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express.gifFESTIVAL Angaredona Les “Tambours Gasy” ouvrent la fête - par Moïse

FESTIVAL Angaredona
Les “Tambours Gasy” ouvrent la fête
La quatrième édition du festival Angaredona donnera son coup d'envoi demain au CCAC. Place aux musiques vivantes avec à l'affiche, “Salala”, “Remanindry” et “Tambours Gasy”.
 
Nous sommes à J-1 du festival Angaredona. “Tout est fin prêt pour le spectacle, la plupart des participants sont déjà sur place”, commente Rajery, l'initiateur de ce rendez-vous annuel des musiques vivantes à Madagascar.
Tout en déplorant une importante modification de dernière minute, à savoir le désistement du groupe Mikea, son leader Théo étant retenu par une obligation familiale. Mikea sera remplacé par Zakô, un groupe originaire de Vangaindrano, dans le sud-est de la Grande île.
Le concert d'ouverture aura lieu au Centre culturel Albert Camus, demain à
19 h, avec au menu, deux formations traditionnelles du Sud, Salala et Remanindry, ainsi que Tambours Gasy qui vient d'Antananarivo.
Tradition du “beko”
Représentatives de plusieurs générations de musiciens traditionnels, ces trois formations auront l'honneur de donner le coup d'envoi au festival qui se tiendra du 7 au 16 septembre dans différents endroits de la capitale.
Salala s’est imposé dans la musique a capella, fortement inspirée du beko, ce chant cérémonial très populaire dans le Sud chez les
ethnies Antandroy, Masikoro et Bara. Véritable ambassadeur de l'a capella dans les années 80, Salala voit en Angaredona un moyen pour revenir au premier plan de la musique folklorique malgache.
Remanindry figure également dans la riche liste à découvrir des artistes du Sud. Se produisant seul, Remanindry est à la fois chanteur, violoniste et danseur de talent, qui s'inspire du beko antandroy.
Quant à Tambours Gasy, le groupe de percussionistes créé par Rainitelo, on peut dire que c'est la révélation par excellence d'Angaredona depuis la première édition de 2004 à Mahajanga. Au cours de ces dernières années, les Tambours Gasy se trouvent parmi les rares formations de musique traditionnelle à être sollicitées de partout, y compris dans les festivals de jazz et les manifestations dédiées à la musique urbaine.
 
Hernan Rivelo
Date : 06-09-2007

express.gifTourisme Fermeture des hôtels informels - par Moïse

Tourisme
Fermeture des hôtels informels
La normalisation passe à la vitesse supérieure. Après plusieurs phases de sensibilisation, les autorités passent aux sanctions.
 
Le développement du tourisme va de pair avec un accueil de qualité.
L'Administration applique la loi. “Les établissements hôteliers informels de la capitale seront fermés”, déclare Marcel Rakotoseheno, directeur général du tourisme du ministère des Transports et du tourisme.
Des missions de contrôle à l'endroit des établissements hôteliers est, aujourd'hui, en cours notamment dans la capitale et dans certaines villes des autres régions dont Toliara et Anakao. “Nous avons contrôlé 67 établissements”, continue-t-il. “Certains n'ont même pas d'autorisation d'ouverture et d'autres sont en parfaite illégalité vis-à-vis de la loi et du code du tourisme”, affirme-t-il.
Fausses déclarations
Le ministère des Transports et du tourisme a également procédé au contrôle du paiement des vignettes touristiques. “Plusieurs établissements ne paient pas ou au mieux font de fausses déclarations”, révèle Marcel Rakotoseheno. La vignette touristique est actuellement la principale ressource financière du tourisme Malgache. “Des hôtels avancent un taux de remplissage de moins de 10 % alors que toutes les chambres étaient occupées lors de notre visite”, affirme un agent assermenté du ministère.
Toujours selon le directeur général du tourisme, les actions de contrôle seront plus fréquentes dans les mois à venir. Le but étant d'assainir le secteur en vue d'une amélioration de la prestation et de la qualité de l'accueil dans les établissements touristiques de Madagascar.
Les contrôles portent sur le volet administratif et technique de l'activité hôtelière. Il est nécessaire que la paperasserie ne constitue pas un obstacle pour les opérateurs. “La formalisation est alors indispensable”, confie le directeur général.
Les prestations par rapport aux classements ne sont pas toujours respectées et la notion d'hygiène demeure un sujet délicat. “Nous devons faire respecter les normes pour un tourisme de qualité”, conclut le directeur général du tourisme.
 
Doda Andrianantenaina
Date : 04-09-2007

express.gifDéveloppement rural Un crédit pour l'achat d'outils agricoles - par Moïse

Développement rural
Un crédit pour l'achat d'outils agricoles

 
Le projet s'adresse aux paysans. L'institution de microfinance mutualiste Cecam met en place un système de crédit pour l'achat de matériels agricoles. Baptisé Location, vente et mensualité (LVM), il s'adresse aux membres du réseau désireux de s'initier à la mécanisation de leurs activités.
“La durée maximum du crédit LVM s'étale sur 36 mois avec une possibilité de remboursement mensuel ou trimestriel et le bénéficiaire doit verser un premier loyer minimum de 10%”, explique un responsable au sein de réseau Cecam.
Les outils liés aux activités agricoles comme les charrues, herses et charettes font partie des matériels pouvant bénéficier de ce crédit. Il y a également ceux qui servent à l'artisanat comme la menuiserie, la maçonnerie et le tissage ainsi que ceux qui servent au commerce comme les machines à coudre et les réfrigérateurs.
Tous les membres du réseau Cecam peuvent souscrire à ce type de crédit à condition d'être en règle vis-à-vis du dépôt obligatoire et des crédits antérieurs. Le réseau dispose aujourd'hui de 181 caisses, regroupées dans neuf unités régionales. Côté bilan, l'encours de crédit est au nombre de 794, l'équivalent de près de 582 millions d'ariary dont 25% sont des crédits LVM.
 
Mahefa Rakotomalala
Date : 04-09-2007

express.gifRossy est de retour au pays - par Moïse

Evénement
Rossy est de retour au pays

 
Surprise, tôt, hier matin, à l'aéroport d'Ivato. Parmi les passagers du vol MD 51 d'Air Madagascar se trouvait le chanteur Rossy. Personne n'en croyait ses yeux. Un retour plutôt bien accueilli. Dès sa sortie de l'aéroport,
Rossy a été assailli par toute une foule au point que les autres passagers, ne comprenant pas ce qui se passait, se sont inquiétés.
Le roi du Tapolaka n'a pas voulu faire de déclaration à son arrivée. Il a préféré sillonner la ville de Tana qu'il avait quitté il y a cinq ans. Il s'est réjoui du changement, en particulier à Anosibe où il fut également accueilli en véritable héros avec bain de foule et embrassades à n'en plus finir. Puis il est parti à la campagne rendre visite à sa famille et faire des répérages pour un clip. "C'est pour cela que je suis rentré. Je ferai la promotion d'un nouvel album et la confection d'un clip. Je reste pour une quinzaine de jours. Le temps de faire des répérages à Analalava”, a-t-il affirmé.
Professionnalisation
Rossy avait quitté le pays en mars 2002 juste avant l'éclatement de la crise politique née du litige électoral après les présidentielles. Il a mis à profit son séjour en France pour mieux se professionnaliser et participer à divers concerts et festivals en Europe. Bien que les fans du Tapolaka le souhaitent, Rossy n'a pas prévu la tenue d'un spectacle dans son programme. Mais qui sait? Ce qui est certain, c'est que ça le démange de retrouver son public et la scène.
 
Hernan Rivelo
Date : 04-09-2007

express.gifSiemens s'implante à Madagascar - par Moïse

ENTREPRISE
Siemens s'implante à Madagascar

 
Bob Sunassee, directeur de Steam House Madagascar.
“Siemens veut être un partenaire de Madagascar pour accompagner l'évolution de son économie”, déclare Bob Sunassee, directeur de Steam House Madagascar.
Siemens est le numéro deux mondial en matière de distribution de matériels automatiques. Sa gamme de produits couvre des milliers de domaines notamment celui des machines industrielles. Avec l'ouverture d'une représentation à Madagascar, l'objectif du groupe consiste à accompagner l'essor des secteurs comme la mine, particulièrement avec le démarrage des projets QMM et Ambatovy.
C'est justement dans cette optique que Siemens, à travers Steam house, va lancer un programme de formation, pour la maîtrise de la technologie des machines automatiques, destiné aux ingénieurs, techniciens et artisans malgaches.
“Nous allons importer des nouvelles technologies, il est donc logique que nous commencions à former les gens qui vont les utiliser”, souligne John Douglas, directeur du Développement de Siemens en Afrique.
Une trentaine de personnes bénéficieront, dans un premier temps, de ce programme. A l'issue de la formation, ils recevront un certificat délivré par Siemens et pourront ensuite donner des formations à d'autres personnes.
 

Date : 03-09-2007

express.gifOCEAN INDIEN Les femmes-entrepreneurs se regroupent - par Moïse

OCEAN INDIEN
Les femmes-entrepreneurs se regroupent
Les femmes-entrepreneurs de l'océan Indien décident de se regrouper et de former un réseau de solidarité et de contact pour développer leurs activités.
 
La solidarité féminine à l'honneur. Les emmes-entrepreneurs de l'océan Indien viennent de concrétiser la création d'un réseau d'information et de solidarité. C'est l'aboutissement du forum qu'elles ont organisé durant trois jours à Toamasina, la semaine dernière.
Une association baptisée Entreprendre au féminin et océan Indien (Efoi) a vu le jour pour réaliser le projet. Cette initiative est parrainée par la Commision de l'océan Indien (Coi).
“En cette période de globalisation, les femmes doivent se regrouper pour unir leurs forces et faire face à la concurrence accrue dans le monde des affaires”, déclare Andreas Monique Esoavelomandroso, secrétaire général de la Coi à l'ouverture du forum à Toamasina.
Six représentations
Les femmes-entrepreneurs malgaches sont également signataires de ce protocole à travers la Fédération pour la promotion féminine et enfantine (FPFE). Elle dispose de représentations dans les six provinces de la Grande île. D'ailleurs, Alfine Tracoula, sa présidente nationale a été élue première présidente de l'Efoi.
Cette association a été la cheville ouvrière de l'organisation du forum de Toamasina avec l'appui de la Société portuaire à gestion autonome (Spat) et de la Coi. Une trentaine de délégations au total ont participé à la rencontre qui s'est déroulée du 29 au 31 août.
“Chacun à son niveau doit participer à la promotion du développement des initiatives féminines. Le nombre des femmes-travailleurs au sein de la Sdpat, par exemple, est passé de 2 % à 14 % en trois ans”, déclare Botozaza Pierront, directeur général de la Spat.
Cinq îles de l'océan Indien sont membres de l'Efoi, à savoir Rodrigues, Seychelles, Maurice, Comores et Madagascar. Le projet de création d'un réseau des femmes-entrepreneurs de l'océan Indien date du début de cette année. Au mois d'avril, à l'issue d'un premier forum organisé à l’île Rodrigues, a été décidée la tenue de cette deuxième rencontre à Madagascar. Cela a marqué sa concrétisation.
 
Mahefa Rakotomalala
Date : 03-09-2007

express.gifAntsiranana à l’honneur à Maurice - par Moïse

COOPERATION
Antsiranana à l’honneur à Maurice

 
Une délégation de la Chambre de Commerce, d’Industrie et d’Agriculture d’Antsiranana a effectué une mission à Maurice, cette semaine. Durant leur séjour les délégués ont rencontré plusieurs personnalités de l’île sœur, dont Reza Issac, le Lord Maire de Port-Louis.
Les représentants de la Chambre consulaire d’Antsiranana ont aussi eu des séances de travail avec les dirigeants de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Maurice, ainsi qu’avec les membres du secrétariat général de la Commission de l’océan Indien.
Mercredi, une conférence-débat a eu lieu, au Centre des Pailles. Elle a permis aux opérateurs malgaches de confronter leurs points de vue à ceux de leurs collègues mauriciens. Madun Dulloo et Rajesh Jeetah, respectivement ministres des Affaires étrangères et ministre de l’Industrie ont assisté à l’ouverture des travaux.
 

Date : 03-09-2007

allafrica.gifMadagascar: France - 1 visa sur 6 refusé, selon le Consul sortant - par Moïse


express.gifExposition Bicentenaire de la peinture malgache au Rarihasina - par Moïse

Exposition
Bicentenaire de la peinture malgache au Rarihasina

 
La presque bi-centenaire a conservé toutes ses couleurs.
"Cette manifestation vise à démontrer aux Malgaches que l'art à Madagascar tient une place importante et que les artistes plasticiens malgaches existent et méritent leur attention". Ces propos sont d'Hemerson Andria-netrazafy, artiste qui participe à l'exposition collective de peinture, initiée par l'Association des artistes plasticiens de Madagascar (AASPM) dans le cadre de la célébration du 197e anniversaire de la peinture malgache.
Une centaine de tableaux représentatifs de plusieurs générations de peintres malgaches sont présentés au Tahala Rarihasina, du lundi 27 août au dimanche 9 septembre. Quelques oeuvres datent des années 50, 70 et 80, mais la plupart sont des tableaux de la fin des années 90 et du nouveau siècle, point de jonction des pionniers de la peinture malgache du XIXe et du XXe siècle.
Selon toujours, Hemerson Andrianetrazafy, qui est aussi chercheur à l'université d'Antananarivo, spécialiste en histoire de l'art et auteur du livre La peinture malgache, des origines à nos jours, "La plupart des tableaux malgaches du XIXe siècle se trouvent soit en Grande-Bretagne - les missionnaires en étaient très friands -, soit chez les vieux collectionneurs locaux dont le répertoriage est difficile. Sinon, une grande partie a été réduite en cendre dans l'incendie du Palais de la Reine en 1995".
 
Hernan Rivelo
Date : 31-08-2007

express.gifCirconscription Les chefs fokontany érigés en surveillants - par Moïse

Circonscription
Les chefs fokontany érigés en surveillants
Le président Ravalomanana donne la consigne aux chefs de fokontany de contrôler les mouvements qui se passent au niveau de leur circonscription. Cela pour concrétiser la notion de discipline.
 
La dernière vague de chefs fokontany en formation à Iavoloha, hier.
Le président Marc Ravalomanana a émis le souhait de voir plus de contrôle par les chefs de fokontany des mouvements dans leurs circonscriptions administratives. "Dorénavant, chaque chef de fokontany se doit de connaître les habitants de son quartier", a fait savoir le chef de l'Etat, hier à Iavoloha, lors de la cérémonie de clôture de la formation des chefs de fokontany.
Le président Ravalomanana évoque la nécessité du suivi des "mouvements de la population". "Il faut que les chefs de fokontany soient au courant de ce que font les habitants de leur quartier. Il faut qu'ils sachent "qui fait quoi ?" et "qui cherche quoi ?" à l'intérieur de la circonscription", avance le chef de l'Etat en s'adressant à ses interlocuteurs.
Le modèle de fokontany que Ravalomanana veut instaurer commence ainsi à prendre forme peu à peu. Après avoir évoqué le rôle des chefs de fokontany dans le volet développement, le chef de l'Etat avait révélé la mise en place d'un coach pour chacun d'entre eux. Pour lui, le coach a pour mission de "surveiller et conseiller" les chefs de fokontany.
Centralisme démocratique
Le chef de l'Etat justifie la dernière consigne donnée aux chefs de fokontany à cause de leur mission. "Les chefs de fokontany incarnent la valeur réconciliatrice", soutient-il en évoquant la mission de règlement de certains problèmes au niveau des fokontany. Le président Ravalomanana rassure les chefs de fokontany en cas d'entraves rencontrées.
"Je ne vous laisserai pas seuls. Si certaines personnes font de la résistance, faites-le-moi savoir et j'interviendrai ou enverrai au moins un émissaire", précise-t-il. Avec les consignes qu'il distille aux chefs de fokontany, le chef de l'Etat arrive peu à peu à ses fins pour gérer le pays. En citant l'exemple chinois, il n'a cessé d'évoquer son souhait d'instaurer la "discipline", selon ses termes.
Interrogé sur le sujet, Raharinaivo Andrianatoandro, membre du bureau politique du Tiako i Madagasikara (Tim) considère la mesure comme un "minimum, compte tenu du nouveau rôle des chefs de fokontany". "Les chefs de fokontany sont des leaders. Ils doivent connaître les problèmes dans les détails, pour pouvoir tirer le maximum du potentiel de leur circonscription", ajoute-t-il.
Pour sa part, l'opposition voit d'un mauvais œil le développement de l'initiative présidentielle. "Un tel projet met à mort la démocratie et le système républicain", soutient le sénateur Bruno Betiana, du Comité pour la réconciliation nationale (CRN). Le parlementaire de l'opposition fulmine. "La nomination des chefs de fokontany est déjà une entorse à la démocratie. Maintenant, c'est le principe de l'aspiration populaire qui émane de la base qui n'existe plus, au profit d'un système de désignation des responsables étatiques", conclut-il, faisant allusion au glissement vers un centralisme démocratique.

Encadré
Du développement au contrôle

Le président Ravalomanana a promis la mise en valeur des fokontany, lors de son investiture du 19 janvier à Mahamasina. Le premier ministre Charles Rabemananjara avait résumé ce que le gouvernement attend des chefs de fokontany, "cheville ouvrière du développement". Dans la foulée Yvan Andriasandratriniony avait donné plus de préci-sion. "Le rôle sera inversé. Désormais, les chefs de fokontany vont concentrer 80 % de leur temps à la mobilisation du fokonolona et au développement, et
20 % aux tâches administratives", soutenait-il. Les chefs de fokontany auront également une mission de justice. Lala Ratsiharovala, ministre de la Justice, avait déjà évoqué une autre tâche incombant aux chefs de fokontany. "Des responsabilités pour le règlement des problèmes sociaux seront confiées au fokontany", précisait-elle.
 
Iloniaina Alain
Date : 31-08-2007

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