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express.gifDéveloppement rural - Le désenclavement favorise l’expansion de la microfinance - par Moïse

Développement rural - Le désenclavement favorise l’expansion de la microfinance
Josée Razakamahefa est plus qu'optimiste quant à l'avenir du microcrédit.
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http://www.lexpressmada.com/article.php?id=41941&r=1&d=2006-03-30 

La machine prend sa vitesse de croisière. La réhabilitation des routes voit ses premières incidences en milieu rural, offrant de nouvelles perspectives au développement des villages jusque-là oubliés. Les établissements de microfinance commencent à étendre leurs ramifications dans des agglomérations de plus en plus éloignées mais désormais d'accès plus facile. Le réseau de la mutuelle d'épargne et de crédit (Otiv) d'Antananarivo constitue un des exemples concrets de cette démarche. Essentiellement implanté en milieu urbain et semi-urbain auparavant, l'Otiv s'oriente petit à petit vers les paysans en ouvrant de nouvelles antennes dans les communes rurales.
“La réhabilitation des routes apporte une nouvelle dynamique à notre réseau, explique Josée Razakamahefa, président du conseil d'administration du réseau Otiv d'Antananarivo.Elle a des impacts palpables sur l'extension de notre domaine d'intervention dans les environs d'Antananarivo”.
Cibler le milieu rural c'est également offrir des possibilités de prêts qui s'adaptent à sa structure économique. L'Otiv Antananarivo a créé ce qu'on appelle “prêt paysan”. Il s'agit d'un type de crédit avec un plafond de 400 000 ariary pour les contrats individuels et jusqu'à 4 millions ariary pour les groupements. Il s'étale sur neuf mois avec un taux d'intérêt de 1,5% par mois.
“Nous avons déjà pris l'initiative de réduire le taux d'intérêt du prêt paysan de 3% à 1,5%”, poursuit Josée Razakamahefa.

Une occasion unique.



Aux guichets, les usagers ne rencontrent aucune difficulté pour les formalités d'usage.

Pour accompagner cet élan de développement, les autorités décident également de contribuer à l'action pour favoriser davantage l'accès des paysans aux petits prêts. Un partenariat entre la mutuelle d'épargne et de crédit et la région Analamanga , par exemple, permet aux paysans de contracter des prêts sans taux d'intérêt, car la région s'est engagée à supporter la totalité des intérêts de tous les emprunts paysans dont le remboursement se fera avant décembre 2006.
Ce partenariat est entré en vigueur le 12 février, date de la signature de l'accord de protocole entre les deux parties. C'est fort de cette nouvelle opportunité que les responsables de l'Otiv ont mené une campagne d'information auprès de nombreuses localités pour faire connaître et donner aux paysans la possibilité d'accéder à cette occasion unique. Ainsi, des rencontres avec les paysans ont été organisées dans quatre nouvelles communes- Ambohimalaza, Anjeva, Imerikanjaka, et Betoho- où le réseau Otiv n'est pas encore implanté.
Pour les trois premières, les résultats ne se sont pas fait attendre. Les paysans ont répondu favorablement aux attentes. Des centaines de dossiers sont en cours de traitement. Pour Betoho, la campagne de sensibilisation s'est déroulée cette semaine. Lors de la réunion d'information à laquelle nous avons eu l'occasion d'assister, l'intérêt des paysans a été évident. Le prêt constitue un appui de taille pour investir dans l'amélioration de la culture de contre-saison sur les rizières, dès que la récolte de riz sera terminée au mois de juin. Rendez- vous a été donné au mois d'avril à ceux qui souhaitent en bénéficier.


Les paysans attentifs aux explications sur le microcrédit.

Le réseau Otiv d'Antananarivo comprend 39 antennes de proximité, appelées caisses de services. Elles sont ouvertes dans huit centres administratifs où est centralisée la gestion administrative et financière des caisses de service. Au sommet, il y a l'Union des Otiv d'Antananarivo, dirigée par un président du conseil d'administration et un directeur de réseau. L'union est surtout chargée de l'appui technique au niveau des centres administratifs et des caisses de services. L'Otiv Permanganate comporte huit centres administratifs dont trois en milieu urbain, trois en semi-urbain et deux en milieu rural. En 2005, il a réalisé 12,5 milliards ariary d'encours de crédit avec 15% de taux de pénétration au niveau familial.



Mahefa Rakotomalala


Nouvelle publiée grâce à l'aimable autorisation de l'express deMadagascar

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LE CHIKUNGUNYA - par FRANCOISSEUNKAM

Bonjour,

Depuis environ une semaine, je cherche un contact à MAdagascar, non pour autre chose que le CHIK dont les descri­ptions dans les médias sont similaires à celles d'une fièvre qui a sévi au Cameroun dans les années 80 et 90. Cette fièvre avait pour nom MARTEAU avant 90 et BAKASSI après 90. En 94, nous, naturopathes camerounais travaillant dans la Société SEPT-CAMEROUN SARL, avions mis au point dans notre laboratoire deux médicaments naturels, extraits aqueux des plantes tropicales qui faisaient disparaître cette terrible fièvre en quelques jours de prises seulement. Ces deux médicaments ont pour appellations MEKTIDINE et HEPACURE. Si le CHIK est une réalité à Madagascar, nous sommes prêts à envoyer à tout professionnel de la santé ou à toute personne intéressée quelques échantillons gratuits pour traitement d'une dizaine de malades et pour contrôle de qualité avant usage. Si, après ces essais, les malades concernés guérissent, alors nous pourrions, en cas de besoin, en produire autant que possible sur commande. Ces produits ne contiennent aucun élément toxique et n'ont aucun effet secondaire signalé jusqu'ici. Nous avons déjà saisi le Gouvernement français à cet effet pour ce qui est de la Réunion et nous attendons la réponse.
Recevez nos salutations
CONTACT : SEPT-CAMEROUN SARL
BP 31318 YAOUNDE - CAMEROUN
Tél : +237 968 77 15
Email : septcameroun@yahoo.fr

 


Informatique - Des logiciels pour l'hôtellerie - par Moïse

Informatique - Des logiciels pour l'hôtellerie
Les hôteliers attentifs aux explications des responsables sur l’utilisation des logiciels.

TopSys et Topfirst, deux logiciels respectivement pour l'hôtellerie et la restauration, arrivent sur le marché local. L'initiative vient de la société Optimada, spécialisée dans la vente des solutions informatiques. "Ces logiciels aideront les professionnels du métier dans leur prise de décision", a annoncé vendredi, Tiana Randrianasolo, gérant de cette entreprise.
L'arrivée de ces outils tombe à point nommé cette année, dans un contexte où Madagascar prévoit l'arrivée de 350 000 touristes. D'autant que le professionnalisme dans le métier exige la qualité dans l’accueil et le service.
"Topsys est une référence dans l'informatique hôtelière. Plusieurs établissements de toutes tailles l'utilisent aujourd'hui dans le monde", poursuit-il.
A Madagascar, des hôtels de classe internationale se servent également de cet outil à l'instar du Grand Hôtel du Louvre, tandis que d'autres font part de leur intention de l'acheter.
"La gestion des établissements hôteliers, comme dans d'autres secteurs, est très complexe. Dans ce cas, la mise en place des outils informatiques aide vraiment les opérateurs, mais celle-ci nécessite des investissements énormes et souvent très chers. Ce qui exclut d'emblée les petits entrepreneurs", commente un opérateur local.



Lova Rafidiarisoa

Bakomanga, artiste proche des traditions - par Moïse

Portrait - Bakomanga, artiste proche des traditions
Bakomanga entend rester près de ses racines malgaches.

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S'il est un artiste local qui, tout en affichant l'ouverture, a toujours su rester fermement rattaché à la culture malgache, au point d'en devenir emblématique, c'est bien Bakomanga.
Au royaume de la musique et la danse folkloriques traditionnelles, cette énergique et toujours jeune dame et sa troupe, du même nom, règnent presque sans partage, et depuis quelques années déjà. La juste reconnaissance d'un savoir-faire né d'une passion vécue depuis la plus tendre enfance.
Dès son plus jeune âge, Henriette Rasoarilalao, la future Bakomanga, issue d'une famille modeste, s'intéressait à la musique et la danse traditionnelles. En 1970, alors tout juste âgée de douze ans, elle a vu la troupe de Ramahafadrahona à l'œuvre, à Anatihazo Isotry. Elle en était fascinée. A cette époque, dans le domaine de la chanson traditionnelle, le nom de Ramahafadrahona imposait le respect. Elle n'eut alors qu'une idée : se joindre à la formation. Elle supplia alors Ramahafadrahona de l'engager, mais celui-ci refusa, sous le prétexte que la petite Henriette était trop jeune pour une telle aventure.
Mais l'adolescente était du genre coriace. Elle revint plusieurs fois à la charge, aidée de son père, tant et si bien que Ramahafadrahona consentit enfin, un an plus tard, à la prendre dans la troupe. Il lui écrivit aussitôt une chanson, "Bakomanga", qu'elle s'appropria aussitôt, en en faisant son titre fétiche. Elle qui cherchait un nom d'artiste, elle venait d'en trouver un, et sur mesure. Quant à Ramahafadrahona, il fut subjugué par la voix et la manière de danser de sa jeune recrue, tant et si bien qu'il décida, par la suite, de lui confier le meilleur rôle.

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Ouverture et racines.
Plusieurs années durant, la destinée de Bakomanga fut étroitement liée à celle de Ramahafadrahona, jusqu'à ce qu'elle décida de quitter son Pygmalion et mentor, au début des années 90, pour voler de ses propres ailes.
Très rapidement, elle forma une troupe de chants et de danses traditionnels, qu'elle baptisa naturellement Bakomanga. Les débuts de la troupe furent laborieux. Mais petit à petit, au rythme des prestations en cabaret, dans les fêtes populaires et les émissions télévisées, aux côtés d'artistes en tous genres, des chanteurs de variété comme des danseurs contemporains, Bakomanga acquiert une réputation de groupe ouvert au monde mais radicalement rattaché aux racines. Une étiquette d'abord, puis une démarche ensuite, qui surent séduire nombre d'artistes. De Ricky à Ariry Andriamoratsiresy, en passant par Njakatiana, Njava, Ivoara, Dédesse, FreedomJah ou encore les Solomiral, tous ont déjà, d'une manière ou d'une autre, fait appel à Bakomanga pour apporter une certaine touche d'authenticité à leurs œuvres ou prestations.
Et quand elle se produit avec son groupe, quelque part, son vrai bonheur, c'est d'entendre la salve d'applaudissements qui accueille les premières notes de "Bakomanga" ou "Raozy Maria" (toujours une composition de Ramahafadrahona) qu'elle vient d'entonner.
Depuis quatre ou cinq ans, le groupe Bakomanga est régulièrement sollicité pour se produire à l'étranger, principalement par les Malgaches des diasporas européennes, à des périodes spécifiques, les fêtes de fin d'année ou la célébration du 26 Juin.
Avec ses cinq enfants, trois filles et deux garçons, et l'emploi à plein temps qu'elle occupe au ministère de l'Agriculture et l'élevage, l'on se dit que Bakomanga, l'artiste, a tout pour être heureuse. "Heureuse, peut-être, mais pas inoccupée, rétorque-t-elle joyeusement. Vous savez, ce n'est pas facile de diriger ce groupe".
Le groupe en question compte une quarantaine de membres, répartis en deux formations, dénommées respectivement Bakomanga Juniors et Bakomanga Adultes. Comme l'appellation semble déjà l'indiquer, Bakomanga Juniors rassemble de jeunes apprentis qui seront appelés à être la relève, "les grands artistes de demain", comme le prédit Bakomanga.
Gérer quarante personnes n'est évidemment pas de tout repos. D'autant plus que la plupart se sont, par un excès d'affectivité, un trait de caractère courant dans tout système à caractère matriarcal, placés directement sous l'aile protectrice de Bakomanga.

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Nid d'amour.
Bakomanga a réussi un pari presque impossible : devenir une star de la musique traditionnelle.
Non seulement, elle prend la responsabilité de nourrir et de veiller au confort matériel de ses protégés, mais elle doit en plus résoudre les problèmes d'ordre affectif et sentimental des jeunes membres du groupe. Elle s'en sort néanmoins, grâce à un sens pratique peu commun, et une autorité qui n'est jamais remis en question. Un garçon et une fille, tous deux membres du groupe, éprouvent-ils l'un pour l'autre des sentiments qui vont bien au-delà de l'amitié ? Bakomanga intervient aussitôt, avant que les choses n'aillent plus loin, en leur suggérant directement le mariage. Une directive à laquelle nos deux tourtereaux ne peuvent que se plier. Bakomanga est aussi un nid d'amour qui abrite, à ce jour, pas moins de quatre couples légitimes !
Ainsi va la vie de Bakomanga au milieu de ses quarante "enfants", et de son mari, qui, selon elle, "ne comprend pas trop que j'attache une si grande importance à la musique, ni pourquoi je consacre beaucoup de temps aux membres du groupe" !
Bakomanga, une artiste proche des traditions ? Des traditions sociales, surtout.

Pour vivre heureux, vivons cachets !
Le groupe Bakomanga, soudé dans la vie comme sur scène.

Peut-on vivre de la danse et la musique traditionnelles ? "Difficilement, répond Bakomanga, l'artiste. Pour une prestation en cabaret, par exemple, nous ne touchons que 50 000 ariary". Une somme qui sera ensuite partagée, pour une grande partie, aux quelque 25 musiciens, danseurs et chanteurs qui ont participé directement au spectacle. Le reste ira aux autres membres de la troupe. Au sein de Bakomanga, on se partage tout, jusqu'au moindre ariary.
Et si le groupe préfère se produire dans les cérémonies officielles plutôt que dans les cabarets, ce serait moins pour l'amour de l'apparat que pour les heureuses perspectives que peuvent offrir un cachet à 700 000 ariary.
Vavah Rakotoarivonjy

La polyclinique d’Ilafy se modernise - par Moïse

Médecine - La polyclinique d’Ilafy se modernise
La polyclinique d’Ilafy est une des pionnières des cliniques privées à Madagascar.
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Une chapelle œcuménique, une morgue, un restaurant, une unité Urgence nouvellement créée et une aire d'atterrissage pour un hélicoptère aménagée, la polyclinique d'Ilafy est en passe d'affirmer son statut de fleuron des cliniques privées à Madagascar.
Créé en 1996, c'est le premier et le seul établissement sanitaire n'appartenant pas à l'Etat, qui est équipé d'un scanner depuis quelques années.
“Nous allons bientôt procéder à des investissements lourds pour équiper la clinique d'hémodialyse, de matériel d'épreuve d'effort pour les cardiaques et même de l'angiographie qui est à la pointe des examens radiologiques des vaisseaux sanguins à l'heure actuelle”, précise son directeur général Maminiaina Ravatomanga.

Un contrat-bail de 30 ans.
Ces informations, les responsables de la polyclinique d'Ilafy les ont diffusées en marge d'un point de presse, une semaine après le début de la grève du personnel de l'Organisation sanitaire tananarivienne interentreprises (Ostie).
“La polyclinique d'Ilafy est détentrice d'un contrat-bail de 30 ans, en vigueur depuis 1996, accordé par le conseil de gestion de l'Ostie, souligne son directeur général. Durant ces dix premières années du contrat, le paiement de nos loyers n'a jamais connu de retard. En outre, il n'a jamais été question d'acheter les terrains de l'organisation à Behoririka et à Ilafy, quand on sait qu'il n'y a aucun problème majeur qui pourrait mettre en cause le contrat-bail”, fait-il remarquer.
“Par ailleurs, la polyclinique a toujours honoré ses engagements en matière d'investissements, allant de la viabilisation totale du site lors de son installation aux extensions et même à son embellissement”, précise-t-il.
En effet, la polyclinique d'Ilafy se trouve au coeur des arguments avancés par le personnel gréviste. Elle est locataire de deux propriétés de l'Ostie, abritant à l'heure actuelle le siège central basé à Ilafy et son annexe à Behoririka. Depuis le départ du directeur général de l'organisation sur décision du conseil de gestion, ce contrat de location est devenu le cheval de bataille des grévistes. Ces derniers ont véhiculé des informations concernant les relations entre l'Ostie et la polyclinique d'Ilafy. A travers des banderoles, ils ont mentionné, entre autres, la défaillance de l'établissement dans ses obligations d'investissements et aussi l'intention douteuse du conseil de gestion de vendre définitivement les propriétés de l'Ostie à la polyclinique.



Mahefa Rakotomalala


Nouvelle publiée grâce à l'aimable autorisation de l'express deMadagascar

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Madagascar élargit son réseau de télécommunications grâce à W3A - par Moïse

Madagascar élargit son réseau de télécommunications grâce à W3A


L’opérateur de télécommunications malgache, Telma (anciennement Telecom Malagasy, opérateur national), a signé un contrat avec Eutelsat pour acquérir de la capacité sur W3A.

La capacité servira à déployer un réseau VSAT à Madagascar acheminant les communications d’entreprise et rurales dans tout le pays. La première phase consistera à installer environ 200 terminaux VSAT sur le territoire pour l’accès Internet et la téléphonie rurale.

Les entreprises et les collectivités locales pourront bénéficier de cette nouvelle infrastructure de communications de données et auront accès à une offre de services comprenant l'accès Internet, la Voix sur IP, la visioconférence, les réseaux privés virtuels (VPN) et la diffusion de données.
Lire la suite et l'article original sur :


smile

lE premier centre industriel d'énergie éolienne - par Moïse

Antsiranana - Mad'Eole crée le premier centre industriel d'énergie éolienne
L'exploitation des ressources éoliennes de la Grande île prend de l'ampleur. Avec un budget total d'investissement de près de quatre millions de dollars américains, la société Mad'Eole vient de mettre en place le premier centre industriel d'énergie éolienne à Antsiranana. Le centre construit des éoliennes pour l'ensemble du pays grâce à la technologie de la société allemande Aereodyn.
Dans le contexte actuel, le développement des sources d'énergie renouvelable est une alternative que le gouvernement prend très au sérieux. Face à l'incapacité de la Jirama, la société nationale de l'eau et de l'électricité, à approvisionner la consommation locale, plusieurs initiatives sont lancées surtout dans le milieu rural. Avec près de 3 % de taux d'électrification, le monde rural malgache est encore faiblement ravitaillé. Le milieu rural se présente ainsi en client potentiel de Mad'éole.

http://www.lexpressmada.com/article.php?id=41692&r=1&d=2006-03-21

Doda Andrianantenaina


Manjakamiadana - par Moïse

Salon de Windhoek - L’Afrique veut séduire les touristes européens
Les patrimoines historiques comme Manjakamiadana
constituent un atout pour le tourisme.

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Le Programme de Promotion de l’investissement entre l’Union européenne et la Communauté pour le développement de l'Afrique australe prévoit une rencontre entre les pays européens et africains dans le domaine du tourisme du 3 au 6 octobre 2006 à Windhoek en Namibie.
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http://www.lexpressmada.com/article.php?id=41690&r=1&d=2006-03-21

Entreprises - Les opérateurs mobilisés contre la dengue - par Moïse

Entreprises - Les opérateurs mobilisés contre la dengue

Le Groupement des entreprises de la province autonome de Toamasina (Gepat), vient de remettre à l'Hopitaly be un important lot de médicaments, composés d'antipaludiques, de vitamines et de flacons de sérum avec des perfuseurs qui serviront à soigner les malades de la dengue admis à cet hôpital.
“Ces médicaments serviront à renforcer notre stock mais aucune rupture n'est à craindre dans cet hôpital qui accueille la majorité des malades”, précise le docteur Kiki Ramanandraibe, directeur technique de l'Hopitaly be.
Au total, les médicaments s'évaluent à près de 20 millions ariary. Parmi les dons figurent plus de 5040 flacons de sérum SGI 5% avec 860 perfuseurs, 208 000 comprimés d'ibuprofène et 157 000 comprimés de paracetamol. Il y a également du primperan et de la vitamine B1, B6 et C.

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MADAGASCAR : Un Master en management à l’Iscam - par Moïse

Formation - Un Master en management à l’Iscam


Face à la demande pressante en formations plus adaptées au nouveau système Licence-maîtrise-doctorat (LMD), l’Institut supérieur de la communication, des affaires et du management (Iscam) ouvre cette année le nouveau Master II en management, à tout candidat disposant d’un diplôme de bac+4 dans cette option.
“Elle se base sur la formation d'adultes expérimentés pour que plus tard, ils puissent améliorer leur performance dans leur travail. Ils auront ainsi la vocation de managers de haut niveau”, explique Jaona Ranaivoson, directeur de l’Iscam face à la presse vendredi.
Selon lui, la nouvelle formation fait suite à une enquête effectuée en 2004 auprès des entreprises, des étudiants et de leurs parents. Elle a abouti au souhait de suivre des formations de type doctorat.
Le Master II répond donc à ces attentes. “C’est en fait une nouvelle version de l’ancien diplôme d’études supérieures spécialisées (DESS), plus proche du système LMD, et la suite logique de la 4ème année en management d’entreprises. Dorénavant, cette appellation sera plus connue dans le milieu”, souligne Colette Rahajarison, directeur des études à l’Iscam.
Dans la première promotion, on prévoit 30 candidats reçus sur étude de leurs dossiers. “Les places sont très limitées vu le type de formation qui nécessite un encadrement rapproché. Car, comme toujours, l’Iscam vise une formation de qualité avec des infrastructures déjà définies”, précise le Pr Romaine Ramananarivo, directeur du Master II.
La durée des cours s’étale sur une année, divisée en deux semestres de formations académique et professionnelle. L’Iscam est assisté par l’université de Savoie en France pour son expérience.



Fanja Saholiarisoa
http://www.lexpressmada.com/article.php?id=41648&r=13&d=2006-03-20

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