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14000 observateurs pour la présidentielle
- par moise44
Election 14000 observateurs pour la présidentielle Ils seront plus de 14 000 observateurs à suivre le déroulement de l’élection présidentielle du 3 décembre. Parmi eux, 128 viennent de l’étranger, aussi bien d’Afrique que d’Europe et d’Asie.

Les membres de l’Election Institute of Southern Africa (EISA), conduit par l’ancien premier ministre mauricien Paul Bérenger (au centre), font partie des observateurs de l’élection. A droite, Denis Kadima, secrétaire général de l’EISA, à gauche, Dieudonné Tshiyoyo, coordonnateur de la mission de l’EISA. Le Conseil national électoral (CNE), l’organe de supervision du scrutin, publie la liste des observateurs accrédités pour suivre l’élection du 3 décembre.
Au total, ils sont 14535 observateurs accrédités auprès du CNE. Ce sont les chiffres rendus publics hier par Théodore Randrezason, le président du CNE. Ces observateurs représentant 38 organisations locales et huit organismes étrangers. suivront le déroulement du scrutin jusqu’à la proclamation des résultats. A défaut d’être présentes dans tous les bureaux de vote, les organisations d’observation des élections essayeront de couvrir le maximum de localités. C’est ainsi que les observateurs seront à pied d’oeuvre tant dans les grandes villes que dans les communes rurales.
Subvention européenne Le CNE disposera, selon son président, de 3 500 observateurs qui seront en poste dans tous les districts afin d’assurer une couverture nationale. Le Comité national pour l’observation des élections (Cnoe), en collaboration avec des associations locales, répartira 2 200 observateurs dans les 116 districts. Justice et Paix, une ONG catholique en déploiera 8 000 dans 45 districts. Pour sa part, Accès Zon’olombelona, une association militant pour le respect des droits de l’Homme aura 700 représentants disséminés dans 40 districts. Les responsables du Andrimaso FFKM, avec de g. à dr., Seth Rasolonjatovo, Zafimandimby et Adolphe Rakotoarisoa, sont parmi les observateurs. Quant à la plate-forme des organisations de la société civile, elle sera présente dans une quarantaine de communes de la région Haute Matsiatra. Elle a pris l’appellation Centre d’échanges de documentation inter institutionnelle (CEDII) dans le cadre de cette missioin d’observation. Justice et Paix et Accès Zon’olombelona et le CEDII qui avaient répondu à l’appel à manifestation d’intérêts lancée par le CNE ont reçu une subvention de la part de l’Union européenne.
 Les responsables du Andrimaso FFKM, avec de g. à dr., Seth Rasolonjatovo, Zafimandimby et Adolphe Rakotoarisoa, sont parmi les observateurs. 128 observateurs étrangers De leur côté, les organisations régionales et internationales dépêcheront 128 observateurs. sur le sol malgache. Certains sont déjà sur place. Il s’agit entre autres de l’Institut électoral de l’Afrique australe (EISA), une ONG basée en Afrique du Sud, de l’Electoral Commission Forum, organe de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC), de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), et encore l’Union européenne. La Suisse et le Japon auront également des observateurs. Le pouvoir se félicite de la présence d’observateurs pour suivre le scrutin présidentiel. "Cela rendra plus crédible l'élection. Nous voulons qu’elle soit un modèle du genre en Afrique", commente Moxe Ramandimbilahatra, conseiller du président de la République. Lors de l'élection présidentielle de 2001, l'observation des élections était essentiellement assurée par le Consortium composé du Andrimaso FFKM, Justice et paix et le CNOE. A l'époque, le président Didier Ratsiraka n'était pas très chaud pour la venue des observateurs internationaux, évoquant la question de la souveraineté nationale. C’est ainsi qu’aucun observateur étranger n’avait été accrédité. Pour la consultation du 3 décembre, la situation est totalement différente.
Iloniaina Alain Date : 28-11-2006
Association des bijoutiers lapidaires et exploitants miniers de Madagascar
- par Moïse
Election présidentielle à Madagascar : Premier tour le 3 décembre
- par moise44
Election présidentielle à Madagascar : Premier tour le 3 décembre Cela fait aujourd’hui dix jours que la campagne électorale a été lancée à Madagascar. Elle s’achèvera le 2 décembre prochain à la veille du premier tour de l’élection présidentielle. Contestée par une partie de l’opposition, la date du scrutin choisie par le gouvernement et validée par la Haute cour constitutionnelle ne devrait néanmoins pas changer. C’était l’un des objectifs du général Fidy en lançant le week-end dernier sa tentative de coup de force.
[22 novembre 2006] POUR EN SAVOIR PLUS, cliquez ci-dessous.... . 
ELECTION PRESIDENTIELLE
- par Moïse
Course à la présidence Quatre candidats s'échappent A neuf jours du scrutin présidentiel, quatre candidats émergent dans la campagne électorale. Les autres pataugent dans les déclarations, les réunions et les contestations. 
De gauche à droite et de haut en bas, Marc Ravalomanana, Norbert Lala Ratsirahonana, Herizo Razafimahaleo et Roland Ratsiraka. Bilan des deux premières semaines de campagne. Deux sortes de candidats se profilent. Ceux qui, vu l’affluence des électeurs lors des rencontres, veulent être au deuxième tour, et les autres qui contestent les élections et font campagne commune. La première tendance de la campagne électorale pour la présidentielle se confirme, après quatorze jours d’intenses explications entre les candiats. Quatre parmi eux acceptent de passer par le verdict des urnes le 3 décembre. Il s’agit de Marc Ravalomanana, Norbert Lala Ratsirahonana, Herizo Raza- fimahaleo et Roland Ratsiraka. Les dix autres, c'est-à-dire Ny Hasina Andriamanjato, Jean Lahiniriko, Manandafy Rakotonirina, Philippe Tsiranana, le général Ferdinand Razakarimanana, Monja Roindefo, Elia Ravelomanantsoa, les pasteurs Daniel Rajakoba et Jules Randrianjohary ainsi que Pety Rakotoniaina, continuent de soutenir la thèse de l’inconstitutionnalité de l’élection présidentielle du 3 décembre. Dans la première catégorie, Marc Ravalomanana est en passe de réaliser ce qu’il a promis. Faire le tour de Madagascar en vingt et un jours en visitant en personne des districts et même certaines communes. Pour lui, les choses sont claires. "Continuer la route du développement, c’est aussi construire des écoles, bâtir des hôpitaux, offrir aux jeunes des aires de loisirs et divertissements". Le tout résumé dans le Madagascar action plan (MAP) déjà approuvé par les bailleurs de fonds. Un programme conçu par et pour les Malgaches et non une propriété de Marc Ravalomanana. Son comité de soutien, IMMR (Isika Manohana an'i Marc Ravalomanana), est aussi très actif à travers le pays. Le docteur Emile Ratefinanahary annonce plusieurs manifestations du IMMR dès ce week-end jusqu’à la fin de la propagande. Cette présence permanente des partisans de Marc Ravalomanana auprès des électeurs peut être décisive pour gagner leurs voix . 
Pety Rakotoniaina, Ferdinand Razakarimanana et Ny Hasina Andriamanjato (de g. à dr.) figurent parmi les candidats adeptes des réunions. Norbert Lala Ratsirahonana, du parti Asa vita ifampitsarana (AVI), fait de son mieux pour suivre le rythme infernal imposé par Marc Ravalomanana. Il se forge l’image d’un "raiamandreny" de la Nation, avec une expérience réelle du pouvoir. "Je n’aurais pas agi de la sorte. Un "raiamandreny" sait écouter ses enfants, même les plus indisciplinés. Il n’a pas à hausser le ton en public", commente-t-il à propos de l’intervention musclée de Marc Ravalomanana dimanche à Antsonjobe. Les partisans de Norbert Lala Ratsirahonana sont confiants de la présence de leur favori au second tour. Dans ses discours, le candidat de l’Avi promet monts et merveilles, pour ne citer que la hausse des salaires, la gratuité des soins médicaux ou encore le respect de la démocratie tous les jours. Tout cela enrobé dans des discours très critiques à l’encontre de Marc Ravalomanana. Confiance De son côté, Herizo Razafimahaleo retrouve peu à peu la confiance en lui-même. Il a reçu un acceuil enthousiaste à Maintirano et Antsohihy, deux fiefs du RPSD-Vaovao. Ce parti de Jean Eugène Voninahitsy apporte de l’eau au moulin du fondateur du Leader Fanilo. "Les citoyens en ont assez des manœuvres mensogères de l’actuel pouvoir. Même durant cette campagne, les dirigeants continuent de bluffer l’opinion par diverses pressions pour que les meetings du président-candidat attirent du monde. Les citoyens sont décidés à en finir avec les spécialistes de la poudre aux yeux", prévient-il après son passage à Brickaville. Le fait qui aura sans doute marqué ces deux semaines de campagne, a été la montée en puissance de Roland Ratsiraka. Après une entrée réussie à Andavamamba, au cœur des petites gens de la capitale, Roland Ratsiraka a piétiné les plates-bandes de Jean Lahiniriko à Toliara, avant de faire le plein chez lui à Toamasina. Dans la seconde catégorie de candidats, certains continuent de faire campagne pour une élection qu’ils contestent. En matière de contradiction, il est difficile de faire mieux. C’est le cas de Pety Rakotoniaina qui donne l’impression de concentrer ses cartouches à Fianarantsoa et ses environs. Elia Ravelomanantsoa qui veut marcher sur les traces de Segolène Royal, continue à expliquer sa thèse sur la solidarité féminine. Elle limite sa campagne dans la capitale. Eric Ranjalahy Date : 25-11-2006
Reconstruction de Manjankamiadana
- par moise44
Patrimoine Une partie de Manjakamiadana démolie pour des raisons de sécurité Les travaux de reconstruction du Rova vont bon train malgré les intempéries de ces derniers jours. Toutefois, présentant des fissures, la façade Est du Palais a dû être détruite. Une vue des travaux du Rova depuis l’entrée principale. Sécurité oblige! “C'était une démolition d'ordre purement technique”. La déclaration, ou plutôt la précision, est de Thomas Rakotondrapiera, un des chefs de chantier de l'entreprise Colas, maître d'oeuvre des travaux de reconstruction du Rova de Manjakamiadana. Ainsi, d'après cette explication, il n'y a pas eu d'écroulement au Palais de la Reine, comme certains ont laissé entendre. “Le fait est que, suite à une fissure constatée il y a quelque temps, nous avons décidé de détruire une partie du mur qui se trouve sur le façade Est du Palais”, rectifie notre interlocuteur. “La destruction s'est déroulée le mardi 21 novembre vers 11 heures 30” précise-t-il. Selon ceux qui y ont assisté, la démolition s'est faite de manière professionnelle. Ceci pour dire qu'elle n'a occasionné aucun dégât matériel, ni humain. Avant de passer à l'acte, Colas ainsi que le Comité national du patrimoine (CNP) se sont réunis afin de fixer les procédures de la démolition. Ainsi, seuls les spécialistes étrangers ont pris en main la démolition de la partie concernée. “Ces derniers s'en sont occupés du début jusqu'à la fin, sans doute pour éviter les éventuels dégâts”, témoigne un des gardiens du Palais. “Cette démolition a été entreprise par souci de sécurité pour les travailleurs”, fait remarquer Thomas Rakotondrapiera. Autrement dit, la fissure pouvant causer des accidents de chantier pendant la durée des travaux, cette opération était nécessaire afin de pouvoir poursuivre normalement le chantier. Comprenant deux étages, la partie détruite sera par la suite rebâtie. Après tout, malgré cet “incident”, la reconstruction du Rova se poursuit actuellement. “En principe, nous terminerons le balayage des lieux pendant cette semaine. Ce qui veut dire que la semaine prochaine, nous nous attelerons à la suite des travaux entrepris depuis”, fait savoir le chef de chantier.
Andry Drouot Date : 23-11-2006
Nouvelle publiée
grâce à l'aimable autorisation de l'express deMadagascar 
Alcoolisme et Beaujolais, c'est selon !
- par moise44
Evènement culinaire Le Beaujolais nouveau est arrivé L'hôtel Colbert, fidèle à la tradition, fête l'évènement. Eric Koller son DG adjoint en parle. .

Eric Koller (à g.) dans la cave à vin de l’hôtel Colbert. • Express de Madagascar : Comment se célèbre en France l'arrivée du Beaujolais nouveau ? - Tous les bars connaissent un afflux de clients inhabituels. En général, les cafés et les établissements hôteliers mettent, dès 6 heures du matin, des assiettes de charcuterie à leur disposition pour accompagner la nouvelle cuvée.
• Plus près de nous à Antananarivo, comment perpétuez-vous cette tradition ? - Par un buffet campagnard. Pour ceux qui le souhaitent, nous vendons aussi dans nos deux bars et nos deux restaurants, ce qu'on appelle communément des pots de vin. Ce sont des verres d'une capacité de 50cl. LIRE LA SUITE......
Questions à … Dr Rakotobe Andriamaro “Le manque de loisirs favorise l'alcoolisme” Le président de la Fédération des associations chrétiennes luttant contre l'alcoolisme et autres toxicomanies évoque une hausse des cas d'alcoolisme à Madagascar.  • Pour quelles raisons les associations chrétiennes de lutte contre l'alcoolisme se regroupent-elles en une fédération ? – Ce regroupement est née du constat d'une hausse de la prévalence de l'alcoolisme et du tabac à Madagascar, ces dernières années. Les statistiques indiquent que six litres d'alcool par an et par habitant sont consommés dans le pays. Il va sans dire que les actions de sensibilisatin menées par des associations chrétiennes, comme la Croix Bleue, au sein des églises n'ont pas porté leurs fruits. D'où la nécessité de s'unir en une fédération pour une synergie des actions. Il s'agit de collecter les expériences et de coordonner les interventions pour aider les alcooliques et leurs familles. Il faut obtenir de meilleurs résultats. LIRE LA SUITE.....
Nouvelle publiée
grâce à l'aimable autorisation de l'express deMadagascar 
Mutinerie : coup d'éclat médiatique
- par moise44
Mutinerie L'acte du général Fidy qualifié de coup d'éclat médiatique par Sylla Pour le premier ministre, ce qui s'est passé le week-end dernier est plus un coup d'éclat médiatique qu'autre chose. 
Le premier ministre Jacques Sylla défend son gouvernement. En attendant que la Justice qualifie l'acte perpétré par le général Randrianfidisoa le week-end dernier, le premier ministre Jacques Sylla sait déjà comment le nommer. "C'était un coup d'éclat médiatique", déclare-t-il hier, au Sénat. "C'est l'issue des enquêtes qui déterminera s'il s'agissait d'un coup d'Etat ou d'autre chose. Mais en tout cas, l'objectif était de médiatiser l'action ", souligne-t-il. Le chef du gouvernement a profité de la séance de présentation du plan d'action pour Madagascar (Map) pour s'exprimer sur les événements du week-end. A l'entendre, rien d'important ne s'est passé vendredi, samedi et dimanche derniers, si ce n'était l'ampleur des échos qu'en ont fait les médias. "Tout est rentré dans l'ordre dès dimanche, le reste n'est que rumeurs et exagérations", lance le chef du gouvernement. Il ajoute que " le gouvernement a très vite maîtrisé la situation et que les armes dérobées, du moins la plupart d'entre elles, ont déjà été rendues". Le premier ministre poursuit: "la vie quotidienne s'est poursuivi normalement, aussi bien à Ivato qu'à Antananarivo, ou même dans l'ensemble du pays. La vie nationale ne s'est pas arrêtée, encore moins la campagne électorale". Et comme pour montrer que rien d'inquiétant ne s'était produit, il rappelle que "nous-mêmes, les membres du gouvernement et moi, avons été à l'aéroport à, à peine, un kilomètre de l'endroit où tout cela s'est passé, dans la matinée du samedi". Vigilance D'après Jacques Sylla, d'ailleurs, "le général Randrianafidisoa n'a pu rallier à sa cause ni ses amis au sein des forces armées, ni le peuple. Son objectif était d'amener les forces de l'ordre, militaires, gendarmes et policiers à se rebeller, mais il n'a pas réussi à les entraîner". "La poignée de personnes", comme le qualifie le chef du gouvernement, qui a rejoint le général dissident doit pourtant s'attendre à des sanctions. "La loi s'appliquera à tous ceux qui sont impliqués dans cette affaire et qui ont été complices", avertit Jacques Sylla. Il parle de "ceux qui ont fourni les armes ou ceux qui ont aidé le général à se cacher ou à s'enfuir". Le gouvernement ne veut pas donner trop d'importance aux événements, mais le Premier ministre ne veut pas baisser la garde. "Le gouvernement restera vigilant jusqu'à ce que cette affaire se soit complètement arrangée avec l'arrestation des personnes concernées", conclut-il. Lova Rabary-Rakotondravony Date : 22-11-2006
Nouvelle publiée
grâce à l'aimable autorisation de l'express deMadagascar 
Les enfants revendiquent le respect de leurs droits
- par moise44
Réalités : Les enfants revendiquent le respect de leurs droits Le respect des droits des enfants demeure un voeu pieux. La manifestation, tenue lors de la célébration de la Journée internationale consacrée au thème, le 20 novembre, a mis en évidence ce fait, et les enfants veulent améliorer leur vécu au quotidien. Le droit d'aller à l'école. Une annonce parue dans les journaux de la Grande île a retenu l'attention des lecteurs. Une insertion qui sort de l'ordinaire, vu qu'elle n'a pas été saisie à l'ordinateur, mais écrite à la main par des enfants. 
Outre un rappel de la célébration de la Journée internationale des droits des enfants, le communiqué interpelle le futur président de la République malgache, qui sera élu après le 3 décembre, de les accorder et d'y veiller. Une liste des dix principaux droits est mentionnée et que l'on peut lire en annexe. Ils restent bafoués à Madagascar dans leur globalité. Certes, des efforts ont été menés par le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) et ses partenaires mais d'autres étapes considérables exigent l'attention des autorités. 
Un dernier chiffre officiel émanant du représentant de l'Unicef, Bruno Maes, rappelle que “60 000 enfants de moins de cinq ans meurent chaque jour de maladies préventives et guérissables”. Cela étant, cette couche de la population nécessite plus de soins et d'attention. En effet, la Grande île comptera bientôt 9 millions d'enfants, c'est-à-dire les moins de 18 ans. La première démarche dans le sens de leur protection consiste à respecter leurs droits à la lettre. Ce qui n'est pas du tout le cas. A l'occasion de la célébration de cette journée internationale, l'association Gasy Tsara a bien voulu nous accorder des interview auprès de ses membres composés d'enfants de 8 à 15 ans, tous issus de familles défavorisées. On y compte même des jumeaux abandonnés par leurs parents, suite aux pratiques traditionnelles. De même, l'association reçoit des enfants ayant subi d'actes de violence par leurs proches. “Leur prise en charge permet de mettr Le droit de s'informer. e en exergue leurs droits. Et c'est ce qui manque dans la Grande île”, note Naivo Célestin, président-fondateur de l'association folklorique Gasy Tsara. Avec son accord, nous avons dressé des portraits sur le quotidien de ces enfants, du moins ceux qui veulent en parler. Ils désirent partager des cas de non respect de leurs droits et encore pratiqués aujourd'hui. Ces enfants espèrent que la situation s'améliorera dans tout Madagascar. Afin de te protéger... Tu as le droit de vivre, l'Etat doit te protéger, tu as le droit de bénéficier des meilleurs soins possibles. Tu as le droit d'avoir un nom et une nationalité dès ta naissance. Ta vie privée doit être protégée. Tu dois pouvoir aller à l'école. Cet enseignement est gratuit et obligatoire. La discipline scolaire doit te respecter, tu ne dois donc pas être maltraité. L'éducation doit te préparer à vivre dans un esprit de paix et dans le respect des autres. Tes parents ont la responsabilité de t'élever. Tu dois avoir du temps pour le repos, le jeu et les activités culturelles. Tu dois être protégé contre les brutalités physiques ou mentales, la négligence ou l'abandon, et aussi contre toute forme de violence sexuelle. En cas de problème, tu devras être secouru et aidé par des organismes spécialisés. L'Etat doit te protéger contre tout travail nuisible à ta santé ou à ton éducation et contre l'usage et le trafic des drogues. Tu as le droit à la liberté de pensée, d'opinion et de religion. Tu as le droit, dès un certain âge, de donner ton avis sur des décisions qui concernent ta vie et ton avenir. Tu as le droit de participer aux activités d'une association. Tu es membre à part entière d'une famille et un grand nombre de tes droits sont exercés par tes parents ou avec leur assistance. Tes parents, comme tes éducateurs, ont un rôle de guides pendant ton enfance et ton adolescence. Source: Internet Fanja Saholiarisoa Date : 22-11-2006
Madagascar à l'heure du tourisme durable
- par moise44
Développement Madagascar à l'heure du tourisme durable La première édition des Assises nationales sur le tourisme durable se tient depuis hier, à l'hôtel Panorama, à Andrianarivo. Initiée par les étudiants du département interdisciplinaire de formation professionnelle de l'Université d'Antananarivo, cette manifestation veut intégrer la notion de durabilité dans les activités touristiques. “Le tourisme doit être exploité de manière rationnelle sur le plan écologique, viable économiquement, mais surtout équitable pour la population”, a expliqué Sylvain Charles Rabotoarison, ministre de l'Environnement, des eaux et forêts, de la culture et du tourisme, lors de la cérémonie d'ouverture de la manifestation, hier. Face aux nombreux défis actuels du secteur, la délimitation des risques et du champ d'action se révèle pertinente. Le but de cette initiative est de faire connaître aux opérateurs et autres acteurs de la filière, cette nouvelle approche. “Si nous voulons faire durer les bénéfices générés par le tourisme, il nous faut protéger nos atouts”, a fait savoir un opérateur. Cette notion tient en ligne de compte les intérêts de toutes les entités concernées par cette activité. Un des aspects les plus flagrants dans ce cas, est la divergence des intérêts entre l'appel aux investissements touristiques et la protection de l'environnement. “Nous devons trouver un juste équilibre entre ces deux tendances”, a expliqué Joël Randriamandranto, président du conseil d'administration de l'Office national du tourisme de Madagascar. Au bout des trois journées de réflexion, les participants à cette assise devront orienter l'exploitation touristique vers la durabilité. “Nous devons aboutir à un schéma de développement pour l'application effective de modèle de tourisme local durable en tant qu'alternative à la préservation des ressources naturelles, et à la réduction de la pauvreté”, fait remarquer Sylvain Charles Rabotoarison. Un plan d'action concret, précis et réalisable à court, moyen et long termes devra voir le jour au bout de ces trois journées. La protection de l'environnement humain et naturel devra désormais s'intégrer dans la conception même du tourisme à Madagascar. Doda Andrianantenaina Date : 22-11-2006 Nouvelle publiée
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Déroutement cause fusillade d'un avion de Air Madagascar
- par Moïse
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