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Nouvelles

express.gifNouvelles des inonndations 2007 - par Moïse

Anosibe Zaivola
Ravalomanana en visite éclair chez les sinistrés


Les sinistrés d'Anosibe Zaivola ne sont pas près d'oublier la visite de samedi dernier du président Marc Ravalomanana. "Même s'il ne nous a rien donné, ce geste nous apporte un grand espoir sur notre sort", souligne Ravelo, une mère sinistrée dans ce site d'hébergement sis sur la digue.
En revenant de son voyage en territoire français, le président n'a pas manqué de dédier une pensée aux personnes victimes des inondations de la Grande île. "Des mesures doivent être prises pour sauver ces sinistés dont le nombre augmente de jour en jour. Cela doit se faire dans les prochains jours, pour que la situation ne se détériore pas", a-t-il fait savoir.
Pour marquer cette volonté, le cortège présidentiel s'est arrêté sur la digue pour visiter les sites où les sinistrés sont hébergés. "Avez-vous ce qu'il vous faut ? Les vivres vous sont-ils parvenus?". Marc Ravalomanana s'est enquéri du quotidien de ces gens se trouvant sous les tentes.
Il a aussi parlé avec le chef quartier sur l'organisation interne de ce site.
Certains sinistrés n'ont pas manqué de se plaindre de la promiscuité des tentes dans lesquelles ils vivent. "Je vais faire en sorte d'arranger tout cela dans les prochains jours ", a promis le chef de l'Etat.

Fanja Saholiarisoa
Date : 19-02-2007


Réinsertion sociale
Dix huit familles de sans-abri relogées
Quatre familles de sans-abri ont regagné leur région natale. Quatorze autres ayant choisi de rester à Antananarivo ont été dotées d’outils de travail.

Dix huit familles de sans-abri échappent à l’extrême pauvreté. Désormais, elles ont un toit pour dormir et une activité génératrice de revenus. Cela s'est fait grâce à l’intervention du Bureau municipal d’hygiène (BMH), qui a facilité leur réinsertion ou les a aidés à regagner leur région d’origine.
Très tôt dans la matinée de samedi, quatre familles sur 18 ayant choisi de retourner dans leur ville natale ont quitté Antananarivo. Ils sont respectivement partis pour Farafangana, Ambatondrazaka et Tsiroanomandidy.
“Le BMH nous a proposé deux autres options, en l’occurrence rester à Antananarivo et faire des activités génératrices de revenus, ou encore intégrer des associations œuvrant pour les sans-abri, mais nous avons préféré rentrer chez nous”, confie Ranaivojaona. Ce père de famille s'apprêtait à partir pour Ambatondrazaka avec son épouse et ses trois enfants.
Outils de travail
“Nous avons une maison là-bas. J’envisage d'y retravailler la terre avec l’aide de ma femme qui se mettra aussi à la couture. Ensemble, j’espère que nous pourrons nous en sortir”, poursuit-il.
Le fokontany III G Hangar s’est porté volontaire pour trouver des logements pour les 14 familles ayant choisi de rester dans la capitale. “Ces personnes ont déjà trouvé des activités génératrices de revenus. Certaines ont choisi d’être tireurs de pousse-pousse. D’autres ont opté pour le petit commerce ou la couture”, fait savoir le Dr Samimamy, responsable du programme réinsertion des sans-abri au BMH.
Pour les aider, le BMH et ses partenaires leur ont remis des outils et des instruments de travail, lors d’une cérémonie à Namontana, samedi. Ainsi, certains ont reçu un pousse-pousse, d'autres une machine à coudre… Ils ont, en outre été inscrits dans un système de mutuelle.
Les outils de travail ne sont pas des cadeaux. Les bénéficiaires ont l'obligation de travailler pour rembourser. “Ils auront à rembourser au fur et à mesure que leurs activités avancent”, explique le Dr Samimamy.
Une stratégie pour les sans-abri est actuellement à l’étude. “Le BMH et les associations s’occupant des personnes démunies sont en train de la concevoir “, a annoncé le Dr Samimamy.

Henintsoa Andriamiarisoa
Date : 19-02-2007




Catastrophe naturelle
421 sinistrés à Mahabo


Mahabo, commune rurale située dans la région Menabe, risque d’être rayée de la carte. En crue depuis plusieurs semaines, la rivière de Morondava, qui traverse Mahabo, est sortie de son lit. Elle écorne le littoral Nord de Mahabo.
Les maisons et les bâtiments bâtis sur la rive sont actuellement sous l’eau ou se sont effondrés. “421 personnes, soit 77 familles, sont sinistrées depuis quelques jours”, fait savoir Roland Randriamampionona, ministre des Travaux publics, lors d’une descente sur place.
En attendant que l’eau se retire, les sinistrés sont logés au bâtiment du Génie rural et au Tranompokonolona. La plupart des habitants de Mahabo sont pessimistes. “La situation ne risque pas de s’améliorer si la pluie continue à tomber”, craint l'un d'eux. Cet homme a d'ailleurs grossi les rangs des sinistrés quelques jours plus tôt.
Pour y remédier, un projet est actuellement étudié. Il sera mis en œuvre par le Fonds d’intervention pour le développement (Fid) et adoptera le système Haute intensité de main d’œuvre (Himo). “L’idée est de sauver Mahabo tout en créant des revenus pour la population”, explique Roland Randriamampionona.
Un don composé de riz, de savon, d’autres produits de première nécessité (PPN) et de purificateurs d’eau, a été remis aux sinistrés. Des médicaments d’urgence, des couvertures et des tentes doivent ensuite leur être donnés.

Henintsoa Andriamiarisoa
Date : 19-02-2007


express.gifL'industrie du cinéma en pleine restructuration - par moise44

Audio-visuel
L'industrie du cinéma en pleine restructuration
Quel avenir pour le cinéma malgache? A l'allure où vont les choses actuellement, l'on peut avancer que le secteur est en train d'entrer dans une nouvelle phase.

Pas moins de dix. C'est le nombre de films prévus sortir cette année, chez deux maisons de productions. Pas moins de dix parce que d'autres maisons ou promoteurs projettent d'en produire plus. Volatiana, la chanteuse convertie au cinéma, met la barre très haut.
L'actrice cherche en effet à redorer le blason de l'industrie cinématographique malgache. Il s'agit, pour elle, de lutter contre la contrefaçon, mais aussi et surtout de réduire au minimum les éventuels risques du développement du cinéma sur la vie privée des gens. Autrement dit, la professionnalisation du secteur s'avère encore d'une grande importance.
Côté production, la maison Meva Production en est à son deuxième produit. Intitulé "Rafozan-tsarotiny ", celui-ci fera l'objet d'une première diffusion, dimanche 25 février, au cinéma Ritz. Ce film met en scène le thème du perpétuel différend entre belle-mère et belle-fille qu'on peut encore rencontrer assez fréquemment dans la société malgache actuelle.
Pour sa part, Scoop digital présente le prolongement de "Malok'ila". Intitulé "Indroa malok'ila", le film sera projeté officiellement, le 1er mars. La diffusion publique se fera deux jours après. Une diffusion faisant office d'ouverture de la saison de projection de films, au sein de la maison de production.
Ouverture
Pour Scoop Digital, cette année sera celle de l'ouverture. La maison se lance, en effet, dans la traduction de certains de ces films. Dans cette phase de commencement, le feuilleton "Jiaby jiaby" sera traduit en français. En ce moment, le projet est déjà en cours.
Cette année sera également celle du professionnalisme, du moins pour certaines maisons de production. Autrement dit,
celles-ci tiennent désormais compte de l'importance des stages de formation, dont bien d' acteurs locaux ont besoin.
En vue de faire valoir le thème véhiculé par son deuxième long métrage, Meva Production a fait appel à un connaisseur du théâtre radiophonique. Il s'agit de Nirina qui, outre ses expériences dans ce domaine, a suivi des formations dispensées par la maison de production. Il en est de même chez Scoop Digital. La maison prévoit également d'offrir des séances de formation au profit de ses acteurs, à chaque participation aux films produits.
Stages ou pas, les deux maisons ont déjà affiché leur objectif pour cette année. Scoop digital prévoit de produire six films, et quatre pour Meva Production. Ce qui porte le nombre à dix.

Andry Drouot
Date : 17-02-2007

express.gifLa tempête tropicale Favio persiste dans le Sud - par moise44

Météo
La tempête tropicale Favio persiste dans le Sud




La tempête tropicale modérée, appelée “Favio”, rôde le long des côtes de la Grande île, mais ne se montre pas encore menaçante. Selon Newsman, prévisionniste au sein du Service métérologique d'Ampasapito, ce mauvais temps n'aura encore d'impact sur la Grande île que dans 48 heures, où sa pression s'intensifiera.
Hier vers 15h, Favio se trouvait à 1.107 km, au sud-est de Mananjary. Elle se déplace vers le sud-ouest, avec une vitesse de 28km/h.
Pour les prochains jours, la pluie sera toujours au rendez-vous, suite à la persistance de la zone de convergence intertropicale. Face à cette situation, la montée des eaux sera de plus en plus observée.

Fanja Saholiarisoa
Date : 17-02-2007

express.gifLe trafic illicite d'animaux obéit au marché noir - par Moïse

Questions à... Monique Radiharisoa
“Le trafic illicite d'animaux obéit au marché noir”
Le Directeur général des Eaux et forêts parle de l'exportation illégale des produits de la nature.

• Qu'entendez-vous par trafic illicite d'animaux et de plantes ?
Une exportation d'espèces de la faune ou de la flore est qualifiée d'illégale ou illicite, quand elle est faite en l'absence de papiers légaux ou encore à l'aide de documents falsifiés. On parle aussi de trafic illicite dès que le produit commercialisé ne peut pas faire l'objet d'une exportation et n'obtient pas une autorisation de sortie du territoire national.

• A votre avis, quels sont les facteurs à l'origine de la multiplication des cas de trafic illégal ?
A l'instar de toutes les transactions, le trafic illicite d'animaux ou de plantes suit la loi de l'offre et de la demande sur le marché. La forte demande d'une espèce quelconque à l'extérieur stimule le désir d'un trafiquant illicite à chercher par tous les moyens le produit sollicité. Ce qui le pousse à agir en marge de la législation en vigueur dans son pays. Le marché noir des produits prohibés constitue également une manière d’avoir de l’argent facile pour certaines personnes.

• Quelles sont les espèces les plus touchées par le phénomène ?
Pour les animaux, les tortues sont les plus concernées par le trafic illégal. Dans ce cadre, on peut citer deux variétés, à savoir la radiata et l'yiniphora. Les caméléons et quelques espèces de lézards sont également sujets à l'exportation illicite. A l'exception des bois précieux, les plantes sont plus ou moins épargnées par ce phénomène.

• Pour quelles raisons une espèce ne peut-elle pas faire l'objet d'une exportation ?
- Une espèce animale ou végétale est interdite de sortie du territoire national dès qu'elle figure dans la liste de l'annexe I de la Convention sur le commerce international des espèces animales et
végétales, connue sous le sigle Cites. En d'autres termes, il s'agit des espèces considérées comme menacées d'extinction, dont tous les lémuriens, les tortues, pour les animaux, et quelques espèces de pachypodiums et d'aloes pour les plantes. Les espèces inscrites sur l'annexe II de la même convention, c'est-à-dire menacées d'extinction mais à un degré plus faible, nécessitent des dispositions spéciales pour leur conservation, et donc d'une autorisation spéciale avant de quitter le territoire national.

• Parlez-nous de la Convention Cites...
- Comme son nom l'indique, il s'agit d'une
convention réglementant le commerce international des espèces de la faune et de la flore sauvages menacées d'extinction. Les pays ayant ratifié cette convention, dont Madagascar en 1975, se doivent de l’appliquer pour conserver le patrimoine naturel.

Propos recueillis par

Henintsoa Andriamiarisoa
Date : 16-02-2007

express.gifFrance-Afrique : La technologie de l'information au menu - par Moïse

France-Afrique
La technologie de l'information au menu




Le chef de l'Etat a prononcé hier son discours du 24e Sommet France-Afrique qui se déroule à Cannes, au sud de la France. Le président Ravalomanana a mis en exergue le rôle de la technologie de l'information comme support du développement économique et de la démocratie. Il réitère ainsi son appel pour un “Plan Marshall” de financement du développement de la technologie en Afrique.


Date : 16-02-2007

express.gifEvènement La Journée mondiale de la femme à Ampefy - par Moïse

Evènement

La Journée mondiale de la femme à Ampefy



Ampefy accueillera les manifestations s'inscrivant dans la célébration de la Journée mondiale de la femme ce 8 mars. Cette année, la célébration se fera sous le thème “mettre fin aux impunités quand dans violences sont perpétrées à l'encontre des femmes”. L'idée est de faire participer la femme au processus de développement de la communauté. Tout cela dans la mise en œuvre du Plan d'action pour Madagascar (Map).


Date : 16-02-2007

express.gifTennis - Open des pirates - par Moïse

Tennis - Open des pirates
Six joueurs à la Réunion


La sixième édition de l'Open des pirates de tennis, se déroulera à St-Paul de la Réunion, du 19 au 26 mars. Six joueurs malgaches, dont deux filles, y participeront.
En collaboration étroite avec Tony Rodriguez, ancien moniteur du club Acsa à Ambohidahy, la ligue d'Analamanga offre chaque année, aux meilleurs joueurs de la saison, l'opportunité de représenter la Grande île à cette compétition. Nombreux sont les jeunes joueurs malgaches qui ont déjà participé à ce tournoi. L'année dernière, Mialy Niaina Rakotondrazafy a été sacrée championne dans la catégorie filles 9-10 ans, titre ravi, en 2003, par Rota Nouraly.
Le tennis club de la Baie de St-Paul et le comité d'organisation de l'Open des pirates prennent en charge 50% des frais de déplacement ainsi que l'hébergement et la restauration de la délégation malgache, accompagnée de Tony Rodriguez. Les joueurs s'envoleront pour la Réunion, le jour même de l'ouverture du tournoi et ne reviendront que le 25 mars.

Liste des joueurs
Filles :
Rakotohasy Jackinah ( mai 98)
Raoelison Miora (septembre 97)
Garçons :
Ratsimandresy Andritokiana (mai 1997)
Rabialahy Fahelisoa (mai 98)
Razafindrakoto Voary (décembre 98)
Koller Tom ( avril 99) catégorie 7-8 ans
Accompagnateur : Tony Rodriguez

Andry Ratovo
Date : 15-02-2007

express.gifCyclones : 14 000 sinistrés à Tana - par Moïse

Catastrophes
14 000 sinistrés à Tana




14 227 sinistrés, c'est beaucoup pour la capitale qui compte au jour du mardi, 44 sites d'hébergement. Ainsi, le nombre des sinistrés ne cesse de s'alourdir. La situation nécessite un renforcement des interventions.
Les tentes ne sont pas suffisantes dans beaucoup de sites d'accueil de la capitale. C'est ce qui a filtré de la réunion du comité régional des intervenants en matière de catastrophes (Cric), mardi au siège du bureau national de gestion des risques et catastophes (BNGRC/CNS), Antanimora.
Les conditions d'hygiène de ces personnes vivant dans l'eau sont encore précaires. Les habitants de certains bas quartiers submergés ne disposant pas de pirogue doivent marcher dans l'eau.
La situation risque de s'aggraver, à en croire les explications du service météorologique. “De fortes pluies seront à craindre dans les 48 heures, car un régime de mousson persiste à Madagascar.
Nouvelle dépression
Ainsi, une dépression cyclonique rôdera sur les côtes de Vangaindrano en fin de semaine”, souligne Sahondra Raveloarisoa, ingénieur météorologue présente à cette réunion.
Les membres du Cric n'ont pas manqué de faire une évaluation de la situation sur l'étendue du territoire. Actuellement, plus de 40 000 hectares de rizières sont inondées selon le rapport officiel. Les parties Nord, Nord-Est, Est et le centre sont les plus touchés.

Fanja Saholiarisoa
Date : 15-02-2007

express.gifSommet France-Afrique : Ravalomanana reçu par Chirac - par Moïse

Sommet France-Afrique
Ravalomanana reçu par Chirac



Le président de la République, Marc Ravalomanana, et tous les autres chefs d'Etat invités ont été reçus par le président français, Jacques Chirac, hier soir à Cannes, France. Il assistera ce jour, à l'ouverture officielle du 24ème sommet France-Afrique. Il débattra, avec ses homologues africains, du thème : “L'Afrique et l'équilibre du monde”.
Date : 15-02-2007

express.gif“La production de biocarburant crée beaucoup d'emplois” - par Moïse

ECONOMIE

Questions... à Raff James
“La production de biocarburant crée beaucoup d'emplois”

Le directeur général de la société Bio Energy Invest, productrice de biocarburant, remet les problèmes des investisseurs sur le tapis.

• Pour quelle raison vous lancez-vous dans la production de biocarburant ?
- Plusieurs raisons motivent notre décision. La production de biocarburant dans un pays, comme Madagascar, est avantageuse sur tous les points. Il existe actuellement une demande réelle en matière de carburant non fossile dans le monde. Les pays européens, asiatiques et américains s'y intéressent beaucoup.
Pour le pays, l'avantage le plus concret consiste en une forte création d'emplois, par ailleurs facteur prépondérant pour engendrer de la richesse. D'un autre côté, avec une production régulière, le pays diminuera le volume d'importation de carburant fossile et pourra à terme améliorer sa balance commerciale.

• A quel stade les projets de Bio Energy Invest se trouvent-ils ?
- Les projets sont actuellement en suspens, à cause de la lenteur administrative. Nous attendons toujours la décision au sujet de la demande d'acquisition des terrains que nous avons lancée il y a presque deux ans.
Nous avons un projet de plantation et de transformation du jatropha sur une superficie de 2 500 hectares à Ambalakida, dans la région de Mahajanga. La demande a obtenu un avis favorable des autorités et responsables locaux et régionaux.
Nous attendons la réponse de l'Administration centrale. Pourtant le sol de ce terrain est pauvre et il ne se prête guère à d'autres types de culture, à part celle du jatropha. Avec le produit d'un hectare de ce oléagineux, on peut en extraire jusqu'à trois tonnes d'huile.

• Quels seront les risques si la décision prend encore du retard ?
- Le principal risque se trouverait dans le désistement de nos partenaires étrangers. Mise en place depuis le début de 2005, la société Bio Energy Invest s'est alliée à des entreprises allemandes et britanniques pour l'exécution du projet. Nos partenaires risquent de nous laisser tomber si le terrain n'est pas acquis. Ils ont déja approuvé sa disposition et sa situation géographiques.

• Plus précisément...
- La sécurisation foncière constitue une condition sine qua non de tout investissement, aussi bien national qu'étranger. Le projet possède une envergure assez importante. Car dans les premières années, nous pensons exploiter 1 250 hectares avec 45 emplois fixes et environ 600 emplois indirects. En vitesse de croisière, ce chiffre sera en nette augmentation. Il faut savoir également que nous avons déja acquis l'adhésion de la population locale.

• Votre projet est-il le seul à souffrir de la lenteur de l'Administration ?
Je ne pense pas. La légendaire lenteur de l'administration malgache reste un handicap à l'encontre de l'appel lancé auprès des opérateurs économiques. Nous en sommes actuellement victimes, surtout à cause du manque de prise de décision de l'Administration. Le cas de la société Bio Energy Invest constitue un cas parmi tant d'autres.
Les investissements se chiffrent pourtant en millions d'euros. De plus, le projet inclut un volet social en vue d'améliorer la vie de la population du site. Un bassin de production d'algues type spiruline y sera mis en place, afin d'apporter un complément alimentaire aux habitants.

Propos recueillis par

Doda Andrianantenaina
Date : 14-02-2007

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