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express.gifChemins de fer : Le transport de voyageurs s'intensifie - par Moïse

Chemins de fer
Le transport de voyageurs s'intensifie




Le repreneur de l'axe nord du réseau de chemins de fers malgache, la société Madarail, envisage de renforcer le transport de voyageurs. “De nouvelles perspectives sont en vue”, avance Patrick Claes, administrateur directeur général de la société.
“Les projets de trafic régulier sur l'axe Antananarivo-Côte Est et Antananarivo-Antsirabe sont en préparation”, précise Patrick Claes. Les discussions avec les techniciens du ministère des Transports quant à la faisabilité de ces projets devront se tenir au cours du second semestre de cette année.
“Nous devons considérer que cette décision requiert d'importants investissements dans sa réalisation”, explique-t-il. La concrétisation devra être effective en 2008. En attendant, la société continue de desservir l'axe Moramanga-Brickaville. Depuis l'année 2006, deux voitures de voyageurs et un wagon marchandises assurent deux fois par semaine la liaison entre ces deux villes, pour Ar 3 500.
“Nous avons enregistré un accroissement du nombre de voyageurs depuis l'ouverture de la ligne”, remarque le directeur général de Madarail. Cette nouvelle remet sur les rails le programme de désenclavement.
Les riverains n'auront plus à parcourir des dizaines de kilomètres pour parvenir à la plus proche bourgade. Le projet était en phase d'étude depuis longtemps. Mais le problème de rentabilité s'est longtemps posé en obstacle, surtout du fait que la population habitant les zones enclavées et non desservies par le transport routier est majoritairement pauvre.

Doda Andrianantenaina
Date : 23-01-2007

express.gifMadagascar poursuit la sécurisation des investissements - par Moïse

Développement
Madagascar poursuit la sécurisation des investissements
La politique d'ouverture économique prônée par le gouvernement malgache doit être accompagnée de la mise en place des cadres juridiques adéquats.

La sécurité des investissements est indispensable. Le gouvernement malgache dans sa politique économique ouverte sur l'extérieur, renforce la sécurisation des investissements.
D'après Roger Marie Rafanomezantsoa, ministre de l'Industrialisation, du commerce et du développement du secteur privé (Micdsp), Madagascar devra entrer dans une nouvelle ère au niveau de l'environnement des affaires. “La sécurité des investissements bénéficiera désormais d'une considération particulière”, déclare le ministre durant la cérémonie de présentation de voeux de son département qui s'est tenue à Mahamasina jeudi dernier.
Deux points essentiels composent aujourd'hui le renforcement de la sécurité des investissements. La finalisation de l'adhésion de Madagascar au sein de l'Agence pour l'assurance du commerce en Afrique (Ati/Aca). Le principe de cette agence est simple.
Elle propose des assurances contre les risques politiques et également d'autres services financiers visant à promouvoir le commerce et les investissements au sein du marché commun de l'Afrique orientale et australe (Comesa). Ce nouvel organisme dont le siège se trouve à Nairobi (Kenya) bénéficie du soutien des pays suivants : Burundi, Kenya, Malawi, Rwanda, Tanzanie, Ouganda et Zambie.
Accords de promotion
Sa mission est de proposer à des tarifs abordables aux entreprises africaines et étrangères des assurances contre divers risques dont l'expropriation, les embargos, l'impossibilité de convertir ou de transférer des devises, la perte ou la destruction de biens et de locaux à la suite de guerres ou de troubles civils, les taxes discriminatoires à l'importation et l'exportation et tant d'autres encore. La Banque mondiale a financé les capitaux de départ à hauteur de 105 millions Usd.
Pour renforcer la sécurité des investissements, La Grande Ile compte également poursuivre les signatures d'Accords de promotion et de protection des investissements (Appi) avec d'autres pays. “Nous avons déjà signé sept Appi jusqu'à ce jour”, confirme le ministre. “Cinq autres sont en cours de négociation et un sixième en attente de signature”, continue-t-il. La France, la Chine, Maurice, l'Allemagne, l'Afrique du Sud, le Luxembourg et l'Opep figurent sur la liste.

Doda Andrianantenaina
Date : 22-01-2007

express.gifDes légumes d'Analavory sur le marché français - par Moïse

EXPORTATION
Des légumes d'Analavory sur le marché français


La société Lecofruit a réussi à s'imposer sur le marché français et fournit des légumes frais ou en conserve dans des grands réseaux de distribution.

Une découverte impressionnante. Pour la première fois, la société Lecofruit ouvre au public les portes de sa ferme à Analavory. C'était à l'occasion de la visite du ministre français de l'agriculture Dominique Bussereau à Madagascar, pour assister à l'investiture de Marc Ravalomanana.
Le ministre est descendu à Analavory pour constater de visu ce fruit de la coopération entre les deux pays à travers l'Agence française pour le développpement (AFD).
La ferme d'Analavory est un exemple parfait de l'agriculture industrielle. Presque la totalité de sa production est destinée à l'exportation.
Plusieurs types de fruits et légumes y sont plantés à l'heure actuelle dont, entre autres, le poireau, la betterave, l'aubergine, la carotte, le fruit de la passion, le melon, le fenouil et la courgette mais, 90% des produits sont les haricots verts.
“Cette ferme est à la fois un centre d'expérimentation, de démonstration et de production de la société Lecofruit”, explique Karim Barday, directeur géneral de la société Lecofruit.
Lecofruit exporte chaque année, principalement vers la France, 4 000 tonnes de fruits et légumes dont 3 500 tonnes de haricots verts extra-fins et 500 tonnes de produits divers.
Ces légumes, frais ou mis boite, sont vendus dans de nombreuses grandes surfaces et à travers des réseaux
de distribution comme Casino, Intermarché, Rengis, Auchan ou Monoprix. Presque la totalité de la production d'Analavory est déstinée à l'exportation. Les opérations de conditionnement sont effectuées à l'usine de préparation à Tanjombato, Antananarivo.
“Nos produits frais, exportés par avion, arrivent sur le marché français alors que les produits venant d'autres pays sont épuisés vers le mois de juillet et août. Dans cette
optique, les haricots verts malgaches sont des produits de contre-saison et bénéficient d'une situation favorable”, explique Karim Barday.
Pour honorer les commandes de ses clients, la ferme d'Analavory a également mis en place un modèle d'agriculture contractuelle avec le petit paysannat d’Analavory et dans d'autres localités d'Antananarivo comme à Ifanja.
Techniquement, cela signifie que les paysans cultivent leurs propres parcelles mais bénéficient d'appuis techniques et financiers de la société. 350 techniciens agricoles dont 6 agronomes français assurent le suivi de ces paysans. La collecte de la production auprès ces paysans se fait quotidiennement.

Mahefa Rakotomalala
Date : 22-01-2007

express.gifJustin Vali obtient le premier prix Sacem 2006 - par Moïse

Prix Sacem 2006
Justin Vali obtient le premier prix


C'est officiel, Justin Vali vient de remporter le Prix Sacem 2006 dans la catégorie “musique traditionnelle”. Ils étaient 110 000 musiciens du monde entier à concourir.

Portant haut le flambeau des joueurs de vali de l'Île dans le monde entier, et cela depuis des décennies, ce prix décerné à Justin valiha est largement mérité.
Par lui, la valiha a connu un rayonnement presque universel. Justin Vali ne se contente pas de jouer de son instrument de prédilection partout où il passe, il a aussi ce souci de transmettre son savoir a trevers des conférences et des cours, tant au pays qu'outre mer.
Cette victoire de Justin Vali remet en question tout le dialogue entamé par la Sacem et Madagascar.
En octobre 2006, des responsables de la Sacem, qui organisait “les premières rencontres internationales des créateurs musicaux”, ont fait un détour sur Madagascar, avant le séminaire prévu à l'île de La Réunion, pour la défense des créateurs musicaux du Sud.
Objectif : rencontrer leurs homologues de l'Omda et les musiciens malgaches, pour leur détailler les principes de la Sacem.
Pour cause de séjour trop court (trois jours), les réactions des musiciens sont mitigées et les frustrations nombreuses.
Tant de concernés(17 nationalités différentes) pour si peu de temps, les responsables avaient prévenu : “Ce n'est qu'un début, nous reviendrons pour instaurer un véritable dialogue”.
Chose promise, chose due. En 2007, la Sacem choisit Madagascar pour concentrer ses efforts sur la promotion de la musique et la défense des créateurs musicaux.
Artistes et médias
Amis musiciens, listez vos espérances, vos aspirations et surtout vos suggestions.
Espérer que la Sacem soit l'unique solution à une condition artistique qui se cherche est un leurre. Le sens du dialogue est un état qui se développe et non un chapelet de doléances.
Même les médias qui souhaitent déployer les causes d'une politique artistique pauvre, malgré la renommée de la musique malgache dans le monde, ne sont pas gâtés.
Peu d'artistes connaissent le véritable sens du dialogue. Il est vrai que beaucoup se plaignent de devoir soudoyer des gens de la presse, pour que leurs disques ou leurs clips passent sur les ondes.
Paradoxalement, certains ne font parler d'eux qu'à la veille d'un concert ou de la sortie d'un nouvel album. Et le recul dans tout ça?

Renée Raza
Date : 22-01-2007

express.gifMahaleo à L'Olympia - par Moïse

Tournée internationale
Mahaleo à L'Olympia




Un groupe malgache chantant exclusivement en malgache, non répertorié dans aucune discographie internationale et qui remplit une salle prestigieuse, celle de l'Olympia, c'est le dernier succès du groupe Mahaleo. Certains ont dû vendre des millions de disques pour en arriver là. Le groupe n'aura fait qu'attendre 35 ans. Pour des jeunes qui en 1972, ne chantaient que par passion en effectuant leurs études et non dans le but de devenir des stars, le score est épatant.
A leur dernière conférence de presse hier à l'Alliance française d'Antananarivo, ils ont expliqué leurs prochaines scènes qui se feront le 2 et 3 juin prochains.
Pour sûr, le film Mahaleo a contribué à ce succès. Fafa, Bekoto, Dama et Charles étaient là pour avouer leur propre étonnement face à cet honneur et promettre qu'ils donneront le meilleur d'eux-mêmes à cette édition. Une trentaine de chansons sont prévues et les normes des organisateurs de grands spectacles seront respectées à la lettre (timing, sonorisation,...).
La réalisation de ce projet est due, d'abord au succès de leurs chansons ancrées dans les mémoires malgré eux, ensuite à deux maisons de productions Kanto et Kintana production. L'une opère sur place les préparations du départ et l'autre assure le relais accueil en France.
Entre les deux, l'agence de voyage Jacaranda pense à ceux qui souhaiteraient les écouter à l'Olympia en créant des packs "spécial Mahaleo", incluant le voyage au départ de Tana, le concert et le cocktail après concert. Tout un programme.

Renée Raza
Date : 18-01-2007

MAHALEO


 


Paludisme : des nouveaux produits - par moise44

Paludisme : Le prix élevé des nouveaux produits cause du tort aux populations - Les dépêches de Brazzaville - Congo-Brazzaville - 16/01/2007


En République du Congo, le protocole de traitement national contre le paludisme faisait de la polythérapie à base d'artemisinine en février 2006 le traitement conventionnel de première intention. Or, les produits dérivés de cette nouvelle science sont encore chers et peu disponibles, et peu de malades ont les moyens de se les procurer. Ils sont nombreux les malades du paludisme qui passe outre les ordonnances médicales prescrites par les médecins. Parce qu'ils sont trop chers pour une population dont 50 % vit avec moins d'un dollars par jour, les combinaisons thérapeutiques à base d'artemisinine (ACT) ne sont que peu utilisées.
Ces nouveaux produits (Co-arinate, Coatem, Artequin...) remplacent la chloroquine qui a été déclassée du traitement officiel du paludisme au Congo, comme dans plusieurs pays africains, en raison de la résistance du microbe. Mais, à cause du prix encore élevé des ACT, on estime que 30 % des malades utilisent encore la chloroquine.

Les prix des ACT dans les pharmacies varient entre 4 000 et 7 000 FCFA. D'après des témoignages recueillis, ils sont loin de correspondre aux bourses de nombreux des Congolais. Des patients sont ainsi obligés d'avoir recours aux médicaments de la rue qui sont moins chers. Mais ils s'exposent ainsi non seulement à plusieurs autres maladies, mais aussi à l'inefficacité des traitements.

Cette situation qui empêche les malades de recourir aux traitements recommandés est à l'origine des cas sévère de paludisme observés au Congo. Cette maladie reste la première cause d'hospitalisation (50 %). «Un traitement aux ACT disponible et abordable préviendrait bien des décès inutiles», estime pourtant Médecins sans frontière au Congo dans un rapport sur la situation sanitaire du Pool.

La maladie touche particulièrement les enfants de moins de 5 ans et représente 40,4 % de morbidité et 32,2 % de mortalité dans les centres de santé. Et seulement 12 % des ménages congolais utilisent une moustiquaire imprégnée alors que celle-ci est actuellement le moyen le plus efficace pour éviter le paludisme.

PALUDISME



http://www.santetropicale.com/actualites/index.asp?id=2011&texte=0107/0107_40&action=lire


express.gifSUR LE FRONT DES INNONDATIONS - par moise44

Rupture de digue
70 ha de rizières inondées à Faratsiho
Le pire est arrivé aux paysans de Faratsiho. Du fait de la rupture de deux digues, une trentaine de riziculteurs ont perdu leur prochaine récolte rizicole.

“Le district de Faratsiho n’a jamais vécu une inondation aussi grave”. La déclaration émane de Rakoto- arijaona, un paysan qui voit les plants de riz cultivés sur ses 70 ha de rizières, complètement détruits.
“Tout a commencé la nuit du dimanche 7 janvier. Nous avons entendu le bruit que faisait la rivière Sahomby, en rompant la digue d’Ambatofotsikely, provoquant ainsi l'inondation de la plaine qu'elle arrose”, déclare Julien Andrianjolofo. En quelques heures, il a perdu toute sa production, équivalant à 24 sacs de riz. Elle aurait dû assurer son existence jusqu'à la prochaine récolte.
Il n'est pas le seul dans ce cas. Trente-cinq familles doivent aussi faire face au même problème.
Vetusté
“Depuis dimanche, des volontaires sont venus nous aider à colmater les brèches. Malheureusement, les pluies abondantes, qui ne cessent de s'abattre sur le district, ne font qu’empirer la situation”, se désole le président de fokontany d’Ambatofotsikely, qui a été le premier à alerter le Bureau national de gestion des risques et catastrophes/ CNS.
Une équipe de cet organisme est descendue sur place, vendredi dernier, pour constater de visu la situation.
En guise de premiers secours, elle a apporté 200 sacs de sable et Ar 60 000 pour acheter des bois ronds.
L’inondation s’étend jusqu’au quartier d’Anosilava, où 20 ha de rizières sont aussi inondées, tandis qu'une famille a dû abandonner son domicile. “Il faut trouver des semences pour ravitailler ces paysans en vue de la prochaine récolte”, souligne Jacky Rolland Randimbiarison, secrétaire exécutif du Bureau, présent sur place avec le chef de district de Faratsiho, Eddy
Laurent.
Certains paysans font une suggestion plutôt radicale concernant les digues. Ils estiment qu'il faut faire exploser le pont d'Anosilava pour favoriser la circulation du courant de la rivière.
Un technicien du génie rural, lui, évoque la vétusté du système de drainage de Faratsiho. “Il n’est pas facile d’assurer un débit d'eau normal. Néanmoins, c'est possible en élargissant le lit de la rivière et en consolidant les deux digues”. Il mentionne que 20 autres hectares de rizières sont menacées dans la plaine de Faratsiho.
“Dans tous les cas, l'avenir ne sera pas facile pour nous, car c'est notre culture de subsistance qui est détruite”, souligne une paysanne qui n’a pas ménagé ses efforts pour aider au colmatage des brèches. Selon ses dires, de nombreuses familles se nourrissent déjà de pommes de terre, pour économiser leurs stocks de riz, en prévision des prochains mois.

Fanja Saholiarisoa
Date : 15-01-2007



Inondation
Les sinistrés d'Analampanga en détresse
La forte crue de la rivière Ikopa n'ayant pu être endiguée, Analampanga, un fokontany de Soavina-Atsimondrano, est inondé. Ce qui laisse 60 sinistrés dans le dénuement.

Le malheur s'est abattu à Ambodivary-Analampanga. Les habitants du fokontany, situé dans la commune rurale de Soavina-Atsimondrano, en sont convaincus. Samedi, l'eau de l'Ikopa a, en effet, débordé sur une digue, provoquant l'inondation partielle du village.
Dimanche, neuf maisons ont été à moitié immergées, dont l'une s'est effondrée n'ayant pas résisté au courant de l'eau. Leurs 60 occupants sont dans le besoin, complètement en détresse.
Munie d'une couverture et d'un petit matelas, Elizabeth Ramananarivo, son mari et ses deux enfants ont dû quitter précipitamment leur maison, samedi dans la matinée. Abandonnant leurs meubles et effets personnels, ils ont rejoint l'Ecole primaire publique (Epp) d'Analampanga.
“Nous étions terrorisés. Le niveau de l'eau a atteint les fenêtres et, comme la maison présente des fissures, nous craignons qu'elle ne s'effondre”, raconte-t-elle. “Du fait de cette catastrophe, nous risquons de gonfler les rangs des sans-abri. Nous n'aurons jamais les moyens de la reconstruire, car ni mon mari ni moi n'avons de travail fixe, nous contentant d’emplois temporaires que nous trouvons”, se lamente-t-elle.
Randriamanankina Rakotondravao est également confronté au même problème. “Ma maison s'est totalement effondrée". Retraité de 66 ans, "je ne dispose pas de l'argent nécessaire pour la rebâtir”, se plaint-il, à son tour.
Malsain
“Une grande partie du village risque d'être sous l'eau si le mauvais temps persiste. Ce qui augmentera le nombre des sinistrés”, craint Auguste Rajaonarivelo, président du fokontany.
Pour le moment, 35 sinistrés sur 60 ont trouvé refuge dans leurs familles et connaissances. Le reste, soit 25 personnes, s'est réfugié dans une salle de classe de l'EPP d'Analampanga, que les élèves ont dû libérer.
Les sinistrés vivent dans des conditions assez malsaines. Une salle de classe sert d'abri à 25 personnes, soit pour chaque famille sinistrée un petit espace de 4 à 5m2. A cela s'ajoute une mauvaise aération qui peut favoriser la propagation de certaines maladies respiratoires, allergiques, dermiques...
Le Bureau national de gestion des risques et catastrophes (BNGRC) leur a remis, dimanche matin, une aide composée de 150 kilos de riz, neuf couvertures, 50 kilos de sel et deux cartons de Sûr'eau. “L'objectif est de venir en aide aux sinistrés en répondant à leurs besoins”, souligne Jacky Roland Randimbiarison, secrétaire exécutif du BNGRC.

Henintsoa Andriamiarisoa
Date : 15-01-2007



Alerte à Toliara
Le fleuve Fiherenana sort de son lit


Décidément la ville de Toliara et sa périphérie immédiate ne sont pas complètement sortis de leurs problèmes. Les habitants croyaient pourtant que le risque d’inondation a été écarté.
Le fokonolona et l’entreprise de construction Anjavola sont intervenus, tant bien que mal, il y a une semaine, pour réparer à temps les dégâts résultant de la première rupture de la digue, située entre Ankoronga et Miary. Néanmoins, la situation semble ne pas devoir s'arranger. Une nouvelle entaille de plus de 80 m vient de s’ouvrir, toujours au même endroit, dans la nuit de samedi, suite aux fortes précipitations tombées, depuis quelques jours, en amont du fleuve. Les dégâts occasionnés par cette deuxième rupture risquent d'être plus lourds, car le Fiherenana commence à sortir de son lit depuis hier et inonde peu à peu les villages riverains.
Raccommodage
“Malgré le raccommodage fait par l’entreprise "Anjavola", la situation s’envenime et nécessite une grande intervention”, avance Boto Razafindramily, chef du service technique à la municipalité de Toliara.
Aidée par le fokonolona et plusieurs éléments des forces de l’ordre, l’entreprise a travaillé d’arrache-pied pour limiter le débordement du fleuve. Des amas de pierres et des sacs de sable ont été acheminés sur les lieux afin de colmater les brèches, mais les pluies torrentielles qui s’abattent, depuis samedi, sur Toliara, n’arrangent pas les choses. “Nous avons déployé nos policiers, depuis 4 heures du matin, pour prêter main forte aux villageois”, souligne le directeur de la sécurité publique de la ville, le commissaire Karl Tsiebo.
Face à cette situation potentielle explosive, une cellule de crise a été mise en place, au niveau de la commune urbaine. Les communiqués qu'elle diffuse sur les ondes des diverses radios locales, invitent les riverains ainsi que ceux des bas quartiers de Toliara-ville à se déplacer, sinon à se réfugier dans des lieux plus sûrs. “L’alerte a été déclenchée et des mesures ont été prises pour mieux gérer la situation et pour parer à toute éventualité”, déclare le maire de Toliara, Dimby Voavolo.
Pendant ce temps sur le terrain, les indicateurs sont au rouge, l’eau ne cesse de monter et son déchaînement a été à son comble, hier vers midi, alors qu'elle emportait une grande partie des rives du fleuve.
Depuis, la psychose gagne les Tuléarois, car après l’éphémère espoir de la semaine dernière, l’inquiétude, nourrie par cette nouvelle situation, les envahit. Echaudés par l’inondation causée par le cyclone Angèle en 1978, ils s'attendent au pire.
D’après un ingénieur, “le débit des eaux est tellement intense qu'elles risquent de rompre en quelques jours une grande partie de la digue. A cette allure, une inondation est inévitable. Le compte à rebours a commencé depuis hier”, lance-t-il. Et d’ajouter: “Le " tip-top" ne peut être une solution, l’Etat doit prendre une mesure plus radicale car, dit-on, aux grand maux, les grands remèdes”.

Francis Ramanantsoa
Date : 15-01-2007


PLAINE D’ANTANANARIVO
Ikopa, Sisaony et Mamba débordent


Un réel péril pèse sur la plaine d'Antananarivo. Depuis dimanche, les cotes d'alerte des rivières Ikopa, Sisaony et Mamba sont dépassées. Ainsi, le danger imminent y est déclaré.
“Une inondation peut survenir au niveau des zones basses, traversées par ces rivières, notamment en cas de nouvelles averses”, déclare Jean Angelin Randrianarison, ministre de la Décentralisation et de l'aménagement du territoire, hier, en marge d'une visite de la station de pompage d'Ambodimita.
Depuis quelques jours, le lac de Mandroseza est également en crue. “Si les pluies torentielles continuent, il risque de déborder, de s'unir à la rivière d'Ikopa dont le niveau augmente également, et d'inonder les rails”, doute un habitant du fokontany d'Ankadindratombo.
Du côté d'Ambohidratrimo, le fleuve d'Andranotapahina risque d'inonder la chaussée. En ville, le niveau du marais Masay et du lac de Behoririka ont également connu une hausse. Depuis hier, leur hauteur avoisine celle de la rue.
Crues
Le bulletin hydrologique de l'Autorité pour la protection contre les inondations de la plaine d'Antananarivo (Apipa) indique qu'à l'échelle d'Anosizato, le niveau de l'Ikopa s'élève à 3,12 m, alors que la cote d'alerte de danger est de 3,50 m. A l'échelle de Bevomanga, cette rivière s'élève à 4,25 m si la cote d'alerte est de 4,50 m.
Concernant la Sisaony, sa hauteur avoisine les 2,84 m à l'échelle d'Ampitatafika. Quant à la Mamba, elle est de 1249,18 m, à l'échelle d'Ambohidroa. “Les eaux continueront de monter durant les 12 prochaines heures”, note Philippe Rateloson, directeur général de l'Apipa.
Etant donné cette situation, des mesures ont été prises par le Faritany d'Antananarivo, la région, les communes, les fokontany, le Bureau national pour la gestion des risques et des catastrophes (BNGRC), ainsi que l'Apipa.
“Il s'agit d'inciter les personnes habitant les zones basses et proches des rivières à se déplacer et gagner les zones en hauteur”, indique Manganirina Randrianarisoa, chef de la région Analamanga.

Henintsoa Andriamiarisoa
Date : 15-01-2007


express.gifCARBURANT Nouvelle baisse à la pompe - par moise44

Carburant
Nouvelle baisse à la pompe


L'année commence avec une baisse du prix des carburants. La compagnie pétrolière Galana aura été la première à apporter les changements de prix à la pompe. Depuis hier soir, les prix de tous les produits ont été revus à la baisse. L'essence tourisme est désormais vendu à 2 250 Ariary contre 2 290 Ariary auparavant. Le gazole est au prix de 1 960 Ariary contre 1 990 Ariary. Le supercarburant est maintenant à 2 350 Ariary contre 2 400 Ariary. Le pétrole lampant a également subi une baisse de 30 Ariary, et est actuellement vendu à 1 520 Ariary.
Cette première modification de prix de l'année confirme les prévisions. Le directeur général de la société Galana, Jean-Jacques Jung, a déjà déclaré qu'aucune hausse n'est prévue pour les prochains mois. Durant le premier trimestre, toute éventualité de hausse est donc encore à écarter. Les raisons officielles de cette baisse cadrent dans un contexte international favorable. La faible demande dans les pays européens et américains, avec la douceur de l'hiver y sont aussi pour quelque chose. D'un autre côté, les tensions dans les pays du Moyen-Orient ne semblent pas inquieter le marché, pour le moment.
En tout cas, la situation est positive pour les consommateurs malgaches. Depuis quelques mois, le prix des carburants suit une pente descendante que les usagers de la route apprécient. Une baisse même minime, de l'ordre de 2 % pour cette fois, reste toujours une bonne nouvelle pour les consommateurs. Cette baisse pourrait même se poursuivre dans la semaine qui vient. Les autres pétroliers devront aussi suivre cette tendance, vu que les charges et les conditions d'exploitations sont plus ou moins identiques.

Doda Andrianantenaina
Date : 15-01-2007

express.gifLes Malgaches expulsés de France arrivent au pays. - par moise44

Sans-papiers
Expulsé de France, Lantosoa raconte
Les Malgaches expulsés de France arrivent au pays. Si la plupart laissent derrière eux un souvenir douloureux de leur séjour dans ce pays, Lantosoa affirme avoir été bien traité.

Lantosoa veut encore garder l'anonymat, même dans son pays natal. Débarqué à Madagascar le 6 novembre, son retour a été singulier, car il a eu droit à une escorte de la police française jusqu'à l'aéroport de Roissy.
A 37 ans, ce jeune homme célibataire est un Malgache expulsé de France. Il a été victime de la loi Sarkozy, votée en 2006, qui poursuit les étrangers sans papiers résidant en France.
“Mon séjour en terre française a débuté en 1991, quand j'y étais parti avec un visa étudiant. Mais la mort de mon père en 1995 m'a obligé à revenir au pays. En 2002, suite aux évènements que Madagascar a vécu, j'y étais reparti avec un visa touriste suite à des problèmes que j'avais eu durant cette crise”, raconte Lantosoa.
Suite au conseil qu'il a reçu auprès d'amis Malgaches, il a fait une demande d'asile politique auprès d'une préfecture française. “C'était le recours le plus sûr pour obtenir une prolongation de séjour pour nous, sans papiers. Mais encore, je n'avais que trois mois de prolongation, ce qui m'a obligé à me débrouiller”, se souvient-il.
Même si Lantosoa a des proches en France, il est resté un sans domicile fixe durant son deuxième séjour là-bas. “J'étais basé sur Paris et la Haute Seine. J'ai pu y trouver un emploi assez bien rémunéré, celui de distributeur de journaux à domicile”, continue notre homme, loin d'oublier les galères qu'il a eues pour échapper aux contrôles policiers.
Arrestation et détention
Toutefois, les demandeurs d'asile politique bénéficient d'une aide d'une valeur de 400 euros pour payer leur loyer, la nourriture et reçoivent aussi les conseils d'un assistant social.
“En gros, je n'ai pas trop souffert de mon statut. Mais chaque Malgache a son cas, tous ne se ressemblent pas”, ajoute Lantosoa.
Notre homme a subi une enquête auprès d'un tribunal français sur son cas. Après que sa demande ait été rejetée en avril 2005, il a laissé tomber la démarche nécessaire au tribunal de recours. “Même si les procédures administratives sont gratuites en France, je n'ai pas voulu poursuivre, faute de temps. Trop de documents ont été exigés des sans-papiers. Ainsi, je suis resté sans papiers jusqu'en octobre 2006, date de mon arrestation”, révèle ce ressortissant malgache.
Comme tout étranger sans papiers, il a été détenu pendant une semaine dans un centre où il affirme avoir été bien traité avant de recevoir le billet pour revenir à Madagascar. “Je me souviens bien que j'étais le seul Malgache là-bas, les Soudanais y étaient nombreux”, note-t-il.
Lantosoa va encore tenter de revenir en France. “J'espère pouvoir y arriver par l'intermédiaire de mon patron s'il veut bien m'aider avec le visa. D'ici là, je vis normalement à Madagascar”, conclut notre homme.

64 explusés depuis 2006
La loi Sarkozy frappe les Malgaches. Mais peu de sans-papiers ont été arrêtés par la police française car bon nombre vivent clandestinement. L'année dernière, la Direction des renseignements et du contrôle de l'immigration et de l'émigration a recensé 64 Malgaches refoulés de France en 2006. 49 d'entre eux étaient en séjour irrégulier tandis que 15 non admis d'entrée.
“Ce chiffre de reconduction à la frontière est peu nombreux pour Madagascar par rapport aux autres pays africains”, souligne Rolland Andréas, premier responsable de ce département au sein du ministère de l'Intérieur et de la réforme administrative.
“Bon nombre de Malgaches résidant en France sont en situation irrégulière. Nombreux, notamment des jeunes, partent d'ici avec un visa touriste, ce qui leur pose problème une fois le visa expiré”, rajoute-t-il.
Selon les informations émanant du service de l'immigration, de nombreux Malgaches veulent rester en France par tous les moyens dont la falsification de visas. “Cinq ont été arrêtés en 2006 suite à un contrôle”, souligne Andréas Rolland qui explique que l'envoi de passeport pour renouvellement devient une tendance chez les Malgaches résidant en France.

Fanja Saholiarisoa
Date : 11-01-2007


express.gifla reprise de la Super Coupe de Madagascar - par moise44

Football - Super coupe
AS Adema et Ajesaia, une répétition
Abandonnée depuis trois saisons, la reprise de la Super Coupe de Madagascar revêt un intérêt particulier pour les porte-fanions aux coupes africaines.


Les yeux seront rivés au stade municipal de Mahamasina, dimanche prochain, avec le duel attendu entre l'AS Adema, championne de Madagascar en titre, et l'Ajesaia, vainqueur de la Coupe de Madagascar, pour la Super Coupe de football. Ces deux meilleures formations du moment se défieront, avant d'entamer leurs matches africains, soit le 26 ou le 27, ou encore le 28 janvier 2007. L'affrontement est important, vu son envergure, pour déterminer la meilleure équipe de football de 2006.
L'AS Adema compte regagner la confiance des spectateurs, en prenant la partie au sérieux. “Cette rencontre sera l'une des priorités de l'équipe pour cette saison. Autant dire qu'il faut la prendre avec tout son intérêt”, déclarent Auguste Raux et Franck Rajaonarisamba, entraîneurs de l'AS Adema.
Test pour les nouvelles recrues
Ce sera aussi une occasion pour ce tandem de mettre à l'épreuve son équipe type, à la Ligue des champions. “Les spectateurs de Mahamasina auront un avant-gôut du jeu de l'AS Adema en Ligue des champions”, promet Auguste Raux.
Le match servira d'ailleurs de test pour les nouvelles recrues. A commencer par Jean Tholix, Tsima Jean Eddy Randriamihaja, Marie Fidèle Randriamalala, dit Commune, et le gardien de but, Friederich Sarivo Karl. Ces quatre ex-joueurs de l'Usjf Ravinala ne devront pas décevoir les entraîneurs. Ils ont déjà porté haut le fanion malgache, à la Coupe de la CAF, l'année dernière. L'ex-défenseur de l'Ecorédipharm, Charly Anderson, et l'ex-attaquant de FC Dina, Anny Tahiana Rajaonarison, sont aussi prêts à justifier leur convocation.
Autant dire que l'équipe sera au grand complet, sauf Patrick Rajaobary et Tahiana Elisé Rahajambahoaka, qui ne sont pas encore remis de leurs blessures.
En face, le match sera placé sous le signe d'une revanche pour l'Ajesaia qui avait, à double reprise, enregistré une défaite, en début de la saison 2006, par 1 but à 2 et 0 à 2, devant l'AS Adema. Une situation qui ne font pas trembler du tout les jeunes techniciens de Jean Bruno Randrianarijaona et Hary Andrianaivo, entraîneurs de l'Ajesaia. Ils vont ainsi montrer un tout nouveau visage, ce dimanche. Les jeunes affichent d'ailleurs une performance, en fin de saison, pour ne citer que leur exploit devant l'Uscaf (1-0), en finale de la Coupe de Madagascar.
“Ce sera une belle occasion pour l'équipe de montrer sa volonté de vaincre”, lance Bruno Randrianarijaona, qui veut aller jusqu'au bout de ses rêves: amener l'équipe en match de groupe, de la Coupe de la CAF.
En attendant, les deux équipes procèdent à leur préparation intensive, cette semaine.

Soafara Ralaimidona
Date : 10-01-2007

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