas d’une convention politique», a prévenu l’ancien chef d’État. Il réclame un accord politique avant la mise en place d’une structure ad hoc pour organiser les réunions régionales, puis nationales, avant d’apporter sa caution.

Iloniaina Alain
Date : 27-06-2009

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