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Nouvelles

express.gifTransport aérien De nouveaux équipements dans les aéroports - par Moïse

Transport aérien
De nouveaux équipements dans les aéroports
Le concessionnaire des douze aéroports principaux du pays investit dans la modernisation des infrastructures.


Quelques aéroports viennent d'être dotés de nouveaux appareils de navigation. Ceux de Morondava, Toliara, Sambava et Tolagnaro sont désormais pourvus d'un instrument indicateur de pente d'atterrissage. En outre, les deux derniers viennent également d'être équipés d'un instrument de mesure de distance.
Selon les informations de la société Aéroport de Madagascar (Adema), un avion-laboratoire de l'Agence pour la sécurité aérienne en Afrique et Madagascar, a réalisé les travaux de calibrage des nouveaux équipements, le 21 mai. Toujours selon l'Adema, les nouvelles installations ont été financées entièrement par ses fonds propres.
Mise aux normes
En même temps, l'Adema entreprend plusieurs travaux sur les douze sites, dont elle a la charge. La clôture et le balisage des pistes pour les vols nocturnes sont réalisés dans plusieurs aéroports, dont ceux de Sainte-Marie, Toliara, Toamasina, Morondava ou encore Sambava. Le rallongement de l'aéroport de Sainte-Marie compte aussi parmi les grands investissements de la société.
Le but de ces différents travaux est simple: la mise aux normes des installations techniques et de télécommunications dans les aéroports, devra répondre aux exigences internationales en terme d'aviation civile.
"C'est un long processus qui s'insère dans les exigences de l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI) en terme de sécurité", souligne le ministre des Transports et du tourisme, Julien Laporte Ravelonarivo. Il précise que l'Adema continue aujourd'hui à honorer ses engagements dans le cadre du contrat de concession.
"La société doit exploiter et développer les douze aéroports", poursuit-il. En tout cas, la privatisation de l'Adema, envisagée à certaine époque, semble oublier. Le ministre des Transports est même convaincu que l'Adema demeure rentable pour l'Etat dans sa situation actuelle.

Desquattérisation à Morondava
La construction de la clôture, entourant l'enceinte de l'aéroport de Morondava, rencontre quelques difficultés. Des habitations s'y voient encore, nécessitant une opération de déplacement de population. Un comité, présidé par le chef de la région Menabe, a été mis en place pour conduire l'opération. Selon une source locale, les squatters ont accepté de partir sous quelques conditions.
Morondava fait partie des 12 aéroports appartenant à l'Aviation civile de Madagascar (ACM) et gérés par Aéroport de Madagascar (Adema).

Doda Andrianantenaina
Date : 30-05-2007

express.gifnouveau médicament anti-paludéen à base d'artémisinine - par moise44

Santé publique
Un nouveau médicament anti-paludéen
Un nouveau traitement contre le paludisme à base d'artémisinine est dorénavant disponible. Cependant, le Coarsucam demeure difficile d'accès pour le grand public.


La lutte contre le paludisme se renforce avec la venue d'un nouveau médicament, le Coarsucam, sur le marché malgache. Sous forme de comprimés, il est issu d'une combinaison thérapeutique à base d'artémisinine (CTA ou ATC). Le laboratoire pharmaceutique Sanofis Aventis l'a lancé officiellement, hier, à l'hôtel Panorama.
Ce rendez-vous a permis de présenter à l'audience les différentes facettes de ces nouveaux comprimés, validés par l'Organisation mondiale de la santé, le comité d'experts et le Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP). Efficacité, simplicité et une seule prise quotidienne pendant trois jours, tels sont les termes qui résument le mieux le médicament. “Des études ont été faites sur sa fiabilité”, explique le Dr Inoussa Fifen, coordinateur international médical de Sanofi Aventis, au niveau des opérations en Afrique centrale.
Inaccessible
“L'usage des ACT aide à réduire l'incidence du paludisme”, soutient le Dr Fenosoa Raveloson, chef du service PNLP, qui affirme que le traitement sera bientôt inclus dans le programme.
Une promesse qui risque de prendre du temps pour se concrétiser, car le Coarsucam n'est pas à la portée des revenus des Malgaches en général. Son prix varie entre Ar 10 000 pour la tranche d'âge de 2 à 11 mois, Ar 11 000 pour celle entre 1 à 5 ans, Ar 13 000 pour le groupe de 6 à 13 ans et Ar 17 000 pour les plus de 14 ans, qui doivent, en outre, prendre deux comprimés à chaque prise.
Les réactions ne manquent pas face à ce nouveau médicament. Telle celle de Richard Andriamampiantona, ophtalmologue à Ambohibao: “Ce traitement a des aspects positifs à plus d'un titre, car il est d'usage plus facile et s'avère efficace”.
Le Dr Harison Randrianarisoa de la clinique MM24/24, lui, s'interroge sur le sort des patients en milieu rural, qui ne pourront pas payer ce nouveau produit et devront toujours absorber de la quinine.
De même, le Dr Jean Claude Rakotoarison, chirurgien du centre hospitalier Joseph Ravoahangy Andrianavalona, affirme que seul un traitement efficace et accessible aux malades lui importe.
Néanmoins, “le Coarsucam est très pratique, car sa prise est limitée à une seule fois par jour. Aussi, ce médicament spécialisé est-il plus sûr comparé à d'autres qui inondent le marché”, ajoute le Dr Andriamasy Voninahitra, au sein du ministère de l'Education nationale et de la recherche scientifique.

Fanja Saholiarisoa
Date : 26-05-2007

madagate.gifJournée art et culture avec AMANDIE (ROUEN) - par moise44

"MADAGASCAR ...AUTREMENT"

le : SAMEDI 9 JUIN 2007
"Madagascar ... Autrement "
avec l'aimable collaboration de MADAGATE.COM
Après-midi dès 14 heures : Art & Culture – Accès libre
Exposition philatélique : des années 1800 à nos jours
Expo-vente : Artisanat de Madagascar avec la boutique ART MOI
Objets d’Art revisités par l'artiste A SAVY
Séances dédicace : Oeuvres littéraires inédites avec l’Auteur – Écrivain Michèle RAKOTOSON, Journaliste R.F.I.
« Madagascar …. Autrement, à travers le Tourisme » AHAONA-MADAGASCAR
Soirée à partir de 20 heures : Danses & Musique
Folklore : Les coutumes des régions de Madagascar en musique et danse avec la Troupe Ny Tovo
Musique & Jazz : École de Musique de Val de Reuil (Eure – 27)
Pop – Rock : le Groupe ZYA
Danse celtique : Découverte du Monde Celtique avec GWEZ

PAF :
- Adultes : 8 euros
- de 16 ans : 4 euros
- de 10 ans : gratuit

Contact : 06.50.09.97.47
Infoline : amandie76@hotmail.fr
Lieu : SALLE DES FÊTES "MARCEL RAGOT"
Paf=Ap-M : Accès Libre - Soir 8 € - 4 €
contact :
Email = amandie76@hotmail.fr
Tél = 06.50.09.97.47

AMANDIE


express.gif“Nous mettons en place un village solaire” - par moise44

Questions... à Pr Minoson Rakotomalala
“Nous mettons en place un village solaire”
Le directeur de l'Institut pour la Maîtrise de l'Energie (IME) donne son point de vue sur l’utilisation des énergies renouvelables.


• Quelles solutions préconisez-vous, en tant que chercheur, face à la situation critique dans la maîtrise de l'énergie électrique ?
- Nous estimons que l'utilisation des énergies renouvelables est tout à fait possible. Madagascar a de grandes potentialités, comme l'énergie solaire, l'éolienne, le biogaz et l'énergie hydraulique. En tant que solution alternative, il y a sûrement l'énergie nucléaire, mais dans ce domaine nous sommes limités, tant par le problème financier que par les conventions internationales.
• Concrètement, quel est le rôle l'IME dans la promotion les énergies renouvelables ?
- L'institut a plusieurs inventions à son actif. Actuellement, nous avons un grand projet en cours, celui d'un village “solaire”. Il s'agit d'alimenter l'ensemble d'Anjezika, à Fihaonana-Ankazobe, en utilisant exclusivement les énergies naturelles. Pour le moment, nous avons mis en place une pompe mécanique Raseta, d'une valeur de 4 millions d'ariary, que nous avons financée avec des fonds propres et individuels. Nous allons mettre dans ce projet les fruits de nos recherches. En fait, nous avons beaucoup d'idées mais les moyens ne suivent pas.
• Quels sont les éléments empêchant l'épanouissement de la recherche à Madagascar ?
- Elle rencontre un grave problème de financement. Tout d'abord, il n'y a pas de fonds consacré, ensuite il manque la vulgarisation, et enfin il faut accorder des facilités de crédit aux gens voulant créer leur société pour l'application des résultats des recherches. Il faut que les Malgaches prennent conscience de l'importance de la recherche. Elle est le moteur du développement. Tant qu'elle n'est pas performante nous resterons parmi les pays pauvres.

Propos recueillis par

Irène Razanamparany
Date : 22-05-2007

express.gifLe chlorofluorocarbone interdit à Madagascar - par moise44

Environnement
Le chlorofluorocarbone interdit à Madagascar
La région Boeny a mis en place un programme d'application de la loi interdisant l'utilisation des gaz CFC dès que celle-ci a été adoptée.


L'atelier régional sur le mécanisme de concrétisation adoptée au niveau des régions concernant la mise en synergie des conventions internationales relatives aux produits chimiques, s'est achevé, à Mahajanga, sur une note positive pour les organisateurs issus de la direction générale du ministère de l'Environnement.
Désormais, la production et l'exportation du chlorofluorocarbone, ou CFC, sont interdites à Madagascar. le décret d'application de la protection de l'ozone contre ce gaz vient d'être publié.
Telle a été la nouvelle qui a filtré lors de la cérémonie de clôture de l'atelier. Par conséquent, tout appareil réfrigérant, quel que soit le type, fonctionnant avec le gaz CFC, sera interdit à Madagascar à partir du 1er janvier 2008. En outre, tous les gaz CFC mis en bouteille seront interdits à partir du 1er janvier 2009.
Selon Jacqueline Rakotoarisoa, directeur général au sein du ministère de l'Environnement et des eaux et fôrets, l'objectif de l'atelier est atteint. Il reste à attendre l'impact direct sur la vie des Malgaches.
Elle a mis en garde contre le danger occasionné par de tels produits chimiques. Le directeur général a aussi mis l'accent sur l'importance de l'information, l'éducation et la communication.
Un programme de sensibilisation
C'est dans cette optique que les journalistes seront dorénavant partie prenante dan l'aboutissement de la lutte pour la protection et la sauvegarde de l'environnement.
Par la voix du président du conseil régional Philémon Randrianomenjanahary, la région Boeny, où s'est déroulé l'atelier régional, veillera à l'application de la loi interdisant les produits CFC dans la ville de Mahajanga. C'est d'ailleurs l'un des points focaux de l'atelier.
Un inventaire et une évaluation sur ces produits chimiques seront à exécuter. Pour leur réalisation, une structure adéquate est déjà mise en place. Le comité régional se chargera de l'exécution et du contrôle de ce projet.
Par ailleurs, un programme de sensibilisation auprès des fokontany et communes, ainsi que la région sera élaboré. le budget sur l'application du décret d'application de la loi est déjà disponible, d'après le directeur général Jacqueline Rakotoarisoa.

Vero Andrianarisoa
Date : 22-05-2007

express.gifExportation Madagascar et Maurice conjuguent leurs atouts - par moise44

Exportation
Madagascar et Maurice conjuguent leurs atouts
Madagascar et l'île Maurice élaborent un schéma de partenariat qui devra permettre d'écouler sur le marché international des produits communs à forte compétitivité.



Le développement des relations économiques entre Maurice et Madagascar s'accélère. Depuis quelques semaines, surtout après le voyage du président Marc Ravalomanana à Maurice, de hautes personalités, issues d’organismes d'appui au développement des entreprises et des investissements à Maurice, ont séjourné à Madagascar.
Leur mission : étudier les moyens de promouvoir les partenariats économiques entre les deux pays. Il s'agit pour eux de conjuguer leurs atouts pour mieux affronter la concurrence sur le marché international.
C'est dans cette optique qu'Amédée Darga, président du conseil d'administration (Chairman) de l'Enterprise Mauritius, est resté trois jours à Madagascar, la semaine dernière.
"Maurice et Madagascar disposent chacune d'avantages comparatifs en matière d'exportation. Les deux pays doivent développer les échanges entre eux, mais le plus important sera de conquérir un marché tiers, en unissant les atouts ", déclare-t-il.
Une visite opportune
Organisme reconnu d'utilité publique, Enterprise Mauritius est chargée de développer les filières d'exportation dans l'île voisine. Elle s'occupe ainsi de renforcer la capacité des petites et moyennes entreprises mauriciennes, ainsi que le travail de recherche pour dégager les nouvelles pistes indispensables au développement de nouvelles filières industrielles.
La récente mission de son président à Madagascar a consisté à faire part des expériences mauriciennes et, en particulier, de l'Entreprise Mauritius en matière d'exportation.
"La visite d'Amédée Darga est très opportune, car elle s'est faite à l'heure où Madagascar envisage de créer l'Agence pour la promotion des exportations (Agex)", souligne Richard Via, conseiller auprès de l'ambassade de Madagascar à Maurice, qui a accompagné l'important visiteur.
Le président de l'Entreprise Mauritius a rencontré de hauts responsables malgaches, dont le ministre de l'Economie, du plan, du commerce et du secteur privé, Harison Randriarimanana, le directeur général de l'Economic dévelop- pement board of Madagascar, Prega Ramsamy, et les présidents des groupements d'entreprises, comme le Syndicat des industriels de Madagascar et le Groupement des entreprises de Madagascar.

Mahefa Rakotomalala
Date : 21-05-2007

express.gifRavalomanana menace les diplomates Les missionnaires religieux et les diplomates - par tino44

De retour de Shangaï
Ravalomanana menace les diplomates
Les missionnaires religieux et les diplomates

vivant dans un pays souverain comme Madagascar sont avertis par le chef d'Etat quant à leur comportement.

Le président de la République Marc Ravalomanana monte au créneau. Rentrant d'une visite de près d'une semaine en Chine, il s'est adressé d'un ton sévère, aux étrangers résidant à Madagascar. Et particulièrement aux religieux et aux diplomates. Hier, à son arrivée à l'aéroport international d'Ivato, il leur a interdit de s'immiscer dans les affaires des malgaches.
Pour le chef de l’Etat, la question de la souveraineté nationale n'est pas négociable. “Vous les missionnaires, que vous soyez pasteurs ou pères, occupez-vous de votre mission. Ne vous immiscez pas dans nos affaires internes, surtout pas en politique”, a-t-il martelé sans ambiguïté.
Marc Ravalomanana a continué en parlant des diplomates en fonction sur le territoire national. “Vous les ambassadeurs, vous pouvez rentrer chez vous si vous ne savez pas vous tenir tranquilles. Auparavant, nous avions des comptes à vous rendre. Ce n'est plus le cas actuellement. Heureusement que certains d'entre vous vont quitter le pays prochainement”, a-t-il dit avec fermeté.
D'aucuns se demandent si l'allusion concerne l'ambassadeur américain James McGee, en instance de départ.
Le cas Urfer
Indiscutablement, la colère du président de la République à Ivato trouve son origine dans le cas du père Sylvain Urfer. Ce prêtre a récemment fait l'objet d'une décision d'expulsion prise par le ministère de l'Intérieur et de la réforme administrative (Mira). Marc Ravalomanana a donc profité de sa rencontre avec la presse pour répondre aux réactions négatives face à cette mesure administrative à l'encontre du père jésuite français. Les partisans de Sylvain Urfer continuent à interpeller le gouvernement en demandant le motif de l'annulation du visa de séjour du missionnaire. “Je connais le père Urfer depuis que j'ai été maire de la capitale. Demandez-lui le motif de la décision des autorités malgaches. Il s'était opposé à la réhabilitation de la route à Anosibe”, a-t-il expliqué.

Fano Rakotondrazaka
Date : 19-05-2007

express.gifLa légion d’honneur pour Frère Romain - par tino44

Collège Sacré cœur Antanimena
La légion d’honneur pour Frère Romain


Pour ses œuvres accomplies dans le domaine de l’enseignement, Frère Romain s’est vu remettre une distinction rare.

Une reconnaisance bien meritée pour le frère Joseph Bruno Legaré ou frère Romain pour les familiers, fondateur du collège Sacré coeur d'Antanimena (Esca) en 1932. A 75 ans et avec plus de 57 ans au service de l'enseignement à Madagascar à son actif, il a été élevé au rang de “Chevalier de la légion d'honneur française”, hier au centre culturel Esca.
Le président du sénat Rajemison Rakotomaharo, le consul honoraire du Canada, le ministre des Affaires étrangères Marcel Ranjeva et celui de l'environnement Koto Bernard, ainsi que des anciens du collège Esca faisaient partie du parterre de personnalités venues lui rendre honneur.
Le chevalier de la legion d'honneur se situe au sommet des distictions honorifiques françaises. Pour le frère Romain, d'origine québéquoise, la promotion de la langue française et la contribution au développement de Madagascar à travers l'éducation fait partie des critères qui lui ont permis d'obtenir la légion d'honneur. “C'est une médaille qu'on n'octroie pas facilement”, s'est exprimé avec émotion Alain Le Roy, ambassadeur de France à Madagascar. et qui a présidé la cérémonie. “C'est la première fois qu'on décore un Québéquois d'une médaille française à Madagascar”, ajoute le diplomate.
La cérémonie s'est déroulée dans une ambiance à la fois familiale et pleine d'émotion. Des artistes de renom malgaches comme les groupes Solika et Salala ont animé la soirée et un groupe québéquois est venu spécialement à Madagascar pour participer à la cérémonie. Le collège Esca a formé de nombreux hommes politiques et autres grandes figures du monde économique et religieux malgaches à l'image du ministre de la Santé Jean Louis Robinson, du professeur Etienne Rakotomaharo et des opérateurs économiques comme Edgar Razafidravahy. Le frère Romain est également le fondateur de l'Esca Toliara et du centre de formation de jeunes défavorisés à Ambatolampy.

Faly Randriamiarantsoa
Date : 19-05-2007

express.gifLe canal des Pangalanes remis à neuf - par moise44

Navigation fluviale
Le canal des Pangalanes remis à neuf


240 kilomètres de canal à curer. Le projet initié par l'Autorité portuaire maritime et fluviale (APMF) et la Société de port autonome de Toamasina (Spat), porte sur le draguage de plus de la moitié du canal des Pangalanes. Dans un premier temps, 240 kilomètres sur les 460 kilomètres seront nettoyés. Les travaux porteront sur le désensablement et le nettoyage des rivages.


Date : 18-05-2007
Manambato canal des Pangalanes


express.gifNouvelles technologies Les télécommunications connaissent un boom - par moise44

Nouvelles technologies
Les télécommunications connaissent un boom
En moins d'une décennie, l'internet et la téléphonie mobile ont connu un succès fulgurant, au point d'être vulgarisés dans les grandes villes.



Les télécommunications ont connu un grand essor dans la Grande île. C'est aussi le secteur qui affiche beaucoup de dynamisme et où la concurrence est très serrée entre les opérateurs.
Pour rendre le secteur un peu plus compétitif et attirer de nouveaux investisseurs, l'Etat a dû refondre la loi sur les télécommunications. Celle-ci stipule la mise en place d'une agence régulatrice qui devra remplacer l'Office malgache d'études et de régularisation des télécommunications (OMERT).
Jusqu'à présent, l'Agence de régulation de la technologie et de la communication (ARTEC) n'a pas encore vu le jour. Sa mise en place tarde à venir.
En dix ans, les télécommunications passent du statut de produit de luxe en celui d'un produit de première nécessité. Les derniers cris des appareils téléphoniques se trouvent sur les étals des magasins spécialisés. Cela montre que le secteur est en pleine explosion.
Toutefois, les téléphones sont toujours classés comme produit de luxe dans la nomenclature douanière. "Cet état de fait freine le développement du secteur", se lamente un responsable d'une boutique de société de télécommunication.
L'arrivée de la téléphonie mobile a rendu la concurrence encore plus dynamique. Pour être leader du marché, les opérateurs se lancent dans la bataille de couverture et offrent aux consommateurs les meilleurs tarifs de communication, c'est-à-dire les moins chers.
Mise en place du backbone
Les investissements se chiffrent en millions de dollars afin d'obtenir un réseau de qualité et de maximum de couverture. Malgré cela, un directeur commercial d'une société de télécommunication annonce que "le marché reste très rentable et présente une grande potentialité".
Il n'existe plus de cloisonnement entre l'internet et téléphonie actuellement. Les opérateurs de mobiles proposent aussi l'internet mobile.
Orange et Celtel ont lancé ce service cette année. DTS a proposé de même le sien.
Telma se positionne en tant qu'opérateur d'infrastructures. "Le premier opérateur convergent", comme l'a annoncé Ron Allard le directeur général de Telma. Ainsi, l'opérateur historique a mis en place en 2005, les infrastructures pour l'ADSL et a commencé le chantier du backbone national.
En matière d'internet, toute une panoplie de technologies se trouve disponible dans la Grande île. "Il s'agit de répondre aux besoins des investisseurs et des consommateurs locaux", explique Jean Testemale, directeur commercial Entreprise de DTS.
L'arrivée du backbone national boostera encore les télécommunications. La mise en place de cette infrastructure aux normes internationales résolvera les problèmes liés aux tarifs de communication et la capacité de la bande passante.

Lova Rafidiarisoa
Date : 16-05-2007

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