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Nouvelles

express.gifAssociations féminines Appuyer l’économie familiale - par MOISE

Associations féminines
Appuyer l’économie familiale
Les projets de développement éparpillés aux quatre coins de l’Ile introduisent de nouvelles activités génératrices de revenu pour les familles rurales. Mais elles manquent d’envergure pour devenir de petites entreprises.

Les associations féminines dynamisent la vie rurale. La création de tels groupements femmes dans les campagnes donne un nouveau souffle à l’économie.
Dans les foires et les autres rencontres économiques, nombreuses sont les associations féminines qui participent activement dans le but de faire connaître leurs productions artisanales ou agricoles. En groupe, les femmes deviennent plus entreprenantes que ce soit par l’introduction de nouvelles cultures ou dans la recherche de débouchées.
A petite échelle
Dans les régions où les légumes ne sont pas cultivés, avec l’encadrement des projets de développement et la création d'associations féminines, la culture maraîchère fait actuellement partie des activités courantes de chaque famille. C’est le cas dans plusieurs régions de Madagascar comme sur la côte est, dans le Sud et même dans les villages proches de la capitale.
A cause de la culture traditionnelle amenant la gent féminine à jouer un rôle secondaire, les femmes malgaches ont peur de se lancer seules dans l’innovation. Mais en groupe, elles se sentent plus rassurées pour faire face à l’échec ou au succès.
Dans la plupart des cas, après un succès du premier essai, elles se lancent individuellement à la production, à petite échelle, mais suffisamment importante pour changer l’économie de toute une région.
Ce qui manque, c’est le lancement d’une production à grande échelle pour apporter vraiment un changement à l’économie régionale. Les femmes rurales n’ont pas encore le sens de l’entrepreneuriat, bien qu’elles ressentent le rôle de ces apports d’argent supplémentaire pour le budget familial. Juste le prix de quelques soubiques de brèdes, de salades, ou de quelques articles en raphia ou en soie sauvage. Il faut un plus pour donner à ces femmes rurales le goût de l’affaire.


Date : 24-04-2009

express.gifBlanchiment d'argent Le Samifin dénonce un réseau - par MOISE

Blanchiment d'argent
Le Samifin dénonce un réseau
Un réseau de sociétés effectue depuis des années du blanchiment d'argent. Après cinq mois de service, le Samifin en appréhende les responsables.

Le Service des renseignements financiers ( Samifin) passe aux révélations. Après cinq mois de fonction, il dénonce un réseau de blanchiment d'argent opérationnel depuis près de trois ans dans le pays.
L'information a été délivrée hier, au cours d'une conférence de presse qui s'est tenue à son siège à Faravohitra. Plusieurs sociétés importatrices appartenant aussi bien à des nationaux qu'à des étrangers et œuvrant dans le commerce international alimentent le réseau.
« Ce groupe de sociétés utilise un transfert de capitaux illicites vers l'extérieur sous forme de prestations de service. Aucune domiciliation bancaire n'est effectuée. L'argent est versé à une société, dont l'existence n'est pas du tout claire. Cette dernière expatrie la somme pour acheter différentes marchandises allant des produits alimentaires aux pièces détachées en passant par les consommables informatiques », explique Jean Claude Razaranaina, directeur général de Samifin.
La pratique consiste en une manœuvre de corruption, ce qui entraîne un grand manque à gagner pour l'État. « Une perte de 200 millions d'ariary par an dans les caisses de l'État est l'une des conséquences de ce blanchiment. Du transfert d'argent jusqu'aux importations, des fraudes douanières et des évasions fiscales sont mises en œuvre », continue le directeur général.
Selon les informations, le fonds versé à une société passe par l'île Maurice avant d'atteindre des complices à Hong-Kong, Dubai et Bangkok.
Manque de moyens
Les procédures sont actuellement en cours au niveau du tribunal. Le manque de moyens et l'inexistence de formations sur le traitement des dossiers dans la lutte contre le blanchiment d'argent, entravent les investigations approfondies du Samifin.
Face à cette situation, les responsables interpellent les autorités afin d'améliorer leurs conditions de travail. « Elles doivent voir de près nos conditions de travail car si elles s'améliorent, nous pourrons contribuer à renflouer les caisses de l'État », assure Jean Claude Razaranaina, durant la conférence de presse.

Lantoniaina Razafindramiadana
Date : 23-04-2009

express.gifAtsimondrano Un concours sur la culture du sorgho - par MOISE

Atsimondrano
Un concours sur la culture du sorgho


Les villageois du district d'Atsimondrano vont se mettre à la culture du sorgho. Dix-sept communes dont Alatsinaininambazaha, Antsahadinta ou encore Alakamisy Fenoarivo, figurent parmi les participans à un concours de culture de cette céréale.
L'initiative vient des membres de l'association Asa fanasoavana ny daholobe (Afabe), dirigée par Doudou Michel Andriamparany. « Il s'agit d'un projet qui vise à vulgariser la culture du sorgho sur les Hauts plateaux. Des techniciens vont accompagner les agriculteurs dans ce concours », soutient-il.
Le ministère de l'Agriculture et de l'élévage remet dans un premier temps 1920 graines de sorgho à chaque commune. Les participants au concours sont contraints dans un premier temps de multiplier ces graines à partir du mois de mai.
Sous l'encadrement des techniciens du ministère et de la région Analamanga, les paysans passeront au véritable concours à partir du mois d'octobre, saison favorable à la culture du sorgho. A la proclamation des résultats au mois de mars 2010, l'Afabe décernera à la commune gagnante une maison qui servira de dispensaire.

Noro Haingo Rakotoseheno
Date : 23-04-2009

express.gifECONOMIE « Que l'État sécurise les investissements » - par MOISE

Herinjaka Ranaivo
« Que l'État sécurise les investissements »
Le PDG du Génie Multimédia interpelle l'Etat sur la sécurisation des investissements.

• Trois mois après le pillage du 26 janvier, Le Génie multimédia reprend service…
Depuis lundi, Le Génie multimédia a ouvert sa boutique au centre commercial Citic. C'est un grand défi que nous lançons avec ce redémarrage. Nous reprenons du service avec la même philosophie qu'auparavant, c’est-à-dire mettre à la disposition des consommateurs les dernières technologies en matière de téléphonie mobile et d'appareils multimédias. Malgré tout ce qui s'est passé, notre priorité reste la même, à savoir la satisfaction du client. Les prix demeurent très compétitifs.

• Quelle est votre politique pour cette relance ?
Elle consiste à offrir un produit de qualité à un prix abordable. L’inflation existe et la crise financière mondiale menace l'économie. La réduction des marges permettra aux Malgaches d'acquérir des produits haut de gamme dans notre boutique. En temps de crise, il n'est pas possible pour les commerçants de proposer des prix promotionnels.

• Quid de la sécurité après l'ouverture de la boutique ?
L'État devrait rassurer les promoteurs malgaches. Qu'il se manifeste pour sécuriser les investissements. Que celui-ci prenne des précautions pour les zones sensibles. La crise politique ne devrait plus prendre en otage l'économie. Malgré les divergences d'idées, les combats politiques doivent rester pacifiques. Et cela pourrait être bénéfique pour les générations futures.

• Pourriez-vous évaluer les pertes lors de ce « black monday » ?
Tout a disparu en une seule nuit. Même les bases de données sont perdues. Il est très difficile d’évaluer les préjudices et les pertes à un ariary près. Ils s'élèvent à des centaines de millions d’ariary, sans parler de la valeur morale. Nous ne savions plus à quelle porte frapper. Heureusement, notre banque nous a beaucoup aidés à surmonter cette très mauvaise passe en nous gardant sa confiance. C'est difficile d'effacer tout ce que l'entreprise a vécu ces derniers mois. Mais nous voulons servir d'exemple pour tous les promoteurs se trouvant dans la même situation que nous.

Propos recueillis par

Lova Rafidiarisoa
Date : 22-04-2009

express.gifÉducation L'exemple du primaire malgache cité dans le monde - par MOISE

Éducation
L'exemple du primaire malgache cité dans le monde


La dernière publication de l'Éducation pour tous (FTI) « Échos des écoles du monde » vient de citer la performance de l'enseignement primaire malgache. Avec le Ghana, la Guyane, la Mongolie et le Yémen, Madagascar se trouve sur la bonne voie en parvenant à un taux d'achèvement des inscriptions d'au moins 80% d'ici 2015.
Une montée en flèche est enregistrée sur le taux d'achèvement du primaire qui était passé de 32% en 1999 à 57% en 2006 pour l'exemple de Madagascar. La vie d'une petite fille malgache âgée de neuf ans, l'aînée d'une famille de huit enfants illustre la performance selon toujours la publication.
Cette enfant est la seule à poursuivre ses études au-delà de la cinquième année du primaire et espère entrer plus tard au lycée. « La réussite dans l'éducation de base reste tributaire de l'initiative des parents, de la communauté et de l'enfant lui-même », appuie les échos des écoles du monde. Jusqu'en 2010, l'initiative du FTI vise à aider 18 millions d'enfants supplémentaires issus de 37 pays en voie de développement. Depuis 2002, 15 millions d'enfants ont été scolarisés en six ans.

Noro Haingo Rakotoseheno
Date : 22-04-2009

express.gifSylvain Urfer autorisé à rentrer - par MOISE

Administration
Sylvain Urfer autorisé à rentrer


Autre temps, autres moeurs. Le gouvernement transitoire a annulé une mesure prise par l'ancienne administration contre le père jésuite Sylvain Urfer. « J'ai levé la mesure d'interdiction de son entrée sur le territoire national », a déclaré hier Manantsoa Masimana, ministre de l'Intérieur et de la réforme administrative. L'annonce a été faite quelques heures après la signature de l'arrêté relatif à la levée.
Il explique que le dossier de Sylvain Urfer est « vide ». Ainsi selon lui, l'interdiction d'entrée n'est pas fondée en droit et n'est qu'une décision autoritaire.
« Finalement, l'expulsion du père Urfer est inutile », a-t-il précisé.
Le père Sylvain Urfer est connu pour son franc-parler et était, entre autres, actif au sein de l'Observatoire de la vie publique. Son expulsion en mai 2007, après plusieurs années de présence à Madagascar, avait provoqué de vives réactions surtout au niveau de la hiérarchie catholique. Son cas avait même aggravé les rapports déjà assez difficiles entre le gouvernement et l'Église catholique.
Interrogé sur le cas d'autres départs forcés d'étrangers du sol malgache, Manantsoa Masimanana affirme qu’il n'est pas contre leur examen. « Pour l'instant, seul le dossier d'Urfer est passé sous mes yeux », a-t-il confié.

Iloniaina Alain
Date : 21-04-2009

express.gifViolences à Anosy Deux morts et dix-sept blessés - par MOISE

Violences à Anosy
Deux morts et dix-sept blessés
Les manifestants « légalistes » se sont heurtés aux forces de l’ordre hier à Anosy, près du tribunal. L'affrontement s’est soldé par la mort d’un élément de la police, d’un manifestant et de 12 blessés.

Journée noire hier pour les opposants de la « prise du pouvoir par la force ». Leur marche vers la Haute cour constitutitonnelle à Ambohidahy et le Palais de justice à Anosy a dégénéré en échauffourées. Les affrontements avec les forces de l'ordre ont fait deux morts et dix-sept blessés. Un bilan enregistré à l'hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona à Ampefiloha vers 20 heures. Huit voitures ont été aussi incendiées dans la cour du ministère du Plan à Anosy et sur le parking du Sénat à Anosikely.
Celui qui est décédé lors de la mêlée est un policier en activité auprès du Service des renseignements généraux de la Police nationale. Il était parmi les individus attroupés en face du bâtiment de l'Instat à Anosy lorsque les forces de l'ordre à bord de leurs camions qui reculaient, ont tiré sur eux. Il était 16 heures.
Les pompiers agressés
Dix minutes auparavant, un homme a été grièvement blessé, touché par balle au ventre près du palais du Sénat. Il a rendu l'âme hier soir. Plus de la moitié des blessés l'ont été par balle. «Ils ont été transférés au Service de réanimation de l'hôpital », a confié hier un médecin de l'hôpital.
Les forces de l'ordre sont intervenues pour disperser les manifestants au niveau du Tribunal à Anosy. Une vingtaine d'hommes en uniforme ont tout de suite tiré en l'air tout en lançant des grenades lacrymogènes. Des manifestants portant les banderoles des étudiants de l'université ont pris la fuite et se sont réfugiés dans l'enceinte du HJRA après un face-à-face avec les forces de l'ordre.
Il était 16 heures et quart quand les sapeurs pompiers de la commune urbaine d'Antananarivo sont arrivés pour éteindre les flammes qui ravageaient une voiture Laguna parquée au ministère du Plan. Mais ils ont été repoussés par des jets de pierres. Ce n'est qu'au bout d'une heure environ qu'ils ont pu investir les lieux. Les dégâts étaient déjà énormes.
Au Sénat, les forces de l'ordre ont dû également intervenir pour faire sortir quelques personnes, dont le vice-président de la Haute autorité de la transition Hary Naivo Rasamoelina.
Les manifestants d'Ambohijatovo, dirigés entre autres par le porte-parole du TIM Raharinaivo Andrianatoandro, le président du Teza Jean Louis Rakotoamboa et quelques parlementaires sont arrivés à Anosy à 14 h 40. Ils envisageaient de déposer une demande de restitution du matériel saisi dimanche au siège de la Radio Mada à Faravohitra, auprès du procureur de la République du tribunal de première instance d'Antananarivo.
Face à la situation, le « Premier ministre des légalistes » Manandafy Rakotonirina s'est adressé aux forces de l'ordre « afin qu'elles mettent fin à la violence ». Selon lui, les diplomates étrangers ont dû suspendre leur projet de s'entretenir avec lui par mesure de sécurité.

Encadré
Roindefo accuse les “légalistes”
Le Premier ministre Monja Roindefo n'a pas tardé à réagir face aux échauffourées qui se sont produites dans la capitale, hier. Il a déclaré que les « légalistes » sont, à partir de maintenant, interdits de sortie de la Place de la démocratie à Ambohijatovo pour parer à toute éventualité. Selon lui, les manifestants endossent toute la responsabilité de ce qui s'est produit hier. « Les soi-disant légalistes sont à l'origine du décès du policier et de la destruction de biens publics (...) Le tir sur le policier venait des manifestants », a-t-il soutenu lors d'une conférence de presse au palais de Mahazoarivo, dans la soirée.
Le chef du gouvernement a évoqué l'intention des « légalistes » d'introduire des mercenaires angolais dans le pays. Il a annoncé à cette occasion l'organisation d'une journée nationale contre la dictature le 22 avril.

Fano Rakotondrazaka
Date : 21-04-2009

express.gifExplosion de cocktails Molotov Le maire d’Ivato attaqué - par MOISE

Explosion de cocktails Molotov
Le maire d’Ivato attaqué
Grosse frayeur samedi matin au domicile du maire d’Ivato Firaisana, Yves Rasoloarisata. Cinq cocktails ont explosé dans sa cour faisant brûler deux voitures.

Scène de terreur à Mandrosoa Ivato, samedi au petit matin. La villa du maire de la commune rurale d’Ivato Firaisana Yves Rasoloarisata a été la proie d'incendiaires. Aux alentours de 2 h 30, cinq cocktails Molotov ont explosé dans sa cour, atteignant un hangar où deux véhicules étaient parqués côte à côte.
Les flammes étaient sur le point de dévorer la Peugeot 206 et le tout-terrain Sang Yong Musso lui appartenant lorsque des riverains ont accouru pour éteindre les flammes. « Des déflagrations ont réveillé les environs. Le maire a passé un coup de fil aux membres du comité de vigilance qui se sont précipités sur place », relate un vigile de quartier.
De justesse
Deux des cocktails Molotov ont éclaté entre les deux voitures. Le plus destructeur a explosé sous la Peugeot 206. « La voiture était à deux doigt d’exploser. Le feu qui a consumé les tuyaux d’essence était en passe d’atteindre le réservoir », met en évidence un responsable du fokontany, arrivé in extremis avec du secours. Il leur a fallu une bonne quinzaine de minutes pour venir à bout de l’incendie. Deux autres cocktails ont explosé près d’un mur. D’après les informations recueillies sur place, les malfaiteurs ont réussi à prendre la fuite sitôt le coup réalisé, sans laisser la moindre trace.
« Aucun véhicule n’était garé dans les parages », soutient un riverain. Trois gendarmes du poste de Mandrosoa se sont précipités sur les lieux après avoir été alertés. Ils ont relevé cinq bouchons de bouteilles avec des mèches. Des éclats incandescents étaient éparpillés un peu partout dans la cour. Cinq éléments de la brigade de Talatamaty sont venus en renfort quelques minutes plus tard. L’enquête est en cours pour en savoir plus sur les agresseurs.

Seth Andriamarohasina
Date : 20-04-2009

MADAGASCAR BELOBAKA EXPO-PHOTOS EN MAIRIE DE QUESTEMBERT - par MOISE

MADAGASCAR BELOBAKA EXPO-PHOTOS EN MAIRIE DE QUESTEMBERT
DU 29 MARS AU 6 MAI 2009

A l'initiative de cette expo, un groupe de voyageurs mené par Geneviève LE CADRE en Octobre 2008.
AHAONA MADAGASCAR et son partenaire HOLIDAYS MADAGASCAR ont assuré la logistique et la réussite de ce périple de tourisme solidaire.
La ville de Questembert parraine et soutient la Commune de Belobaka, située dans le centre-Ouest de Madagascar : La Région du Bongolava dont la principale ville est TSIROROMANDIDY.

Cette démarche de partenaire durable est menée de pair avec l'Association Agriculteurs Français et de Développement Internationale (AFDI).
Elle intervient dans le domaine agricole et sanitaire et se concrétise par des échanges entre agriculteurs français et Malgaches.  

                                                                                                                                      europe.gifExpo photo de Questembert


Ce voyage a été l'occasion pour les Elus de signer le renouvellement de la Convention unissant les 2 communes.
Des photos de la cérémonie officielle mais aussi des paysages, de la faune et de la flore, des tranches de vies de Belobaka illustrent cette exposition.
Mr Gérard LAUNAY, adjoint qui a fait le voyage, guide fièrement les convives lors de ce vernissage du samedi 4 avril 2009. Il avoue avoir été touché par la qualité de l'accueil d'un Peuple souriant et attachant, malgré des conditions de vie difficiles.
 

Son Excellence Jérémie RAVAHIMANANA, Consul Honoraire de Madagascar sur le Grand Ouest de la France a tenu à exprimer son émotion personnelle : il a passé son enfance  dans cette région, qui inclut la SAKAY. Il a encore de la famille qui y habite...
En outre, il a salué la démarche de "co-développement" piloté par la Mairie et son Comité de Jumelage, qui s'inscrit fortement dans la vision qu'il entend insufler à toute collaboration avec L'Ile Rouge : "Madagascar Autrement !"

Mr Le MAire, Paul PABOEUF, Jean Sebastien HESRY, Président de l'OMCL et Bernard LE GUENNAN, Président de l'Association des Jumelages et de Solidarité INternationale ont confirmé cet axe de travail en retraçant l'historique de leur engagement depuis 1996 en tant que partenaire de co-développement sur le long terme.

Un déjeuner convivial, ponctué par des échanges animés et enthousiastes, a cloturé cette cérémonie de vernissage de l'expo-photos des voyageurs de Questembert.

Ahaona Madagascar est particulièrement honoré et fier d'avoir contribué à la réussite de ce périple inoubliable, qui ne sera pas le dernier.
Les voyageurs de Questembert ont pu ainsi découvrir les charmes de La Côte EST et son train des falaises. Le séjour au bord du Lagon a terminé agréablement leur séjour après l'incontournable Isalo et ses mystères.

Les habitants de Questembert et des environs pourront admirer ces témoignages en Mairie jusqu'au 6 Mai 2009.

Expo photo de Questembert


express.gifCyclone « Jade » laisse 33 800 sinistrés - par MOISE

Cyclone
« Jade » laisse 33 800 sinistrés


Le bilan du passage du cyclone Jade surcharge auprès du bureau national de gestion des risques et des catastrophes (BNGRC). Jusqu'à la journée d'hier les sinistrés ont atteint le nombre de 33 800.
La région d'Analanjirofo a le plus souffert avec 25 000 sinistrés. Le district de Maroantsetra présente le plus lourd bilan avec 18.926 sinistrés et 1 374 sans abris. Près de 440 maisons ont été détruites dans ce district, 482 autres décoiffées. Quatre écoles ont été aussi touchées par Jade.
« L’urgence dans le district de Maroantsetra actuellement est l’eau et l’assainissement. Dans la commune d’Anjanazana, la hauteur de l’eau atteint encore 1m dans certains villages. L’accès à l’eau potable est impossible car tous les puits sont contaminés. », explique Audrey Demaurex, responsable de l'ONG Medair.
Un autre district durement touché est Soanierana Ivongo qui enregistre plus de 5 900 sinistrés. Ils ont été dénombrés dans cinq communes sur huit districts. Mananara-Nord recense plus de 1.110 sinistrés. 351 cases d’habitations sont endommagées.

Fanja Saholiarisoa
Date : 10-04-2009

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