VOUS RECHERCHEZ...

Votre grand Voyage à Madagascar

STUDIOS Meublés CENTRE-VILLE

GARE ROUTIERE

Contactez-nous ! 

Moïse

032 48 108 33

ou depuis La FRANCE

00 261 32 48 108 33

Quelque soit la taille de votre groupe,

consultez-nous,

nous avons des solutions pour vous !
 Rencontrez la population locale...

new3.gif

Découvrez le Canal des Pangalanes

et le Palmarium avec ses lémuriens

Madagascar Naturellement

LA METEO
A
ANTANANARIVO

Nouvelles

express.gifFano Tout pour le kabôsy - par MOISE

Fano
Tout pour le kabôsy
Quand on est le petit-fils de Ramilison Besigara et qu'on a été élevé à l'école du hira gasy, le choix du métier auquel on se destine est évident : devenir un artiste. A 18 ans, joueur de kabôsy et membre du groupe « Dihisanaga », Fano est bien décidé à devenir un musicien professionnel.
 
À l'âge de 12 ans , le jeune artiste commençait déjà à jouer du kabôsy. De son vrai nom Feno Fanomezantsoa , il a commencé à élargir son horizon musical aux côtés de Ramilison Besigara, son grand-père et figure majeure du hira gasy, en jouant du ampoga be, le tambour traditionnel des Hautes Terres. À 16 ans , il décide d'arrêter ses études pour se consacrer à la musique. «Pour moi, la musique est une chose bénie de Dieu, je ne peux vivre qu'à travers elle», confie-t-il. D'autant qu'il s'aperçoit qu'on peut fort bien gagner sa vie comme musicien, quand on a le talent, bien sûr. Le jeune musicien gagne environ 100 000 ariary par prestation, autant dire un pactrole pour le jeune célibataire qu'il est ! À 16 ans, il sillonne la Grande île avec son premier groupe Tsiriry, une jeune formation qui puise son inspiration dans le Sôva.
Artiste autodidacte, Fano travaille quatre à cinq heures par jour pour être plus performant dans ses compositions.
«J'aime bien la guitare basse, le son, le confort de jeu, le feeling, explique-t-il. Je suis aussi à l'aise en chantant en même temps». Il est actuellement le bassiste attitré de Fidy de l'Anosy et du groupe Damily. Fervent de la musique traditionnelle , le beko blues a bercé sa jeunesse.
Il est en général séduit par la musique du Sud. «J'aime la musique tradionnelle du Sud. En particulier Mikéa, mais il serait injuste de ne pas citer mes autres influences : Vaovy, Monja Manintsindava, Tsiverilaza... Je commence aussi à apprécier le Rija Betsileo », révèle l'artiste. Fano compte parmi les jeunes étoiles montantes de la musique malgache. Il vient de fêter ses 18 ans avec comme bagage trois ans d'expériences dans le milieu de la musique. Tout ce qu'on peut lui souhaiter est une carrière au moins aussi longue que celle de son grand-père.

Encadré
Dihisanaga, au nom du « dihy gasy »

Membre du groupe Dihisanaga, Fano continue de surprendre ses aînés avec son kabôsy mandoliny.
La jeune formation est composée de six musiciens et cinq danseurs et rentre tout juste d'une tournée réunionaise, il y a deux semaines dans le cadre du Festival Bouchon créole. Avec son combo composé de deux trompettistes et d'un clarinetiste, Fano (percussions et kabôsy) et ses compagnons de route ont allumé le feu à la Réunion. Le temps de deux prestations à Saint-Pierre et à Saint-Leu, Dihisanaga a fait vibrer les Réunionnais aux rythmes de la musique traditionnelle malgache avec un cocktail croustillant du dihy gasy, mélangé à de la danse urbaine contemporaine. Cette année, le groupe partira au Liban pour le Jeu de la Francophonie avant d'aborder le continent européen.
 
Juliano Randrianja
Date : 10-01-2009

Concert de POOPY et la cérémonie des vœux 2009 - par MOISE

Bonjour,
Je vous invite à cette soirée dîner dansant en compagnie de Mr Le Consul de Madagascar Jérémie Ravahimanana.En cette période de nouvelle année, je vous adresse mes meilleurs vœux pour 2009, qu’elle nous apporte à tous bonheur et fraternité.Que cette année 2009 apporte effectivement plus d'humanité entre les Peuples et nous y contribuons, j'ose l'espérer, par un tourisme qui propose de réduire le fossé entre les voyageurs et la population locale.
A vous relire
Moïse
POOPY A NANTES POUR LA CEREMONIE DES VOEUX DU CONSUL DE MADAGASCAR




express.gifLittérature Hommage à Charlotte Rafenomanjato au CCAC - par MOISE

Littérature
Hommage à Charlotte Rafenomanjato au CCAC

 
Lecture scénique et témoignages sont au programme de l’hommage à cette auteur. Des écrivains et des étudiants du parcours médiation culturelle à l'université d'Antananarivo y prendront part.
Dans ses écrits, essais, romans, poésies, nouvelles, et contes, Charlotte Rafenomenjato y témoigne son patriotisme engagé. La soirée du vendredi 9 janvier à
19 heures au Centre culturel Albert Camus lui sera consacrée en hommage.
Pleine de conviction, la fluidité de sa plume révèle sa grande passion pour la littérature. À part les étudiants du parcours de la médiation culturelle à Ankatso, quelques écrivains et amis de la disparue témoigneront de la valeur de ses œuvres, en l'occurrence Voahangy Estelle Randriampenomanana alias Plibiche, Anne Marie Tombozafy, Vero Rabakoliarifetra et le général Désiré Ramakavelo.
Avec comme modérateur Elie Rajaonarison, la séance sera ouverte au grand public. Des lectures scéniques, des témoignages de sa famille et de ses proches complèteront le programme de la soirée.
Ils raviveront la conviction, le désarroi, la colère et l’espoir de l’écrivain. Quoique peu connue par la majorité des Malgaches, Charlotte Rafenomanjato est l'une des icônes de la littérature. Elle s'est éteinte le 4 novembre 2008 à la clinique des sœurs Ankadifotsy, suite à une complication pulmonaire.
Prolifique
«Un conseil pour les écrivains malgaches en herbe : écrivez parce que vous aimez le faire». Cette phrase revient souvent dans ses propos.
Charlotte-Arrisoa Rafenomanjato est un auteur bilingue. Ses écrits sont nombreux et divers, à savoir des poésies, romans, histoires courtes, essais, pièces et des traductions.
Parmi ses œuvres dramatiques, inédites pour la plupart, deux ont été primées lors des concours organisés par la Radio France internationale. Sa pièce «Le Prix de la Paix» a fait l'objet d'un téléfilm en 1987.
D'autres pièces ont été traduites en anglais et en italien, et jouées à Madagascar, en France, en Italie et même aux Etats-Unis.
Cependant, c'est la publication de ses nouvelles («Le Cinquième sceau», Harmattan, 1993, et «Le Pétale écarlate», Société Malgache d'Édition, 1995) qui a permis au grand public de connaître ses œuvres.
En tous cas, Charlotte Rafenomanjato fut très prolifique. Elle s’était illustrée en tant que membre fondatrice et présidente d'honneur de la Société des écrivains de l'océan Indien (Seroi). Fille d'un médecin, elle était sage-femme, puéricultrice de formation, épouse d'un diplomate et mère de trois enfants.
 
Juliano Randrianja
Date : 08-01-2009

express.gifAvion présidentiel Ar 112 milliards pour Force One II - par MOISE

Avion présidentiel
Ar 112 milliards pour Force One II
Le nouveau Force One, un palace volant, de 60 millions de dollars a atterri à Ivato hier, sous les yeux émerveillés du comité d'accueil.
 
Un pan du voile concernant le nouvel avion présidentiel a été levé. Le président Ravalomanana tente de rassurer l'opinion sur l'utilité de l'appareil au vu de l'énorme investissement pour son acquisition.
Comme le chef de l'état l'avait annoncé dans son message dominical, le nouvel aéronef destiné aux déplacements présidentiels a atterri hier à Ivato. Il s'agit d'un Boeing 737-700 ayant appartenu au milliardaire américain Roy Disney, neveu du célèbre Walt Disney, père du légendaire personnage de Mickey Mouse.
Salon privé
Aménagé pour le transport de VIP (Very important person), l'avion, pouvant transporter entre 120 à 140 personnes, ne compte que 25 sièges. Le reste de l'espace accueille bureau ou encore salon privé. Comme l'avait déjà soufflé le chef de l'Etat, l’appareil a une autonomie de vol de 11, voire 12 heures.
C'est avec une joie non feinte que le président Ravalomanana et son épouse ont accueilli le nouvel avion présidentiel. « N'est-ce pas que c'est beau ? » s'est extasié le chef de l'état auprès de tous les chefs d'institution et membres du gouvernement, venus l'accompagner à l'aéroport international d'Ivato. L'investissement consacré par l'Etat, pour l'achat de l'appareil est à la hauteur de son luxe. « L'avion coûte environ 60 millions de dollars», a déclaré le président Ravalomanana. Il n'a pourtant pas divulgué l'origine de l'enveloppe budgétaire consacrée à l'achat de l'aéronef. L'achat du nouveau Force One représente une somme colossale. Les Ar 112 milliards représentent plus du 80 % du budget de la Présidence. La somme déboursée constitue plus de 70% du budget du département chargé de la sécurité intérieure et équivaut au budget alloué à l'éducation post-fondamentale et à la recherche.
L’acquisition de cet avion n'a rien à voir avec celle de l'ancien appareil, entre-temps remis à la Compagnie Air Madagascar. L'aéronef, un Boeing 373-200, acheté en 2002, avait coûté la bagatelle de 11 millions de dollars.
Le président Ravalomanana insiste pourtant sur la nécessité de cet achat et anticipe toute critique de l'opportunité d'un tel investissement. « L'appareil devrait nous permettre d'améliorer nos relations avec l'extérieur», a-t-il soutenu. « Les pays, associations ou sociétés qui ne maîtrisent pas les technologies modernes ne réussiront pas dans le concert de la mondialisation», a-t-il poursuivi.
 
Iloniaina Alain
Date : 06-01-2009

express.gifExtension de l’Ikopa Deux mille familles à déplacer - par MOISE

Extension de l’Ikopa
Deux mille familles à déplacer
Des centaines de maisons seront démolies d'ici peu sur la rive de l'Ikopa. Une mesure prise en vue d’élargir la rivière.
 
Des milliers de familles devront bientôt abandonner leurs foyers longeant la digue de l'Ikopa à Anosizato jusqu'à Tanjombato, en passant par Anosimahavelona.
La démolition s'étend sur deux kilomètres environ, là où les constructions illicites ont poussé comme des champignons. Cette mesure est prise en vue d'élargir l'Ikopa. « L'objectif est de réduire les risques de débordement de l'Ikopa sur cet axe, en cas de crue », fait remarquer Philipe Rateloson, directeur général de l'Autorité pour la protection contre l'inondation de la plaine d'Antananarivo (Apipa).
Mesures d'accompagnement
Rien n'est concret pour le moment, concernant les travaux d'extension de la rivière. Le responsable soutient que les études techniques sur la faisabilité de ce projet reposent sur des enquêtes.
La crainte de la population fuse de partout depuis que les responsables de l'Apipa ont effectué une descente sur terrain, le lendemain de Noël. Cette première descente à Anosizato ouest consistait à informer les propriétaires sur la nécessité de l'expropriation et les mesures à prendre. « Je crains de perdre mes biens sans que j'en perçoive un dédommagement », s'inquiète Jacqueline Ramavonirina, une mère de famille habitant à Anosizato ouest.
Averti, le directeur général de l'Apipa, Philippe Rateloson, a avancé des mesures d'accompagnement. « Toutes les constructions ou surfaces cultivées se trouvant sur le passage de la démolition feront l'objet d'un dédommagement », rassure-t-il lors d'une conférence de presse, hier, à son bureau à Anosizato.
Jusqu'ici, le nombre exact des familles à déloger n'est pas encore connu. Seul le cas d'Anosizato ouest reste précis, avec deux mille familles. Les habitants du fokontany d'Ankazoto et d'Ankeniheny sont en grande partie les plus concernés.
La sortie du décret d'utilité publique sera précédée d'une étude effectuée par un comité spécial d'évaluation de la démolition. Ce comité est composé du ministère de l'Eau, du ministère de l'Aménagement du territoire, du ministère des Finances et du budget enfin celui de l'Agriculture, de l'élevage et de la pêche. « Si les expropriés ne sont pas satisfaits du montant du dédommagement, ils peuvent réclamer auprès du tribunal», poursuit Philippe Rateloson.
Entretemps, un plateau de recasement sur une surface de 80 ha est en cours de construction sur un bras mort de l'Ikopa. Priorité est donnée aux habitants ayant perdu leurs maisons.
 
Noro Haingo Rakotoseheno
Date : 06-01-2009

express.gifLaurent Voulzy à Tana samedi - par MOISE

Philanthropie
Laurent Voulzy à Tana samedi

 
Deux grandes stars masculines de la musique francophone seront dans nos murs cette semaine. Le premier est le chanteur français Laurent Voulzy, et le second le chanteur réunionnais Davy Sicard. Ces deux chanteurs de renom effectueront ensemble un voyage dans la Grande île, pour des actions humanitaires.
En effet, ils œuvrent en tant que «parrains» de Aïna, Enfance et Avenir, une association créée à La Réunion en 2006, et qui vient en aide aux enfants de rues.
Les actions menées par l'association Aïna, reconnue comme ONG à Madagascar, ont abouti à l'ouverture du centre Aina à Malaza. Cette nouvelle structure a la capacité d'accueillir 50 enfants et son inauguration est prévue pour ce samedi 10 janvier après-midi.
Les deux hommes tiendront une conférence de presse au Centre culturel Albert Camus (CCAC), samedi matin.
Laurent Voulzy sera à son tout premier voyage
« officiel » à Madagascar. Agé de 61 ans, ce chanteur de variété est connu pour sa grande sensibilité à travers les chansons comme « Belle île en mer », et « My song of you ».
 
Hernan Rivelo
Date : 06-01-2009

express.gifÉclairage public Le retour de la lumière à Tana - par MOISE

Éclairage public
Le retour de la lumière à Tana

 
La ville des Milles retrouvera bientôt sa splendeur d'antan après bien des mois de calvaire. Le remplacement des ampoules défectueuses a été entamé depuis le mois de novembre.
« La commune urbaine d'Antananarivo et la société nationale de l'eau et de l'électricité ont trouvé une entente sur l'éclairage public. Normalement, le 31 décembre a été fixé comme date butoir du changement de toutes les ampoules », signale Liva Ramavozatovo, directeur technique à la mairie. Selon lui, 65% des travaux sont actuellement effectués et les axes comme Analakely, Ampefiloha, Antaninarenina et les ruelles figurent en priorité. En totalité, six à sept mille ampoules illuminent tous les arrondissements de la capitale.
Ce chiffre se vérifie dans la réalité de certains quartiers de Tanà. A Behoririka, le chef fokontany s'étonne du retour de la lumière dans sa circonscription. « J'ai remarqué que même les ruelles sont éclairées ces derniers temps. Les poteaux électriques s'allument ici à partir de 17h30 à six heures du matin », indique Sanda Andrianarimanana, président du quartier.
Beaucoup reste pourtant à faire dans la mesure où d'autres populations plongent totalement dans le noir. Les quartiers d'Ambodifilao, Mahamasina, Ambalavao Isotry, 67ha jusqu'à Ampasika attendent leur tour. « Ici, même les ampoules qui étaient alimentées à une faible tension sont complètement éteintes. Il nous est impossible d’emprunter cette ruelle dès la nuit tombée », maugrée Justin Ravelojao, un habitant à Antohomadinika III Hangar.
Le reste des travaux à effectuer dépendra pourtant de la prochaine rencontre entre la société de l'Eau et de l'électricité (Jirama) et la CUA. La facturation des ampoules remplacées sera au centre du bilan et de la suite des affaires.
 
Noro Haingo Rakotoseheno
Date : 05-01-2009

express.gifSécurité intérieure Le Président de la République lance une mise en garde - par MOISE

Sécurité intérieure
Le Président de la République lance une mise en garde

 
Le ton monte du côté du pouvoir. Le président Ravalomanana a clairement signifié samedi, que le pouvoir ne se laissera pas intimider par tout acte de déstabilisation. Intervenant à dix jours de l'expiration de l'ultimatum lancé par Andry Rajoelina, maire d'Antananarivo, la déclaration prend l'allure d'une véritable mise en garde.
« Nous disposons du savoir-faire et des moyens matériels pour venir à bout des fauteurs de troubles et de ceux qui cherchent la déstabilisation », a déclaré le chef de l'état devant les principaux responsables de la sécurité intérieure. Dirigés par le Premier ministre, Charles Rabemananjara, et le secrétaire d'état chargé du département ; ces derniers ont présenté leurs vœux de Nouvel an au président de la République, samedi.
Le chef de l'état n'a cité de nom en particulier. « La loi n'est pas seulement pour une telle ou une telle frange de la population», a-t-il indiqué. Et la menace destinée « à ceux qui, habitués aux anciennes pratiques, à ceux qui sont tentés de plaisanter avec la sécurité », est à peine voilée.
Ravalomanana promet que tout acte pouvant s'apparenter à des manœuvres de déstabilisation du pouvoir devrait être sévèrement réprimé. « Cette année, nous démontrerons nos forces et nos capacités en matière de sécurité », a-t-il assuré.
Le régime met en avant la nécessité du respect de la loi pour justifier son attitude. Le chef de l'état affirme ne vouloir que « faire respecter l'état de droit et la bonne gouvernance ».
« Personne n'est au-dessus de la loi, et tout le monde y est soumis », a-t-il ajouté.
Démonstration de forces
Devant le coup de semonce du chef de l'état, le Premier ministre Charles Rabemananjara a promis de veiller aux grains. Il assure vouloir « tout mettre en œuvre pour appliquer la loi » et faire régner la sécurité.
Jusqu'ici discret sur la question, le pouvoir commence à montrer qu'il n'est pas insensible à l'ultimatum lancé par Andry Rajoelina, maire d'Antananarivo, réclamant plus de liberté d'expression et de démocratie. Au fur et à mesure que l'échéance du 13 janvier approche, son discours se fait plus précis et plus ferme. Et il donne l'impression de ne pas vouloir céder aux revendications du magistrat de la Ville et se prépare en conséquence.
La logique d'affrontement s'installe peu à peu entre le gouvernement et Andry Rajoelina, soutenu par une plate-forme de l'opposition et une partie de la société civile. Si le gouvernement se montre de plus en plus pressant, le maire de la capitale avance également peu à peu ses pions. Il compte organiser un rassemblement, sous forme de culte, sur un lieu annoncé comme l'une des places de la démocratie à Ambohijatovo. Le rendez-vous est fixé pour le 11 janvier, soit deux jours avant l'expiration de l'ultimatum.
 
Lova Rabary-Rakotondravony et Iloniaina Alain
Date : 05-01-2009

express.gifFilière Riz La période de soudure maîtrisée - par MOISE

Filière Riz
La période de soudure maîtrisée
L'approvisionnement du marché local en riz reste régulier. La reprise des exportations est même envisageable.
 
Les Malgaches peuvent dormir sur les deux oreilles. La période de soudure est contrôlée. L'approvisionnement en riz du marché local s'annonce régulier. Pour la dernière campagne, la production est estimée à plus de 4,9 millions de tonnes, alors que le besoin annuel est estimé à 3,8 millions de tonnes.
De plus, la moisson a déjà commencé pour la riziculture de contre-saison et les importations vont bon train. Par conséquent, les prix ont connu une baisse. Le kilo s'affiche entre 1 030 à 1 100 ariary pour le riz local, et 1 060 ariary pour le riz importé.
Doubler la production
La deuxième vague de riz importé de l'Inde, soit les 23 500 tonnes ont été totalement livrées. « Une lettre de remerciement sera expédiée au gouvernement indien à cet effet », explique Freddie Mahazoasy, directeur général du Commerce, de l'industrie et du secteur privé.
Une partie de ce riz sera acheminée vers les régions Anosy et Androy où le kilo se vend à 1500 ariary. « 650 tonnes de riz seront expédiées vers ces deux régions. Cette mesure d’urgence servira à maîtriser la flambée locale du prix », explique le DG.
La quantité restante servira de stock régulateur pour stabiliser le prix. « L'objectif est d'éviter une baisse précipitée du prix pour revenir après un certain temps à une hausse », explique Ivohasina Razafimahefa, ministre de l'Economie, du commerce et de l'industrie.
Du côté de la plate-forme de concertation pour la filière riz (PC riz), les espoirs sont plus grands. Outre l'autosuffisance, la reprise des exportations, suspendues depuis mai 2008, est attendue. « L'autosuffisance sera effective si la production de 7 millions de tonnes attendue cette année est atteinte », avance Andriambololona Rakotovao, président du PC riz. « Nous ne serons plus dépendants des importations, nous pourrons même envisager de reprendre les exportations », explique-t-il.
Une nouvelle plutôt encourageante pour les opérateurs. « La reprise des exportations ne serait que bénéfique pour les exportateurs, étant donné que le prix est plus élevé sur le marché international », déclare l’un d’eux.
Selon les données de l'Observatoire du riz, en début décembre 2008, le cours du riz se stabilise à 350 dollars la tonne.
 
Lantoniaina Razafindramiadana
Date : 03-01-2009

express.gifVœux des Institutions 2009 l’année de démonstration - par MOISE

Vœux des Institutions
2009 l’année de démonstration
Le chef de l'Etat plante le décor et annonce une année de « démonstration » pour 2009, en mettant l’accent sur le respect de la loi.
 
Le président Ravalomanana annonce la couleur. Après l'année du travail en 2008, le chef de l'Etat entend faire de 2009 celle de la « démonstration ».
« Nous allons démontrer toutes nos capacités, et nous encenserons la fierté nationale », a déclaré le président Marc Ravalomanana, hier à Iavoloha. L'annonce a été faite au cours de la première série de présentation de vœux par les chefs d'institution puis par les membres du personnel de la Présidence.
Le chef de l'état a évoqué le Sommet de l'Union africaine de juillet 2009 pour annoncer son intention. Sur le plan interne, les points sont suffisamment appuyés pour la « démonstration », en matière d'Etat de droit, de respect de la loi et de la bonne gouvernance.
Le président Ravalomanana revient ainsi à la charge pour exprimer à nouveau son inflexibilité, déjà annoncée dans le discours qu'il avait prononcé le 31 décembre. « Nous allons appliquer la loi pour tout le monde car personne n'est au dessus de la loi », a-t-il annoncé dans son discours à la Nation.
Avertissement
La déclaration présidentielle s'apparente à un avertissement pour ceux qui pensent mettre la pression sur le régime. Le chef de l'Etat reste pourtant dans le flou, en évitant de citer des exemples concrets. Mais de là à établir un lien entre cette annonce et le bras de fer entre le pouvoir central et la commune d'Antananarivo, il y a un pas à ne pas franchir.
En effet, les autorités régionales ont pris les devants et ont réquisitionné des forces de l'ordre pour transporter des ordures ménagères d'Anosipatrana vers Andralanitra, sans l'autorisation des autorités municipales.
Face au discours présidentiel, l'opposition se veut rassurante. « Il n'est pas question de transgresser la loi. La preuve, personne n'est encore descendu dans la rue », a indiqué l'ancien député Evariste Marson, président du Rassemblement du parti sociale démocratie (RPSD).
Il fait partie de la Plateforme soutenant les revendications de Andry Rajoelina, maire d'Antananarivo, pour la liberté d'expression.
L'ancien parlementaire assure pourtant que « tout est question de rapport de force ». « Le chef de l'état pense qu'il est en position de force, mais on verra. En tout cas, je constate que là où je passe, en provinces, il n'est plus dans les bonnes grâces de la population », a-t-il poursuivi.
 
Iloniaina Alain
Date : 03-01-2009

DébutPrécédent10 pages precédentes [ 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 ] 10 pages suivantesSuivantFin
 
CONTACT DIRECT

Tel DIRECT
032 48 108 33

ou depuis La FRANCE

00 261 30 48 108 33


VOTRE INTERLOCUTEUR UNIQUE
POUR VOTRE VOYAGE

 

CONTACT

AHAONA MADAGASCAR

 
Recherche



CONTACT DIRECT

Tel DIRECT
032 48 108 33

ou depuis La FRANCE

00 261 30 48 108 33


VOTRE INTERLOCUTEUR UNIQUE
POUR VOTRE VOYAGE

 

CONTACT

AHAONA MADAGASCAR

Radio VAZO GASY !!
 

Contactez-nous ! 

 

Moïse

261 32 48 108 33



J'écoute RADIO VAZO GASY

vazo.jpg


smile_pc.gif
 

Si vous utilisez FIREFOX,
CLIQUER sur ce player pour écouter
RADIO VAZO GASY


Détacher le player
content.gif

 
 
^ Haut ^