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Nouvelles

express.gifREFERENDUM DU 4 AVRIL 2007 OUI OU NON - par Moïse

Référendum
“Oui” et “Non”, chassé-croisé


La dernière journée de la campagne référendaire a été marquée hier par des grands meetings. Les partisans du “Oui” avec Marc Ravalomanana étaient à Fianarantsoa et à Mahamasiana tandis que la plate-forme du “Non” était à Toamasina.

La plate-forme pour le “Oui” a bouclé la propagande référendaire, hier, au Palais des Sports, en faisant monter sur la scène des artistes de renom.

Ambiance de fête, hier lundi 2 avril, au Palais des Sports à Mahamasina, lors du dernier meeting organisé par le comité de soutien du ''Oui''. Le président de la République, Marc Ravalomanana, qui n'était resté sur le lieu que pendant 20 minutes, a limité son discours.
Il n'a pas voulu interrompre l'animation des artistes qui commençait à faire bouger le public majoritairement jeune. “Je viens juste d'arriver de Fianarantsoa. Je ne dispose pas de beaucoup de temps. On va maintenant procéder au discours. Chaque intervention ne doit pas dépasser trois minutes pour que les jeunes puissent continuer la fête”,
a-t-il annoncé, en se chargeant volontairement de l'organisation.
Contrairement aux meetings de propagande habituels, seuls trois orateurs ont pris la parole à Mahamasina, avant le message du chef de l'Etat. Il s'agit du président de la Délégation spéciale de la commune urbaine d'Antananarivo, Mamy Rafalimanana, du député élu au 3è arrondissement et vice-président de l'Assemblée nationale, Mamy Rakotoarivelo, ainsi que du ministre des Affaires étrangères, le général Marcel Ranjeva.
Reconnaissance du Président
Ainsi, le chef de la diplomatie malgache a insisté sur les propos du parlementaire. Il a précisé qu'il ne faut pas isoler la révision de la Constitution de la réélection de Marc Ravalomanana à la présidence de la République et la mise en œuvre du plan d'action pour Madagascar (Map).
A son tour, Marc Ravalomanana a félicité la présence des alliés à la plate-forme du ''Oui'' au Palais des Sports. Malgré l'assistance des autres dirigeants politiques, dont le président du Parti républicain de Madagascar (PRM), Roger Ralison, il s'est adressé particulièrement au président de la Force vive Ralaimongo, le révérend Andrianalijohn Ndriamanampy, au dirigeant de l'Avant-garde pour la rénovation de Madagascar (Arema Matotra), Pierre Raharijaona, ainsi qu'aux représentants du Groupe de réflexion et d'action pour le développement (Grad/Iloafo).
Marc Ravalomanana, suivi de près par sa garde rapprochée, le secrétaire général de la présidence, Noël Rakotondramboa, et le chief of staff par intérim, Ivohasina Razafimahefa, a quitté l'endroit quand le tableau électronique du Palais des Sports a indiqué 15 h 53 mn. Et la fête a continué avec, entre autres, Ambondrona, Lôla et Tsiliva jusqu'à 17 h.

Le “Non” tente de séduire Toamasina
La ville de Toamasina était le théâtre d’un véritable face à face entre le “Oui” et le “Non”, durant la dernière journée de la campagne référendaire, le lundi 2 avril. Les partisans du “Non” ont choisi le Centre régional de la jeunesse et des sports (CRJS) dans le centre ville, pour organiser leur meeting.
A moins de 200 m du CRJS et à la même heure (17h), une délégation lourde conduite par le premier ministre Charles Rabemananjara a opté pour le lycée technique. Elle y a défendu les raisons de la révision de la Constitution et invité l’assistance à voter “Oui” le 4 avril. Pour chacune des deux réunions, l’affluence était importante : environ 2000 personnes.
La plate-forme pour le “Non” a réussi à frapper un grand coup pour cette dernière journée de campagne référendaire. Trois candidats de la dernière élection présidentielle, des grosses pointures de l’opposition, ont été présents dans la tribune et ont participé aux discours. Il s’agit de Roland Ratsiraka, Jean Lahiniriko et Herizo Razafimahaleo. Henri Leacheur, conseiller du président Marc Ravalomanana, y a également été aperçu.
“Nous avons déjà été à Fianarantsoa sur une invitation de l’association “Tambatra”. Nous avons également répondu à l’invitation de Roland Ratsiraka pour un meeting pour le “Non” à Toamasina”, a déclaré Jean Lahiniriko.
Contrairement au meeting pour le “Oui”, il n’y avait pas d’artiste pour animer le meeting de la plate-forme pour le “Non”. Mais une ambiance surchauffée régnait, durant près de deux heures, au CRJS. Seule la tombée de la nuit a mis fin à la surexcitation des quelques 2000 personnes présentes. Comme à son habitude, Roland Ratsiraka, qui a pris la parole en dernier, a fait un discours particulièrement provocateur, au grand plaisir de l'assistance qui approuvait par des cris de victoire.
Très tôt dans la matinée du lundi 2 avril, des véhicules équipés de sonorisation ont sillonné la ville pour inviter la population à assister au meeting pour le “Oui”. Les partisans du “Non” étaient invisibles et n’avaient pas eu recours à ces moyens, mais l’information sur le rendez-vous du CRJS circulait déjà au sein des habitants.
Dès 15 heures de l’après-midi, des attroupements ont été observés au CRJS. Il n’y avait aucun signe de préparation d’un meeting. Malgré les bruits qui couraient sur un possible faux-bond des personnalités attendues, les gens sont restés. L’estrade mobile installée sur un camion n’est arrivée qu’à 16 heures 30, précédant l’arrivée des invités. Roland Ratsiraka, qui tenait un meeting à Mahanoro, est arrivé le dernier.

Fano Rakotondrazaka et Mahefa Rakotomalala
Date : 03-04-2007

Un autre cyclone menace de frapper mardi le nord-est de Madagascar - par Moïse

2007-04-03 09:12:37


Antananarivo, 2 Avril (Xinhua) -- Un autre cyclone menace de frapper mardi le nord-est de Madagascar, alors que cette partie du pays est encore en train de se rétablir des dommages causés par le dernier cyclone qui s'est abattu sur le pays il y a deux semaines.

Ce lundi 2 Avril 2007, vers 09h00 du matin, heure locale, ( 06h00 GMT) le cyclone Jaya a été localisé à 400km de la côte nord- est du pays, a indiqué Léon Guy Razafindrakoto, ingénieur au ministère de la météorologie joint par téléphone par Xinhua.

Avec une vitesse de 20km/h, se dirigeant vers l'ouest, Jaya s'accompagne de vents de 160km/h, a précisé M. Razafindrakoto, ajoutant que ce cyclone atteindrait le nord-est de la grande île mardi vers 16h00 (13h00 GMT).

Ce cyclone tropical constitue également une menace pour le referendum constitutionel prévu pour mercredi prochain.

Selon Midi, un journal quotidien publié lundi, plusieurs centaines de milliers des electeurs ne pourront pas voter à cause de ce cyclone qui menace le pays.

Jaya porrait aggraver la situation dans les zones déjà touchés par le cyclone Indlala du mois dernier, a affirmé le quotidien.

Selon des statistiques fournies par le secrétaire executif du Bureau national pour la gestion des risques et catastrophes, 88 personnes ont trouvé la mort dans cette catastrophe naturelle pendant que des dizaines de milliers d'autres personnes sont devenues sans-abri à cause du passsage du cyclone Indlala.



express.gifMauvais temps : Indlala menace le Nord de l'île - par moise44

Mauvais temps
Indlala menace le Nord de l'île



Le cyclone tropical Indlala commence à menacer les côtes malgaches. Depuis hier, des avis de menace de danger imminent ont été lancés à certaines zones de la côte Nord Est, entre autres les districts d’Antsiranana I et II, la région Sava et le district de Maroantsetra.
De leur côté, les districts de Nosy Be, Ambanja, Ambiloba, Bealanana, Befandriana Avaratra, Mandritsara, Mananara Avaratra, Soanierana Ivongo, Sainte-Marie, Vavatenina, Fenoarivo Atsinanana et Toamasina I et II ont reçu un avis d’avertissement.
“Aussi, les activités en mer sont-elles déconseillées jusqu’à ce que les alertes soient levées. De même, les riverains des côtes sont appelés à être vigilants à la montée des rivières et de la mer”, déclare un prévisionniste à Ampasampito.
Hier à 15 heures, le centre du cyclone a été localisé à 45 km au Nord Est de Vohémar. Il se déplace à l'Ouest à une vitesse de 13 km à l'heure. Il dégage des rafales atteignant les 170 km / heure et des vents moyens de 120 km / heure.

Henintsoa Andriamiarisoa
Date : 14-03-2007

express.gifTongarivo-Tanjombato : Onze bandits braquent une congrégation religieuse - par moise44

Tongarivo-Tanjombato
Onze bandits braquent une congrégation religieuse
Les centres d'œuvres se trouvent également dans la ligne de mire des bandits. L'attaque du siège des sœurs de la charité à Tanjombato en est une illustration

Les locaux de la congrégation des sœurs de la charité à Tongarivo, dans la commune rurale de Tanjombato dans le district d'Antananarivo-Atsimondrano, a fait l'objet d'une attaque à main armée, hier matin.
Deux personnes y ont été blessées. Il s'agit d'une protégée du centre et du gardien. Tenu par neuf réligieuses, ce centre abrite 40 personnes handicapées physiques et mentales. Il est également équipé d'un dispensaire.
Selon le témoignage du gardien du site, onze bandits armés de pistolets et d'armes blanches ont assailli le site. “Certains m'ont tabassé avant de me ligoter”, indique-t-il.
D'autres se sont introduits dans les chambres des handicapés au rez de chaussée. Des patients ont crié au secours. Pour les faire taire, les assaillants les ont menacés et ont frappé une femme. Celle-ci a été blessée à la tête.
Le témoignage de sœur Madeleine a révélé que les bandits se sont introduits dans le centre vers une heure du matin. La religieuse affirme avoir attendu des bruits provenant du rez de chaussée. “Après avoir regardé par la fenêtre , j'ai pris la décision d'ouvrir la porte. Une fois dans le couloir, un bandit m'a menacée avec un pistolet”, raconte -t-elle.
Racontant le calvaire qu'elle a enduré, soeur Madeleine a affirmé avoir été stupéfaite lorsqu'elle avait vu une autre soeur prise en otage par les malfaiteurs. “Un bandit la maintenait par le col tout en lui ordonnant de livrer de l'argent”, déclare-t-elle.
Une sœur courageuse
Fort heureusement, des habitants du quartier et des policiers du commissariat de police de Tanjombato sont rapidement venus à notre secours. Les bandits ont dû battre en retraite et ont disparu dans le noir. Ils n'ont pu s'emparer que de quelques matériels de travail du gardien, en l'occurence, une torche.
Cet heureux aboutissement a été dû à l'action courageuse d'une soeur qui a réussi à sortir du centre à l'insu des malfaiteurs. Elle est, d'après le témoignage de soeur Madeleine, descendue de l'étage en escaladant le pilier de la véranda pour alerter des voisins. A cela s'ajoute, l'appel au secours lancé par des soeurs bloquées dans d'autres chambres.

Teholy Martin
Date : 14-03-2007


Lutte contre la mendicité
Quatre semaines pour réinserer les enfants de rue
L’”initiative Lemizo” entend promouvoir le développement des sans-abri, en particulier les enfants, en leur donnant un foyer et une éducation.

Epargner les enfants de la rue de la mendicité sur une période de quatre semaines. Tel est l’objectif visé par l’“Initiative Lemizo” lancée pour lutter contre l'exclusion sociale dans la ville d’Antananarivo. Il s’agit de mettre l’accent sur le droit humain et la protection de l’enfant, en lui faisant bénéficier de ses droits fondamentaux, entre autres celui d’avoir un foyer, d’être scolarisé, de jouir d’une bonne éducation ou d’accéder aux soins de base.
Cette initiative est mise sur pied par le ministère de la Santé, du planning familial et de la protection sociale, la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA), à travers le Bureau municipal d’hygiène (BMH), et le corps des sapeurs-pompiers et les associations et Organisations non gouvernementales (ONG) oeuvrant pour la réinsertion des plus démunis.
“Lemizo vise à promouvoir la baisse de la population des rues et des sans-abri constitués en majeure partie d’enfants, tout en renforçant leur réinsertion sociale et ainsi les recaser”, fait savoir le Dr Jean-Louis Robinson, ministre de la Santé, du planning familial et de la protection sociale, mardi, en marge de la présentation de l’initiative.
“Ceci, en vertu de l’engagement n°8 et du défi n°4 du Plan d’action pour Madagascar (Map) relatif à l’assistance aux couches démunies et vulnérables”, poursuit le Dr Marie Perline Rahantanirina, vice-ministre.
Scolarisation et réinsertion
L’“Initiative Lemizo” entend axer ses activités sur le développement de chaque individu et du pays. Ainsi, les enfants tirés de la mendicité au niveau des rues seront à la fois recasés au niveau des centres d’acccueil et scolarisés.
Le centre Akamasoa du père Pedro Opéka a déjà annoncé sa disponibilité à accueillir des enfants sans-abri. “Il faut seulement que les personnes qui désirent intégrer le centre remplissent trois critères: se mettre au travail pour les adultes, suivre les cours à l’école pour les enfants et respecter le “dina” de l’Akamasoa”, fait-il savoir.
Pour commencer, Antananarivo reste sa seule zone d’intervention. L’extension dans les autres provinces étant prévue dans les mois à venir. Le choix de cette ville résulte du désir d’améliorer l’image de la capitale, en réduisant le nombre des personnes errant dans les rues. C’est pour cette raison que l’expulsion des adultes oisifs des tunnels, arcades et rues de la ville où ils "élisent domicile" s’inscrit aussi dans le cadre de l’“Initiative Lemizo”.
Selon Félix Ramahavita, directeur de la protection sociale, “le dernier recensement réalisé dans les six arrondissements, le 9 mars, fait état de 188 sans-abri constitués en majorité d'enfants, dans la ville d’Antananarivo.”
Parmi ces 188 sans-abri, 47 sont issus du premier arrondissement, 34 du deuxième, 45 du troisième, 40 du quatrième, 21 du cinquième et un seul du sixième. La reinsertion des sans-abri adultes au niveau des sites d’accueil, dont Imamba, ou la prise en charge de ces personnes pour leur retour au niveau de leurs villes d’origine relèvent du ressort du BMH.

Des 4'mi contre le recasement
La nouvelle mesure visant à promouvoir la réinsertion sociale des enfants des rues ne fait pas l'unanimité. Certaines personnes concernées sont pour, d'autres n'y voient que des incovénients. Ce sont les parents qui sont contre la réinsertion de leurs progénitures.
“A l'instar de ce qui a été réalisé il y a quelques années, la réinsertion ne fait que nous séparer de nos enfants”, s'exclame Marie-Jeanne, sans-abri mendiant à Analakely dans la journée. “Je suis d'accord si je suis placée dans un même centre d'accueil que mes enfants, sinon autant rester dans la rue et profiter de la ville”, ajoute-t-elle.
Pour sa part, Martine une jeune femme âgée de 19 ans et mère de deux enfants, préfère voir grandir ses enfants dans la ville plutôt que de les voir intégrés à une association basée à des kilomètres de la capitale.
“Moi-même j'étais née sans-abri dans la ville d'Antananarivo. Alors que j'ai pu survivre jusqu'à maintenant. Alors j'estime que mes enfants pourront s'en sortir, bien que nous vivons dans le besoin et sans foyer”, argumente-t-elle. “De plus, il est préférable qu'ils mendient pour contribuer aux besoins de la famille”.
Mais la plupart des enfants des rues sont emballés quant à l'idée de retrouver les bancs de l'école. “J'aimerais apprendre à lire et à écrire pour devenir riche un jour”, confie Toky, les larmes aux yeux, tout en mendiant dans les embouteillages à Analakely.

Henintsoa Andriamiarisoa
Date : 14-03-2007


express.gifTaekwondo - Championnat de Madagascar - par moise44

Taekwondo - Championnat de Madagascar
Mandimby met son titre en jeu


Le champion de Madagascar des moins de 54 kg est un des combattants à suivre au sommet national. Il compte ne pas décevoir ses supporters.

Le Palais de la culture et des sports de Mahamasina sera le théâtre d'un beau spectacle, ce samedi 17 mars, avec le sommet national du taekwondo. Une compétition qui verra la participation de la crème de cette discipline.
Les combats dans la catégorie des moins de 54 kg masculine, où l'international Mandimby Randriamiandry du TCM compte conserver son titre devant une cinquantaine de concurrents, seront les plus disputés. “Je suis prêt pour la bataille. Le principe est surtout de ne pas sous-estimer les adversaires qui, eux aussi, ont soif de victoire”, assène Mandimby Randriamiandry. Dans sa catégorie, il rencontrera sans doute le vice champion de Madagascar, Onja Razafindrakoto.
Ce porte-fanion de l'association AATKD, compte prendre sa revanche après avoir essuyé une défaite devant Mandimby Randriamiandry, en juin 2006, aux championnats de Madagascar. Le Fianarois Ernest Landys Andriantiana, qui aime créer la surprise, arbitrera le duel entre Onja et Mandimby. Dans la même catégorie, le ténor Bary Fox Randrianasolo de Gym Center est aussi à suivre de près.
Temps forts
Dans les autres catégories, les combats entre les moins de 58 kg constitueront aussi le temps fort de la compétition, vu la présence de combattants illustres comme le boursier olympique Narinja Ramanantsoa de l'AATKD.
Chez les dames, comme à l'open d'Analamanga en février, la boursière olympique Lalaina Randrianantoandro du SPS Dynamic, risque encore de faire cavalier seul chez les moins de 59 kg dames, faute d'adversaires à sa taille. Une défaillance que la Fédération malgache de taekwondo, menée par Roty Randriamandranto, compte pallier au plus vite avec des compétitions internationales.
La prodige tamatavienne Volasoa Nantenaina Rabeony, quant à elle, tentera de confirmer sa suprématie chez les moins de 47 kg, après avoir montré un avant-goût de son talent durant l'open d'Analamanga.
Le premier combat sera pour demain, à 8 heures. Le pesage se fera la veille de la compétition au dojang de Gym Center, à Mahamasina, où les arbitres feront aussi leur dernière mise au point.
Cette compétition nationale servira ainsi à mettre sur pied une équipe nationale qui défendra les couleurs malgaches aux Jeux des îles de l'océan Indien qui seront disputés du 9 au 19 août à Madagascar. Selon le directeur technique national, Léonard Randriamanantena, “seuls les quatre premiers de chaque catégorie seront présélectionnés”.

Soafara Ralaimidona
Date : 14-03-2007

express.gifFibre optique à Madagascar - par moise44

Télécommunications
Installation de la fibre optique
Le projet de connexion sur la fibre optique se concrétise. Le lancement des travaux de mise en place du système débuteront dans les prochains mois.

Le raccordement au réseau mondial de fibres optiques, via la liaison Durban-Toliara, prend forme. L'accord concernant l'installation de cette connexion vient d'être signé par le consortium des utilisateurs et la société qui réalisera les travaux.
D'après les informations fournies par la direction générale des technologies de l'information et de la télécommunication (Dgtic), au ministère des Télécommunications, des postes et de la communication, ceux-ci devront débuter vers le début du second semestre de cette année. “La durée des travaux est d'environ 18 mois et, normalement, ils devront se terminer vers la fin 2008”, confie Olivier Robinson, premier responsable de la Dgtic.
Le coût estimatif du Système sous-marin est-africain (Eastern African Submarine System, Eassy) qui installera un câble sous-marin long de 9 900 km, s'élève à 240 millions de dollars. Au total, 17 pays, dont Madagascar, pourront bénéficier des services améliorés et de frais de communication plus bas, grâce au câble de l'Eassy.
Il assurera la connexion entre Durban et le port du Soudan, en passant par le Botswana, Djibouti, l'Erythrée, l'Ethiopie, le Kenya, le Lesotho, Madagascar, le Malawi, le Mozambique, le Rwanda, la Somalie, l'Afrique du Sud, le Soudan, la Tanzanie, l'Ouganda, la Zambie et le Zimbabwe.
Le projet démarre avec un retard de plusieurs mois. “L'exécution de la liaison a été reportée à cause d'un retard au niveau du consortium des pays intéressés”, explique un technicien de la société Telma. Quelques pays ont tardé à s'acquitter de leur part dans le financement du projet. “C'est aujourd'hui chose faite puisque le projet devra commencer vers le second semestre de cette année”, précise Olivier Robinson.
Alternative
Parallèlement, Madagascar s'offre l'alternative d'une connexion avec la Réunion. Le ministère vient, en effet, de signer le lancement des études de faisabilité d'une connexion à fibre optique avec cette île. “Nous devons nous assurer une garantie de la continuité du raccordement”, explique Olivier Robinson.
Le South Africa far eastern (Safe) via la Réunion est aujourd'hui une option pour pallier toute éventualité de problème de connexion. Cette liaison avec le Safe est moins coûteux et plus facile à installer. Théoriquement, elle peut se réaliser en six mois pour 15 millions d'euros.
Madagascar compte rattraper son retard sur les pays voisins en matière de haute technologie en mettant en place un projet de connexion à haut-débit qui reliera la Grande île au reste du monde avec une performance meilleure.
Les opérateurs attendent beaucoup de cette connexion avec l'internet à haut débit. “Les avantages que nous pouvons en tirer sont énormes”, tient à souligner l'un d'eux. En parallèle avec la liaison via la fibre optique avec Durban, une amélioration doit être apportée par d'autres installations, dont celle du backbone national, un projet bien avancé.

Doda Andrianantenaina
Date : 13-03-2007


express.gifPromotion : Le tourisme à Antsiranana relancé - par Moïse

Promotion
Le tourisme à Antsiranana relancé
La relance des lignes aériennes nationales, régionales et internationales a boosté le tourisme dans le Nord de l'Ile depuis 2005.


Un nouveau souffle pour le tourisme dans la région du Nord, Diego-Ambilobe-Nosy Be-Ambanja. L’ouverture des lignes aériennes nationales et régionales à Antsiranana relance le secteur. Les statistiques de l’Office régional du tourisme (ORT) indiquent que le potentiel hôtelier a augmenté de 35% en un an ( 2005-2006).
“Nous devons cette performance aux prestations d’une compagnie aérienne qui réalise un vol direct quotidien Antananarivo-Antsiranana, deux vols directs hebdomadaires de La Réunion et un autre de Mayotte”, annonce Daniel Lozes, trésorier de l'ORT d’Antsiranana et directeur général du Grand Hôtel.
“A cela s’ajoutent les deux vols reliant Milan à Nosy Be en haute saison, et l’ouverture de bon nombre d’hôtels à quatre étoiles, suivant les normes internationales”, poursuit-il.
Tarifs réactualisés
La ville d’Antsiranana, Joffreville et Ramena comptent 60 hôtels totalisant 800 chambres. “Une hausse de 20% de fréquentation des touristes est prévue cette année”, confie-t-il.
Du fait de la forte fréquentation des touristes étrangers, le double affichage des prix, en ariary et en euro, est encore appliqué dans certains établissements hôteliers et boutiques du chef-lieu de la région Diana.
Pour le Grand Hôtel d’Antsiranana ayant pignon sur la 46 rue Colbert, l’affichage des prix et la tarification en ariary ont été appliqués depuis le début de l'année. “Dès la publication de la nouvelle loi en décembre 2006, nous avons réactualisé nos tarifs en ariary afin d'être opérationnel dès le 1er janvier 2007 et de les envoyer aux Tours opérateurs”, indique Daniel Lozes.
“Néanmoins, nous donnons l’équivalent des prestations en euros pour ne pas dépayser nos clients, notre objectif étant de leur rendre service”, ajoute-t-il; d’autant qu’une frange importante de la clientèle est issue des pays de la zone euro.
Depuis son ouverture, le 7 mars 2005, 65% de la clientèle de l'établissement sont de nationalité française et 20% d’origine italienne. Les Malgaches en constituent 6% et ceux d’autres pays 9%.
Grâce à l’ouverture d’un kiosque et d’un bureau, rue Colbert, ainsi qu'à la réalisation d’une brochure et d’un site internet, l'ORT d’Antsiranana se positionne pour mieux accueillir les touristes cette année.

Henintsoa Andriamiarisoa
Date : 12-03-2007

express.gifBio-diversité : conservation de l’archipel de Nosy Hara renforcée - par Moïse

Biodiversité
La conservation de l’archipel de Nosy Hara renforcée
Les habitants des communes environnantes, les opérateurs touristiques, les autorités régionales ainsi que les organisations pour la protection de l’environnement se serrent les coudes pour renforcer la protection de l’archipel de Nosy Hara.

Conserver les espèces et les habitats au niveau de l’archipel de Nosy Hara, à travers la prise en considération des savoir-faire locaux. C’est ce qui ressort de l’atelier régional de planification de l’aire protégée marine de Nosy Hara, tenu à Antsiranana du 5 au 7 mars.
A cet effet, un plan d’action sur cinq ans pour la conservation des ressources de l’archipel de Nosy Hara a été adopté.
“L’idée consiste à promouvoir les actions de développement, tout en impliquant les communautés locales dans la protection des habitats prioritaires et des ressources halieutiques, à travers une bonne gestion des ressources naturelles”, note Lydia Rakotomalala, représentante du ministre de l’Environnement, à l’issue de la clôture de l’atelier régional.
Vision commune
Ce séminaire a été organisé par l’Organisation mondiale pour la protection de la nature (WWF) et l’Association nationale pour la gestion des aires protégées (Angap) dans le but d’avoir une vision commune des parties prenantes, en l’occurrence les communes environnantes et les organisations pour la protection de l’environnement.
Il s’inscrit dans le cadre du défi n°1 et de l’engagement n°7 du Plan d’action pour Madagascar (Map) consistant à augmenter de trois fois plus la surface des aires protégées de la Grande île.
L’archipel de Nosy Hara, au nord dans la province d'Antsiranana, est situé entre le cap Anorintany et le cap Vohilava. S'étendant sur une superficie d'environ 75 000 ha, il est constitué de 17 îles entourées de vastes récifs coralliens.
Cette aire protégée marine touche quatre communes, dont trois à l'Ouest à savoir Andranovondronina, Mangoho, et Andranofanjava, et une à l'Est, c'est-à-dire Amboloza.
La grande majorité des habitants tirent leur revenu de la pêche et de l'agriculture.
L'étude de faisabilité de la zone de conservation de Nosy Hara a été initié en 2000. Les enjeux écologiques, économiques et sociaux de la mise en place de l'aire protégée marine dans cette zone ont été définis par le WWF, l'Angap, la population et les autorités locales.

Henintsoa Andriamiarisoa
Date : 10-03-2007



express.gifJOURNEE DE LA FEMME A MADAGASCAR - par Moïse

Lalao Ravalomanana
“Que les descendantes d’Eve affichent la sagesse”

 
• Quelle est votre impression sur cette célébration du 8 mars 2007 ?
- Ce fut un événement inoubliable. Le dynamisme des femmes issues de différentes associations a été impressionnant. La Journée des femmes est toujours une réussite car leur motivation est énorme.
• Durant la manifestation, votre approche des femmes a étonné l'audience. Quel est votre secret ?
- Il faut surtout les encourager. C'est le moindre geste qu'elles attendent de nous. Durant la visite des stands, j'ai pu parler en tête à tête avec les exposants. C'était une occasion pour moi de connaître leurs attentes, leurs problèmes et leurs souhaits. Mais il faut dire que ces femmes ont aussi montré du courage pour avoir réalisé toutes ces merveilles.
• A quoi peut-on s'attendre après cette Journée ?
Les efforts sur la sensibilisation des droits des femmes seront menés à bien. Il faut que les descendantes d'Eve sachent à quoi elles peuvent aspirer pour mieux plaider leur cause. Comme j'ai maintes fois précisé, durant mon discours, une série de sensibilisations sera menée dans tous les fokontany, pilotée par Ampefy, où les droits de la femme seront inculqués.
• Votre message en cette Journée spéciale ?
Je n'ai qu'un seul souhait et un bref message à adresser aux femmes malgaches. Qu'elles affichent la sagesse là où elles se trouvent. Partout où elle est, la femme ne doit jamais oublier la valeur et la place qu'elle détient au sein de la société.

Propos recueillis par
  
Fanja Saholiarisoa
Date : 09-03-2007


Ici et là
Un 8 mars sous toutes ses formes à Tana

La capitale a bien célébré la Journée mondiale de la femme. De nombreux évènements se sont déroulés par ci et par là, pour ne citer que les remises de dons, gestes d'amour des associations des femme,s auprès de l'hôpital HJRA. En effet, les femmes adventistes y ont donné gratuitement du sang tandis que l'association Vatsibe a choyé 23 malades.
Sous une forme plus féminine, l'association Soanjanahary a choisi cette journée célèbre pour organiser la 4ème édition de l'expo-vente d'articles florales. «L'objectif en est de conscientiser les femmes pour la protection de l'environnement, mais aussi de redorer leur image », explique Arisoa Raparivo, présidente.
On assistait aussi à d' autres manifestations comme la prise de tension gratuite, organisée par l'association des femmes-médecins à la gare Soarano, ainsi qu'à d'autres rencontres conviviales et oeuvres caritatives, et surtout à des débats sur les droits de la femme, mené par Gisèle Rabesahala, toujours en avant pour défendre la cause de la gent féminine. Une série d'évènements pour réveler le dynamisme exemplaire des femmes.
  
Fanja Saholiarisoa
Date : 09-03-2007


Journée du 8 mars
L'arrangement à l'amiable bafoue les droits de la femme
Les cas de violence à l'égard des femmes sont encore masqués par le système d'arrangement à l'amiable. Une pratique qui mine les efforts déployés.
 
“Ny tokantrano tsy ahahaka”. Textuellement, les affaires du foyer ne doivent pas être dévoilées. Ou, mieux encore, le linge sale se lave en famille. Cette sagesse ancestrale des Malgaches devient une barrière dans la dénonciation de la violence à l'égard des femmes. Dans de nombreuses occasions, elles doivent garder le silence, surtout quand elle fait face à la pression familiale.
Une histoire qui s'est passée en janvier 2007, fait réfléchir la population du district de Soavinandriana. Il s'agit d'un homme qui a profité d'une mineure, la soeur de son épouse, mais que celle-ci n'a pas pu porter plainte, pour préserver la dignité de sa grande soeur et de sa famille.
“Tout commençait quand la femme s'apprêtait à accoucher. Le mari a abusé de sa soeur cadette de 16 ans, venue de loin pour l'aider, alors que celle-là était clouée au lit pour congé de maternité”, raconte Henri Randriamanjatonirina, chef de poste de Soavinandriana, qui suivait de près l'affaire.
“Apeurée par la situation, la petite fille a averti ses parents qui l'ont récupérée à leur tour. Mais le mari a profité d'une occasion où ses beaux-parents étaient absents de chez eux pour abuser une nouvelle fois de la jeune fille”, ajoute cet officier.
"La victime a déposé une plainte à la gendarmerie de Soavinandriana, mais nous n'avons pas pu poursuivre notre enquête car elle a été retirée par les parents de la fille même", souligne Henri Randriamanjatonirina, qui se souvient bien comment les adultes l'ont influencé pour garder le silence.
Pas de plainte
Ceux-ci l'ont bien expliqué que si le mari va en prison, sa sœur sera malheureuse et, pire, sa famille sera déshonorée. L'histoire s'est terminée ainsi. Heureusement que la jeune fille a pu continuer ses études et se trouve actuellement en classe de 4ème”, précise l'enquêteur.
Beaucoup de situations se ressemblent dans ce district. Même dans la commune d'Ampefy, “les problèmes de viol se terminent toujours par un arrangement à l'amiable. Des fois, les patientes agressées ou violées refusent le certificat médical que nous les délivrons pour éviter une poursuite judiciaire contre leur proche”, précise le docteur Louis Marius Rakotomanga, médecin traitant à Ampefy.
Ces habitudes favorisent, en effet, la recrudescence de la violence, alors que le thème de la Journée était “mettre fin aux impunités pour lutter contre la violence à l'égard des femmes”.

Effervescence à Ampefy
Le thème de la célébration de la Journée mondiale de la femme arrive à point nommé, pour la Grande île. Pourtant, si la préoccupation de lutter contre la violence animait les femmes, la commune rurale d'Ampefy, localité hôte de cette manifestation, accueillait une foule avide de fête.
Très tôt le matin, un carnaval avec de nombreux participants, enfants et adultes, a animé les rues de la ville, avec de nombreuses scènes de démonstration sur les droits de la femme.
Du côté officiel, le tableau a affiché complet, avec la présence des trois femmes des membres du gouvernement Ravalomanana, sous la houlette de la première dame, Lalao Ravalomanana. Sans oublier les épouses du premier ministre et des parlementaires.
Mais les hommes n'ont pas été en reste, notamment Jean Louis Robinson et Bouri Sanhouidi, représentant du système des Nations unies à Madagascar, accompagnés de leurs épouses respectives et du représentant résident de l'Unicef.
Le "petit déjeuner prière" a été convivial, à l'hôtel restaurant Relais de la vierge, géré par une femme, à Ampefy.
Ensuite la visite des stands a séduit les invités, pendant laquelle dégustation gratuite, découverte et dialogue ont été au rendez-vous.
Une habitude typique chez les femmes. La femme a toujours été ainsi à l'épicentre des discours et des sensibilisations.
Dépistage
Au delà de toute cette série d'évènements commémorant le 8 mars, une longue file s'est dressée devant les stands où les dépistages gratuits du Vih/Sida par le Conseil national de lutte contre le sida et la prestation gratuite en planning familial, fournie par le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) et le ministère de la Santé ont retenu l'attention.
Les partenaires assistaient à la manifestation pour apporter leur contribution et appuyer le pays dans les efforts d'éradication de la violence.
  
Fanja Saholiarisoa
Date : 09-03-2007


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