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La liberté d’expression et de la presse à Madagascar a sa limite.
- par Moïse
Les journalistes malgaches sous pression La liberté d’expression et de la presse à Madagascar a sa limite. Le rapport du gouvernement américain sur le droit de l’homme dans le pays, publié le 8 avril dernier, a remarqué quelques restrictions dans la pratique. Selon ce rapport, certains responsables gouvernementaux ont exercé des pressions sur les médias afin de restreindre les critiques à l’endroit des supposées malversations et ont intimidé des journalistes. Les fermetures des stations de radio en 2004 ont marqué plusieurs associations de la presse malgache. Ces mesures ont concerné Radio Say à Toliara, Sky FM, Feon’i Toamasina et la radio Ny Antsika. Le rapport mentionne aussi des intimidations de journalistes à travers des menaces de poursuites judiciaires, d’emprisonnement, d’amendes et même de mort. De ce fait, l’autocensure se pratique et plusieurs journalistes issus des stations privées avouent l'avoir pratiqué, surtout au niveau local. Selon le rapport du gouvernement américain, le paysage audiovisuel malgache, comprenant 229 stations radio, dont 120 privées et 29 stations télévisées dont 12 privées, reste souple face à certaines contraintes dans leur travail. Les débats demeurent souvent suspendus à des conditions restrictives, même si le métier attire de plus en plus de jeunes à Madagascar. Les défis à relever sont encore nombreux. Fanja Saholiarisoa
Nouvelle publiée
grâce à l'aimable autorisation de l'express deMadagascar 
INFO PALUDISME
- par ESPACE EUROPEEN
mai 2006 bonjour a tous,
Association ESPACE EUROPEEN
Rejoignez-nous pour enrailler faim et paludisme…Nous en avons les moyens (Spiruline et qinghaosu), mais nous avons besoin de vous pour plus d’ efficacité car cela nous concerne tous. Christian et Myriam
en courant septembre un membre de notre association espace-europeen humanitaire, se deplacera dans les regions d'antsirabe, majunga, afin d'etudier la possibilite de lancer la culture d'une plante venant de chine du nom de QINGHAOSU et qui a prouve son efficacite en ce qui concerne le combat contre le paludisme. cette plante est efficace a 90 % et pourra permettre a de nombreux enfants de survivre et cela grace a notre action. si vous vous trouvez en europe et que cela vous interesse, vous pouvez nous contacter, car vous pourrez surement nous aider quelque soit votre metier ou relations. pourquoi nous souhaitons demarrer notre action par un pays qui n'est pas choisi au hasard? que peut nous apporter cette initiative? qui sommes-nous? nous pourrons repondre a toutes vos questions, soit par telephone au 00.33.6.66.71.46.15 ou ====@=====@oceanindien34@yahoo.fr===-- . nous vous remercions d'avance de l'interet que vous prendrez en notre action, sachez que debut 2007 un responsable de notre association humanitaire s'installera au environ de majunga avec sa famille et cela pour un minimum d'une annee, il est bien que vous soyez au courant de ce fait, ce qui vous permettra de juger du bien fonde de notre association qui est base sur l'entraide et non sur un quelconque interet bassement financier. le responsable qui se deplacera en septembre pour un mois, aura aussi comme objectif de trouver un moyen de subsistance pour sa famille et lui meme, dans le principe du commerce equitable, alors si vous avez des suggestions, merci de nous en faire part. a bientot, sinceres salutations. christian
Développement rural-De l’eau potable pour huit régions
- par Moise
Développement rural-De l’eau potable pour huit régions  Une bonne nouvelle pour le milieu rural. Un programme d'alimentation en eau potable et un programme d'assainissement, à mettre en oeuvre en milieu rural, ont été lancés hier à l'hôtel Hilton Madagascar. “Financés par la Banque africaine pour le développement, à travers le Fonds africain pour le développement et l'Etat malgache, à hauteur d'environ 177 milliards Arirary (60 millions unités de compte dont 9 relève de l'Etat malgache), ces programmes consisteront en la mise en place de 1000 forages à pompe à main, 250 forages à pompe à énergie solaire, 30 adductions d'eau dans de grands centres ruraux et 180 adductions d'eau de villages, puis de nombreux travaux d'assainissement”, annonce Razanamihaja M. E. Rakotomaharo, directeur de l'Eau et assainissement auprès du ministère de l'Energie et des mines (MEM). Huit régions en bénéficieront, à savoir Sava, Diana, Melaky, Betsiboka, Sofia, Anosy et Atsimo-Andrefana. La durée d'exécution est prévue pour 3 ans (2006-2008). Ces localités ont été choisies parce qu'elles ont rempli les critères retenus pour l'obtention de ce programme. “Parmi eux, les taux de desserte, l'enclavement, la pauvreté de la population, et surtout le risque aux cataclysmes naturels comme le passage de cyclone et de la sécheresse”, précise le directeur. Cet atelier de lancement d'hier a permis de savoir que la mise oeuvre de ce programme se fera par appel d'offres où l'implication des collectivités locales est fort sollicitée. Pour y parvenir, une action de sensibilisation sera menée. “C'est pourquoi, le programme prévoit le volet Education-information-communication”, annonce-t-il. Teholy Martin
Nouvelle publiée
grâce à l'aimable autorisation de l'express deMadagascar 
Vakinankaratra-Lancement de l’agriculture à grande échelle
- par Moise
Vakinankaratra-Lancement de l’agriculture à grande échelle
 Quatre opérateurs ont répondu présents au projet d'instauration d'une Zone d'investissement agricole (ZIA), lancé par la région du Vakinakaratra. Il s'agit des sociétés Fertilis et Ooay Sarl, basées à Antsirabe, et la société Mitraco avec une entreprise individuelle à Antananarivo. Près de 1700 hectares de terrains ont été mis à leur disposition à raison de 425 hectares par opérateur, dans le cadre d'un bail de cinq ans, renouvelable, le temps pour ces pionniers de mettre en place une agriculture professionnelle et à grande échelle. Au total, les sociétés comptent investir jusqu'à 300 millions ariary dans ce projet. "Ce modèle d'exploitation à grande échelle doit être copié dans les autres régions avec la mise en place des ZIA, mettant à profit leur spécificité respective ", souligne Marius Ratolojanahary, secrétaire général du ministère de l'Agriculture, de l'élevage et de la pêche (Maep). Les occupants de la ZIA ont décidé de créer un groupement d'intérêts économiques (GIE), présidé par Didier Andrianarison. Pour les motiver, l'Etat a décidé qu'ils ne paieront aucune redevance pour la première année de leur installation. Par contre, ils ont l'obligation d'exploiter la totalité des terrains mis à leur disposition dès la deuxième année. "A l'expiration du bail, les terrains leur seront vendus à des prix confessionnels", explique Emile Rakotomalala, PDS de la province d'Antananarivo. Une grande partie des terrains à l'heure actuelle est déjà défrichée. Le riz pluvial domine les activités des opérateurs. La période de moisson est déjà engagée avec une prévision de rendement moyen de 1,5 à 2 tonnes à l'hectare. Mais les opérateurs ont lancé un véritable défi : arriver à doubler ce rendement dès la prochaine saison. Pour cela, ils se sont dotés de machines performantes comme des tracteurs. La location d'une moissonneuse-batteuse est également envisagée. La ZIA du Vakinakaratra est située à 130 KM d'Antsirabe, dans le district de Betafo, une zone jusque-là inaccessible et inhabitée, avec des terrains laissés en friche depuis des années. C'est grâce à un partenariat entre l'Etat et ces opérateurs qu'une piste a pu être ouverte, permettant d'accéder sur les lieux. Mahefa Rakotomalala
Nouvelle publiée grâce à l'aimable autorisation de l'express deMadagascar 
Rencontre-débat littéraire Avec le Dr Ho Hai Viet auteur du livre ‘LE FABULEUX DESTIN DE L'ENFANT AUX PIEDS NUS’
- par Moise
Le Projet BOKIKO

Rencontre-débat littéraire Avec le Dr Ho Hai Viet Communiqué de présentation Rencontre-débat littéraire Avec le Dr Ho Hai Viet auteur du livre ‘LE FABULEUX DESTIN DE L'ENFANT AUX PIEDS NUS’
Présentation : Initiées par Michèle Rakotoson, ces rencontres littéraires s’inscrivent dans l’esprit d’un café-littéraire pour débattre et échanger des idées dans une ambiance conviviale, en s’appuyant sur un ouvrage qui vient de paraître ou sur un personnage éminent de la littérature malgache. Nous inaugurons cette série avec le Dr Ho Hai Viet. Son livre sur le professeur Albert Rakoto Ratsimamanga est un hommage captivant à cet illustre acteur de l’histoire de Madagascar et au scientifique de grande valeur qu’il fut.
La vie d'un précurseur de la médecine traditionnelle scientifique
Editions Harmattan
Animée par Michèle Rakotoson et Claudie Benoit Jeudi 18 mai 2006 à 20h
Au FIAP Jean Monnet - 30 rue Cabanis Paris 13ème - M° Glacière Ces rencontres sont coordonnées par l’association Capri’Com et les Amis des Echos du Capricorne. Collabore à cette première édition l’association Malagasy Mifamelona avec Adrien Rakotonirina. Pr Albert-Rakoto RATSIMAMANGA (1907-2001) : Précurseur dans les domaines du développement durable, des plantes médicinales et de la biodiversité, la vie du professeur Ratsimamanga laissera dans les esprits de ceux qui l’ont côtoyé une trace indélébile d'humanité. Elevé dans la plus profonde misère, son intelligence alliée à une volonté inébranlable lui permettent de franchir toutes les étapes jusqu'à intégrer le CNRS, véritable prouesse pour l’époque (coloniale). Il y mettra au point quatre médicaments majeurs, dont le chef de file des corticoïdes. Revenu à Madagascar, il allie son savoir scientifique à celui des guérisseurs dont la pratique s'appuie sur une flore exceptionnelle. Il élabore à l’Institut qu’il crée, une quarantaine de préparations destinées particulièrement aux malgaches.
Dr Ho Hai Viet
Né au Vietnam, le Dr Ho Hai Viet émigre très tôt en France où il poursuit des études de médecine. Il a fait connaissance avec les travaux et les écrits de feu Ratsimamanga au cours d'une mission à Madagascar en 2004 avec l'équipe de Médecins Sans Frontières, et a décidé de lui rendre hommage à travers cet ouvrage. Il s’attache également à mettre en lumière les relations qui existèrent entre des illustres personnages de son pays d’origine et Rakoto Ratsimamanga.
Michèle RAKOTOSON : écrivain et journaliste sur RFI Claudie BENOIT : animatrice Echos du Capricorne sur FPP
Contact: Claudia SOLOFOLANDY 06 66 19 54 67 mailto:claudie@echoscapricorne.org Une participation aux frais de 5 euros sera demandée. Une séance dédicace autour d’un verre terminera la rencontre.
Article publié grâce à l'aimable autorisation de
Cinéma - Rencontre du film court
- par Moise
 Cinéma - Rencontre du film court : la palme à Razafindralambo
Les résultat du concours de court métrage ont été annoncés vendredi dernier lors d'une cérémonie qui s'est tenue au Centre culturel Albert Camus. Laza, cinéaste et organisateur du concours, s'est déclaré satisfait et a loué la qualité des œuvres en lice. Le premier prix est revenu à "Le jour se lève.. puis se couche", un film d'animation de J.E Razafindralambo, réalisé cette année et d'une durée de 8mn 30. Il évoque le quotidien d'un paysan qui travaille dur sur le champ, en plein jour. Evanoui sous le soleil, il a fait un rêve de rencontrer sa fille qui lui a dit de rentrer chez lui. La durée du travail pour le réalisateur, qui a été de sept mois environ, justifie, selon Laza, la qualité de cette œuvre, la maîtrise technique du mouvement de caméras et des lumières, mais aussi du scénario, en général. "Mora Mora" de Jean Heriniaiana Rakotoarison, un film de fiction, et "Saphira", un documentaire d'Alain Rakotoarison, s'adjugent respectivement la deuxième et troisième place. Le premier évoque le quotidien d' un clochard qui n'est pas trop mécontent de sa vie. Quand à l'autre film, il tourne autour de l'exploitation de gisements de pierres précieuses dans le grand Sud. "Il était très difficile pour nous de faire la différence et de qualifier les douze films, courts-métrages, préselectionnés dans ce concours parce qu' ils ont tous une certaine qualité", a lancé un membre du jury. "C'est pourquoi les membres du jury, composés de réalisateurs, d'artistes plasticiens et de producteurs, ont mis deux jours pour la sélection." Les deux premiers gagnants du concours auront à participer au festival de courts-métrages qui se tiendra à La Réunion, cette année. A cette occasion, ils pourront bénéficier pas mal de rencontres pour enrichir leurs expériences. Quant au troisième prix, il bénéficiera du soutien matériel et moral des organisateurs de cette manifestation au pays. Vavah Rakotoarivonjy
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grâce à l'aimable autorisation de l'express deMadagascar 
Festival du film court de Madagascar
- par Moise Questions à ... Laza, Cinéaste et organisateur des Rencontres du film court
• Pouvez-vous nous dire les objectifs de ces rencontres du film court? 
- Comme nous l'avons toujours affirmé, il s'agit avant tout de mettre en valeur la culture cinématographique, laquelle n'existe pas encore chez nous. Ensuite, c'est une manifestation destinée à l'échange de savoir-faire et d'expériences entre des producteurs et des réalisateurs malgaches et étrangers. Nous, les organisateurs, avons opté pour le film court parce qu'il est facile à réaliser et moins coûteux. • On constate, toutefois, que les réalisateurs et producteurs, les plus connus au pays, ne se sont pas bousculés au portillon... - Chacun est libre de son choix. Nous avons laissé la porte des rencontres grande ouverte. Le concours s'adressait à tous les Malgaches, de la capitale et des provinces. Certains ont répondu, tels que Spy D, Anil. Quant aux absents, je n'en sais rien. Peut-être s'en désintéressent-ils ? • La qualité des films présentés correspond-elle à l'attente des organisateurs? - Il existe des signes encourageant. Personnellement, je ne me suis pas attendu à un nombre aussi important de participants (ndlr: une trentaine de sélectionnés), talentueux les uns les autres. Je les remercie d'avoir répondu à l'appel. Je crois que nous n'avons pas suivi la mauvaise voie en organisant les Rencontres du film court. D'ici peu, je pense que le cinéma malgache existera bel et bien. • Afin de lancer le monde cinématographique malgache, ne vaut-il pas mieux dispenser des formations aux cinéastes nationaux, au lieu de se focaliser sur un concours? - Ce dont nous avons le plus besoin ici, ce n'est pas une école de cinéma. Le plus urgent est, à mon sens, de faire en sorte que nos cinéastes bénéficient de formations spécialisées. Je pense que ce concours du court métrage entre dans cet esprit. Personnellement, j'en ai assez des fausses promesses. On annonce ici et là que d'ici peu, on ouvrira un centre de formation cinématographique. Depuis des années nous l'avons attendu en vain. Par conséquent, j'ai pris la décision de me mobiliser. Il faut agir d'abord et améliorer petit à petit ensuite. J'ai toujours partagé cette idée-là avec mes amis cinéastes. • Comptez-vous élargir le cercle des participants aux rencontres du film court ? - L'année prochaine, nous, les organisateurs, prévoyons de les étendre à toute l'Afrique. Nous nous adresserons à tous les cinéastes du Continent noir. Ce sera une grande première. Les rencontres seront baptisées, dans ce cas, Festival du film court de Madagascar. Propos recueillis par Vavah Rakotoarivonjy
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bonjour a tous, prochainement un membre de notre association va se deplacer a majunga afin d'organiser deux projets : 1) la fabrication tres simple de la spiruline, complement alimentaire - 2) planter des graines d'une plante chinoise qui va proteger du paludisme ceux qui feront des infusions. si vous avec des relations dans cette ville, nous vous remercions de nous en faire beneficier, car le paludisme est terrible pour les populations de madagascar, et nous souhaitons apporter notre concour au bienfait par cette plante. notre ami s'installera definitivement en janvier 2007 sur majunga, a la condition d'être suivit par le gouvernement, a bientot salutations christian et myriam.
Travailleurs de métaux à Ankazobe - Solidarité de fer
- par Moïse
Travailleurs de métaux à Ankazobe - Solidarité de fer Des ouvriers de l’atelier Finoana Fanantenana Fitiavana en train d’assembler un bougeoir.

Aider son prochain. C’est dans cet objectif que Violette Ralalaseheno et son mari Dieudonné Razafinjatovo ont créé l’atelier “Finoana Fanantenana Fitiavana” dans les années 90 à Ankazobe, dans la commune rurale d’Alasora. Avec quelques 210 ouvriers et apprentis résidant dans le fokontany et ses environs, l'atelier se spécialise dans la fabrication d'articles en fer et travaillés à la main. Chacun se met à l'ouvrage de sept heures à midi et de 12h30 à 16h30, soit 9 heures par jour, du lundi au samedi. Dans ce cadre, la tâche est bien répartie, les apprentis dressent et poncent les matières premières, à savoir les tôles de récupération. Certains ouvriers tracent et découpent les modèles à l'aide d’un marteau et d’un pointeau. D'autres s’activent à l'assemblage pièce par pièce ou au montage par des soudures. Enfin, des ouvriers sont chargés de la finition des articles, exposés ensuite dans la boutique. Lanternes, appliques, miroirs, abat-jour, bougeoirs, arrosoirs, seaux, veilleuses, cendriers, statuettes, meubles en fer forgé servant de décoration dans des établissements hôteliers… sont autant de chefs-d’œuvre de la grande famille de l’atelier “Finoana Fanantenana Fitiavana”. “Une partie des employés sont handicapés physiques ou psychiques, ne leur permettant pas de trouver un travail convenable. Parmi ces personnes figurent des infirmes, des sourds, desmuets, d'anciennes toxicomanes… Les autres sont faibles du point de vue intellectuel, pour dire qu'ils ont beaucoup de difficultés pour trouver un emploi”, explique Violette Ralalaseheno, la propriétaire de l’atelier. Dernière chance.

“Seul 1/3 des 210 ouvriers produisent et créent de nouveaux modèles. Le reste, des apprentis, dressent les morceaux de fer de récupération, notre principale matière première”, déclare la première responsable de l’atelier, agissant en bon samaritain. Beaucoup estiment que “Finoana Fanantenana Fitiavana” est un atelier de la “dernière chance” de réussite dans la vie. “Cela me permet de revenir dans le droit chemin et de nourrir mon enfant”, avance une mère célibataire âgée de 20 ans, tout en continuant à dresser une tôle récupérée. Un garçon, un ancien patient de l’hôpital psychiatrique d’Anjanamasina, épouse la même conviction. De son côté, bebe Fara, une dame de 72 ans, autrefois lavandière et paysanne, déclare : “le salaire mensuel d’ouvrière moyenne, s’élèvant à 80 000 ariary, me permet de participer aux dépenses de la famille et de m’occuper de mes petits-enfants”. D’autant qu’à son âge, personne ne l’embauchera, alors que son entourage vit dans le besoin. 4 000 modèles. 
Guidés par leurs patrons, en l’occurrence le couple Razafinjatovo, les ouvriers de l’atelier arrivent à confectionner des beaux articles. A l’heure actuelle, près de 4 000 modèles en fer travaillés à la main ont été créées dans l’atelier. “Parmi ceux-là figurent des produits commerciaux et des œuvres artistiques abstraites”, confie la propriétaire. De fait, la création se fait à travers leurs inspirations, suivant des modèles dans les catalogues, ou encore en fonction des commandes de la clientèle. les matières premières les plus usitées sont les tôles de récupération, les brocantes étant les premières fournisseusses. “Nous avons commencé dans la fabrication et la vente de seaux et d'arrosoirs, en 1993. Puis, nous avons diversifié nos articles après quatre ans. En fait, mon mari a reçu une formation en France, en ce temps-là. En effet, il a remporté le premier prix lors d’un concours de création organisé à l'intention des artisans malgaches”, explique Violette Ralalaseheno. Le prix des articles varie de 1 000 à 800 000 ariary selon de leurs dimensions. Les baobabs en fer forgé s’avèrent être les plus chers. Les chefs-d’œuvre des artisans du fer sont destinés au marché local et à l’exportation. “Nous essayons de lancer nos produits en participant à des foires internationales à La Réunion, en France, en Suisse et en Italie, cinq fois par an”, ajoute-t-elle. Jusqu’ici les étrangers sont plus attirés par les articles réalisés par l’atelier. Pour preuve, les Malgaches ne constituent que 20% de la clientèle. ”Néanmoins, nos compatriotes commencent à s’y intéresser”, avoue la propriétaire. Henintsoa Andriamiarisoa http://www.lexpressmada.com/article.php?id=42821&r=13&d=2006-04-26
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Nouvelles technologies : Microsoft certifie 200 jeunes filles
- par Moïse
Education - Microsoft certifie 200 jeunes filles 200 jeunes filles bénéficiaires du programme d’allocation de bourses des Etats-Unis (AGSP) ont découvert les Nouvelles technologies (Ntic) comme l'utilisation de l’ordinateur et de l’internet. Cela leur a été permis grâce à l’appui de la compagnie américaine Microsoft qui a assuré l’initiation de ces élèves durant deux jours. George Sibley, le chargé d'affaires de l'ambassade des Etats-Unis à Madagascar, a honoré de sa présence la cérémonie de clôture mercredi à la salle Tic du lycée J. J. Rabearivelo. Il a souligné que ces jeunes filles méritaient de participer au programme et a remis un dictionnaire à chacune d'elles. A part celles de la capitale, plusieurs jeunes filles de Toamasina et Fianarantsoa auront également leur part. Notons que ce programme vise à aider l’accès des jeunes filles à l’éducation jusqu’à la classe de 3ème ou de Terminale en leur octroyant des bourses d'étude. Madagascar fait partie des 45 pays éligibles à ce programme. Les plus vulnérables telles que des handicapées physiques, des orphelines, des jeunes issues des milieux défavorisés sont les plus primées. Pour Madagascar, l’AGSP concerne les frais scolaires, les allocations mensuelles pour les matériels scolaires et les diverses formations dont celle sur les nouvelles technologies. Chaque année, le montant du financement du programme s’élève à plus de 163 000 dollars et ce jusqu’en 2008. Fanja Saholiarisoa http://www.lexpressmada.com/article.php?id=42632&r=13&d=2006-04-20
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