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express.gifTolagnaro Des milliers de tonnes de litchis pourrissent sur place, faute d’infrastructures. - par Moïse

ECONOMIE

Tolagnaro
Les litchis sans preneur
À cause de son éloignement, Tolagnaro a du mal à écouler ses produits. Des milliers de tonnes de litchis pourrissent sur place, faute d’infrastructures.
 
Sur place, le kilo du litchi s’achète à 200 ariary.
Le spectacle est à la fois impressionnant et désolant. Tolagnaro et ses environs sont envahis par la couleur rouge vif du litchi parfaitement mûr à cette époque. Des pieds de litchis alourdis par leurs fruits longent les routes et attirent les regards au milieu des forêts avoisinantes.
L'Anosy est une des régions de la Grande île particulièrement propices à ce fruit. Christophe Veloson Tsirafy, directeur régional du développement rural (DRDR), parle d'une production de plus de 5 000 tonnes, mais d'autres techniciens avancent une estimation allant jusqu'à 20 000 tonnes.
Pourtant aucune précaution n’a été prise au préalable et cette année encore, presque la totalité de cette richesse pourrira sur place. Il n'y a pas de débouchés car Tolagnaro est une ville enclavée qui ne dispose d’aucune infrastructure en vue de son exportation.
«Le litchi est une filière qui est encore à réorganiser entièrement dans notre région. Les fruits vont une fois de plus pourrir sur leurs arbres cette année», constate avec amertume le DRDR de l'Anosy.
De bonne qualité
Pourtant, le litchi de Tolagnaro est un des meilleurs de Madagascar. Même sans les données techniques comme celles émanant du Centre technique horticole de Toamasina, la bonne qualité des fruits est frappante à vue d’œil : un calibre moyen de 30 mm et un taux de sucre élevé. Toutes les communes du district produisent du litchi pour ne citer que Ranomafana, Ampasinampoana et Soanierana. Sur
La production ne trouve pas preneur à Tolagnaro.
le marché local, le prix du kilo est dérisoire et avoisine les 200 ariary.
«Personne n'achète presque pas de litchi à Tolagnaro car il y en a partout et il suffit de cueillir. Ce sont surtout les visiteurs qui en achètent», témoigne Natacha Tsitakotsy, une commerçante du centre-ville.
Les autorités locales tentent de remédier à la situation. Le DRDR annonce la mise en place d'un plan d'actions à court et moyen terme. L'objectif vise l'exportation, mais une restructuration de la chaîne en amont est indispensable, des producteurs aux collecteurs et exportateurs.
«L'ouverture prochaine du port d'Ehoala changera la donne pour la filière. Il est temps de valoriser ce potentiel», déclare Christophe Veloson Tsirafy.
Pour les opérateurs concernés, Tolagnaro offre une réelle opportunité, mais l’absence d’infrastructures bloque les possibilités, notamment au niveau du transport. Les bateaux frigorifiés des importateurs français n'y vont pas alors qu'il faut presque trois jours pour rejoindre la capitale par la route.

Encadré
Surproduction

Le cas de Tolagnaro n'est pas isolé. Plusieurs localités du littoral oriental de la Grande île, du Nord au Sud, et qui sont productrices de litchis souffrent du même problème. C'est le cas, par exemple, de Maroantsetra et de Mananara-nord. Par la force des choses, la production est exclusivement destinée à la consommation locale dans ces zones pourtant réputées comme très propices à la culture de ce fruit. À Manakara, la fermeture du port handicape aussi la filière. Durant la dernière campagne, un opérateur qui a effectué le traitement sur place, a dû acheminer sa production par camion jusqu'à Toamasina. Il a pourtant pu remplir difficilement 4 conteneurs.
 
Mahefa Rakotomalala
Date : 10-12-2008

express.gifMahajanga Le village touristique bientôt réhabilité - par Moïse

Mahajanga
Le village touristique bientôt réhabilité
La Cité des fleurs bénéficie de l’aménagement d’un de ses sites. Le projet entre dans le cadre de la protection de l’environnement.
 
La plage du village touristique retrouvera sa renommée après la réhabilitation du site.
Le village touristique fera peau neuve. Grâce à un financement de l'Union européenne, dans le cadre du Programme régional de gestion durable des zones côtières des pays de l'océan Indien ( Progeco), les travaux de réhabilitation débuteront incessamment.
Avec une enveloppe de 100 000 euros, ils porteront essentiellement sur la construction d'une digue de déviation, et la plantation d’une mangrove sur une surface de 25 ha.
Les travaux, d’une durée de 24 mois, auraient dû démarrer en septembre après la signature du contrat, mais des procédures administratives les ont retardé.
« L'ouverture d'un compte de dépôt auprès du Trésor a trébuché sur de lourdes procédures, car la compétence relève encore de l'autorité centrale», avance Jean Lys Hevidrazana, adjoint au maire de la commune de Mahajanga.
Appel à propositions
Des formations relatives à la protection de l'environnement seront dispensées aux populations riveraines. «Il s'agit surtout de sensibiliser les gens sur les méfaits de la déforestation et de l’ensablement, facteurs de l'érosion, ainsi que la construction d’habitations sur le bord de la mer », précise l'adjoint au maire.
D'autres projets environnementaux sont appuyés par le Progeco dans d'autres parties du pays.
 
Lantoniaina Razafindramiadana
Date : 09-12-2008

express.gifDe nouveaux circuits nature - par Moïse

Tourisme
De nouveaux circuits nature
La création de nouveaux circuits touristiques est nécessaire. Les tours opérateurs misent sur la nature, une véritable richesse du pays.
 
Les baobabs attirent toujours autant les visiteurs.
Un touriste sur deux est Français. Sur les 344 000 visiteurs enregistrés en 2007, 58% viennent de l'Hexagone. Actuellement, les Tours opérateurs se tournent de plus en plus vers les touristes anglophones, amoureux de la nature. De nouveaux circuits répondant à ce besoin ont été ainsi créés dans le cadre d'un concours de Tours opérateurs organisé conjointement par l'Office national du tourisme de Madagascar Conservation international et le ministère du tourisme, de l'environnement et des eaux et forêts.
Contribution de la population
Les circuits concernent le Corridor Ankaniheny Zahamena et la zone Menabe. Ils sont basés essentiellement sur la protection de l'environnement et la contribution de la population locale dans l'accueil des touristes, pour un tourisme responsable. « Nous voulons valoriser la forêt sacrée d'Andriantantely. Tous les visiteurs nationaux ou étrangers doivent planter cinq arbres lors de la visite. Cette mesure a été prise en vue de la reforestation des forêts environnantes de celles d'Andriantantely qui ont disparu » affirme Françoise Fortin Chan de Eastern Tour & Coopération Margas pour le développement Madagasikara ( CMGDM), lauréat du premier prix sur cette zone « Les habitants cultivent les pépinières de plantes à essence rare, fournissent les produits alimentaires et d'élevage qui serviront aussi à nourrir les touristes » continue ce responsable.
L'hébergement des visiteurs par la population devient aussi une pratique très en vogue dans ce type de tourisme. « Les ménages pourront aménager un endroit chez eux pour accueillir les touristes, les loyers pour les trois nuitées leur seront alloués afin de leur permettre d'améliorer leurs revenus ».
Il s'agit pour le nouveau circuit de fusionner l'aventure dans les villages avec le parc Mantadia Andasibe et le confort qui attend les visiteurs à Manambato.
En ce qui concerne le circuit sur le Menabe, Travel Flying service propose dans son itinéraire le spectacle merveilleux du lever de soleil dans l'Allée des baobabs, et entend exploiter la rivière de Tsiribihina en utilisant ses barques.
 
Lantoniaina Razafindramiadana
Date : 03-12-2008

express.gifLittérature Michèle Rakotoson primée - par Moïse

Littérature
Michèle Rakotoson primée

 
La littérature de la Grande île à l'honneur. Avec son dernier roman « Juillet au pays », publié en 2007, l'écrivain malgache Michèle Rakotoson est élue « Lauréate du Grand prix littéraire de l'océan Indien et du Pacifique », pour 2008.
« Je suis contente de ce prix, pour lequel David Jaomanoro a obtenu une mention spéciale en 2006, et qui a remarqué des auteurs importants comme les Mauriciennes Natacha Appanah-Mouriquand et Chenaz Pattel », déclare la lauréate.
« Juillet au pays, chronique d'un retour au pays » est un récit du voyage de l'écrivain, laquelle a fait une tradition de passer ses vacances au pays natal tous les mois de juillet.
Ayant quitté la Grande île en 1983 pour vivre en France, ses retrouvailles avec Antananarivo la terre de son enfance, ainsi que de ses souvenirs, de ses amis d'enfance, de son peuple, l'ont fait beaucoup réfléchir à deux cultures, à deux histoires et à deux horizons.
 
Hernan Rivelo
Date : 28-11-2008

express.gifLa fièvre du litchi anime l'Est. Madagascar augmente ses exportations - par Moïse

La fièvre du litchi anime l'Est
Madagascar augmente ses exportations

 
La campagne de litchi se déroule dans un calme sans précédent à Toamasina. Les exportateurs n'achètent plus que par bons de commande, réduisant ainsi de manière significative les longues files de véhicules remplis de litchi à ras bord devant les bureaux des exportateurs.
Même le rythme imposé aux employés dans les stations de soufrage et de conditionnement semble réduit. Ils disposent désormais de quatre jours au lieu de deux, pour charger le bateau. Un changement qu’un début de solidarité des exportateurs a permis de mettre en place.
La Grande île prévoit d'exporter vers l'Europe jusqu'à 29 000 tonnes de litchi cette année. C'est 30% de plus de ce qu'elle a réalisé en 2007. Le début prématuré de l'ouverture de la campagne explique cet objectif. Techniquement, le litchi de Madagascar arrivera sur le marché pres
que dix jours avant Noël.
«Nous disposons d'un délai très étalé pour exporter le litchi. La question consiste maintenant à savoir si les consommateurs vont acheter plus tôt que d'habitude ce fruit qu'ils considèrent avant tout comme un produit festif et de luxe, destiné aux fêtes de fin d'année», précise Simon Rakotondrahova, membre du comité de direction du Groupement des exportateurs de litchi.
La reprise de nouvelles lignes maritimes, transportant des conteneurs frigorifiés dédiés à cette campagne, renforce également les exportations. Cela permet aux opérateurs concernés de disposer d'un temps plus long pour le conditionnement.
«De nouvelles compagnies maritimes, comme La Mole, CMA-CGM et Maersk, ont affrété des navires spéciaux pour transporter le litchi vers l'Europe. Outre les 7 000 tonnes de fruit qui seront exportés par les bateaux conventionnels, jusqu'à 900 conteneurs seront également envoyés à l’extérieur pendant cette campagne», explique Faly Rasamimanana, président de la Plateforme de concertation de la filière litchi.
 
Mahefa Rakotomalala
Date : 25-11-2008

express.gifLe haut débit WIMAX arrive à Mada : Ar 20 000 pour se connecter à internet - par Moïse

Freedsl
Ar 20 000 pour se connecter à internet

 
Les internautes malgaches auront un large choix de service internet à grande vitesse. Et le prix devient de plus en plus accessible pour toutes les bourses. Avec Ar 20 000 en poche, un utilisateur peut se connecter sur internet pendant 20 heures grâce à l'offre Freedsl de Blueline.
Ce service est basé sur la technologie Wimax, c'est à dire qu'il utilise les ondes radio comme mode de transmission et indépendantes de tout réseau filaire. Un simple modem radio suffit pour se connecter sur internet.
Mais pour ceux qui veulent choisir l'option abonnement, il leur suffit de débourser Ar 99 000 pour avoir une connexion illimitée. Selon les informations recueillies auprès de ce fournisseur installé au pays, le débit peut aller jusqu'à 256 kbps.
L'internet à haut débit est le nouveau champ de bataille des opérateurs de télécommunication à Madagascar. Ceci, au bénéfice des utilisateurs. Mais ces derniers exigent de plus en plus un service et réseau de qualité.
 
Lova Rafidiarisoa
Date : 15-11-2008

express.gifTransport aérien Air Madagascar renforce sa flotte - par Moïse

Transport aérien
Air Madagascar renforce sa flotte
La compagnie nationale compte renforcer ses avions qui assurent les lignes régionales. Le frêt est également dans sa ligne de mire.
 
Les vols régionaux et intérieurs seront renforcés.
Air Madagascar poursuit son développement. A l'occasion du lancement du premier vol Nairobi-Antananarivo, Olivier Robinson, directeur général adjoint de la compagnie Air Madagascar a annoncé un projet d'augmenter le nombre de sa flotte. Une de ses principales priorités est le renforcement des vols régionaux et intérieurs.
« Les ATR commencent à montrer leurs limites suite à l'évolution des besoins actuels. Leur faible capacité en matière de bagages constitue un handicap pour la compagnie » explique Olivier Robinson.
Réformes en vue
Le leasing, sorte de contrat de location à longue durée reste la meilleure option pour Air Madagascar si elle veut renforcer sa flotte. En ce moment, Les avions à acheter se font rares sur le marché et l'achat d'un nouvel avion peut prendre plusieurs années. C'est la conséquence du retard enregistré dans la livraison des commandes de nouveaux avions long courrier comme le Boeing 787 et l'Airbus 350.
« Du coup, la ruée des compagnies aériennes sur les avions tel le B 767 explique ce problème », souligne le directeur général adjoint.
Cette annonce accompagne une vaste restructuration d'Air Madagascar. Elle est sous la tutelle de plusieurs ministères s'ajoutant à celui des Transports. Il y a également la dissolution de son conseil d'administration qui fait suite à l'augmentation de son capital qui est passé de 18 à 33 milliards d’ariary avec une part de 89,5 % pour l'État.
Toujours est-il, l'on prévoit un avenir plus faste pour la compagnie nationale dans les années à venir. Les changements structurels ne sont pas encore terminés, dont le prochain départ de deux de ses principaux directeurs. La mise en place de partenariats avec d'autres compagnies est également possible avec la politique de la compagnie de multiplier ses destinations.
 
Mahefa Rakotomalala
Date : 15-11-2008

express.gifNosy Be Une arrestation sanglante - par Moïse

Nosy Be
Une arrestation sanglante

 
Parce que la police se préparait à l’arrêter, Roy Patrick Brioche, ressortissant seychellois, a tiré sur deux de ses représentants et a pris la poudre d’escampette. C’était hier matin à Nosy Be. Il était recherché depuis trois semaines parce qu’il n’avait ni emploi précis ni domicile fixe.
C’est un indicateur qui a informé la police qu’il se trouvait à Ambatoloaka. Deux policiers se sont déplacés pour l’arrêter. Au moment où ils voulaient lui passer les menottes, il leur a tiré dessus, les blessant l’un à la main, l’autre au cou. Devant la gravité de ses blessures, ce dernier a été évacué d’urgence par avion à l’hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona à Antananarivo.
Selon certains témoignages, Roy Patrick Brioche aurait déjà menacé de s’en prendre à des policiers.
 
Hanitry Ny Aina
Date : 14-11-2008


express.gifFibre optique Madagascar se met à l'heure du haut débit - par Moïse

Fibre optique
Madagascar se met à l'heure du haut débit
Le réseau national de fibre optique ouvre de nouveaux horizons aux télécommunications. Telma, avec le backbone, compte jouer un rôle prépondérant.
 
Patrick Pisal-Hamida, directeur général de la société DTS, premier fournisseur d'accès internet du pays.
Madagascar est prêt à être connecté au monde. Plusieurs projets d'installation de fibre optique sont sur les rails.
Le backbone national se trouve le plus en vue. Ce réseau national à fibre optique doit être finalisé ce mois-ci. Cela s'explique par le fait que le réseau ne s’arrête pas à cette configuration du Y initial avec Antananarivo-Toliara, Antananarivo-Toamasina et Antananarivo-Mahajanga.
Des bretelles seront aussi mises en places sur des axes stratégiques comme vers Tolagnaro, Manakara et Mananjary, Tsiroanomandidy, Ambatondrazaka et Sainte-Marie.
Avec le backbone, Telma confirme son rôle d'opérateur des opérateurs, en fournissant les infrastructures aux différents acteurs économiques du pays.
Aujourd'hui, les villes sur les axes connectés peuvent déjà bénéficier des avantages du backbone. Ceci se matérialise par une plus grande fluidité du trafic, une meilleure sécurité des transferts ou encore une certaine pluralité de services mais surtout tout ce qui est lié au très haut débit.
«Le backbone est déjà au service des opérateurs et des utilisateurs. Plusieurs villes bénéficient des différents avantages comme l'internet haut débit», explique Patrick Pisal-Hamida, directeur général de
 
DTS, société premier fournisseur d'accès internet du pays.
Les infrastructures que Telma met en place actuellement suivront les normes de qualité internationales. Les opérateurs économiques pourront exploiter au départ les 2,5 Gbits/s de débit installés par Telma. La capacité peut atteindre 3 800 Gbit/s sur le réseau métropolitain d’Antananarivo et 1 200 Gbit/s sur les autres axes principaux.
Régulation
Mais le projet de Telma fait face à de sérieux concurrent. L'opérateur de téléphonie mobile Orange projette de relier Antananarivo à Toamasina par un réseau à fibre optique après la mise en place effective du câble lion.
La filiale de France Telecom se présente comme un nouveau «fournisseur d'accès internet». Elle mettra à la portée des Malgaches la technologie haut débit.
L'accélération des procédures de connexion témoigne de l'intérêt des opérateurs de tous horizons. Il s'agit également d'exploiter le potentiel intellectuel déja existant. En outre, le secteur des télécommunications apparaît comme le plus concurrentiel dans le pays.
En tout cas, les connexions devront améliorer les échanges entre les îles de l'océan Indien. Ce sera également un moyen de mieux asseoir une politique régionale en matière de développement du commerce.
En parallèle, les opérateurs malgaches sollicitent la contribution de l'Etat, notamment dans l'amélioration de l'environnement général du secteur.
«La mise en place de la structure de régulation des secteurs des TIC doit être accélérée», confie Gil Razafintsalama.
 
Lova Rafidiarisoa
Date : 12-11-2008


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