VOUS RECHERCHEZ... |
Votre grand Voyage à Madagascar
STUDIOS Meublés CENTRE-VILLE
|
|
|
 |
Nouvelles |
 |
|
Les employés de l'entreprise franche Glory Garment sont en grève depuis deux jours.
- par moise44
Ambohibao Antehiroka Les employés de l'entreprise franche Glory Garment sont en grève depuis deux jours. Ils revendiquent le paiement du rappel de leur congé 2006 et de leurs heures supplémentaires. Un début d'année mouvementé pour l'entreprise franche gérée par des investisseurs chinois, Glory Garment, installée à Ambohijanahary-Antehiroka. Sept cent cinquante employés ont entamé l'arrêt général du travail, lundi. Le rappel de leur congé 2006 et le paiement des heures supplémentaires sont à l'origine de leur manifestation. “Le paiement aurait dû se faire, samedi dernier, comme il nous l'a été promis. Comme nous n'avons rien perçu, nous avons décidé de mener une grève générale pour exiger notre dû”, informe un des grévistes, réunis devant le portail de l'entreprise, lundi. “Nous ne reculerons devant rien tant que l'argent ne nous est pas versé”, souligne l'un d'eux. Aucun pourparler n'ayant été ouvert, lundi, la grève s'est poursuivie, hier. Néanmoins, grâce à l'intervention du maire de la commune d'Antehiroka, une rencontre a été organisée entre les employés et les responsables de l'entreprise. Conditions de travail dénoncées “Il a été convenu que le paiement d'une partie des heures supplémentaires se fera le 20 janvier. Le reste sera versé à la fin du mois de février. A condition que les employés rejoignent leur travail, mardi à 12h30”, souligne Wuzhongxing, directeur général de Glory Garment. Cependant, aucun d'eux n'a repris le travail, arguant qu'ils attendent la délégation envoyée à la direction de l'inspection du travail. De son côté, le directeur général de l'entreprise affirme : "Une partie des droits de congé était déjà inclue dans les salaires perçus de janvier à décembre 2006”. Une affirmation contredite par les employés qui signalent qu'ils n'ont reçu que le salaire de base tout au long de l'année. “Parfois, la somme n'était même pas complète. Sans parler des conditions déplorables dans lesquelles nous travaillons”, précise une femme. "L'horaire de travail peut aller jusqu'à 22 heures, sans que le transport du personnel ni la cantine ne soient assurés convenablement", déplore-t-elle. “Nous ne percevons qu'Ar 3 000 pour le travail obligatoire du dimanche”, signale un autre employé. Le patron de Glory Garment rétorque : "Nous essayons de toujours respecter la loi et, en cas de divergence, nous cherchons à régler les problèmes et à payer les résidus de salaires des employés". Il ajoute : "Chaque jour de grève coûte 5 000 dollars de perte à l'entreprise". La grogne des grévistes persiste, cependant, dans la cour de l'entreprise franche. Ils ne comptent pas reprendre leur travail tant qu'ils ne seront pas sûrs d'être payés. Une grève néfaste pour les foyers Delphine Rakotondratary, mère d'un enfant, supporte mal la grève dans l'entreprise où elle exerce depuis trois ans et demi. Femme d'un menuisier, elle compte le jour où le patron lui paiera ses heures supplémentaires et ses droits de congé. “Ce non paiement de nos droits se répercute gravement sur mon ménage. Mon mari n'arrête pas de me demander quand je percevrai enfin l'argent. Nos dettes s'alourdissent car, depuis quelque temps, son travail ne marche pas beaucoup non plus”, explique-t-elle, toujours présente à la grève. Comme ses collègues, samedi, elle était venue à l'usine pour recevoir une certaine somme, mais elle était rentrée bredouille, le moral à zéro. “Nous avons besoin de cet argent. J'espère que le patron nous donnera bien vite satisfaction. La situation ne s'annonce pas bonne pour nous. Je crains même qu'elle n'empire avec l'évolution de la grève”, s'inquiète-t-elle. Fanja Saholiarisoa Date : 10-01-2007
Nouvelle publiée
grâce à l'aimable autorisation de l'express deMadagascar 
50% des enfants dépourvus de pères au centre Akamasoa
- par moise44
50% des enfants dépourvus de pères au centre Akamasoa L'annonce présidentielle est accueillie avec espoir par les femmes issues des milieux défavorisés. Lors de la présentation des voeux des corps constitués et diplomatique, le président Marc Ravalomanana a prévenu les hommes qui n'assument pas leur devoir de paternité : “Je les pourchasserai partout. Les récidivistes ont intérêt à changer d'attitude, car une loi sur l'obligation de passer un test d'ADN sera votée”, a-t-il alors déclaré. Les femmes sont nombreuses à souffrir de l'abandon de leurs maris. Tel est le cas de Delphine qui s'est réfugiée, il y a trois ans, au centre d'accueil d'Andralanitra. Elle y est entrée, accompagnée des trois enfants qu'elle a eus avec son mari. Ce dernier est parti refaire sa vie à Mahajanga. “Il en avait assez de notre pauvreté, et la maladie chronique, dont je souffre, lui était insupportable", explique-t-elle. "Nous n'avons plus aucun contact avec lui”, ajoute-t-elle. Delphine essaie de refaire sa vie, comme tant d'autres femmes, au centre Akamasoa. La plupart ne rêvent que de la concrétisation de la nouvelle initiative présidentielle, leurs familles faisant face, avec difficulté, à cette absence de paternité. Selon le père Pedro Opeka, fondateur d'Akamasoa, 50% des familles prises en charge par le centre, sont dépourvues de pères. “Chaque jour, nous recevons 60 femmes abandonnées. Ce problème aggrave au plus haut point leur faiblesse, car elles ne peuvent plus subvenir à leurs besoins ni à ceux de leurs enfants”, souligne-t-il. “La vraie famille est une structure constituée du père, de la mère et de(s) l'enfant(s). Elle devient un handicap si un de ces éléments manque”, explique un psychologue. Au centre Akamasoa, les femmes qui demandent de l'aide, ne peuvent plus affronter la vie quotidienne. L'appel présidentiel est, en quelque sorte, une prise en considération de leurs cas. Fanja Saholiarisoa Date : 10-01-2007 Nouvelle publiée
grâce à l'aimable autorisation de l'express deMadagascar 
Madagascar, premier utilisateur de la pico turbine dans le monde
- par moise44
Madagascar, premier utilisateur de la pico turbine dans le monde
La crise de l'énergie étant ce qu'elle est, la pico turbine, un générateur d'électricité à aimant permanent entraîné par l'énergie de l'eau est expérimenté à Madagascar... Vous voulez en savoir plus ???
Madagascar: la continuité.....(REUTERS)
- par Moïse Marc Ravalomanana à Antananarivo (c) Reuters Faut-il s'en réjouir? Ou craindre le pire pour l'un des peuples plus plus pauvres de la Terre?
Le président malgache sortant, Marc Ravalomanana, a été officiellement proclamé samedi 23 décembre vainqueur de l'élection présidentielle du 3 décembre par la Haute Cour constitutionnelle (HCC). Selon les résultats officiels annoncés par la HCC ce samedi, Marc Ravalomanana a été élu dès le premier tour de la présidentielle avec 54,79% des voix, pour un nouveau mandat de cinq ans. "Le candidat Ravalomanana Marc est élu président de la République car il a obtenu plus de 50% des suffrages", a déclaré le président de la HCC, Jean Michel Rajaonarivony, lors d'une cérémonie au ministère des Affaires étrangères à Antananarivo. Madagascar est l'un des pays les plus pauvres du monde. En 2002, la contestation des résultats du premier tour de la présidentielle de décembre 2001 avait provoqué de fortes violences post-électorales. Des dizaines de personnes avaient trouvé la mort et le pays avait été laissé exsangue au niveau économique http://relatio.blogspirit.com/archive/2006/12/23/madagascar-la-continuite.html
Marc Ravalomanana officiellement vainqueur de la présidentielle à Madagascar
- par moise44
Le 23 décembre 2006 - 12:34 Marc Ravalomanana officiellement vainqueur de la présidentielle à Madagascar Presse Canadienne La Haute Cour Constitutionnelle de Madagascar a officiellement proclamé samedi le président sortant Marc Ravalomanana vainqueur du scrutin présidentiel du 3 décembre, rejetant les accusations de fraude de ses opposants. Selon la Haute Cour, le chef d'Etat a recueilli 54,8% des suffrages. Son principal rival, Lahiniriko Jean, ancien président de l'Assemblée nationale, est loin derrière avec 11,7% des suffrages. Ses partisans avaient fait savoir qu'ils contesteraient une victoire du président sortant au premier tour, avançant des problèmes d'inscriptions sur les listes électorales. Info publié par MATINTERNET QUEBEC http://www.matin.qc.ca/monde.php?article=20061223123459
NOEL A MADAGASCAR
- par moise44
Fêtes de fin d'année Ruée vers les marchés publics, calme dans les restaurants Grande affluence aussi bien dans les rues que dans les magasins en ces fêtes de fin d’année. Faire ses emplettes avant les fêtes devient une tâche ardue pour les Tananariviens. Au jour J-2 de la fête de Noël, il est impossible de se promener dans le grand centre-ville devenu noir de monde. Les grands restaurants, eux, attendent d'avoir plus d'affluence. Les embouteillage sont monstrueux. Il devient très difficile de circuler dans les rues de la capitale. Les voitures se mêlent aux passants de plus en plus nombreux qui s'empressent de faire leurs emplettes avant que les fêtes n'arrivent. “Il est dur en ce moment de contrôler la circulation, vu que les voitures sont nombreuses. La présence des marchands ambulants dans les rues ne facilitent pas notre travail”, explique un agent de police posté à Analakely.
Calme dans les maisons de fête “Pendant les fêtes, on peut vendre partout où on veut. C'est pour nous une occasion de faire prospérer nos commerces”, précise un marchand, heureux de voir que ses produits s'écoulent très vite en ce moment. Les sapins de Noël et les objets de décoration, les idées cadeaux ainsi que les jouets marchent fort sur les marchés. Du côté des étalages, les produits de première nécessité (PPN) ont la cote auprès des consommateurs qui ne reculent devant rien pour assurer une bonne fête de Noël à leur famille. En revanche, le calme relatif qui règne dans les grands établissements contraste avec les bousculades dans les magasins. Les clients sont réticents à faire des commandes auprès des traiteurs ou des grands restaurants de la capitale. “Cette année, nous avons enregistré 20% de baisse dans nos commandes”, précise Hery Rafidiniaina, responsable du magasin et du salon de thé de l'hôtel Colbert. Au milieu de tout ce tohu-bohu quotidien, les gardiens de parking voient leur activité prospérer. Les rares places sécurisées pour les voitures sont payantes. Fanja Saholiarisoa Date : 23-12-2006 ______________________________________________________ Vie de quartier 210 enfants de Manjakaray dotés de colis de Noël
Les enfants sont aux anges, à l'occasion de la fête de la Nativité. Mercredi, 210 enfants défavorisés et pris en charge par l'Eglise catholique romaine (Ecar) de Manjakarary ont bénéficié d'un colis de Noël. Ce colis comporte, entre autres, des jouets, des biscuits et des friandises, des boites de coloriage, une brosse à dents et un tube de dentifrice. L'initiative revient à l'association Wednesday morning group (WMG). L'objectif est de permettre aux enfants défavorisés de se réjouir et de faire la fête comme les autres, en vertu de la devise de l'association: “Nous pensons aux autres”. “Pour cette année 2006, nous envisageons de distribuer 1.800 colis aux enfants défavorisés de la région Analamanga”, explique Zaza Tuenerthal, présidente de l'association. La distribution a débuté depuis deux semaines. Notons qu'une partie du fonds collecté au cours du traditionnel bazar de Noël du Wednesday morning group, le samedi 9 décembre, est affectée à la préparation de ces colis. Mais les parents ne seront pas en reste. Ils auront également droit à un colis, comportant des produits de première nécessité (PPN) dont du riz, du sucre, du savon, de l’huile, des bougies, ainsi que du lait… Henintsoa Andriamiarisoa Date : 23-12-2006 _____________________________________________________ Hôpital Befelatànana Des malades choyés
Les plus démunis hospitalisés au Centre hospitalier Joseph Raseta de Befelatanana sont gâtés. Vendredi, ils étaient 40, soit 20 enfants et 20 adultes, à avoir obtenu un don composé de produits de première nécessité, de vêtements et de friandises. Il s'agit d'une initiative de l'association "Vehivavy antoky ny soa sy ny tsara iombonana eto Befelatànana" (Vatsibe), qui regroupe les femmes travaillant à l'hôpital Befelatànana. "L'idée consiste à venir en aide à ces personnes défavorisées en ces fêtes de fin d'année. L'objectif est de leur permettre de se réjouir comme tout le monde, malgré leur séjour à l'hôpital", affirme le Dr Rasolompiakarana Dolorès, directeur-adjoint de l'hôpital Befelatà nana. Outre les bonbons et les biscuits, chaque bénéficiaire a eu droit à un demi-kilo de sucre et de pommes de terre, deux kilos de riz et trois vêtements. A cela s'ajoutent des bougies et des savons. L'association Vatsibe qui regroupe 113 membres, remet des dons aux malades considérés comme les plus démunis trois fois par an, à savoir pendant les fêtes pascales, celle de l'indépendance et celle de la Nativité. Il en a été ainsi depuis sa création le 8 mars 2004. Henintsoa Andriamiarisoa Date : 23-12-2006 ____________________________________________________ Santé publique Les Malgaches appelés à lutter contre le paludisme Le gouvernement américain assiste au soutien du Programme national de lutte contre le paludisme à Madagascar. "Le peuple malgache doit prendre ses responsabilités et participer d'une manière active à la lutte contre le paludisme". C'est l'appel lancé par le président Marc Ravalomanana, vendredi, au palais d'Iavoloha, au cours de la présentation de l'Initiative du président contre le paludisme (IPP), qui revient à Georges Bush. "Il est inadmissible que nous, Malgaches, ne nous mobiliserons pas à la lutte contre cette maladie, alors que la communauté internationale nous offre son assistance", poursuit-il d'un ton ferme. Le président américain a déclaré Madagascar comme nouveau pays d'intervention de l'Initiative présidentielle contre le paludisme (IPP), lors du Sommet qui s'est tenu à la Maison Blanche, la semaine dernière. "Madagascar fait partie des huit pays sélectionnés pour ce programme, à cause du fardeau que le paludisme lui impose", annonce l'ambassadeur James McGee. "Votre pays a été aussi choisi, étant donné le niveau d'engagement élevé dont fait montre le gouvernement, ainsi que l'existence d'une politique nationale solide contre cette maladie", ajoute-t-il.
Première cause de mortalité Menée par l'Agence américaine pour le développement international ('USAID), avec le département de la santé, l'IPP comporte trois objectifs dont la réduction de moitié du nombre de décès causés par ce fléau, au cours des trois prochaines années. A cela s'ajoute la fourniture d'une protection et d'un traitement appropriés à 85 % de la population, ainsi que la prévention de l'anémie maternelle et de la carence en poids des nouveaux-nés. Les dernières données chiffrées indiquent que le paludisme demeure la première cause de mortalité au niveau des formations sanitaires dont les Centres de santé de base (CSB) et les hôpitaux. "Par ailleurs, cette maladie serait la première cause de mortalité hospitalière chez les enfants de moins de cinq ans", note le ministre de la Santé. "Cette maladie aggrave aussi la pauvreté, chez les groupes vulnérables et pèse sur la charge économique. Elle gonfle également le taux d'absentéisme en classe et réduit la productivité", poursuit-il. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'une importance particulière soit accordée aux femmes enceintes et aux enfants de moins de cinq ans, considérés comme des groupes vulnérables. Dans ce cadre, le gouvernement américain assiste au soutien du Programme national de lutte contre le palu à Madagascar et soutient les efforts actuels du gouvernement malgache pour lutter contre la maladie. "Nous allons établir les fondations d'un avenir loin du paludisme pour les enfants malgaches", termine l'ambassadeur américain, dans son intervention. Henintsoa Andriamiarisoa Date : 23-12-2006
“Les exportations textiles doubleront une fois à la SADC”
- par Moïse
Questions à... Jacky Radavidra “Les exportations textiles doubleront une fois à la SADC” Le président du Groupement des entreprises franches et partenaires (GEFP) dresse les perspectives pour le secteur textile. • Pouvez-vous dresser un bilan succinct de l'année 2006 pour les entreprises textiles ? - Pour 2006, il y a eu une légère amélioration chez les entreprises franches opérant dans le secteur textile. Cela concerne la production, la création d'emplois et les chiffres d'affaires. Durant cette année, nous avons assisté à une baisse des importations des Etats-Unis des produits en provenance d'Afrique. Par contre, une nette augmentation des exportations de produits textiles et habillements africains vers l'Europe est enregistrée.
• Peut-on alors affirmer que la période critique après la rupture de l'accord multifibre est passée ? - Absolument. J'estime que cette période à risque et d'incertitudes, après la rupture de l'accord multifibre, est derrière nous. La tendance du marché, à l'heure actuelle, se résume par la baisse progressive des importations des Etats-Unis et par un regain de celles des Européens. C'est dans le sens de cette évolution des choses que l'industrie textile locale doit se recentrer et orienter sa stratégie. Mais l'intégration de Madagascar, au sein de la South Africa development community (SADC), constitue une véritable opportunité. Elle donnera un coup de fouet à nos exportations. Il est parfaitement possible que la vente vers l'étranger de nos produits textiles doublera en volume ou en valeurs.
• Quelle opportunité la prolongation de la règle speciale d'origine de l'Agoa offre-t-elle ? Elle permet aux industries locales de mieux se préparer et de poursuivre leur élan. La question est aujourd'hui de savoir si elles pourront effectivement en profiter. Si les trois périodes de rallonge avaient été accordées en une seule fois, c'est-à-dire une prolongation de douze ans d'une seule traite, cela aurait permis d'instaurer une intégration verticale dans la filière.
• Finalement, ce n'est donc qu'un sursis de cinq ans.... - Il est encore difficile d'anticiper les réactions. La production d'intrants représente des investissements lourds et nous ne savons pas encore comment les entreprises, comme la Cotona, vont se comporter et quelles mesures le gouvernement compte prendre.
• Les perspectives sont-elles incertaines ? Il ne faut pas oublier que Madagascar fait partie des rares pays bénéficiant de multiples opportunités, avec les prolongements respectifs de l'Agoa jusqu'en 2015 et de la règle spéciale d'origine jusqu'en 2012, l'intégration au sein de la SADC, et l'avènement d'un nouvel accord de partenariat avec l'Union éuropéenne en 2008. Rappelons-nous qu'en 2000, les investisseurs sont arrivés en masse parce qu'il y a eu l'avènement de l'Agoa.
Propos recueillis par Mahefa Rakotomalala Date : 20-12-2006 http://www.lexpressmada.com/index.php?p=display&id=3869
Nouvelle publiée
grâce à l'aimable autorisation de l'express deMadagascar 
Madagascar Anglais dans le primaire les potaches apprécient
- par moise44
Madagascar : Anglais dans le primaire les potaches apprécient "My name is Feno. I'm 11 old", répond joyeusement le jeune Feno aux questions de son professeur d'anglais. Feno est en classe de CM2 (7ème) à l'école primaire publique (EPP) d'Analakely. Comme les 200 autres élèves en classe de CM1 et de CM2 dans cet établissement public, il est initié à la langue de Shakespeare, depuis cette nouvelle année scolaire. Lire l'article en entier.....
Santé publique : Les Etats-Unis soutiennent la lutte contre le paludisme
- par moise44
Santé publique Les Etats-Unis soutiennent la lutte contre le paludisme
1,2 milliard de dollars US. C'est le montant de l'enveloppe financière, destinée à réduire de moitié le nombre de décès liés au paludisme, à Madagascar et dans quatorze autres pays du continent africain, considérablement touchés par la maladie. S'inscrivant dans le cadre de "l'Initiative présidentielle contre le paludisme", l'appui financier est accordé par le président américain Georges Bush. C'était au cours du sommet sur la maladie, qui s'est tenu à la Maison Blanche, le jeudi 14 décembre. Le président américain désigne Madagascar comme principal pays d'intervention de son initiative présidentielle contre le paludisme. Ainsi, des médicaments, nouveaux et efficaces, parviendront aux formations sanitaires des zones rurales pour pallier les soins défaillants. En outre, un traitement particulier sera accordé aux femmes enceintes. Elles bénéficieront de médicaments et des moustiquaires imprégnées d'insecticides. L'objectif étant de les protéger, ainsi que leurs progénitures, contre le paludisme. “C'est une bonne nouvelle pour Madagascar”, se réjouit l'ambassadeur James McGee. “ Même dans un climat chaud et tropical, nous pourrons vaincre le paludisme comme l'ont fait, dans les années 50, d'autres pays”, poursuit-il. Avant d'ajouter : “Détermination, responsabilité personnelle et leadership sont les clés de la bataille. Les outils et ressources sont actuellement à notre disposition. Avec une éducation et une forte détermination, nous pourrions venir à bout de l'ennemi ”. Pour sa part, le président Georges Bush en appelle à un engagement public privé, afin de renforcer et de développer les efforts de lutte en Afrique. Henintsoa Andriamiarisoa Date : 18-12-2006
Voir aussi d'autres initiatives dans le forum de Ahaona Madagascar
Nouvelle publiée
grâce à l'aimable autorisation de l'express deMadagascar 
Recherche universitaire : Ouvrage sur la médecine traditionnelle
- par moise44
Recherche universitaire Ouvrage sur la médecine traditionnelle Les méthodes de médecine traditionnelle des îles de l’océan Indien présentent plusieurs points communs tout en ayant des formes différentes. Un an après, presque jour pour jour, le colloque réunissant des chercheurs issus des universités des trois îles de l'océan Indien a porté ses fruits. Un ouvrage intitulé “Pharmacopée traditionnelle dans les îles du sud-ouest de l'océan Indien" est, d'ores et déjà, disponible. Celui-ci a fait, hier à l'Alliance française d'Andavamamba, l'objet d'un lancement public. Sous l'initiative de l'université de Toliara, ce projet a vu la participation d'universitaires malgaches, réunionnais et mauriciens, dont Sudel Fuma, directeur de la Chaire Unesco et professeur à l'université de la Réunion. En étroite collaboration avec Barthélemy Manjakahery qui est professeur à l'université de Toliara, il a dirigé les recherches inhérentes à la confection du livre. Dans son allocution lors de la présentation du livre, l'universitaire réunionnais a tenu à souligner que bien qu'ayant des formes différentes, les méthodes de médecine traditionnelle des îles de l'océan Indien présentent plusieurs points communs. “En fait, une bonne partie de celles-ci tirent leur origine dans la Grande île”, révèle-t-il.
Eclairages L'ouvrage propose plusieurs communications, dont celle de Pietro Lupo qui se rapporte aux “sampy” et “ody” (idoles et gri-gri). Force est, à ce propos, de mentionner que cette méthode thérapeutique, c'est-à-dire celle se basant sur le surnaturel, peine à se faire une place dans le milieu médical dans certaines régions, tandis que dans d'autres, son influence devient grandissante. Ainsi, l'ouvrage qui vient de sortir, propose des éclairages et précisions en ce sens. Par ailleurs, le livre met la lumière à propos des bases et méthodes d'utilisation des plantes médicinales dont les trois îles concernées regorgent. De ce fait, le projet de nos chercheurs se poursuivra encore jusqu'en 2011. Il y aura, par exemple l'année prochaine (probablement à Maurice), la tenue du deuxième colloque qui sera axé sur la thématique de l'épidémie. Andry Drouot Date : 16-12-2006
Nouvelle publiée
grâce à l'aimable autorisation de l'express deMadagascar 
|
|
 |
|
 |
 |
CONTACT DIRECT |
 |
|
Tel DIRECT
032 48 108 33
ou depuis La FRANCE
00 261 30 48 108 33
VOTRE INTERLOCUTEUR UNIQUE
POUR VOTRE VOYAGE

AHAONA MADAGASCAR
|
|
 |
|
 |
|
CONTACT DIRECT |
Tel DIRECT
032 48 108 33
ou depuis La FRANCE
00 261 30 48 108 33
VOTRE INTERLOCUTEUR UNIQUE
POUR VOTRE VOYAGE

AHAONA MADAGASCAR
|
|
|