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express.gifMédecine orientale - La bio-énergo-thérapie guérit certaines maladies - par Moïse

Médecine orientale - La bio-énergo-thérapie guérit certaines maladies
Un plateau masseur utilisé en bio-énergo-thérapie.
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Peu connue mais assez développée. La médecine orientale et ses multiples branches, elles le sont. Plus particulièrement au pays, la bio-energo-thérapie sonne tout nouveau. Cependant, sa pratique commence à acquérir une place de plus en plus importante dans le monde de la santé nationale.
La bio-énergo-thérapie, du sens étymologique du terme, et selon la définition de docteur Ernest Rakotoniriana, un pratiquant du pays, est une médecine qui exploite l'énergie intérieure pour affronter tous les malaises du corps humain. Du point de vue chinois, l'énergie ne circule pas bien chez l'homme et provoque des troubles. “C'est comme une batterie qui se décharge, il ne fonctionne pas bien”, explique le docteur praticien.
A la différence des autres médecines du monde, traditionnelles ou moderne, ou d' autre pratique orientale telles que l' acupuncture, le réflexologie ( massage de la plante des pieds ou des mains), la stimulation par la chaleur de Ramiaramila, la bio-energo-thérapie, n'utilise aucun médicament, ni de plantes médicinales. Le traitement se fait par le massage, des exercices physiques, diététiques ou encore des connaissances de soi. “Les médicaments sont, en quelque sorte, des toxiques pouvant gêner la bonne circulation de l'énergie”, argue le docteur Ernest Rakotonirina.

Un traitement de trois mois.
La bio-énergo-thérapie se pratique sur quatre disciplines indépendantes, à savoir le “Qi ou Tchi”, l' Ayurveda, la psychothérapie et le Joro. Dans la plupart des cas, le Tchi est beaucoup exercé chez le médecin. “Environ 80% de mes patients sont traités par cette discipline”, témoigne Ernest Rakotonirina.
Le "qi ou tchi", selon les différentes appellations chinoises, développe l'énergie vitale. Il repose sur le massage, appelé “digitopuncture”. Le procédé consiste à presser les 14 000 points méridiens du corps soit à l'aide des bâtons, des doigts, soit en piétinant des plateaux masseurs. Il sert surtout à rétablir la force contre les malaises corporels, tels que l'hypertension, l'ulcère digestif, les troubles gynécologiques, etc.
L' Ayurveda, du sanscrit ayur(vie) et veda (science), tout comme la psychothérapie et le Joro consiste surtout en le traitement des troubles psychiques L' énergie en sera développée à travers des exercices de respiration, d'assouplissement, de méditation, de concentration et de la combinaison diététique.Les résultats transparaissent à travers la normalisation du poids, la longévité et la maîtrise de soi.
“La bio-énergo-thérapie n'a jamais connu, pour l' instant, aucune limite”, affirme le docteur praticien. Toutes les maladies, sauf le syndrome d' immunodéficience acquise (Sida), qu'il n' a pas encore traité, en sont guéries à 90%. “Seulement, il faut de la patience”, poursuit-il. Car le traitement en peut durer jusqu' à environ trois mois. La première partie, de six jours, consiste en l'examen du patient ou le test thérapeutique chez le docteur. A partir de là, le patient se fait soigner par lui-même chez lui, sans pour autant rompre le contact avec le médecin.
Environs 40 patients par jour passent chez le docteur Ernest Rakotonirina. Enfants, jeunes ou adultes des deux sexes, des Malgaches pour la plupart y viennent, ne serait-ce que pour des consulatations. Ils proviennent des quatre coins de l' Ile.

Le joro malgache pour soigner.
Le joro ? Une pratique bien malgache. Mais en rapport avec ses philosophies et l'histoire, il tire son origine de la médecine orientale. Désormais, il fait partie de la bio-energo-thérapie que le docteur-praticien, Ernest Rakotonirina, prône depuis une dizaine d'années maintenant au pays.
“Au début, les êtres humains habitant l'Ile sont des primitifs, classés parmi les homo erectus, ou encore les Vazimba. Leur philosophie se fonde sur le développement de l'humanité. Les principes résident surtout sur le respect des ancêtres, de la parenté du sang et des châtiments. C'est pourquoi, il n'y avait pas autrefois de guerre civile, de jalousie, et de pillage chez nous”, explique le docteur Ernest Rakotonirina. Avec la nouvelles lignée, les homo sapiens, tout s'est transformé.
La procédé dans la pratique du joro, en tant que médecine orientale, consiste en effet à évoquer les ancêtres et le Dieu, la force créatrice dans toute les créations, pour leur demander pardon. On utilise de l' eau du robinet pour ce faire. En vérité, elle consiste à traiter la maladie psychosomatique, ou trouble organique ou fonctionnel d'origine psychique.

Vavah Rakotoarivonjy
http://www.lexpressmada.com/article.php?id=42579&r=4&d=2006-04-19


express.gifTravaux publics - Le SYSTEME HIMO adapté au contexte malgache - par Moïse

Travaux publics - Le système Himo adapté au contexte malgache
Les travaux routiers constituent le principal “client” de l’Himo.

Le système “haute intensité de main d'oeuvre” (Himo) reste une alternative de choix pour Madagascar. Le gouvernement malgache s'est lancé depuis quelques années dans un vaste programme de réhabilitation des infrastructures routières du pays. “Le système est applicable sur toutes les pistes en terre”, affirme Roland Randriamampionona, ministre des Transports et des travaux publics lors de la cérémonie d'inauguration du nouveau local du centre de formation Himo d'Antsirabe (CFH), vendredi dernier.

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En tenant compte du fait que la grande partie des routes malgaches est encore en terre, le système se présente comme la solution idéale. Le pays dispose actuellement d'un réseau routier de 30 000 km dont près de 23 000 dans le sous-secteur routes rurales. Sur le plan financier, le système Himo engage moins de fonds que les chantiers mécanisés. “L'impact social et économique de ce mode de travail est plus conséquent”, soutient Holiarivony Ramiarintsoa, directeur du centre. “En plus, il crée de l'emploi pour la communauté riveraine”, poursuit-elle.
Bien que plus lent que les gros engins de travaux publics, l'homme peut pourtant effectuer des travaux de la même qualité. 250 hommes abattent la même tâche qu'un bulldozer dans un même laps de temps. “Avec l'encadrement nécessaire, le système Himo peut être bénéfique pour tous”, continue le directeur du centre en précisant que c'est justement la raison d'être du centre de formation Himo.
Les petites et moyennes entreprises de travaux publics pourront désormais prétendre aux grands projets routiers avec le système Himo. “Il est aujourd'hui indispensable que les petits opérateurs de travaux publics s'initient sur le système Himo”, fait remarquer le ministre des Transports et des travaux publics. Le centre dispense une formation pour les opérateurs afin qu'ils puissent recourir à cette méthode. Le nouveau local du centre de formation haute intensité de main d'oeuvre d'Antsirabe a été financé par le royaume de Norvège à hauteur de 350 000 dollars américains. Le centre est même équipé d'appareil et outil de la dernière technologie.
Doda Andrianantenaina


Nouvelle publiée grâce à l'aimable autorisation de l'express deMadagascar

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express.gifPROMOTION DE LA DESTINATION MADAGASCAR - par Moïse

Promotion - Madagascar renforce son offensive touristique en France
Les promotions touristiques se font de différentes manières. Les attractions sportives comme le surf en font partie.

Tout sur la France. Les actions de promotion de la destination Madagascar se focalisent de plus en plus sur l'Hexagone. Après un succès retentissant à Lyon durant le salon Mahana au mois de mars, Madagascar s'est ensuite attaqué au Salon mondial du tourisme de Paris. “Nous devons renforcer notre offensive sur les touristes français”, avance Irène Andréas, directeur exécutif de l'Office national du tourisme de Madagascar. “La grande majorité des touristes en visite à Madagascar est constituée par des Français”, continue-t-elle.
La participation aux évènements touristiques internationaux et l'organisation de voyages éducatifs (eductours) pour les prescripteurs touristiques sont les plus grands outils promotionnels dans le tourisme. D'une manière générale, la promotion touristique est une affaire de gros sous. En moyenne, la participation à un salon de ce genre coûte environ 200 millions Fmg soit 50 millions ariary.
En faisant du tourisme une priorité des priorités, le gouvernement malgache veut se doter d'un outil économique performant. Le tourisme s'est distingué en 2005 en réalisant des chiffres record aussi bien en matière de recettes que d'affluence. Dans cette optique, la France confirme sa place de premier partenaire économique de Madagascar. Les investissements dans le secteur tourisme sont encore largement dominés par les ressortissants français.

Des grosses pointures.
Des grosses pointures ont même montré leur nez comme le géant Accor dont les négociations sont en cours ou encore le Club Med. Le gouvernement devra également, à son niveau, intervenir pour encourager la venue des opérateurs étrangers dont les Français. La relance effective du tourisme doit être accompagné d'une multitude de mesures. Le plus important est d'accroître la quantité et la qualité de l'accueil. Aujourd'hui, la capacité d'accueil de la Grande île est de 1011 établissements et de quelque 10 850 chambres dont la majeure partie gravite autour de la capitale. Un handicap dans la mesure où les principaux sites touristiques manquent encore cruellement d'infrastructures d'accueil.
“Tout le monde joue le jeu”, confirme le directeur exécutif de l'Office national. “La cohésion entre les différentes parties prenantes n'ont jamais été aussi forte”, poursuit-elle. Une des grandes réalisations de cette année à été la mise en place d'une cinquième fréquence sur la liaison avec la capitale française par la compagnie nationale de transport aérien, Air Madagascar. L'insularité de Madagascar oblige les transporteurs à améliorer davantage leur prestation afin de satisfaire ce besoin créé par le tourisme. Les liaisons doivent être intensifiées et en parallèle le coût du transport devra correspondre à la qualité du service offert.
Doda Andrianantenaina

http://www.lexpressmada.com/article.php?id=42538&r=1&d=2006-04-18


madagate.gifDes livres pour Madagascar OUI Mais tout en favorisant aussi les éditeurs locaux... - par Moïse

Le Projet BOKIKO

MADAGATE PARTENARIAT : Entretien avec Michèle RAKOTOSON :
NDLR : Le Projet BOKIKO est d'abord un projet, mais aussi un mouvement initié par l'association Hetsika Diaspore en France, qui souhaite mettre les pieds à l'étrier des auteurs malgaches.
Invitée à s'exprimer sur le portail MADAGATE.com au sujet de BOKIKO, Michèle Rakotoson, écrivain et auteur de nombreux ouvrages en France. Elle tente de nous résumer par question réponse les enjeux et la portée de ce projet auquel nous sommes tous conviés.


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Michèle Rakotoson Auteur - Crédit photo Thomas C. Spear,     
Qu'est le projet Bokiko ?
Le projet Bokiko est venue d'une idée : Nous voulons aider les enfants à Madagascar et nous envoyons des livres. C'est bien, mais est-ce suffisant, ne pouvons-nous faire mieux : donner le coup de pouce nécessaire pour relancer l'édition à Madagascar et aider à créer des livres pour nos enfants ? C'est de là qu'est venue une réflexion entre la Direction Générale des Centres Malgaches pour le Développement de la Lecture Publique et l'Animation Culturelle du Ministère de la Culture et du Tourisme (CEMDLAC), le PREDIFF et l'association Hetsika Diaspora France (HDF) sur les problèmes inhérents au livre et son impact sur l'éducation à Madagascar.
Cette réflexion est à l'origine de ce projet de création et d'édition d'un livre d'enfant en bilingue français-malgache, début d'une collection de livres pour enfants.
Vous pensez que c'est faisable ?
C'est faisable car outre les jeunes auteurs, il existe un réseau d'éditeurs et de libraires au pays, de jeunes entrepreneurs culturels, le réseau des centres de lecture publique et des bibliothèques, il y a de jeunes auteurs, une tradition de lecture très forte à Madagascar. De plus, en travaillant en partenariat avec le pays, on évite les erreurs, car par exemple, les études faites sur place indiquent l'importance qu'il faut donner aux textes courts (contes ou nouvelles), à une langue simple et à l'illustration. C'est pour cela que ce premier projet sera un conte « positif », le conte de « Milaloza », le héros qui défie la mort .
Où se fera l'édition ?
L'édition se fera à Madagascar, avec des auteurs et des illustrateurs malgaches et un éditeur malgache partenaire du projet.
Vous avez demandé des subventions ?
Non, car nous faisons confiance à la communauté malgache. Nous aimerions que pour ce premier projet, nous montrions tous que nous pouvons aider de manière efficace la culture et l'éducation à Madagascar, que tous, nous pouvons apporter notre pierre à cet édifice.
Et concrètement comment cela se passe-t-il ?
Un système de partenariat est mis en place avec des associations qui rejoignent le mouvement. Une première manifestation va avoir lieu le 22 avril, à l'initiative de l'association Ny Arivo lahy tsy maty indray andro qui invite l'opération Bokiko à l'espace Evidence à Montrouge, le 22 et d'autres manifestations auront lieu à Tours et même au Canada. Une grande manifestation aura lieu en juin, avec tous les partenaires, où sera présenté le texte qui sera édité et le livre est prévu pour Décembre et sera présenté aux assises du livre malgache, organisé par le CEMDLAC
Michèle Rakotoson pour le HDF


Article publié grâce à l'aimable autorisation de

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express.gifPAQUES A MADAGASCAR - par Moïse

Évasion pascale - Ruée des Antananariviens vers Antsirabe, Vatomandry et Ampefy

Effervescence au niveau des stationnements des taxis-brousse.
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Grande affluence attendue. Antsirabe, Ampefy et Vatomandry où des spectacles aussi divers que variés sont organisés, s'avèrent être les destinations les plus prisées, ce week-end pascal. Une grande partie des Antananariviens choisissent de s'y rendre. Par contre, Toamasina l'est moins par rapport aux années précédentes. L'épidémie de fièvre qui y sévit depuis le début de l'année y est sûrement pour quelque chose.

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De ce fait, les gares routières d'Anosizato et d'Antohomadinika sont noires de monde durant la semaine. Un distributeur de tickets affirme que “six à huit mini-bus par jour rejoignent la ville d'Eaux contre quatre à six par jour en temps normal”. Pour Vatomandry, le nombre est de deux à quatre voitures par jour.
Et comme à l'accoutumée en pareille période, l'augmentation des frais de transport n'a pas tardé, notamment pour Antsirabe. Ces derniers jours, ils sont passés de Ar 5 000 à Ar 6 000, voire Ar 10 000, soit le double. Une certaine manière pour les transporteurs de renflouer leurs caisses au détriment des usagers.

Même scénario.
“Nous sommes obligés d'agir ainsi pour éviter de tomber en faillite. D'autant que certaines voitures quittent Antsirabe pour Antananarivo presque à vide”, argue un chauffeur-propriétaire.
Le même scénario se répète annuellement. Cela n'empêche pas le plus grand nombre de s'y rendre. “Avec l'inflation qui touche presque tous les produits, l'augmentation des frais de transport est durement ressentie. Mais nous nous y sommes préparés car il est de tradition dans notre famille de passer les fêtes pascales à Antsirabe”, confie une mère de famille.
Les amoureux du soleil, de la mer et de la plage, quant à eux, ont choisi de faire une virée à Vatomandry. “C'est un coin magnifique. En outre, c'est la plage la plus proche de la capitale. Cette ville est également la plus accessible”, fait remarquer un père de famille qui allait s'y rendre.
Henintsoa Andriamiarisoa

http://www.lexpressmada.com/article.php?id=42509&r=13&d=2006-04-15


Nouvelle publiée grâce à l'aimable autorisation de l'express deMadagascar

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express.gifLE CINEMA MALGACHE - par Moïse

Septième art - Le cinéma malgache sur la bonne voie
Les principaux acteurs d’Ariela Production.

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Tout récemment, le feuilleton “Ankamantatra” d'Iriela Production vient diffuser la dernière épisode sur la chaîne de télévision nationale. D'autre part, une bonne partie des 150 épisodes de “Jiaby Jiaby” a été enregistrée, la semaine dernière, en double album VCD. Un nouveau film sort par ici, un autre est présenté par là. Ces derniers temps, le septième art national est incontestablement prolixe.
L'engouement des citoyens sur les nouvelles productions nationales en témoigne. A raison de cinq projections successives, tous les week-ends, dans les salles de cinéma Ritz et Rex, “Tana Mania 3” fait toujours carton plein. “Sur le marché, les films malgaches sont les plus demandés”, affirme un distributeur. L'affluence des jeunes acteurs lors des castings constitue un autre signe. Ainsi, en février, au Tranompokonolona à Analakely, dans le cadre de la sélection annuelle initiée par Volatiana, environ 1 000 jeunes prétendants étaient au rendez-vous.
“Les jeunes acteurs malgaches commencent à bien jouer, sans qu'ils aient fréquenté une école d'art cinématographique ou qu'ils aient suivi des cours d'art dramatique”, affirme Vonjy Razafitsifa, responsable d'Ariela Production et non moins actrice. “Nous, acteurs plus expérimentés, devons partager notre savoir-faire à ces jeunes talents”, poursuit-elle.
Presque tous les genres sont produits au pays, même si leur classification reste, pour l'instant, ambiguë : des simples comédies aux films pour adultes en passant par ceux dits d'action. De même, les scénaristes et les producteurs malgaches ne sont pas avares d'idées pour sortir un long métrage ou un film à épisodes, voire un documentaire tout simplement.
“Le septième art national contient, toutefois, certaines imperfections et des lacunes”, affirme Gege Rasamoely, un autre acteur et responsable d'Ariela Production. “Certaines règles ne sont pas encore respectées à Madagascar”, poursuit-il. Un vrai réalisateur professionnel n'existe pas chez nous. Du moins, c'est un oiseau rare. Parfois, un simple cameraman prétend, après quelques mois d'expériences, être un vrai professionnel. Cet amateurisme accable, en fait, le cinéma malgache.
Vavah Rakotoarivonjy


Nouvelle publiée grâce à l'aimable autorisation de l'express deMadagascar

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express.gifDanse contemporaine - La compagnie Rary - par Moïse

Danse contemporaine - La compagnie Rary s’offre “Dix ans”



Ariry Andriamoratsiresy.

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Et c'est parti. La véritable fête de la première décennie commence pour Rary. Après “Takalo Maromaitso” en février, “Asaramanitra” en mars, le lancement officiel de l' événement ne se fera que ce mercredi 12 avril. L'information vient d'Ariry Andriamoratsiresy, chorégraphe et danseur malgache de renom, également fondateur de la compagnie Rary.
La journée s'annonce festive et spectaculaire. La présentation d' une dizaine de minutes d'une pièce chorégraphique spécialement créée pour l'occasion, se déroulera à l'espace Rarihasina dans la matinée. Elle s'intitule tout simplement “Dix ans”, et les actuels membres de la compagnie Rary l'interprèteront.

Prestation gratuite.
Les danseurs de Rary interprétant "Mpirahalahy mianala".
Ce spectacle chorégraphique sera suivi de portes ouvertes sur la théorisation de la danse et de la musique “Rary”. Car la compagnie, pour sa première décennie veut se démarquer par sa propre signature, à travers l' illustration du quotidien et par la confirmation de son identité, de son ouverture au monde traditionnel et à la théorisation de la danse.
Les dix ans de la compagnie Rary se verra aussi dans un film documentaire qui sera projeté dans l' après-midi du mercredi. “C'est un long métrage qui résume les malheurs et les bonheurs vécus par la compagnie”, témoigne son fondateur.
Le public de la danse contemporaine bénéficiera aussi d' une prestation gratuite en solo d' Ariry Andriamoratsiresy, durant une semaine, dans la pièce chorégraphique intitulée “Zazandrano”. Cette pièce sera présentée en France, lors de la biennale de la danse à Brest du 22 au 30 avril, où le chorégraphe sera le seul représentant officiel. “En vérité, ce sera une répétition générale ouverte au grand public”, affirme l' artiste.
“Ce n 'est que le début, beaucoup d' autres manifestations, des spectacles de danse pour la plupart, seront programmées cette année, toujours dans le cadre de cet anniversaire”, promet-t-il. Au programme Ankisoma en mai, la fête de la musique en juin, Kolosaina” en août, “Habaka Ankisoma” en décembre. A ce dernier rendez-vous, une pièce chorégraphique intitulée “Zakarandaha” avec la participation de nombreux danseurs, sera présentée. Vavah Rakotoarivonjy

http://www.lexpressmada.com/article.php?id=42245&r=3&d=2006-4-7


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express.gifCOmmerce international : toujours déficitaire et dépendant des importations.... - par Moïse

Alain Liva Raharijaona, Haut conseiller national auprès du Programme de renforcement des capacités dans le commerce international
• Comment se présentent les échanges commerciaux internationaux de Madagascar ?
- Depuis plus de quarante ans, la balance commerciale de Madagascar est fortement déficitaire. Les raisons sont aussi diverses que complexes et portent sur des points structurels. Mais le fait est que les importations sont de loin plus importantes que les exportations aussi bien en valeurs qu'en réalisations. L'explication est simple : la grande majorité des exportations sont constituées de matières premières à faible valeur ajoutée, tandis que les importations sont dominées par des produits finis à forte valeur ajoutée.
Propos recueillis par Doda Andrianantenaina

http://www.lexpressmada.com/article.php?id=42160&r=1&d=2006-04-05


Nouvelle publiée grâce à l'aimable autorisation de l'express deMadagascar

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robot.gifMouvements militaires dans l'Océan Indien - par Moïse

La mission militaire de l'UE s'installe aux Comores pour les élections


2006-04-04 14:54:56



ANTANANARIVO, 3 avril (XINHUA) -- La mission de l'Union africaine (UA) pour la sécurisation des élections aux Comores ( AMISEC) a été officiellement installée à la fin de la semaine dernière à Moroni, capitale des l'Union des Comores, selon une information parvenue lundi à Antananarivo;

Cette mission a pour but de sécuriser le processus électoral qui culmunera avec l'élection présidentielle le 14 mai prochain.

Le contingent est formé de 462 militaires et policiers venus principalement de l'Afrique du Sud, mais également du Nigeria, de l'Egypte, de la République démocratique du Congo, du Mozambique, du Rwanda, de Madagascar et de Maurice.

Cette mission militaire, dont le coût se chiffre à 15 millions d'euros, dispose de 69 véhicules, de deux hélicoptères et d'un avion de transport de type DC3.

L'AMISEC est déjà déployée à Anjouan, l'une des trois îles de l'Union des Comores (Grande-Comore, Anjouan et Mohéli), où seront organisées le 16 avril des élections primaires, selon cette mission.

"L'Union africaine veut assurer la transparence du processus électoral. Elle ne permettra aucune interférence", a déclaré José Francisco Madeira, envoyé spécial de l'UA aux Comores.

"Les éléments de l'armée et de la police comoriennes ne dovient pas interférer dans le processus. Et s'ils le font, il arrivera quelque chose de grave", a-t-il averti.

Le 14 mai prochain sera organisée l'élection présidentielle de l'Union des Comores. Et le 16 avril prochain se tiendront sur l'île d'Anjouan les élections primaires, qui détermineront parmi 13 candidats trois qualifiés pour la présidentielle prévue le 14 mai prochain. Fin



express.gifLe chikungunya ne menace pas la saison touristique - par Moïse

Questions à ... Elma Ross, Présidente de l'Office régional du tourisme de Nosy-Be
• Quelle est la situation exacte au sujet du chikungunya à Nosy-Be ?
- Beaucoup d'informations ont circulé il y a quelques semaines sur la situation du chikungunya dans l'île. La plupart d'entre elles étaient fausses. Aujourd'hui, nous pouvons affirmer que les résultats des analyses effectuées jusqu'à maintenant confirment qu'il n'y a aucun cas avéré de chikungunya à Nosy-Be. C'est vrai que des cas de forte fièvre et de dengue ont été enregistrés, mais nous en connaissons chaque année. Ces maladies reviennent souvent avec la chaleur et la période de pluies.
• Quels ont été les conséquences sur les activités liées au tourisme ?
- A un certain moment, nous avons été submergés. Quelques-uns de nos employés se sont retrouvés dans l'impossibilité de travailler. La situation s'est nettement améliorée depuis quelques temps. C'est une bonne chose à l'approche de la haute saison. Nous avons également enregistré des annulations de réservations, surtout de la part des touristes en provenance de la France.
• Le taux de 40 % d'annulations de réservations est avancé, est-ce la réalité?
- Des opérateurs ont avancé des chiffres que nous estimons être trop pessimistes. L'Office régional du tourisme et le groupement des opérateurs ont exigé de la part des établissements touristiques de publier les chiffres exacts des annulations. Au bout du compte, elles se sont révélées moins importantes et elles concernent surtout les touristes français.
• La saison serait-elle menacée dans ce cas ?
- Nous pensons que la saison touristique n'est pas pour autant menacée. Parce que la maladie est déjà en régression selon les dernières informations émanant de l'hôpital de la ville. C'était, en quelque sorte, un phénomène passager. Le seul ombre au tableau reste la lenteur de la reprise des réservations des touristes français.
• Que faudrait-il faire pour attirer de nouveau les touristes français ?
- La seule alternative à notre disposition repose sur l'information. Nous devons aviser au mieux les tours opérateurs et les agences de voyages travaillant avec nous dans le pays et à l'extérieur. Rassurer les touristes sur la situation qui prévaut dans le pays en ce moment constitue l'objectif premier. D'ailleurs, les prescripteurs de voyages de l'étranger sont de notre avis. Cette démarche est la voie à suivre pour rétablir la confiance des touristes.
• Au plan local, comment intervenez-vous pour attirer les touristes ?
- La propreté de la ville doit se trouver à la base du développement touristique. Une ville propre, dans tous les sens du terme, attire toujours les touristes. Nous avons mis sur place un comité ad hoc pour un Nosy -Be propre, composé de responsables de l'Adminis-tration et de tous les acteurs économiques de l'île. Nous avons voulu pour cela effectuer un nettoyage de fond et pérenne de toute l'île. Des quartiers, comme Dzaman-dzary, Ambatoloaka ou Hell-Ville, ont été particulièrement concernés . En parallèle, une campagne de sensibilisation de la population a été initiée pour que la propreté soit respectée.
• Dans quel sens le tourisme nossibéen se développera-t-il ?
- Nosy-Be se prépare aujourd'hui à un avenir très radieux. L'implication des autorités et du secteur privé, dans le cadre du projet pôle intégré de croissance, est considérable. L'île va changer d'image, mais gardera son identité de première destination de Madagascar. Le Nosy-be de demain est inimaginable, dans le sens positif.
Propos recueillis par
Doda Andrianantenaina

http://www.lexpressmada.com/article.php?id=41957&r=4&d=2006-03-31


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