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LE TOURISME sinistré : BESOIN DE 600 000 EUROS - par MOISE

LE TOURISME sinistré :  BESOIN DE 600 000 EUROS

 Le secteur du tourisme est sinistré, le transport aérien enregistre une baisse de 40% des trafics ; 70% des établissements hôteliers ont fermé accusant une perte de  70% de leurs chiffres d'affaires. Ces mêmes hôteliers ont du envoyer en chômage technique 70% de leur personnel. Les visiteurs annulent encore leurs réservations. C'est ce tableau très sombre qu'ont dressé les professionnels du tourisme, lors de la réunion du Conseil d'administration de l'Ontm (Office National Malgache du Tourisme) hier à la résidence Ankerana. Les opérateurs sont conscients que la relance du tourisme est le seul remède pour redresser l'économie de Madagascar mais pour y parvenir, il faut trouver un financement de 600 000 euros. Il faudrait également que les offices du tourisme puissent récupérer les vignettes touristiques auprès du trésor public.

Un plan de relance du secteur tourisme a été ainsi élaboré par l'Ontm. Une stratégie qui, selon le Président de l'Office, Joël Randriamandranto, comporte 4 objectifs conditionnés par ce financement de 600 000 euros. «L'Ontm n'a pas attendu que la crise se termine pour chercher une solution au problème du secteur», devait expliquer le Directeur Exécutif de l'Ontm, Vola Raveloson avant de confier que cet organe privé de promotion du tourisme, qu'est l'Ontm, a déjà approché ses bailleurs de fonds, et les discussions avec certains desdits bailleurs avancent bien.
 Le premier objectif consiste à regagner la confiance des partenaires et des touristes en leur assurant que la sécurité est revenue dans le pays. Pour ce faire, une campagne de promotion et de sensibilisation sera conduite par l'Ontm. Le second objectif  consiste à renforcer les liens avec le Trade pour maintenir la programmation de Madagascar en 2009/2010. Cette action sera concrétisée par des road show professionnels et eductours. Le plan consistera également à rassurer le grand public sur la situation dans le pays pour les déplacements des touristes et favoriser la venue des voyagistes individuels à travers des offres promotionnelles pour les séjours balnéaires. La relance peut également passer par le tourisme local.
Mais parallèlement à ces actions, les opérateurs touristiques estiment que l'administration a aussi un rôle à tenir dans la relance du tourisme. «Nous demandons à ce que l'Etat fasse un geste en faveur du secteur», lancent les professionnels. «L'Etat doit considérer le tourisme comme un cas particulier», avance le Pdt de la Fhorm (Fédération des Hôteliers et Restaurateurs de Madagascar), Eric Koller. « Les opérateurs touristiques devront bénéficier de traitements de faveur en matière de fiscalité », revendiquent les professionnels. La baisse, voire la suppression du droit de visas pour les séjours de moins d'un mois pourrait inciter les touristes à venir, estiment-ils. 

 

Source Midi Madagascar
 
 


GREVE DES EMPLOYES DE LA BANQUE CENTRALE - par MOISE

Les employés de la banque centrale effectuent un sitting devant leur siège à Antaninarenina.

Selon Aina RAZAFINDRAKOTO, employé au sein de cette institution, les employés ont décidés de faire une grève en protestation contre la non application des procédures et des lois qui régissent leur travail.

Outre cette non application, la banque Centrale subit des pressions telles que : la surveillance exagérée et l' accusation non fondée sur la sortie d'argent, l'interdition de sortie du territoire Malagasy de leur Gouverneur.

Ces employés revendiquent donc des explications concrètes concernant ces faits. La grève continuera dans le cas contraire.

Toutefois, il est à noter que selon toujours cet employé, leur cause n'est surement pas partagée par tous car la liberté de se joindre ou non à ce sitting est du choix de chacun.

Dans les heures à venir, ces employés comptent faire une conférence de presse, à suivre sur notre site:
www.tanapress.net

 

PHOTOS DISPONIBLES DANS GALERIE PHOTO

express.gifIvohibe La menace de séisme persiste - par MOISE

Ivohibe
La menace de séisme persiste


La mission d'une équipe pluridisciplinaire à Ivohibe pour faire l'état des lieux des fréquents séismes a touché à sa fin. Le verdict de l'évaluation risque d'apeurer la population car la menace de forts sésmes persiste dans ce district.


Date : 07-04-2009

express.gifTempête tropicale dans le Nord Jade inonde trois districts - par MOISE

JADE  : 8 MORTS ET 3300 SANS ABRIS
8 AVRIL 2009 A 22:30
Cinq nouveaux décès ont été recensés à Mananjary (côte sud-est) "à la suite d?un éboulement de terrain", précise mercredi un communiqué du Bureau national de gestion des risques et des catastrophes (BNGRC).
 
Le BNGRC avait fait état mardi de trois morts à Mampikony (au nord d?Antananarivo).
 
"Le bilan provisoire du passage de Jade fait état de plus de 3.320 sans abris", poursuit le communiqué, détaillant les zones sinistrées sur la façade est de la Grande île où Jade est entré lundi avec des rafales atteignant 160 km/h.
 
La saison cyclonique à Madagascar s'étend de fin novembre à avril.
 
 Au moins neuf personnes avaient été tuées et plus de 20.000 sinistrées à Madagascar fin janvier lors du passage des cyclones Eric et Fanele.
 
Source AFP


Tempête tropicale dans le Nord
Jade inonde trois districts
Depuis hier, la tempête tropicale Jade secoue la partie nord de l’île. Les fortes précipitations qu’elle provoque ont causé une inondation dans les districts de Mananara Nord, Maroantsetra et Antalaha.

Même si le bilan reste à établir, la forte tempête tropicale Jade a laissé des districts sous les eaux. Entrée hier matin au Cap Masoala, cette forte tempête se trouvait hier à 18 heures dans le district de Soanierana Ivongo.
La population de Mananara-Nord n'a pas pu sortir toute la journée d'hier. Ce district a été deux fois frappé par le passage du cyclone Jade. « Nous avons entendu de fortes rafales de vent hier matin puis elles ont repris tout l'après-midi. Le cyclone a balayé les petites maisons sur son passage », raconte Aimé Razafindrandoda, responsable de l'encadrement de Mananara-Nord.
Montée des eaux
Joint au téléphone à 18 heures hier, il a rapporté que les rafales de vent continuaient à travers le centre-ville et empêchaient toute sortie. Plusieurs poteaux ont été détruits, l'eau et l'électricité coupées.
Selon le bureau national de gestion des risques et des catastrophes (BNGRC), sept maisons sont sous les eaux à 15km au nord de Mananara-Nord. Dans le centre-ville, la maison du chef de district a été décoiffée.
La menace pèse jusqu'au district de Maroantsetra qui n'a pas été épargné par les vents forts et les pluies abondantes. « Même si aucun dégât matériel n'a été enregistré, l'eau monte dans tout le district. Notamment dans le village de Vinanindidy où les habitants ont cherché refuge sur les hautes terres », explique Djaffar Mohammed, adjoint au maire de la commune urbaine de Maroantsetra et membre du comité régional pour la gestion des risques et des catastrophes.
Il ajoute que des poteaux de la Jirama ont été arrachés par le vent entraînant une coupure de courant dans toute la ville.
Pour le district d'Antalaha, la montée des eaux a été aussi observée. Mais le cap Est et le cap Masoala à 80 km d'Antalaha ont le plus souffert. Selon les informations recueillies sur place, les autorités sont encore en train d'évaluer les dégâts.

Fanja Saholiarisoa
Date : 07-04-2009



express.gifCrise Les valeurs malgaches comme solution - par MOISE

Crise
Les valeurs malgaches comme solution


La crise politique actuelle est loin d'être résolue. La tenue de deux Assises la semaine dernière est un signe de sa persistance. Selon les économistes de l'Université d'Antananarivo, le retour vers les valeurs malagasy qui permettraient la reprise des dialogues constitue la solution.
« La reprise des dialogues est la meilleure solution pour sortir de cette crise. Cependant, pour qu'il ne soit pas celui des sourds, il faut mettre en avant le Fihavanana malagasy et l’humilité », avance Hugues Rajaonson, intervenant d'une conférence basée sur le thème « Les économistes face à la crise actuelle ». Cette conférence s'est tenue vendredi au Cite Ambatonakanga. « Les protagonistes doivent prendre du recul par rapport à leurs positions actuelles », précise le conférencier.
Outre le retour au dialogue, les économistes soutiennent la séparation du pouvoir régalien et de l'éxécutif économique, social et technique afin que l'économie ne soit plus l'otage des crises politiques, comme il a été toujours le cas.
D’après les économistes, la filière tourisme doit redémarrer une fois la stabilité revenue, afin d’étoffer les réserves en devises. Dans le long terme, l'instauration d'un dialogue social permanent entre l'État et les opérateurs, entre l'État et la population s'avère, selon ces derniers, nécessaire pour éviter de telles crises cycliques.

Lantoniaina Razafindramiadana
Date : 06-04-2009

express.gifTroisième âge Les vieux craignent d'être délaissés - par MOISE

 
Troisième âge
Les vieux craignent d'être délaissés
Les membres de la plate-forme des personnes âgées tirent la sonnette d'alarme à la Haute autorité de la transition (HAT).Ils ont émis leurs inquiétudes hier.
 
Les personnes âgées sortent de leur silence. Une assemblée générale a été organisée hier par la plateforme des associations des personnes âgées à la tranompokonolona Isotry pour tirer la sonnette d'alarme au nouveau gouvernement transitoire.
« Jusque là, rien n'a été fait pour considérer les personnes âgées. Aucune réaction de la Haute autorité de la transition ne nous a été adressée », explique Moks Razafindramiandra, président du Fizoma en précisant qu'une lettre a été déjà adressée à la primature résumant leur situation.
Une quarantaine de présidents d'associations est venue honorer la rencontre. Ils ont émis leur souhait de bénéficier de plus de considération et de participer dans les nouvelles structures existantes. Cette réunion a été une première étape pour leur revendication, la suite dépendra de l'évolution des choses.
Le projet de loi
« Notre préoccupation se porte sur le projet de loi sur le statut des personnes âgées qui n'a pas encore été publiée jusqu'à maintenant. Or, il contient toutes nos desiderata. Nous comptons sur le pouvoir pour accélérer son décret d'application », souligne Moks Razafindramiandra.
Ce projet de loi spécifie le réajustement de la pension alimentaire des personnes âgées et le fonds national de solidarité pour les personnes âgées. Un fonds qui peut aider les artisans sans pension alimentaire.
« Nous avons trop souffert de cette crise sans que personne n'en tienne compte », souligne Eddy Rakotomanana, un quinquagénaire habitant à Analakely qui vit désormais aux soins de ses enfants.
Un autre souci de la Fizoma est que ses membres ne disposent plus assez de droit. « L'exemple le plus près est la distribution de produits de première nécessité moins cher. Les personnes âgées auraient dû bénéficier d'un quota spécial dans une distribution à part au lieu de se mêler dans la foule », avance Moks Razafindramiandra.
Beaucoup d'entre eux ne peuvent plus tenir une journée dans les fils interminables devant les arrondissements.
 
Fanja Saholiarisoa
Date : 04-04-2009

express.gifFarafangana La Chambre de commerce mise en place - par MOISE

Farafangana
La Chambre de commerce mise en place


La Chambre de commerce de la région Atsimo atsinanana sera bientôt mise en marche, après quelques décennies de veille. Un appel d'offres dans ce sens est lancé pour effectuer un choix transparent du futur responsable. Le secrétaire général occupera le poste pour une durée de deux ans.
«La tâche semble lourde pour le futur secrétaire général de la Chambre du commerce», déclare l'un des membres du bureau récemment élu. «On aura sans doute moins de problèmes dans la recherche de débouchés et dans la protection des droits des opérateurs économiques locaux», ajoute-t-il.
Sept personnes, dont un président, trois vice-présidents, et trois conseillers, ont été élus pour composer le bureau permanent, le 28 mars. Le secrétaire général choisi s’y joindra. Travaillant de façon collégiale avec les 25 membres permanents de la Chambre de commerce, élus le 25 janvier, le mandat du bureau est fixé à quatre ans.
Une Chambre de commerce existe pour la première fois à Farafangana, dans la région Atsimo Atsinanana. En effet, la circonscription en est privée pendant les régimes qui se sont succédés.
«Cette institution n'a existé que sous la première République. Elle a été supprimée pendant des décennies», précise un autre membre.

Stephane Solofonandrasana
Date : 03-04-2009

express.gifCrise Une soixantaine d’enfants disparus - par MOISE

Crise
Une soixantaine d’enfants disparus
Depuis le début de la crise politique au mois de janvier, une soixantaine d’enfants n’ont pas regagné leur foyer. Des ONG, la police des mœurs et l’Unicef tirent la sonnette d’alarme.

Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Une soixantaine d'enfants ont disparu ou sont égarés depuis le mois de janvier selon les données recueillies auprès de la Police des mœurs et des mineurs. Le réseau Taiza au sein de la commune urbaine d'Antananarivo avance pour sa part une liste de 29 enfants introuvables depuis le 26 janvier 2009.
La crise socio-politique a déchiré beaucoup de familles qui se retrouvent sans enfants. Mais après avoir déposé des plaintes auprès de la police, les parents ne savent plus où aller sauf attendre leur convocation à la police.
Recherche
Pour les aider à avancer rapidement dans la recherche de ces enfants disparus, le Syndicat des professionnels diplômés en travail social (SPDTS) met en place un système de recherche pour la famille.
« Notre démarche part de la liste dont nous disposons. Nous collaborons avec la police, la gendarmerie, les juges des enfants et des réseaux de prise en charge d'enfants en mettant en place des sites de référence pour les familles », explique Norotiana Jeannoda, présidente du SPDTS.
Les membres de l'association seront présents dans ces quatre sites pour accueillir les familles concernées par ces cas. Ces sites seront érigés sur l'esplanade Analakely, à Ampefiloha près de l'Alliance française et dans l'enceinte de l'hôpital HJRA ainsi que celui de Befelatànana.
« Nous avons commencé à contacter quelques-unes de ces familles. Certaines avancent que leurs enfants sont déjà retrouvés mais nous sommes sur le point de faire le recoupement pour en être sûrs », avance une membre du SPDTS.
Pour les professionnels en travail social, ils veulent mettre en place un service de référence pour tous les enfants une fois retrouvés. Ils pourront bénéficier d'un soutien psychologique et les orienter vers un service de référence.

Fanja Saholiarisoa
Date : 02-04-2009

express.gifCrise Une soixantaine d’enfants disparus - par MOISE

Crise
Une soixantaine d’enfants disparus
Depuis le début de la crise politique au mois de janvier, une soixantaine d’enfants n’ont pas regagné leur foyer. Des ONG, la police des mœurs et l’Unicef tirent la sonnette d’alarme.

Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Une soixantaine d'enfants ont disparu ou sont égarés depuis le mois de janvier selon les données recueillies auprès de la Police des mœurs et des mineurs. Le réseau Taiza au sein de la commune urbaine d'Antananarivo avance pour sa part une liste de 29 enfants introuvables depuis le 26 janvier 2009.
La crise socio-politique a déchiré beaucoup de familles qui se retrouvent sans enfants. Mais après avoir déposé des plaintes auprès de la police, les parents ne savent plus où aller sauf attendre leur convocation à la police.
Recherche
Pour les aider à avancer rapidement dans la recherche de ces enfants disparus, le Syndicat des professionnels diplômés en travail social (SPDTS) met en place un système de recherche pour la famille.
« Notre démarche part de la liste dont nous disposons. Nous collaborons avec la police, la gendarmerie, les juges des enfants et des réseaux de prise en charge d'enfants en mettant en place des sites de référence pour les familles », explique Norotiana Jeannoda, présidente du SPDTS.
Les membres de l'association seront présents dans ces quatre sites pour accueillir les familles concernées par ces cas. Ces sites seront érigés sur l'esplanade Analakely, à Ampefiloha près de l'Alliance française et dans l'enceinte de l'hôpital HJRA ainsi que celui de Befelatànana.
« Nous avons commencé à contacter quelques-unes de ces familles. Certaines avancent que leurs enfants sont déjà retrouvés mais nous sommes sur le point de faire le recoupement pour en être sûrs », avance une membre du SPDTS.
Pour les professionnels en travail social, ils veulent mettre en place un service de référence pour tous les enfants une fois retrouvés. Ils pourront bénéficier d'un soutien psychologique et les orienter vers un service de référence.

Fanja Saholiarisoa
Date : 02-04-2009

express.gifCyclone Des milliers de sinistrés à Morombe - par MOISE

Cyclone
Des milliers de sinistrés à Morombe

La Grande île n'a pas été épargnée par le passage du cyclone tropical Izilda dans l'océan Indien. Le district de Morombe recense des sinistrés dans six fokontany. C'est la deuxième fois que ce district a été frappé par les intempéries. Des informations émanant du bureau national de gestion des risques et des catastrophes (BNGRC) avancent qu'il y a 3376 sinistrés dans la commune d'Ambahikily, district de Morombe.
Selon le directeur de l'administration générale du territoire (DAGT) de la région, ces personnes sont actuellement hébergées dans les bureaux d'Ampahikily et de Morombe. Pour l'instant, aucune aide n'est encore venue sur place. « Nous avons juste communiqué au BNGRC et à la primature l'information sur la situation », explique le responsable communal.

Fanja Saholiarisoa
Date : 31-03-2009

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