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Réseau routier 12 000 km de routes en quatre ans
- par Moïse
Réseau routier | 12 000 km de routes en quatre ans | Marc Ravalomanana a ouvert officiellement, hier, la sixième assemblée générale et atelier technique de l'Association des fonds d'entretien routier africains ou Afera. |  | Marc Ravalomanana a rappelé l'enjeu de la réhabilitation du réseau routier. | L'Afrique se penche sur les problèmes de l'entretien routier. Une cinquantaine de pays du continent participent, depuis hier, au Madagascar Hilton, à la sixième réunion générale et technique de l'Association des fonds d'entretien routier africains (Afera). L'adoption d'un plan stratégique et de business est au programme. Elle sera suivie de l'assemblée générale, le 11 octobre. Une visite technique de la ville de Toamasina, organisée par le Fonds d'entretien routier (Fer) de Madagascar, marquera la cinquième journée. Chantier national Madagascar s'est, d'emblée, démarqué dès la journée d'ouverture. Le chef de l'Etat Marc Ravalomanana, venu ouvrir officiellement l'évènement, a annoncé «que la Grande île espère réhabiliter et construire 12 000 km de routes dans les quatre prochaines années. La construction et la réhabilitation de routes constituent la majeure partie des activités de la nation malgache», souligne-t-il. La Banque mondiale, l'Union européenne, la Banque arabe pour le développement en Afrique, le Japon et la Banque africaine de développement le Madagascar Action Plan, «rien que pour l'année 2005, 8 782 kilomètres de routes ont été construites, réhabilitées ou entretenues». Roland Randriamampionona, ministre des Travaux publics et de la météorologie, a expliqué que, « outre les financements des bailleurs, 6 % des prix du litre d'essence et du gasoil sont destinés à l'entretien routier à Madagascar. Sa gestion est confiée au Fer ». Et il ajoute : « Ce taux est encore faible car, dans les autres pays, il s'élève déjà à 10 %». Roland Randriamampionona a, cependant, promis que la Grande île avancera petit à petit pour atteindre ce taux. Le Fer de Madagascar sera, dans cette optique, transformé en direction dans son ministère. Madagascar est le sixième pays à avoir accueilli l'organisation de l'assemblée générale de l'Afera. Les cinq villes qui ont déjà reçu le rendez-vous africain, ont été Libreville, Lomé, Nairobi, Arusha et Accra. | Mahefa Rakotomalala Date : 09-10-2007 |
Sport moto Traces, première école de pilotage pour enfants
- par Moïse
Sport moto | Traces, première école de pilotage pour enfants | Conduire une moto nécessite un apprentissage, surtout pour les enfants. Traces s’en soucie et crée une école de pilotage. |  | Des motos de diverses marques chez Traces. | François Serrano, le propriétaire de Traces, est l’initiateur de la seule et première école de pilotage de moto pour enfants de 5 à 15 ans à Madagascar. Depuis sa création il y a un an, l’école a comme étudiants, en moyenne, à chaque séance, huit enfants avec une moyenne d’âge de huit à dix ans. «Je préfère distribuer mes expériences aux enfants qu’aux adultes», avoue François Serrano, «les enfants d’aujourd’hui seront notre relève», argumente-t-il. L’âge des élèves est limité à 15 ans parce qu’«à 16 ans, les enfants ont leur propre permis de conduire». Serrano est connu comme organisateur de Raid-moto à Madagascar depuis une quinzaine d’années. Il a créé Traces il y a quatre ans. A part les autres activités que Traces organise, comme la location de moto, vente de pièces détachées et accessoires de moto de grandes marques (Hebo, Nissin,…), le raid est fait partie de ses initiatives. Grâce à Serrano et Traces, le raid-moto à Madagascar est considéré par le magazine international «magazine verte» comme le surf à Hawaï. Aina Rabako | Date : 06-10-2007 |
Salon de l'automobile Les voitures chinoises à découvrir
- par moise44
Salon de l'automobile | Les voitures chinoises à découvrir |
| Le salon de l'Automobile a encore tenu ses promesses cette année. Il a permis de découvrir au même endroit les derniers nés de l'industrie de l'automobile. Les grandes marques n'ont pas manqué au rendez-vous avec les nouvelles générations de véhicules alliant à la fois élégance et sport. C'est le prix qui fait la différence entre les grands luxes comme la Range Rover sport de Landis Automotiv, à 280 millions ariary, et la mécanique sûre des marques comme Mazda de Ocean Trade, avec sa nouvelle 4x4 pick-up BT-50 à 59 millions ariary. Les voitures chinoises sont les véritables découvertes de cette huitième édition du salon de l'automobile. On n'a que l'embarras du choix entre le mini-bus Jmc, motorisé par une grande marque japonaise, la Palladun pick-up, et la petite Geely qui avait déjà séduit lors de la précédente édition du salon de l'auto. Côté animation, les démonstrations de 4x4 ont été à la hauteur des attentes du public.Le cirque organisé demain est aussi très attendu. | Mahefa Rakotomalala Date : 06-10-2007 |
Les nouvelles technologies à Madagascar
- par Moïse
Evènement | Ebit, outil de développement sectoriel | Madagascar se prépare à l'installation du backbone et à la connexion au réseau mondial de fibre optique, points focaux du développement du secteur. |  | Les nouvelles connexions annoncent une révolution dans la télécommunication. | Le Salon des technologies de l'information et de la communication (Ebit) est reconnu comme un outil de développement du secteur des télécommunications à Madagascar. L'édition 2007, qui se tiendra du 10 au 14 octobre, sera caractérisée par une plus grande implication de l'administration. « Le ministère de tutelle affirme aujourd'hui sa volonté d'être un vrai partenaire de l'évènement », annonce Njaka Andriamampita, président de l'association Event, organisateur de Ebit. « Ce qui confirme au salon son statut de support de promotion des nouvelles technologies », poursuit-il en faisant allusion aux précédentes éditions. Journées très animées « La prochaine s'inscrit dans la droite ligne de la politique de l'évènement, tracée depuis sa création il y a dix ans », soutient Alain Razafindrabe, directeur général de Synergy communication. La vulgarisation des services offerts par la disponibilité du haut débit, seront au centre des intérêts. « La jonction avec la fibre optique étant imminente, il est aujourd'hui plus que temps de réfléchir sur les moyens pour exploiter au mieux cette infrastructure », souligne, de son côté, Gil Razafintsalama, président du groupement des opérateurs en technologies de l'information et de la communication de Madagascar. Dans le contexte actuel, et cela ira en s'accentuant, les Ntic dépassent le stade du simple matériel de communication avec l'avènement de nouveaux services. Côté préparation du salon, les 110 stands disponibles sont déja pris par 46 entreprises. Près de 40 000 visiteurs seront également attendus. Les deux premières journées seront, comme à l'accoutumée, réservées aux professionnels, la troisième aux étudiants et les deux journées restantes seront ouvertes au grand public. Une animation particulière est aussi prévue avec la Destination Tic Madagascar. De même, des conférences abordant des thèmes axés sur les services et les prestations possibles avec le haut débit, seront programmées. | Doda Andrianantenaina Date : 29-09-2007 |
Bientot du pétrole à Madagascar
- par Moïse
Exploitation | Bientôt du pétrole extrait de Tsimiroro | Les premiers essais d'extraction de pétrole à Tsimiroro se feront avant la fin de cette année afin de déterminer et d'estimer le comportement du gisement. |  | Le forage des puits constitue l'étape finale de la prospection pétrolière. | «Le projet de produire 1 000 barils par jour dès cette année tient toujours », affirme-t-on du côté de l'Office malgache des mines et d'industries stratégiques (Omnis) concernant le gisement d'huile lourde de Tsimiroro dans la région du Melaky. Madagascar Oil, promoteur du projet, s’active à l'heure actuelle à réaliser à temps ce défi, ouvrant de très bonnes perspectives pour l’avenir de la production pétrolière à Madagascar. Les prospections sur le site de Tsimiroro par Madagascar Oil sont parmi les plus avancées dans le domaine de recherche pétrolière locale. C'est un projet associé au nom de Samuel Malin, homme d’affaires canadien diplômé de l’Université de géologie de Queens au Canada et de l’Université de Cambridge en Angleterre. Succès financier Il s'est impliqué dans la recherche pétrolière à Madagascar depuis 1993 et il en est le pionnier pour les gisements de Bemolanga et de Tsimiroro. Avec Robert Nelson, Samuel Malin est le fondateur de Madagascar Oil SA, la compagnie prospectrice à Tsimiroro. En mai 2006, Samuel Malin, occupant alors le poste de Chief Executive Officer, et les actionnaires de Madagascar Oil ont réussi à lever 60 millions de dollars sur les marchés boursiers internationaux pour concourir à la suite du financement du projet. « Cette première introduction en bourse élargira la base de notre actionnariat. Notre objectif reste la mise en production du site de Tsimiroro », déclare le fondateur de Madagascar Oil à la suite de ce succès financier. Samuel Malin a cédé sa place de Chief Executive Officer de Madagascar Oil à Alex Archilla. Le choix a surpris le milieu pétrolier malgache, connaissant le rôle qu'il a joué dans le projet et la place qu'il occupe vis-à-vis des grandes institutions et des autorités malgaches. | Mahefa Rakotomalala Date : 20-09-2007 |
TAEKWONDO - JEUX DES ILES David Randrianatoandro : «Il faut avoir un moral d'acier»
- par Moïse
TAEKWONDO - JEUX DES ILES | David Randrianatoandro : «Il faut avoir un moral d'acier» | David Randrianatoandro est à la fois rugbyman et taekwondoin. L'avant du club Printania d'Isotry dévoile le secret de son succès. | • Quelle est votre sentiment après votre médaille d'or chez les plus de 84 kg aux derniers Jeux des îles?
- Je suis fier d'avoir porté haut les couleurs malgaches, vu que c'était ma première participation aux Jeux. Tout le monde pense que Madagascar est moins performante dans les catégories lourdes, mais ce n'est pas le cas. La preuve ! Ce n'est qu'un début, la suite s'annonce plus prometteuse.
• Votre adversaire a fini par jeter l'éponge, quel est le secret de cette domination ?
- Outre la préparation intensive avec l'entraîneur chinois, j'ai des atouts physiques et psychologiques acquis en rugby auquel j'éprouve une passion particulière. En rugby, il faut avoir un moral d'acier, que j'exploite également en taekwondo. Ainsi, il m'a suffi d'imposer une technique simple combinée à ma force de caractère durant les deux premiers rounds. Et l'adversaire a abandonné dès l'entame du troisième round.
• Qu'est-ce qui vous a poussé à pratiquer le taekwondo?
- J'aime les sports de contact. Influencé par des amis taekwondoins, je me suis lancé un peu tard, en 2005, dans cette discipline. A mes débuts, avant le championnat d'Afrique de taekwondo auquel j'ai participé, j'ai rencontré quelques difficultés à me plier aux contraintes physiques. A l'époque, je n'avais pourtant que 23 ans. Mais avec de la conviction et l'aide d'amis compétents, je n'ai pas attendu longtemps pour ravir le titre national.
• Comment vous organisez-vous pour pratiquer les deux disciplines à la fois ?
- Pour moi, le rugby et le taekwondo sont complémentaires. Je ne les confonds jamais et je pense les maîtriser au mieux. En sport, le mental joue un rôle important, de même que le sens de l'organisation. Je gère du mieux que je peux mes temps d'entraînement et tout se passe à merveille. | Soafara Ralaimidona Date : 12-09-2007 |
TEXTILE Le « Vita gasy », un produit de qualité
- par Moïse
TEXTILE | Le « Vita gasy », un produit de qualité | Les artisans commencent à protéger leurs produits par des marques déposées. Une étape décisive pour que le « made in Madagascar » soit synonyme de haut de gamme. |  | La société Orchya, spécialisée dans la confection de produits artisanaux et textiles. | Des produits « made in Madagascar » en version haut de gamme. Cela existe sur le marché, aussi bien local qu'international. Parmi les entreprises qui s'y lancent, il y a la société Orchya, installée à Tsiazotafo et spécialisée dans la confection de produits artisanaux et textiles. Elle dispose aujourd'hui de deux marques de produits (Uranhia et Erhia), déposées auprès de l'Office malgache des propriétés industrielles (Omapi). La majorité de sa production est destinée à l'exportation et vendue dans les rayons haut de gamme. Aujourd'hui, Orchya lance une troisième marque, Enza, pour une gamme de vêtements et d'accessoires pour enfants. Aux normes internationales « Nous préparons à l'heure actuelle les démarches nécessaires pour déposer cette dernière marque auprès de l'Omapi. Comme les deux premières, elle sera protégée au niveau international », explique Ary Lalaina Garosy, un responsable de la société. La qualité et la précision constituent les points essentiels pour que le « made in Madagascar » devienne synonyme de produits de qualité. Cela concerne tout le processus de fabrication, du choix du tissu à la couture, en passant par le respect des mesures en fonction de la taille des produits. Côté main-d'œuvre, la société fait appel aux artisans compétents pour réaliser les broderies et confectionner les produits. « La main-d'oeuvre est devenue spécialisée », affirme le responsable de la production. Le principal avantage des produits de haute qualité est la forte valeur ajoutée. Ainsi, la gamme Enza varie entre 5 000 ariary et 90 000 ariary, selon les articles qui vont de la taie d'oreiller au losange renforcé par du « quat » (sorte de triplure). | Mahefa Rakotomalala Date : 11-09-2007 |
Opération contre l'insécurité
- par Moïse
Vie d’arrondissement | Opération contre l'insécurité | Le 4e arrondissement entame l'opération antigang dans ses 32 fokontany. Une descente massive a été effectuée hier dans la soirée. |  | Les habitants des quartiers sensibles accueillent l'opération avec soulagement. | La population du 4e arrondissement pourra dorénavant dormir tranquille. Les nouveaux agents de surveillance communautaire sont à pied d'œuvre depuis hier soir. Ces hommes dotés d'uniformes sont chargés, après avoir reçu une formation adéquate, de veiller sur la sécurité dans les 32 fokontany de cet arrondissement. Ils étaient nombreux à faire la ronde de 20 h 30 du soir jusqu'à 5 heures du matin. L'équipe compte en tout 320 hommes, à raison de dix par quartier. Ils ont tous répondu présents à la première opération, hier soir. « Cette opération est la première des nombreuses autres qui seront menées dans tous nos quartiers », souligne David Ratsisetraina, délégué au maire du 4e arrondissement. Quartiers redoutés Même si aucun résultat officiel de cette descente nocturne dans tout Mahamasina et ses environs n'a été rendu public, beaucoup d'habitants expriment leur satisfaction. « C'est la première fois que nous pouvons compter sur une protection en cas de malheur », estime Solofo Randria, un habitant de Mahamasina. Personne n'ignore combien le 4e arrondissement est redouté. « Il ne faut pas oublier que notre arrondissement fait partie des bas quartiers où l'insécurité règne depuis longtemps. Le fameux couloir de la mort a fait plus d'une victime », ajoute encore le responsable. La constitution d'agents de surveillance communautaire est une solution pour pallier le problème. Le 4e arrondissement a fait un investissement énorme pour ces hommes. Outre les vêtements rétroréfléchissants, ces agents sont équipés chacun d'une lampe de poche, d'un portable et d'un badge spécial. « Pour les rendre efficaces, nous avons demandé au commissariat de les former », conclut David Ratsisetraina. | Fanja Saholiarisoa Date : 10-09-2007 |
Une année 2007 faste pour le tourisme
- par Moïse
Bilan | Une année 2007 faste pour le tourisme | Le nombre de touristes en visite à Madagascar ne cesse d'augmenter. Une amélioration qui ravit les professionnels du secteur et les autorités. |  | Le pays accueille cette année davantage de visiteurs. | Les professionnels du tourisme sont très confiants sur les résultats de la saison 2007. “Nous avons actuellement un taux de remplissage honorable”, révèle Eric Koller, premier responsable de l'hôtel Colbert et président de la Fédération des hôteliers et restaurateurs de Madagascar (Fhorm). Le chiffre de 70 % de taux de remplissage a été avancé à plusieurs reprises. La tenue des Jeux des îles a fortement accru l'affluence des touristes dans le pays durant le mois d'août. « Durant les Jeux, ce taux a enregistré 15 % de plus », continue-t-il. 350 000 visiteurs attendus Les autorités prévoient également une saison particulièrement fructueuse. « L'augmentation du nombre d'arrivée de touristes pour ce second semestre dans le pays sera largement au-delà des réalisations du premier semestre », fait savoir Toky Haritefy Rabeson, secrétaire général du ministère des Transports et du tourisme. Une hausse de près de 11,9% a été enrégistrée durant les six premiers mois de l'année. « La réalisation du second semestre dépassera de loin ce chiffre », prévoit-il. Le nombre d'arrivée de touristes enregistré aux frontières en 2006 était de 311 000. Les estimations pour cette année tournent aux alentours de 350 000 visiteurs. Les prescripteurs de voyages ont aujourd'hui du mal à trouver des chambres libres dans les grands sites touristiques. L'axe Sud, Nosy-Be, Sainte-Marie, Tolagnaro, Mahajanga sont aujourd'hui les principales destinations du pays. D'autres sites sont en train d'émerger, notamment sur la partie est de l'île. Le tourisme se donne actuellement les moyens de devenir un véritable pilier de l'économie locale. Sa place dans le Madagascar action plan lui confère d'ailleurs un statut de secteur prioritaire. | Doda Andrianantenaina Date : 10-09-2007 |
"Les Français ont déjà extrait de l'uranium à Madagascar"
- par Moïse
BERNARD FURTH | "Les Français ont déjà extrait de l'uranium à Madagascar" | Le directeur général de la compagnie Uramad donne des précisions sur les aspects techniques de la prospection d'uranium | • L'existence de l'uranium à Beravina est-elle confirmée ? - Rien n'est encore sûr pour le moment. Cependant, les Français avaient effectué des extractions d'uranium à Madagascar, dans les années 50. Les géologues disent également que la structure géologique de Madagascar ressemble à celle des pays africains qui disposent d'importants gisements d'uranium. Ces raisons ont poussé Uramad à prospecter à Madagascar. Les travaux sur le site de Folakara sont les plus avancés à l'heure actuelle. • Quelles sont les différentes étapes à franchir ? - Cela débute par les relevés aeroportés, par avion équipé de radiométrie, qui permettent de détecter les anomalies du sol. Ce procédé sert, entre autres, à recueillir la teneur du sol en potassium, thorium et uranium. S'ensuivent l'étude du sol par les géologues et la pré-campagne de forage sur les sites favorables. Le forage permet de constater si le gisement est économiquement rentable pour être exploité. • Quels paramètres détermineront la décision d'investissement ? - L'importance et la qualité du gisement constituent les principaux paramètres qui détermineront la décision d'investissement. Mais il ne faut pas penser que dès que le gisement est trouvé, l'exploitation se fera dans l'immédiat. Il faut des travaux préliminaires, notamment la construction de l'usine d'extraction dans une durée de trois ans avant la phase de production. • L'uranium est associé à la radioactivité, au nucléaire, faut-il en avoir peur? - Durant la phase de prospection, il n'y a rien à craindre de la radioactivité. Cela dépendra également de la teneur en uranium que seuls les scientifiques peuvent évaluer avec précision. La radioactivité de l'uranium extrait du sous-sol malgache n'est pas très élevé. Néanmoins, il faudra prendre des précautions durant la phase d'exploitation, si nous atteignons ce stade. • A quoi servira la production ? - La production sera destinée à l'exportation pour faire fonctionner les centrales nucléaires. Comme les réserves de pétrole s'épuisent à l'heure actuelle, les recherches sur l'énergie nucléaire prennent de l'ampleur. L'uranium est la source d'énergie du futur. | Mahefa Rakotomalala Date : 06-09-2007 |
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