VOUS RECHERCHEZ...

Votre grand Voyage à Madagascar

STUDIOS Meublés CENTRE-VILLE

GARE ROUTIERE

Contactez-nous ! 

Moïse

032 48 108 33

ou depuis La FRANCE

00 261 32 48 108 33

Quelque soit la taille de votre groupe,

consultez-nous,

nous avons des solutions pour vous !
 Rencontrez la population locale...

new3.gif

Découvrez le Canal des Pangalanes

et le Palmarium avec ses lémuriens

Madagascar Naturellement

LA METEO
A
ANTANANARIVO

Nouvelles

express.gifTourisme Madagascar sort de la liste noire - par MOISE

Tourisme
Madagascar sort de la liste noire
La destination Madagascar se remet sur les rails.

L'Association internationale des tours opérateurs (CETO) recommande à ses membres de reprendre leurs départs vers la Grande île.
« D’après les informations disponibles, notamment, celles du Ministère des Affaires Étrangères et Européennes (MAEE), actualisées le 11 mai 2009, la situation locale s’est apaisée », peut-on lire dans un communiqué du CETO. « Ces mesures pourront être modifiées à tout moment en fonction de l'évolution de la situation », poursuit le même communiqué.
La première recommandation de suspension des départs vers Madagascar par la CETO est tombée, le 30 janvier 2009. C'était suite à des manifestations de rues sur la place du 13 mai le lundi 26 janvier. Cette décision des tours opérateurs relance la destination Madagascar, à la veille de l'ouverture de la grande saison touristique vers la mi-juin. Elle accompagne également d'autres signes de reprise, notamment, le renforcement des vols internationaux de Air Madagascar et la reprise des vols de nuit, à partir du 6 juin.

Mahefa Rakotomalala
Date : 18-05-2009

express.gifCrise Les ONG à court de financement Les ONG à court de financement - par MOISE

Crise Les ONG à court de financement
Des bénéficiaires de projets sociaux craignent d’être à nouveau vulnérables. Ils dépendent pour la plupart des programmes d’assistance des ONG.

La vie devient plus difficile pour la famille Rakotondrazaka. Ce conducteur de charrette à bœufs habitant à Andravoahangy, bénéficiait de l’assistance de l’organisation non gouvernementale Life Giving Water. Mais depuis que les projets ont été suspendus, il ne sait plus où trouver le financement nécessaire à son activité génératrice de revenu.
« Il n’est pas le seul dans ce cas, car 65 familles et 384 personnes dépendaient du programme. Nos financements ont été suspendus à cause de la crise qu’a traversée le pays », explique Hasina Rakotoaritsifa, président de l’organisation qui espère pourtant que le financement reprendra bientôt.
Beaucoup d’ONG souffrent de la même difficulté depuis que les bailleurs internationaux ont décidé d’arrêter leurs aides. « Et pourtant, nous avons plus que jamais besoin d’un appui en cette période de l'après-crise », explique Rakotondrazaka.
Un partenaire politique
La Banque mondiale n’a pas encore débloqué les aides destinées aux programmes de nature d’urgence et humanitaires, ce qui a suspendu tout programme de type Vivre contre travail. De même, l’ONG Young Men Christian Association (YMCA) ne peut plus fonctionner comme auparavant pour assurer la survie de 200 familles et son programme de mobilisation sociale dans les milieux ruraux. « Ces familles risquent de devenir plus vulnérables dans les mois à venir surtout durant la période de soudure », souligne Noromahefa Rasoanotahiana, membre de l'association.
Pour sa part, le centre Fanantenana à Ampandrana essaie de fonctionner avec le minimum de moyens. « Nous continuons de tourner grâce au financement de dépannage, mais c’est très minime. Pourtant, les gens sont de plus en plus nombreux à requérir notre aide », souligne Mathilde Rabary, fondatrice de ce centre d’écoute prévu pour les femmes victimes du non-droit.
« Le problème est que l’État demeure le partenaire politique des projets. C’est ce qui explique la suspension des financements car la communauté internationale tarde à reconnaître ce régime de transition », laisse entendre un analyste.

Fanja Saholiarisoa
Date : 15-05-2009

express.gifAgriculture Début de la culture de contre-saison - par MOISE

 Agriculture Début de la culture de contre-saison
 
 
La culture de contre-saison pour cette année est lancée. « Nous avons commencé à sensibiliser les producteurs des 22 régions. Les riziculteurs sont déjà plus ou moins au parfum de la culture de contre-saison », indique Mamy Andriantsoa, directeur général de l'Agriculture.
Pour ce qui est de l'engrais, le directeur général a souligné que les producteurs auront à utiliser les restes de la précédente campagne. Lors de cette dernière, 4 000 tonnes d'engrais biologique guano ont été utilisées dans les 14 régions spécifiques ciblées pour la riziculture de contre-saison. L'engrais a été subventionné par la Banque mondiale dans le cadre de la lutte contre l'insécurité alimentaire. 
Jusqu'ici, aucune commande n'a été enregistrée auprès de Guanomad, principal fournisseur de l'engrais. 
« Or, les travaux de préparation de sol doivent commencer en général à partir du mois de mai », indique Erick Rajaonary, directeur général de Guanomad.
Pour la commune rurale d'Ambohimanambola, la culture de contre-saison a permis d'augmenter sa production de plus de 50%.
 
Lantoniaina Razafindramiadana
Date : 14-05-2009

xinhuanet.jpgMadagascar : arrestation d'un journaliste - par MOISE

 Madagascar : arrestation d'un journaliste
 2009-05-09 09:04:18  
     ANTANANARIVO, 8 mai (Xinhua) -- Le journaliste de la radio  malgache Radio Mada, Evariste Ramanantsoavina, a été placé sous  mandat de dépôt à Antananarivo.  
 
     Selon le ministre de la Communication sous le gouvernement de  transition Gilbert Raharizatovo qui s'est exprimé jeudi soir à la  télévision nationale, Ramanantsoavina a été arrêté seulement pour  une simple enquête par la police, mais le tribunal a décidé de  l'emprisonner pour incitation à la rébellion, violation de la loi  sur la communication et diffamation publique. 
 
     Le ministre a déclaré que Ramanantsoavina avait  clandestinement utilisé trois canaux différents, sans approbation  officiel.  
 
     Le président de l'Ordre des journalistes de Madagascar, Rufin  Rakotomaharo, a condamné l'arrestation de Ramanantsoavina et a  demandé sa libération.

express.gifTOURISME Le nombre de touristes s’amenuise - par MOISE

Visite
Le nombre de touristes s’amenuise
La saison touristique ne s’annonce pas exceptionnelle. Les prévisions sont revues à la baisse. La crise est passée par là.

Le tourisme perd son épanouissement. À cause de l’impact de la crise qui frappe le pays, les professionnels du secteur prévoient une réduction de moitié du nombre des visiteurs par rapport à 2008. « Selon nos estimations, Madagascar devrait enregistrer près de 150 000 visiteurs pour 2009, soit moins de la moitié du bilan de l'an dernier, atteignant les 370 000 » déclare Joel Randriamandranto, président du Conseil d'administration de l'Office national du tourisme (ONTM).
Relance du secteur
Les mesures prises dans le cadre de la relance dont la suppression du droit de visa jusqu'à la fin de l'année, devraient permettre d'atteindre l'objectif. « La suppression du droit de visa a été demandée par les opérateurs du secteur. Cette disposition devra encourager l'arrivée des visiteurs étrangers », avance toujours le PCA. La création de nouvelles lignes par la compagnie Air Madagascar constitue aussi, pour les opérateurs, un fer de lance pour le secteur. Elles contribuent à multiplier les arrivées dans les provinces, sans passer par Tana déconseillée pour insécurité. En juin, la ligne Nosy-be-Moroni-Paris sera ouverte. La compagnie lancera en juillet la ligne Antananarivo-Gandzhou- Chine.
En cette période, des arrivées commencent à être enregistrées. Même les groupes arrivent, petit à petit, pour différentes destinations. « Nosy-be accueille maintenant des touristes. Ce qui redonne de l'espoir aux opérateurs hôteliers qui reprennent leurs activités », raconte Roger Mahazoasy, PDS de Nosy-be. « Un grand nombre de touristes est attendu en juin », continue-t-il.

Lantoniaina Razafindramiadana
Date : 08-05-2009

express.gifInvestissement Les Italiens visent le secteur énergétique - par MOISE

 Investissement
Les Italiens visent le secteur énergétique
Un groupe d’investisseurs italiens s’intéressent à la production d’énergie à Madagascar. Ses représentants en ont parlé à la presse hier.
 
Les Italiens vont contribuer à la fourniture d'énergie électrique à prix réduit. Ils vont construire des unités de production utilisant le biomasse et les déchets agroalimentaires.
Madagascar continue à intéresser les opérateurs étrangers. Après les Saoudiens, des investisseurs italiens, appartenant au groupe IMAR, ont manifesté leur volonté d'intégrer le milieu économique malgache. Une présentation d'un projet de production énergétique basée sur la biomasse s'est tenue, hier, au ministère de l'Énergie et des mines à Ampandrianomby.
Opérationnelles en 2010/b>
Ce projet consiste à construire deux unités de production énergétique, d'une puissance respective de 8,5 mégawatts, dont 6 mégawatts seront mis à la disposition de la population. Le reste alimentera l'unité de production. Comme matière première, le groupe IMAR entend utiliser des matières premières locales comme les noix de coco et les déchets agroalimentaires, ce qui pourrait permettre des prix plus abordables. « Nous n'aurons pas de problème sur l'approvisionnement de noix de coco car Madagascar produit chaque année 750 000 tonnes de noix alors que nos besoins s'élèvent à 65 000 tonnes », explique Santa Maria Antonio, un collaborateur du groupe. 
Les travaux de construction devront commencer, une fois le terrain d'implantation identifié. « Chaque usine s'étalera sur une superficie de 60 000 m2. Elles devront être opérationnelles dès 2010 » affirme toujours Santa Maria Antonio.
Le Ministre de l'Énergie, Rodolphe Ramanantsoa a, pour sa part, déclaré que le gouvernement est prêt à faciliter les démarches pour la mise en oeuvre de ce projet, d'autant plus que ce dernier est bénéfique pour l'ensemble de la population ayant ainsi accès à une énergie moins coûteuse. Initié en 2005, ce projet a été suspendu par les promoteurs pour des raisons de santé du président du groupe.
 
Lantoniaina Razafindramiadana
Date : 06-05-2009

express.gifCoopération Des pétrodollars aux côtés de la HAT - par MOISE

 
 
Coopération
Des pétrodollars aux côtés de la HAT
Une mission économique saoudienne entame des prospections à Tana. Elle annonce un investissement de deux milliards de dollars dans divers secteurs.
 
Les pétrodollars frappent à nos portes. Une délégation annoncée comme celle d'investisseurs saoudiens a débarqué et affirmé vouloir apporter de l’argent frais dans plusieurs secteurs économiques. Sa venue pourrait également avoir des répercussions politiques au moment où la communauté internationale traîne des pieds pour reconnaître le régime transitoire.
« Nous sommes venus investir dans un cadre général, notamment dans l’hôtellerie et la communication », a déclaré le Sheikh Nasser Abdullah Al Mushaeghay, présenté comme le président de l’Union des investisseurs saoudiens samedi à Ivato. « Le volume des investissements s’élève à deux milliards de dollars », a-t-il continué.
Arrivée à bord d’un vol régulier de Kenya Airways, la délégation composée de trois personnalités a été accueillie par Ny Hasina Andriamanjato, chef de la diplomatie malgache.
Outre le Sheikh Nasser Abdullah Al Mushaeghay, le vice-président de l’Union des investisseurs saoudiens, Najee Khaleel, et le directeur général de la société Click, Ayman Soliman, sont à Madagascar pour un séjour de cinq jours dans le but de « faire des prospections d’investissements », toujours selon le communiqué. 
Outre l’hôtellerie et la communication, d’autres secteurs seront également étudiés par la délégation. Ses discussions avec le gouvernement touchera également les secteurs des télécommunications, de l’électricité, du ciment et surtout de l’énergie. 
En cas de concrétisation, les projets saoudiens pourraient apporter de l’air frais à une économie qui se cherche après avoir subi de plein fouet la crise politique. « Nos investissements permettront de créer des emplois », a affirmé le chef de la délégation, sans parler de l’apport en devises, devenues cruciales ces dernières semaines. 
Appui à la transition 
La venue de la délégation économique pourrait également dépasser le seul cadre économique. « Nous avons entendu qu'il s'agit d'un bon gouvernement et nous allons travailler avec lui. Nous avons constaté que la Haute autorité de la transition (HAT) a de bonnes intentions et de bonnes idées. Nous sommes venus lui apporter notre appui », a insisté le Sheikh Nasser Abdullah Al Mushaeghay, au moment où la communauté internationale traîne des pieds pour reconnaître le régime transitoire.
La présence d’une mission économique saoudienne pourrait être interprétée comme un reflet du choix politique de la HAT. Le communiqué du ministère des Affaires étrangères a expliqué qu’elle fait suite à une invitation des autorités de la Transition. De plus, cette délégation est annoncée comme étant le précurseur d’autres missions. « Cette première visite sera suivie dans les prochaines semaines par celle d’autres délégations d’Arabie Saoudite, du Qatar, du Bahreïn et du Koweït », toujours selon le communiqué du ministère des Affaires étrangères. 
Ny Hasina Andriamanjato se frotte les mains en commentant sa venue. 
« C’est important », a-t-il indiqué. Il s’empresse de préciser que la venue de la délégation s'explique par la « constatation de l’existence de garanties ». 
 
Encadré
Des cas précédents de missions arabes 
Ce n’est pas la première fois que des investisseurs arabes ont projeté d’investir à Madagascar. Pas plus tard que la semaine dernière, une délégation en provenance des Émirats arabes unis, conduite par leur ministre des Affaires étrangères, a prévu une visite à Madagascar. Mais pour l’instant, elle n'est toujours pas arrivée. 
En juin 2006, un prince saoudien est également venu pour rencontrer Charles Rabemananjara et Marcel Ranjeva, respectivement Premier ministre et ministre des Affaires étrangères de l’époque. Le gouvernement avait annoncé un projet d’investissement énorme, mais apparemment cela est resté au stade des intentions.
 
Iloniaina Alain
Date : 04-05-2009

express.gifHôtel Carlton Manandafy Rakotonirina arrêté - par MOISE

Hôtel Carlton
Manandafy Rakotonirina arrêté
Le Premier ministre des « légalistes » a été arrêté hier soir à l’hôtel Carlton. Sept autres personnes, dont Ihanta Randriamandrato et des officiers, ont été aussi appréhendées en même temps.

La vague d'arrestations touche la tête du mouvement pro-Ravalomanana. C'est au tour de Manandafy Rakotonirina, « Premier ministre » et
« ministre de la Défense » de l'ancien président Ravalomanana, et de plusieurs autres personnes d'être appréhendés par les forces de l'ordre au cours d'une opération spectaculaire, à l'Hôtel Carlton, hier à Anosy.
Il est 19h 45. Manandafy Rakotonirina, en jogging gris et blanc, le visage cramoisi et sans son béret, est « accompagné » par le commandant Charles Andrianasoavina, membre de la cellule d'arrestation de la Commission nationale mixte d'enquête (CNME), sortant du bâtiment. Celui qui a pris quartier à l'hôtel depuis quelques jours est embarqué dans l'un des 4x4 qui attendaient dehors.
Après le « chef du gouvernement », plusieurs autres personnes ont également été appréhendées une à une. Entre autres, Ihanta Randriamandrato, secrétaire général du Teza, des militaires, ainsi que des gardes du corps de Manandafy Rakotonirina, probablement emmenés à Ambohibao, siège de la CNME.
Nomination des ministres
L'opération a duré plus d'une heure. Les forces de l'ordre ont bouclé le périmètre de l'Hôtel Cartlon vers 18h 30. Des éléments se sont postés autour du bâtiment. Il en est de même du hall et du premier étage de l'immeuble. Des militaires brandissent une liste avec photos pour identifier leurs cibles.
Un événement organisé par une compagnie pétrolière aurait dû se tenir à l'hôtel et des invités ont commencé à arriver. Mais par mesure de précaution, les forces de l'ordre ont préféré faire évacuer les lieux.
Les militaires, policiers et gendarmes accélèrent les recherches. Un seul coup de feu a été entendu. Un élément des forces de l'ordre sur place a confié que Manandafy Rakotonirina, dans un premier temps, n'a pas voulu leur ouvrir. Appelé au téléphone, il ne répond pas au moment où les forces de l'ordre commencent leur fouille. Même cas pour Constant Raveloson, son porte-parole, et Olivier Rakotovazaha, « ministre de la Décentralisation et de l'aménagement du territoire ».
Sur le moment, les responsables, concentrés sur la conduite de l'opération, n'ont pas fourni les motifs de l'arrestation. En tout cas, des bruits ont enflé concernant l'arrestation de Manandafy Rakotonirina depuis sa « nomination ». Une fausse alerte avait eu lieu le 18 avril. Mais les forces de l'ordre n'étaient passées à l'action qu'une journée après la présentation des membres de son « gouvernement » par le « Premier ministre » de Ravalomanana.

Encadré
Pierre Andrianantenaina molesté
Pierre Andriantenaina, membre de la Haute autorité de la transition, a fait les frais de l'arrestation de Manandafy Rakotonirina hier à l'Hôtel Carlton. Il a été tabassé par une trentaine de personnes, mécontentes des arrestations. La scène s'est déroulée juste après
le départ des forces de l'ordre, qui viennent de boucler l'opération.
Pierre Andriantenaina est arrivé sur les lieux, apparemment, pour assister à la cérémonie organisée par une compagnie de distribution pétrolière. Un peu en retard, il ignore l'évacuation des lieux et sort de l'hôtel. C'est à ce moment que des gens en colère l'ont frappé.

Mahefa Rakotomalala et Iloniaina Alain
Date : 30-04-2009

xinhuanet.jpgFin de la visite de la SADC à Madagascar - par MOISE

      Fin de la visite de la SADC à Madagascar (PAPIER GENERAL)
2009-04-29 08:48:35
ANTANANARIVO, 28 avril (Xinhua) -- Une délégation de six  membres de la Communauté de développement d'Afrique australe (SADC) vient de terminer sa visite à Madagascar mardi après cinq jours de consultations avec diverses parties.  

     Le gouvernement de transition de Madagascar a déclaré que la  SADC, qui a quitté le pays mardi après-midi, a été satisfaite des  efforts de la Haute Autorité de Transition (HAT) dans le sens de  la mise en place de la paix et la démocratie dans le pays.  

     Un communiqué de presse émis par la HAT indique que la  délégation de la SADC, dirigée par John Kunene, un analyste  politique du ministère de la Défense du Swaziland, a tenu des  consultations à huis clos avec le directeur du cabinet de la HAT,  Zazah Ramandimbiarison, et le ministre des Affaires Etrangères, Ny Hasina Andriamanjato.  

     Lors de sa rencontre avec la délégation de la SADC mardi  matin, Ramandimbiarison a présenté un programme de réalisation de  la paix et l'ordre dans le pays pour les 19 mois de transition  adopté lors des assises nationales au début de ce mois.  

     Ramandimbiarison a expliqué les efforts et initiatives de la  HAT pour la relance de l'économie, qui a été durement touchée au  cours de l'agitation sociale et la crise politique, et pour le  rétablissement de la sécurité à Madagascar.  

     Selon le communiqué de presse, la délégation de la SADC est  satisfaite des efforts entrepris par la HAT pour chercher un  consensus dans le pays, en disant que la SADC est prêt à donner un coup de main pour rétablir l'ordre constitutionnel dans la Grande  Ile.  

     Comme il a dit au ministre des Affaires étrangères de la  transition, Ny Hasina Andriamanjato, samedi dernier, Kunene a  rappelé que la SADC n'a pas d'intention d'envoyer des  interventions militaires à Madagascar, ni d'aider l'ex-président  Marc Ravalomanana à retourner au pays.  

     Peu de temps après sa rencontre avec le ministre des Affaires Etrangères Ny Hasina Andriamanjato samedi dernier, Kunenem, chef  de la délégation de la SADC, a dit que la délégation est à  Antananarivo pour évaluer les derniers développements de la  situation dans le pays et pour voir ce que la SADC pourrait faire  pour aider le pays à sortir de la crise politique qui a été en  cours depuis plus de quatre mois.  

     Au cours de leur visite à Antananarivo, la SADC a également  rencontré des représentants des supporteurs de Ravalomanana  dirigés par Manandafy Rakotonirina, qui a été nommé Premier  ministre par Ravalomanana il y a dix jours.  

     Selon un site Internet local, Mananandafy a demandé de  nouveau le retour de l'ordre constitutionnel et au rétablissement  des institutions, suspendues par l'autorité de transition, avant  la mise en place d'un gouvernement de consensus.  

     Manandafy, 71 ans, a également demandé à la SADC d'envoyer  des forces militaires à Madagascar, mais les hauts fonctionnaires  de la SADC ont implicitement rejeté la demande, en disant que la  SADC est encore en train d'écouter toutes les parties prenantes du pays.  

     Ceci est la deuxième délégation de la SADC qui a visité  Madagascar en une semaine.  

     Un groupe de médiation de la SADC s'était rendu à  Antananarivo, il y a une semaine, et avait assuré à l'autorité de  transition de Madagascar que la SADC n'avait pas l'intention  d'envoyer des militaires à la Grande Ile pour rétablir l'ancien  président Marc Ravalomanana.  

     Dénonçant le transfert de pouvoir "anticonstitutionnel", la  SADC a suspendu Madagascar. 

     La HAT a déclaré mardi que son ministre des Affaires  étrangères Andriamanjato et le plus gradé des militaires le vice- amiral Hyppolyte Ramaroson, à qui Ravalomanana a remis sa  présidence le 17 mars, sont à Addis-Abeba pour participer à une  réunion de l'Union africaine sur Madagascar, qui aura lieu jeudi.  


express.gifDéléguation des Émirats arabes unis à Madagascar - par MOISE

 
Une forte délégation émiratie attendue ce jour. Une délégation conduite par le Sheikh Abdullah Bin Zayed Al Nahyan, ministre des Affaires étrangères des Émirats arabes unis et comprenant des directeurs de projets ou de fonds de
développement, est attendu à Antananarivo ce jour (mardi 28 avril 2009) pour une visite de quatre jours. Une rencontre avec le président de la HAT et quelques membres du gouvernement est prévue ce jour.

DébutPrécédent [ 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 ] 10 pages suivantesSuivantFin
 
CONTACT DIRECT

Tel DIRECT
032 48 108 33

ou depuis La FRANCE

00 261 30 48 108 33


VOTRE INTERLOCUTEUR UNIQUE
POUR VOTRE VOYAGE

 

CONTACT

AHAONA MADAGASCAR

 
Recherche



CONTACT DIRECT

Tel DIRECT
032 48 108 33

ou depuis La FRANCE

00 261 30 48 108 33


VOTRE INTERLOCUTEUR UNIQUE
POUR VOTRE VOYAGE

 

CONTACT

AHAONA MADAGASCAR

Radio VAZO GASY !!
 

Contactez-nous ! 

 

Moïse

261 32 48 108 33



J'écoute RADIO VAZO GASY

vazo.jpg


smile_pc.gif
 

Si vous utilisez FIREFOX,
CLIQUER sur ce player pour écouter
RADIO VAZO GASY


Détacher le player
content.gif

 
 
^ Haut ^