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Cyclisme - Tour de Madagascar 2007
- par Moïse
Cyclisme - Tour de Madagascar 2007 | Les Malgaches veulent leur revanche | Le 4e tour international de Madagascar sera une occasion pour les cyclistes malgaches de revenir à la charge après leur échec aux Jeux des îles. |  | Ravoatabia vise le podium du 4e tour. | Une aubaine pour les fans. Le 4e tour cycliste international de Madagascar, dénommé Trophée Bank of Africa, se profile à l’horizon. La présence des coureurs français venant de Provence mettra cette fois-ci la barre plus haut. Ce sera également une occasion pour Jean de Dieu Rakotondrasoa et Herizo Rabemananajara, membres de l’équipe nationale malgache, de prendre leur revanche face à l’équipe réunionnaise victorieuse aux Jeux des îles de l’océan Indien. A l’instar de l’équipe nationale mahoraise, les représentants de l’île Bourbon seront également de la partie. D’une durée de douze jours, les concurrents auront à parcourir, du 28 novembre au 09 décembre 2007, une distance totale de 2 929 km. Seize équipes, dont quatre étrangères, prendront le départ du prologue de 5 km à Toliara. Equipes de six Chaque équipe sera composée de six coureurs. Lors d’une conférence de presse, qui s’est tenue hier après-midi, à l’hôtel Colbert, le comité d’organisation du tour, en partenariat avec la Fédération malgache de cyclisme, a fait savoir qu’à part les deux équipes nationales malgaches, cinq ligues régionales : Atsinanana, Diana, Sud-ouest, Vakinankaratra et Haute Matsiatra honoreront de leur présence cette compétition. Sans oublier l’équipe du club de l’Ostie ainsi que celui du Ccami. Le circuit de ce 4e tour sera divisé en douze étapes. Pour donner une ambiance de fête à l’organisation, le Pari mutuel urbain, avec un manège gonflable et deux tonnes de friandises, prévoit une animation culturelle à chaque fin d’étape. Le tour cycliste international de Madagascar se fait petit à petit un nom sur le continent africain, mais l’inscription de la compétition au sein de l’Union des cyclistes internationaux figure également au programme du Sporpub international, initiateur de l’événement. Au niveau technique, le Tour de Madagascar n’a rien à envier aux autres tours, mais faute des moyens financiers, le comité d’organisation ne peut pas, pour le moment, réaliser ce projet. Mais grâce au soutien des sponsors locaux, le comité d’organisation a pu récolter une somme de 10 millions d’ariary pour récompenser les heureux gagnants de la compétition.
Encadré Liste des maillots à gagner Maillot Bank of Africa : 1e au classement général au temps Maillot Pmu : 1e au classement général aux points Maillot Mbs : 1e au classement général aux points Maillot Sogea-Satom : 1e aux Points chauds Maillot Tvm: 1e à la course de montagne Maillot Bank of Africa : du meilleur malgache Maillot Express de Madagascar : de la combativité Maillot Rta : du meilleur jeune Maillot Midi Madagasikara : du fair play Maillot Les Nouvelles : du meilleur équipier Maillot Midi Madagasikara : classement par équipe Bank of Africa : casquettes. | Andry Ratovo Date : 21-11-2007 |
10 taona ny « Clinique Médico-Chirurgicale » Tanjombato
- par Moïse
Fahasalamana | 10 taona ny « Clinique Médico-Chirurgicale » Tanjombato |
|  | Rakotoarisoa Ndriana, mpanangana ny Clinique médico-chirurgicale. | Feno folo taona amin'ity taona 2007 ity ny tobim-pahasalamana « Clinique Médico-Chirurgicale » eny Tanjombato. Rakotoarisoa Ndriana no nanangana ity toeram-pitsaboana iray ity. Hetsika samihafa no efa notanterahina, ho fiatrehana izao fankalazana ny faha-10 taona izao. Ankizy 150 ary no natao didy foitra faobe tao amin'ny kaominina Tanjombato. Ankoatra izay, nisy olon-dehibe 500, nomena karatra manokana mba hahafahany manatona ity toeram-pitsaboana ity hizaha fahasalamana maimaim-poana. Hita ao an-toerana avokoa moa ireo sampan-draharaha ilaina amin'ny tobim-pahasalamana tahaka izao. Isan'ny mamaly ny filan'ny mponina ao Tanjombato, eo amin'ny sehatry ny fahasalamana ny fisian'ny « Clinique Médico-Chirurgicale » eny amin'ity kaominina iray ity. Fanaovana fizaham-pahasalamana tsy andoavam-bola ireo ankizy telo ka hatramin'ny enin-taona tao amin'ny kaominina Tanjombato no hetsika nentina namaranana ny taom-pankalazana.
Toky Randimbisoa | Date : 21-11-2007 |
Saison des pluies La première grosse pluie de la saison
- par moise44
Saison des pluies | Les digues menacées | La première grosse pluie de la saison est tombée tout l’après-midi d’hier. Le regard des autorités se tournent vers les digues qui protègent Antananarivo. |  | Les paysans commencent à colmater les diguettes des rizières protégées par la route-digue. | Dans de nombreuses villes, dont la capitale, il a beaucoup plu ces derniers temps. Cette saison de pluie peut poser des difficultés dont l’arrivée des cyclones. Saison à haut risque. La tombée des pluies s'annonce dure pour le pays. à Antananarivo, les digues sont placées sous haute surveillance. Les incidents de la saison précédente peuvent incessamment ressurgir. Les autres régions ne sont pas épargnées, les précipitations pourraient provoquer des dégâts importants. « On veille minutieusement sur les digues de la capitale. Certaines d'entre elles sont sensibles à la moindre montée des eaux », confie une responsable auprès de l'Autorité pour la protection contre les inondations de la plaine d'Antananarivo (Apipa). « La digue d'Ankadievo près du fokontany d'Androndra figure parmi les points sensibles », précise-t-elle. Cependant, la technicienne de l'Apipa veut calmer l'opinion. « Il n'y a rien d'alarmant dans la capitale. Il n'y a pas encore de risque de débordement », rassure-t-elle. Hausse des précipitations L'année dernière, quelques digues, dont celle d'Ankadievo sur la Sisaony, à Ambohitrimanjaka, n'ont pas résisté aux eaux de pluie. Ce qui a provoqué d'importants dégâts dans la zone basse de la capitale. Des hectares de rizières ont été inondés alors que les habitants ont dû évacuer leurs habitations. A entendre les prévisions, le début de la saison des pluies semble présager des difficultés pour la population. « La quantité de pluie accusera une hausse au cours de cette saison », déclare un technicien auprès de la direction de la météorologie à Ampandrianomby. « Outre les cyclones qui peuvent frapper incessamment le pays, beaucoup de régions sont exposées à l'inondation », a-t-il poursuivi. Dans de nombreuses villes, entre autres Antananarivo, d'énormes quantités de pluie ont été enregistrées pendant le week-end. « Ce sont des pluies normales. La population n'a pas à s'inquiéter jusqu'ici », rassure toujours le météorologue. A Mahajanga, la pluie a obligé les noctambules à rester chez eux samedi soir. Dans les bas quartiers de la capitale, les habitants d'Antananarivo commencent à craindre la montée des eaux. « On s'attend toujours au pire. Le début de la saison des pluies constitue toujours un calvaire pour de nombreuses familles », raconte Sahondra, habitant à Ankazomanga. « Nous ne tarderons pas à nous déplacer si la pluie continue de tomber au rythme de samedi », s'inquiète-t-elle. Propriétaire d'une maison encore en cours de construction au beau milieu du marécage environnant le boulevard de l'Europe, elle craint surtout l'écroulement des murs en brique. Le Bureau national de gestion des risques et catastrophes (Bngrc) se dit être prêt à affronter la saison des pluies qui est aussi celle des cyclones tropicaux. Selon les responsables, la quasi-totalité des dispositifs sont déjà mis en place. « Nous disposons déjà des moyens qui nous permettront de porter secours aux éventuels sinistrés. Les magasins de stockage sont suffisament remplis et les partenaires se positionnent déjà », déclare un responsable du Bngrc. « Notre plan de contingence sera bientôt mis en place », ajoute-t-il. Le Bngrc entend avoir mis en place des matériels de communication, tels que des radio-Blu dans plusieurs localités des 22 régions. | Stéphane Solofonandrasana Date : 12-11-2007 |
Les petites fiancées de l'Internet
- par moise44
Région Nord La population réticente au dépistage MST
- par moise44
Région Nord | La population réticente au dépistage MST | La région Nord enregistre un faible taux de dépistage des maladies sexuellement transmissibles. Pourtant, cette partie de l'Ile figure parmi les zones rouges recensées. |  | 20% seulement des personnes portant le Vih sont dépistées dans la partie Nord de l'Ile. | Le résultat de l'enquête de Solidarité thérapeutique et initiative contre le sida (Solthis) dans le Nord parle de lui-même. Le dépistage demeure un effort de longue haleine à faire dans les régions Diana et Sava. Jusqu'à maintenant, seules 20% de la totalité des personnes portant le Vih (PVVIH) de cette partie de l'Ile ont été dépistées. «Il manque plus de 300 PVVIH perdues de vue», souligne Sophie Royer, chef de mission de Solthis à Madagascar. Présents au 6ème colloque sur le Vih de l'océan Indien, les responsables de Solthis, une association médicale internationale ont partagé aux participants à ce colloque un profil épidémiologique du sida dans ces régions. Les facteurs de propagation «Le dépistage n'est pas satisfaisant car on dénombre jusqu'en juin 66 personnes porteuses du Vih/Sida. Ce chiffre est nettement en deça de la réalité, vu la prépondérance des maladies sexuellement transmissibles dans cette partie de l'île», ajoute le Dr Franck Lamontagne, responsable médicale de cette association. Le taux de prévalence y demeure élevé avec 2,7% selon une enquête effectuée en 2005, et 0,4% des femmes enceintes sont séropositives. Sotlhis estime que la région tend vers une propagation de l'épidémie à la population générale. «Les facteurs de propagation sont nombreux dont le multipartenariat, la prostitution, la mobilité, le déni et la méconnaissance du Vih par la population. Le chemin reste long, c'est pourquoi, la formation et l'accompagnement à la prise en charge globale sont nécessaires», soutient encore le médecin de Solthis. Ce programme a vu sa présence dans le Nord en décembre 2006. Depuis, Solthis met l'accent sur la formation et la prise en charge globale. « Ces deux activités figurent parmi nos priorités en 2008 pour assurer que la plupart des PVVIH ont recours à une prise en charge assurée », estime Sophie Royer, soucieuse de l'effectivité de la mise en place du fond de solidarité à l'endroit des personnes séropositives. | Fanja Saholiarisoa |
Un couple français fait Paris-Maurice sans passeport
- par moise44 Insolite | Un couple français fait Paris-Maurice sans passeport |
| Un couple français de parents mauriciens a passé les services de sécurité de l’aéroport Charles de Gaulle et le contrôle au comptoir d’Air France à Paris sans passeport, mardi. Il est arrivé jusqu’à Maurice. C’est l’histoire insolite de Maurice Adèle, 72 ans, et de son épouse Christiane, venus passer une quinzaine de jours de vacances à Maurice. Résidant à Paris, le couple se présente à l’aéroport trois heures avant le décollage de l’avion d’Air France. Après avoir fait vérifier leurs bagages au contrôle de sécurité, mari et femme se rendent au comptoir de l’immigration. Ce dernier ne trouve rien à leur demander. Pourtant, ils n’avaient que leurs billets électroniques... pas de passeports ! Le couple Adèle estime que tout est normal et attendent l’appel pour l’embarquement. Là aussi, un préposé d’Air France qui se tient à côté de la porte d’embarquement ne leur demande pas de présenter leurs passeports. Sans problème, ils embarquent à bord de l’appareil qui décolle pour Maurice. Les officiers du département de l’immigration ont constaté que ce couple n’avait aucune mauvaise intention, mais qu’une grossière erreur de contrôle et administrative à l’aéroport Charles de Gaulle était à l’origine de ce problème. © La Sentinelle | Date : 09-11-2007 |
Un environnement des affaires favorable
- par moise44
Dialogue présidentiel | Un environnement des affaires favorable | Le président Marc Ravalomanana rencontre les membres du secteur privé pour une consultation avant la mise en oeuvre du Madagascar action plan. |  | Des assistants toute ouïe à l’intervention présidentielle, à Iavoloha. | Les défis du Madagascar action plan (Map) dans la ligne de mire. « Madagascar aborde aujourd'hui un nouveau tournant », déclare Marc Ravalomanana. « Le Map est notre feuille de route pour aller vers le développement », promet-il. « Les défis de la mondialisation exigent des changements politiques et économiques » , poursuit-il. Madagascar devra dans ce cas accroître sa compétitivité et saisir toutes les opportunités commerciales. « Pour cela, il est nécessaire de lever tous les obstacles et blocages pour permettre aux opérateurs économiques d'oeuvrer convenablement », avoue-t-il en précisant que c'est la raison d'être du dialogue présidentiel. La première journée du dialogue présidentiel s'est focalisée sur le défi 6 du Map : une économie à forte croissance. Des centaines d'opérateurs économiques issus de différents groupements professionnels ont assisté à la cérémonie d'ouverture du dialogue présidentiel à Iavoloha. Points de discorde Lors des travaux de commission qui ont suivi la cérémonie d'ouverture, les opérateurs ont pu présenter les points de discorde entre le secteur privé et l'administration. « Toutes les doléances des opérateurs ont été recueillies par les agents de l'administration », affirme Claude Andréas, président du Groupement des entreprises de la Sava (Ges). Dans ce cas, les problèmes majeurs des membres du secteur privé devraient être connus et résolus. « L'energie, l'accès aux financements ou les lacunes de la communication ont été énumérés », poursuit Claude Andréas. Plusieurs facteurs restent aujourd'hui sensibles dans cet environnement des affaires. La disponibilité et le coût de l'énergie, le problème du foncier, l'absence d'incitation fiscale et douanière pour un grand nombre de secteurs, ou encore l'accès au financement restent des paramètres à revoir et dans les plus brefs délais. Le ministre de l'Economie, de l'industrie et du commerce, Ivohasina Razafimahefa, a de son côté énumeré les différentes perspectives de l'administration dans la mise en place d'un environnement des affaires favorables. « L'adoption et la publication de la loi sur les investissements est actuellement l'une des priorités », avance-t-il. La création des Centres économiques régionaux pour le développement des industries et du commerce (Cerdic) sera également dans les prévisions. Le but final est d'atteindre un taux de croissance de 8 à 10 % en 2012. Encadré Dix incubateurs d'entreprises à installer La promotion des investissements reste la priorité du gouvernement. Le ministère de l'Economie, du commerce et de l'industrialisation installera dix Centres économiques régionaux pour le développement des industries et du commerce (Cerdic). « C'est une structure qui accompagnera l'entreprise dans son développement, à partir de sa création jusqu'à son autonomie », explique Ivohasina Razafimahefa. Techniquement, cette structure sera comme un partenaire de l'entreprise. Le but étant de favoriser l'émergence de nouvelles entreprises selon les potentiels de la région et la demande du marché. Le Cerdic mettra à la disposition des nouvelles sociétés des matériels, des techniques et même des formations afin de faciliter leur épanouissement. Au bout de quelques mois, quand l'entreprise atteint une capacité de production raisonnable ou devient autonome, elle peut se déconnecter de l'aide du Cerdic. « Ce sera comme une pépinière ou un incubateur d'entreprises, mais à l'échelle régionale », précise le ministre. Cette initiative du ministère devra aboutir à une augmentation considérable des initiatives de création d'entreprises. Le problème de financement pourrait même être résolu par le Cerdic après un certain temps. Des collaboration avec les institutions financières de la place pourront conduire à une facilitation au niveau du financement. L'optimisation des activités du secteur privé se présente comme le meilleur moyen pour atteindre le plein emploi, afin de réduire la pauvreté actuelle du pays. Techniquement, les investissements créent de la valeur et améliorent la qualité de vie de la population. Avec le Cerdic, il s'agit de favoriser la mise en place d'un environnement des affaires incitatif et favorisant les activités des opérateurs privés qui constitueront d'ailleurs le moteur du développement économique du pays. | Doda Andrianantenaina Date : 07-11-2007 |
Foire de promotion A la découverte de Mantasoa
- par Moïse
Foire de promotion | A la découverte de Mantasoa | La commune de Mantasoa compte se remettre dans le circuit touristique. Pour ce faire, l'Aderlam a organisé une foire, surtout pour faire connaître et promouvoir la localité. |  | Le fameux lac artificiel de Mantasoa aménagé en 1937. | Dans le cadre de la promotion du tourisme régional, l'Association pour le développement de la région du lac Mantasoa (Aderlam) a organisé sa première grande foire durant trois jours. Cette première initiative fut l'occasion pour la population locale de vivre une ambiance particulière en compagnie de nombreux visiteurs passionnés de découvrir le passé historique de cette commune. Par son slogan «Mantasoa, comme nous l'imaginons», les organisateurs ont programmé diverses manifestations à la fois socio-économiques, sportives, touristiques et culturelles. Le rendez-vous a été fixé du vendredi 2 au dimanche 4 novembre. Plusieurs participants ont répondu à l'appel. Durant les trois jours se sont succédés : hira gasy à gogo, concert avec le groupe tananarivien Spesialista, cabarets dancing, combats de coqs, courses VTT, rencontres de mini-football, tournois de pétanque, visites guidées, randonnées sur le lac, vente-expositions... Vestiges historiques Mantasoa se distingue particulièrement par la présence du lac artificiel aménagé en 1937 et divers autres vestiges historiques laissés par Jean Laborde (1805-1878). Ce grand polyvalent d'origine française est à l'origine de plusieurs autres constructions industrielles (fonderie, distillerie, haut fourneau...) et socio-culturelles (établissements scolaires, villa, bibliothèque, foyer, musée, bain de la Reine, cimetières...). Au niveau du tourisme, Mantasoa offre une importante particularité. Par le biais de l'Association des amis de Jean Laborde, laquelle fait partie de l'effectif des membres au sein de l'Aderlam, il s'agit de faire découvrir les sites Jean Laborde, le site Ambohimahatakatra, le lac, les hôtels sur place (Ermitage, Riverside, Chalet des Suisses...). Actuellement, la concrétisation du jumelage de Mantasoa avec une commune française se trouve en bonne voie. Le secrétaire général du ministère du Tourisme, Johary Rajobson, nous fournit quelques informations : «Malgré un riche passé historique et une merveilleuse beauté du paysage qui intéresse une grande majorité du public malgache et étranger, la localité est un peu oubliée ces derniers temps». «Une des raisons majeures de cet oubli est peut-être due au mauvais état de la route. Cet handicap a poussé un petit groupe de gens, des employés administratifs, des sénateurs, des opérateurs économiques et des natifs de Mantasoa de créer l'Aderlam», précise-t-il. Après cette première initiative, l'association compte poursuivre l'organisation annuelle de cette foire. En outre, une réhabilitation a démarré l'année dernière pour le tronçon Manjakandriana-Mantasoa-Ambatolaona. Un projet d'adduction d'eau pour l'hopital a fait aussi l'objet d'une étude. Paysans, artisans et élèves figurent aussi dans un projet de formation. La collaboration avec l'Office régional du tourisme fera l'objet d'une proposition pour mieux inciter les visiteurs à se rendre à Mantasoa. Un premier contact avec le ministère de tutelle a été entamé. «Pour ce premier rendez-vous, nous ne ciblons pas le nombre de visiteurs mais plutôt le bon déroulement de l'organisation. Beaucoup de paysans, ayant participé à la vente-exposition, sont ravis car c'était pour eux l'occasion de vendre leurs produits. Mais nombreux aussi ceux qui ont manqué à cette foire tout en promettant de se rattraper l'année prochaine», note Johary Rajobson. A noter que les deux opérateurs de téléphonie mobile, Celtel et Orange, sont présents. Ce qui constitue un grand atout pour les visiteurs désireux de découvrir Mantasoa et ses environs. Il suffit que la population locale fasse davantage de demandes pour que le nombre des abonnés augmente. Bon déroulement A son tour, le président de l'Aderlam, Jean de Dieu Raherison, rajoute «qu'il n'est pas toujours facile de faire démarrer une manifestation d'une telle ampleur. Mais cette première grande foire s'est bien déroulée dans son ensemble». Au niveau des stands, de nombreux partenaires se sont déplacés pour exposer et vendre leurs produits sur place. Outre la place du grand marché de la commune de Mantasoa, d'autres sites ont servi de lieu d'attraction et de divertissement durant les trois jours réservés à la foire. Concernant les disciplines sportives, plusieurs équipes ont pris part aux rencontres de football et de tournoi de pétanque. Les soirées-cabarets ont été très animées, le concert avec Spesialista a attiré une foule considérable malgré quelques défaillances techniques au niveau de la sono. Dans l'attente de la prochaine organisation prévue en Pâques 2008, l'Aderlam est disponible à toute sorte de collaboration pour une deuxième foire de Mantasoa. | Jean Paul Lucien Date : 07-11-2007 |
Tourisme Incitation à la création d’établissements touristiques
- par Moïse
Tourisme | Incitation à la création d’établissements touristiques |
| Le communiqué sur le conseil des ministres du mercredi 31 octobre a mentionné l'appel lancé par la présidence de la République pour la construction de nouveaux établissements hôteliers. «L'Etat fait appel à ceux qui désirent construire ou réhabiliter des hôtels aux normes internationales, affichant au moins trois étoiles. Ils doivent les réaliser avant le sommet des chefs d'Etats qui se tiendra à Madagascar, au mois de juillet 2009». Le communiqué stipule que des dispositions de facilitation et d'incitation seront prises à cet effet, dans un proche avenir. Une manière d'encourager des investissements qui tardent à affluer. «Le secteur du tourisme devra bientôt bénéficier d'une nouvelle disposition réglementaire», a affirmé Toky Haritefy Rabeson, secrétaire général de l'ancienne structure ministérielle. Face à l'évolution constatée dans le pays, le ministère du Tourisme s'est lancé dans la restructuration de l'environnement des investissements afin de le rendre plus attractif. L'instauration d'un cadre réglementaire clair et incitatif devient impératif. «C'est une des causes de la désaffection des investisseurs pour cette branche d'activité», révèle Eric Koller, président de la Fédération des hôteliers et restaurateurs de Madagascar. Faciliter les procédures d'ouverture d'établissements touristiques fait partie des grands changements, qui figureront dans la réforme des textes. L'annulation de l'avis préalable, l'allègement du dossier de la demande d'ouverture, la réduction des délais d'octroi seront autant d'innovations qui devront améliorer le climat des affaires. De son côté, l'Economic development board of Madagascar a avancé que le secteur touristique aurait besoin de quelque 24 000 nouvelles chambres pour satisfaire la demande des 500 000 visiteurs attendus d'ici 2012, tel que le prévoit le Madagascar action plan. | Doda Andrianantenaina Date : 02-11-2007 |
«Madagascar coopère bien avec l'Europe»
- par moise44
Questions à… Jeannot Rakotomalala | «Madagascar coopère bien avec l'Europe» | L'ambassadeur malgache auprès de l'Union européenne fait un état des lieux de la coopération de Madagascar avec l'Europe. | • Quel est le but de la visite des parlementaires européens dans le pays ? - Ils viennent pour constater de visu le processus de réalisation du Madagascar action plan (Map). Ils sont très intéressés par son aspect innovateur et participatif. Le leadership et l'appropriation dont fait preuve le côté malgache dans sa quête de développement apparaissent comme un exemple que les parlementaires veulent partager aux autres pays membres de l'Afrique-Caraïbes- Pacifique (Acp). Dans cette optique, Madagascar est considéré comme un modèle de la bonne qualité de la coopération avec l'Union européenne. Cette visite fait suite à celle de la délégation malgache à Bruxelles au début du mois d'octobre. • Quel a été l'objet de la visite de cette délégation à Bruxelles ? - Benjamin Andriaparany Radavidson, alors ministre des Finances et du budget, était à la tête de la délégation de techniciens malgaches. Il a lancé un appel à l'endroit de l’Union Européenne et de ses Etats membres pour la concrétisation du Map et pour l’élargissement de la gamme de bailleurs et de partenaires appelés à contribuer à sa réalisation. • De quelle manière nos représentants à l'étranger peuvent-ils contribuer à la réalisation du Map ? - Le Map est un plan d'action ambitieux et pragmatique. Sa réalisation devra mobiliser d'importantes ressources. Dans cette vision, les représentations extérieures de Madagascar sont actuellement déterminées à relever le défi d'être entreprenantes et plus orientées vers la promotion internationale du Map. Le professionnalisme, le leadership partagé et la détermination à réussir constituent en fait les maîtres-mots. Une réunion des ambassadeurs malgaches accrédités en Europe s'est tenue au mois de février dernier dans le but de coordonner les stratégies de promotion. • Quelles sont les grandes lignes de ces stratégies arrêtées ? - La plus grande initiative de la stratégie de promotion porte sur un roadshow pan-européen, visant la promotion des relations bilatérales et des investissements directs étrangers. La première partie s'est déja tenue à Bruxelles au début du mois d'octobre. Les prochaines étapes auront lieu au Royaume-Uni et aux Pays-Bas à partir du 13 novembre. Propos recueillis par | Doda Andrianantenaina Date : 31-10-2007 |
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