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express.gifLa Journée mondiale de la lutte contre le sida Réveiller les consciences pour combattre le VIH - par Moïse

Appel au leadership
Réveiller les consciences pour combattre le VIH
La Journée mondiale de la lutte contre le sida attend beaucoup de la conscientisation des Malgaches. Le thème “appel au leadership” est sensibilisateur. A chacun d'en prendre note.
 
La date n'est plus à rappeler. Le 1er décembre est la Journée mondiale de lutte contre le sida. A Madagascar, le défi reste le maintien du taux de prévalence des anticorps à moins de 1%, soit exactement 0,8%. Mais cela nécessite la responsabilisation de tout un chacun.
Le thème «appel au leadership» choisi pour la célébration de cette journée arrive à point nommé pour la Grande île, qui, selon Fenosoa Ratsimanetri-manana, secrétaire exécutif du Comité national de lutte contre le sida (CNLS), n'a jamais autant parlé du sida au cours de ces cinq dernières années.
L'engagement du couple présidentiel, qui a montré l'exemple en 2006 en se faisant dépisté publiquement, a «boosté» la lutte contre le sida à Madagascar.
A l'heure où nous en parlons, l'accès aux services de dépistage, de conseils et de soins demeure insuffisant, tandis que le déni et la stigmatisation accroissent et limitent l'efficacité des programmes.
«L'accès au service de dépistage est insuffisant»
Ainsi, les risques d'explosion de l'épidémie sont très élevés, d'où une nécessité de sensibiliser la population autrement. Mais le manque de médecins référents spécialisés dans la prise en charge des personnes vivants avec le VIH (PVVIH) fait défaut.
35 des 54 médecins référents sont opérationnels dans 21 régions. «Le vrai problème pour le bon déroulement du traitement c'est qu'il n'existe pas un continium de soins, c'est-à-dire que les étapes nécessaires ne sont pas tout le temps suivies par une PVVIH», souligne Dr Racehl Rakotoarison, chef du programmes de lutte contre les IST et le VIH/Sida au niveau du ministère de la Santé, du Planning familial et de la Protection sociale.

Encadrés
(1) Une célébration à tous les niveaux

Différentes activités seront prévues pendant cette journée. Celles du secrétariat exécutif du CNLS débuteront par une rencontre avec la presse à l'hôtel Colbert et des festivités antisida destinées au public se dérouleront à la gare Soarano. Les manifestations se poursuivront pendant tout le mois de décembre. L'Alliance française lancera officiellement ses points santé conjointement à d'autres activités. De nombreuses associations proposeront également des animations et des dépistages gratuits.

(2) Quelques chiffres (De janvier à octobre 2007)
150 PVVIH sur 306 à Madagascar bénéficient d'un appui psychosociale
23 associations de prise en charge dans 17 régions
137 PVVIH sous ARV (antirétroviraux)
Perdues de vue : 26
Personnes décédées : 12

(3) Une journée placée sous le signe de l'espérance
Joredah (une PVVIH, la seule à avoir témoigné à visage découvert) : « Toute personne doit prendre ses responsablités face à la pandémie car beaucoup de vies humaines en dépendent. La responsabilité de tous les leaders ne doit pas se borner à une discussion autour d'une table, en se contentant de dire que nous sommes bien impliqués dans la lutte, alors que les résultats restent toujours les mêmes. J'aimerais souligner, en tant que personne concernée, que le renforcement de la prise en charge médicale ne se limite pas au fait de délivrer des ARV mais qu'il faut aussi assurer le suivi des analyses biologiques et contrôler le taux de charge virale d'une personne. Ce qui signifie que le renforcement du plan technique médical est un atout pour mieux améliorer la qualité de vie des personnes inféctées ».
Jaojoby Eusèbe (Roi du Salegy) : « Nous ne devons pas dormir, car le sida roucoule doucement. En tant qu'artiste, j'ai le devoir de sensibiliser mes cocitoyens à faire face à cette épidémie qui prend de l'ampleur. Ma participation aux campagnes de dépistage, à l'album Nous sommes les tam-tams , est un moyen plus sûr d'y arriver ».
Xavier Leus, coordinateur du système des Nations unies à Madagascar : « La lutte contre le sida demeure des défis à relever pour l'atteinte des objectifs du millénaire pour le développement. Tout le monde doit y mettre du sien, mais le pouvoir de la musique et les médias y est pour quelque chose ».
Balou Sabat Rasoanaivo (MSM) : « J'espère que cette journée renforcera la lutte contre la stigmatisation à tous les niveaux. Que les gens prennent en considération les droits de chaque être humain, aussi différent qu'il soit ».
 
Fanja Saholiarisoa
Date : 01-12-2007

 


 

Questions à … Dr Fenosoa
« Osons parler de nos pratiques sexuelles »
Le secrétaire exécutif du CNLS appelle au changement des mentalités.
 
• Quel est le défi à relever ?
Il est temps que Madagascar rompt le silence. Il faut que nous osons parler de nos pratiques sexuelles. Même pour inclure les MSM dans les programmes de lutte, tout cela relève du leadership. Nous allons axer nos interventions sur des programmes, catalyseurs de changement car il faut changer de mentalité.
• Votre message en cette journée ?
Le virus s'attrape facilement mais s'évite difficillement. Osez être des leaders pour vaincre le sida. Le thème de ce jour s'adapte vraiment à la situation de Madagascar. Même si le taux est relativement faible, il n'est plus question de s'endormir. Les interventions sont renforcées à tous les niveaux pour pérenniser la lutte. Ce mois de décembre sera un « plus » pour mobiliser tous les niveaux existants.

Recueillis par
 

Fanja Saholiarisoa
Date : 01-12-2007

 


 


express.gifTour cycliste international de Madagascar Ravoatabia revient à la charge - par Moïse

Tour cycliste international de Madagascar
Ravoatabia revient à la charge
La deuxième étape du Tour cycliste international de Madagascar a été remportée au sprint par Jean de Dieu  alias Ravoatabia. Le Réunionnais Armand Henriette conserve tout de même le maillot jaune.
 
Palpitante ! Ansi se résume la deuxième étape du Tour cycliste international de Madagascar. L’épreuve longue de 130 kilomètres reliait Toliara à Sakaraha. Elle a été remportée par Rakotondrasoa Jean de Dieu alias Ravoatabia. Ce dernier a devancé Herizo du club cycliste d’Antsirabe.
Au départ de Toliara, les choses ont tout de suite pris un rythme assez élevé. Mais c’est Fiandraza Bayard qui s’est montré le plus déterminé en entamant une échappée dès le 20e kilomètre. Il remporte le sprint d’intermédiaire au 40e kilomètre avant d’être rejoint par le Français Michael Male et le Réunionnais Pascal Grondin.
Gêné par une moto
Les trois coureurs creusent un écart d’un peu plus de 2mn30s. Au 65e km, Christian Male sort à son tour du groupe et se détache. Il sera rejoint, à 200 mètres de l’arrivée par le groupe de poursuivants menés par Armand Henriette et Ravoatabia. Les derniers mètres donnent lieu à une folle empoignade. Ravoatabia s’impose sur le fil sous l’ovation d’une foule enthousiaste. Herizo s’adjuge la deuxième place suivi de Steeve Bruno et de Pierrot Andrianjakasoa, sociétaire du club de l’Ostie et la révélation du Tour.
Pour Rakotondrasoa Jean de Dieu, les choses ne font que commencer. «J’ai gagné une étape, mais cela ne veut rien dire. Je prends mes repères petit à petit et j’espère progresser au fil des étapes. Quoiqu’il en soit c’est très encourageant pour la suite du Tour. J’ai confiance en moi», explique-t-il.
Au classement général, Armand Henriette conserve son maillot jaune de leader. Il s’est tout de même plaint à la fin de l’étape. «J’ai été gêné par une moto à un kilomètre de l’arrivée. C’est énervant quand on gâche l’effort entrepris sur 130 km», se lamente-t-il. Il garde tout de même une précieuse avance de plus d’une minute sur Ravoatabia.
Le Malgache qui le talonne n’est autre que Fanomezantsoa Randriamampionona.La troisième étape qui se dispute ce jour relie Sakaraha à Ilakaka. Elle est longue de 90 km.
Bilan de ces deux premières étapes, les Français se cherchent, les Réunionnais tiennent la route et les Malgaches tout simplement imprévisibles.
 
Dina Razafimahatratra
Date : 30-11-2007

express.gifAmbondrombe L’ouverture récente du site écotouristique d’Ambondrombe - par Moïse

Ambondrombe
La montagne des morts s'ouvre aux vivants
L’ouverture récente du site écotouristique d’Ambondrombe a été l’occasion de la première exploration collective d'une montagne réputée inaccessible...
 
La montagne d'Ambondrombe est reputée comme le refuge des morts
«Cette montagne est sacrée. Il faut respecter ses tabous pour éviter la catastrophe », prévient Pierre Ramoma. A 78 ans, il est le gardien de la tradition, et c’est à ce titre qu’il reçoit ce matin les 70 premiers visiteurs d’Ambondrombe, en tant que site touristique. Après plusieurs heures de marche dans la rocaille, la troupe est exténuée mais fière d’avoir atteint cette montagne réputée inaccessible. Car Ambondrombe, à 40 km au sud-est d'Ambalavao-Tsienimparihy, a une résonnance particulière dans le culte des morts à Madagascar. La « cité des fantômes », comme on dit dans les villages environnants, en évitant de poser le regard sur son sommet toujours perdu dans le brouillard, qui se voit à des kilomètres à la ronde. Selon une ancienne croyance qui a toujours cours, c’est le lieu où séjournent les esprits des morts avant de devenir des ancêtres.
Seth Georges Amboasalama, président des guides des trois sites touristiques de la commune d’Ambohimahamasina dont fait partie Ambondrombe, explique l’origine de cette légende. « Au début du XVIIIe siècle, un prince nommé Andriambolamena vint habiter dans la montagne d’Ambondrombe. Autour d’un lac poussent des vondro, une plante qui sert à tisser des nattes, à l’origine du nom Ambondrombe. Mais un jour que sa fille Rasoambolamena allait cueillir des vondro, elle se noya dans le lac. Plein de chagrin, le prince préféra quitter le lieu en promettant d’y revenir à sa mort pour rejoindre sa fille. »
Les grands mystères
Depuis, très peu ont osé s’aventurer sur la « montagne des morts ». Mais depuis quelques années, l’idée de faire d’Ambondrombe un lieu d’attraction touristique est dans l’air. Finalement, c’est l’APMM (Association des populations des montagnes du monde) qui a pris l’initiative d’aménager ce parcours, muni du minimum d’infrastructures, à destination des visiteurs. Les travaux qui ont démarré en 2006 ont été financés par l’USAID, le Fond français pour l’Environnement mondial et la Conservation Internationale. Pour la population locale, c’est une opportunité pour trouver de l’emploi toute l’année comme guides, hébergeurs ou gestionnaires du site.
Le chemin qui permet de gravir les 1 930 m de pente n’est pas de tout repos. D’où ce parcours de reconnaissance sous forme de trekking effectué par les 70 premiers « explorateurs » du site. Il faut au moins trois heures de marche à traverser des montagnes et des vallées très peu peuplées, mais riches en faunes et en flores tropicales, avant d’arriver à Andranombazaha, à 1150 m d'altitude. C’est là, en pleine forêt que se trouve le premier site de camping, où l’on peut se reposer, voire passer la nuit, avant la montée finale d’Ambondrombe qui réserve encore bien des surprises..
« Quelques rituels (fomba) doivent se faire avant de monter dans la montagne sacrée », prévient l’un des deux guides traditionnels qui accompagnent la caravane humaine. C’est ainsi qu’un jeune coq à trois couleurs (telosoratra) est tué et grillé sans sel pour les ancêtres d'Ambondrombe. L'ultime étape est maintenant de franchir une épaisse forêt sur une pente d'environ 60° par des sentiers à peine accessibles pour une personne.
Des bruits étranges se font entendre, produits par les animaux qui règent en maîtres dans cette nature intacte. Chaque pas est une surpise, telle que la découverte d’un arbre endémique d’orchidées poussant sur des rochers.. « Cette forêt est riche en plantes médicinales, explique Pierre Ramoma. D’ailleurs, tous les guérisseurs du coin viennent ici pour les cueillir ». Une nature d’une rare richesse dont une infime partie seulement a été découverte avec l’ouverture du tracé, comme l’affirme Pierre Ramona : « les grands mystères d’Ambondrombe demeurent… »
 
Hernan Rivelo
Date : 28-11-2007

express.gifCyclisme Début en fanfare du Tour de Madagascar à Toliara - par Moïse

Cyclisme
Début en fanfare du Tour de Madagascar à Toliara
Les élites de la petite reine entament le Tour de Madagascar à partir de la Cité du soleil. Ils sont 70, Malgaches, Réunionnais et Français à vouloir succéder à Jean de Dieu Rakotondrasoa dit Ravoatabia, vainqueur du Tour 2006.
 
Jean de Dieu Rakotondrasaoa alias Ravoatabia (au centre) et les coureurs malgaches sont lesés sur le plan matériel, ils n’auront pas des vélos en carbone.
La 4e édition du Tour cycliste international de Madagascar commence ce jour à Toliara avec beaucoup d'ambiance. La ville se souvient encore de l'évènement en 2005, où le Tour a été accueilli par tout un peuple désireux de connaître le cyclisme et son environnement.
Un prologue de 4,7 km est au menu de la matinée pour quelques 70 coureurs. Après le déjeuner, la première étape du Tour consistera en un circuit de 90 km autour de la ville de Toliara.
Côté participants, l'île de la Réunion est bien présente avec quatre coureurs. Il s'agit notamment de Floyd Lebeau qui en est à sa troisième participation, ou encore de Pascal Grondin qui a donné du fil à retordre aux équipes malgaches, l'année dernière. Les deux hommes seront accompagnés de Franck Cellier, qui revient à Madagascar après avoir participé aux Jeux des îles de l'océan Indien en août. Le tout nouveau de la délégation réunionnaise est Armand Henriette.
L'équipe mahoraise sera la grande absente du Tour de Madagascar tout comme la sélection mauricienne. La France quant à elle fait figure de grande favorite avec trois excellents coureurs de Provence, avec à la tête Geminiani junior, le petit-fils du légendaire Raphaël Geminiani.
Les Malgaches handicapés d'avance
Pour cette 4e édition du Tour de Madagascar, les cyclistes malgaches sont sérieusement handicapés même s'ils représentent 90 % des participants.
Ils sont tout d'abord affectés par un manque d'esprit déquipe. En effet, il n'y aura pas des équipes nationales A et B comme durant les trois précédentes éditions.
Ainsi par exemple, Jean de Dieu Rakotondrasoa alias Ravoatabia, Martin Andriamijery et Bayard Fiandraza, les fers de lance du cyclisme malgache ne seront pas dans une même équipe. Le second handicap des Malgaches se situe sur le plan matériel. Aucun coureur n'aura le droit de monter les vélos en carbone utilisés durant les derniers Jeux des îles, ni ceux utilisés lors des deux dernières éditions du Tour de Mada. «Franchement, ce n'est pas évident de courir avec nos propres vélos pour être à la hauteur des Français. Néanmoins, je me donnerai au maximum avec mon vélo», explique Herizo Rabemananjara, champion de Madagascar 2006.
Résultat, Ravoatabia et les siens devront se contenter des vélos de 12 kg, si ceux des Réunionnais et des Français pèsent à peine 7 kg. Une sacrée différence qui pourrait faire perdre le titre à Ravoatabia, d'autant plus que le niveau des Français est assez élevé. «On verra la suite», finit-il.
 
Dina Razafimahatratra
Date : 28-11-2007

express.gifCiné Mada Un week-end sous le signe du court-métrage - par Moïse


Ciné Mada
Un week-end sous le signe du court-métrage
Médias Ressources organise un minifestival du film de court-métrage au cinéma Ritz et en face de la gare Soarano, du 30 novembre au 2 décembre prochain.
 
Patrick Vergeyenst et Fenosoa, initiateurs de « Ciné Mada ».
Outre son rôle de divertissement, le cinéma est aussi un puissant instrument d’éducation et de sensibilisation. C’est ce qu’illustrent les sept films inscrits à l’affiche de cette première édition de Ciné Mada qui aura lieu ce week-end.
Le thème retenu est celui des problèmes que rencontrent « la femme et l'enfant sans distinction de leurs pays d'origines ». Au programme, deux films : Trafic humain et Esquive, trois séries de courts métrages de fiction et deux documentaires : Enfants des rues par Tovoniana Rasoanaivo et s'il vous plaît de Weijun.
Cas réel
Pour cette première édition, Médias Ressources projette Vero sy Haingo, un film Malgache réalisé par le Studio des Indépandant (SDI) inspiré d'un cas réel et basé sur une étude menée dans deux villes de Madagascar. Ce film s'inscrit dans la campagne de lutte contre l'exploitation sexuelle des enfants dans la Grande île menée par le gouvernement avec le soutien de l'Unicef.
« Le festival se tiendra tout les trois mois si possible pour une meilleure promotion du 7e art à Madagascar », explique Fenosoa Raharimanantsoa. Chaque festival aura différents thèmes qui pourront être un pays, un région, une problématique, voire un genre de film. « Nous essaierons pour la prochaine fois d'élargir le festival dans les provinces. Le prochain durera à peu près une semaine avec plus de films et de reportages », assure-t-elle. Notons que pendant le festival, Ciné Mada ouvre ses portes à des débats avec le public, animés par des professionnels du cinéma malgache et d’autres venus de l’étranger.

Juliano Randrianja
 

Date : 26-11-2007

express.gifTourisme Réouverture du canal des Pangalanes - par Moïse

Tourisme
Réouverture du canal des Pangalanes

 
Le secteur du tourisme reprend un nouveau souffle à Toamasina. Le trafic sur le canal des Pangalanes, un des principaux potentiels touristiques de cette région, vient de reprendre. Les travaux de dragages de certains points noirs sur une portion de 9 kilomètres qui ont empêché les pirogues à moteur et les vedettes de naviguer vient d’être terminés.
« Il s’agit de travaux d’urgence qui permettent d’abord au trafic sur le canal de reprendre de Toamasina jusqu’à Vatomandry. Mais l’opération se poursuivra pour que le trafic puisse continuer jusqu’à Mananjary en 2008 », explique Laporte Ravelonarivo, ministre des Transports, lors d’un voyage d’inspection sur le canal vendredi.
Les travaux de dragage comprennent la drague proprement dite des points ensablés, l’élagage des branches qui ont obstrué le passage sur le canal et l’enlèvement de jacinthes d’eau.
 
Mahefa Rakotomalala
Date : 26-11-2007

express.gifEnvironnement des affaires L'Etat facilite l'accès au foncier - par Moïse

Environnement des affaires
L'Etat facilite l'accès au foncier
Madagascar ouvre son économie aux investisseurs. Une volonté qui se traduit par la résolution des principaux obstacles dont l'accès aux titres fonciers.
 
Prega Ramsamy (à dr.) préparant le terrain malgache aux investissements étrangers.
Le problème foncier bientôt résolu pour les investisseurs. L'Economic Development Board of Madagascar (Edbm) entame aujourd'hui les discussions sur la mise en place d'une base de données foncière. «Le but de cette initiative est de pouvoir offrir aux opérateurs des propositions de terrains en vue de futurs investissements», explique Ranja Rakotomahanina, coordinateur en communication de l'Edbm.
La troisième réunion de cet organisme avec les représentants de tous les ministères concernés se tiendra la semaine prochaine. Il s'agit de pallier les lacunes en matière d'information sur la disponibilité foncière dans le pays.
Création d’entreprises
Les départements du tourisme, de l'environnement, de l'industrie ou encore des eaux et forêts sont concernés. «Des zones d'investissements seront installées pour chaque secteur», poursuit-il. Des zones d'investissements agricoles, industriels et touristiques seront délimitées et mises à la disposition des éventuels opérateurs.
Avec ces nouvelles structures, le problème foncier devra être résolu, du moins pour les nouveaux investisseurs. Les projets touristiques, les mines, l'industrie légère, l'agribusiness ou encore les technologies de l'information et de la télécommunication (Tic) sont les principaux points focaux des actions de promotions de l'Edbm.
Ce Board est aujourd'hui l'instrument de Madagascar dans la promotion des investissements. « C'est un One Stop Shop au niveau duquel tous les procédures sont entreprises », confie le responsable de communication en insistant sur le fait que les dossiers sur le visa, la création d'entreprise et même les fiches statistiques y sont déposés.
Les investissements directs étrangers (Ide) dépassent déjà les 100 millions Usd pour cette année, contre seulement 85 millions Usd en 2005. En terme de création d'entreprises, le nombre de nouvelles sociétés créées cette année dépasse déjà les objectifs. Les autorités visaient un millier d’entreprises.

Encadré
Les investisseurs de Mahajanga sollicités

Les techniciens de l'Economic Development Board of Madagascar (EDBM) rencontrent les opérateurs économiques de la ville de Mahajanga, le lundi 27 novembre. La réunion qui est réalisée avec le groupement des petites et moyennes entreprises (Fivmpama) se tiendra à la Chambre de commerce de Mahajanga.
Selon les informations recueillies auprès de l'Edbm, il s'agit de présenter cette structure et de recueillir les attentes des opérateurs locaux. Les techniciens de cet organisme d’Etat menés par Prega Ramsamy, le Chief Executive Officer, rencontreront également les autorités locales. L'objectif est de dégager un plan d’action clair et simple pour les six mois à venir. Il est aujourd'hui impératif d’éliminer les obstacles qui gênent l’épanouissement des opérateurs déjà installés et qui freinent l’ardeur des nouveaux.
Dans ses attributions, l'Edbm se doit d'améliorer le climat des affaires, afin de promouvoir l’investissement privé et faciliter les démarches de l’entrepreneur. Il devra assurer la cohérence des plans d’action du public et ceux des opérateurs privés, en particulier en matière d’infrastructure, d’énergie, de l’environnement. Dans le cas de Mahajanga, la complémentarité des secteurs est évidente. Les ressources minières aideront le tissu de sous-traitant local à se développer.
Le tourisme donnera davantage de dynamisme à l’agri business et à l’artisanat. Enfin, l’infrastructure sera au service des secteurs prioritaires. Mahajanga devrait être en mesure d’exporter davantage, compte tenu de ses liens privilégié avec les îles voisines.
 
Doda Andrianantenaina
Date : 24-11-2007

express.gifÉlectricité Ankatso se dote d'une énergie éolienne - par Moïse

Électricité
Ankatso se dote d'une énergie éolienne
Un prototype d'aérogénérateur vient d'être installé à l'université d'Ankatso. Les chercheurs malgaches l'utiliseront pour leurs expériences.
 
Le Pr Minoson Rakotomalala, directeur de l'Ime (à g.) et Bertrand Pfister, directeur de l'Aeetec.
L'université d'Antananarivo est en avance en matière d'énergie renouvelable. Elle vient de se doter d'une éolienne pouvant développer jusqu'à 500 W d'électricité. Implantée en haut du monticule qui surplombe l'esplanade, cette machine est le fruit de la collaboration entre l'Association énergie efficiente trans Europe culture (Aeetec) et l'Institut pour la maîtrise de l'énergie (Ime), au sein du Département de physique de la faculté des Sciences à l'université d'Antananario.
«Cette éolienne produit seulement de l'électricité qui servira à alimenter des lampes ou des ordinateurs. Elle constitue surtout un dispositif expérimental pour l'université et peut donc être testé et amélioré», souligne le Pr Minoson Rakotomalala, directeur de l'Ime. «Son avantage réside dans son coût très abordable», confie-t-il.
L'éolienne est un prototype du type Piggott, du nom du concepteur d'aérogénerateur écossais Hugh Piggott. Elle a été construite à partir d'éléments importés et assemblés sur place, dans les ateliers de Raseta, le producteur de la première pompe à bélier malgache. Avec un coût total estimé à 2500 euros, sa durée de vie peut atteindre jusqu'à 20 ans.
Electrification rurale
«Sa conception est très rustique et nous avons l'intention de la reproduire sur place pour solutionner l'inexistence de source d'énergie dans les zones rurales où il y a beaucoup de vent», note pour sa part Bertrand Pfister, directeur de l'Aeetec.
Ce projet a bénéficié de l'appui de la région Alsace et du maire de la commune de Strasbourg, en France. Elle constitue un potentiel important pour l'électrification rurale. Les promoteurs attendent de coopérer avec les régions et les communes qui seraient intéressées. Vu qu'une partie des materiaux utilisés doit être importée, une production massive de cette machine pourrait réduire son coût unitaire.
 
Mahefa Rakotomalala
Date : 23-11-2007

express.gifDialogue présidentiel Débat sur la modernisation de l'Agriculture - par Moïse

Dialogue présidentiel
Débat sur la modernisation de l'Agriculture

 
Le dialogue présidentiel continue et s'enchaîne.
Depuis hier, le développement rural, 4e engagement du Madagascar action plan (Map), a été au centre du débat au National Institut of Leadership of Madagascar (Nlim) d'Iavoloha. Plus de 200 personnes concernées par cet engagement ont participé à ce dialogue dont le président de la République, Marc Ravalomanana, les réprésentants des paysans, les bailleurs de fonds et les différents organismes nationaux et internationaux.
Lors de la cérémonie d'ouverture, Marcel Rasolonirina, réprésentant des paysans, a exposé les principaux obstacles à la réalisation de l'objectif de la Révolution verte. Il s'agit de multiplier par trois d'ici deux ans la production agricole à Madagascar. L'insécurité rurale, le manque de financement, l'insuffisance des infrastructures ainsi que le déficit des centres de formation sont les facteurs de blocage de cette récolution.
Pendant deux jours, les participants seront subdivisés en cinq groupes pour traiter cinq thèmes dont l'accés au foncier, le financement rural, la Révolution verte durable, l'agribusiness et le rôle de l'Etat.
Le ministre de l'Agriculture de l'Elevage et de la Pêche a tenu à rappeller, lors de la cérémonie d'ouverture, la vision de cet engagement qui est la modernisation de l'Agriculture à Madagascar face à la mondialisation.
 
Faly Randriamiarantsoa
Date : 23-11-2007

express.gifProjet Ski Madagascar Les frères Razanakolona continuent de s’engager - par moise44

Projet Ski Madagascar
Les frères Razanakolona continuent de s’engager

 
Les frères Razanakolona invités au Sommet du Millénaire à Montréal.
Réaliser un double rêve… faire une différence… et continuer à s’engager… Voilà ce que répètent les frères Razanakolona … Le 8 et 9 novembre dernier a eu lieu le Sommet du Millénaire à Montréal pour contrer la pauvreté. Le 9 novembre, les frères Razanakolona ont été invités en tant que conférenciers devant des milliers de personnes réunis au Palais des congrès de Montréal.
Ils ont pris la parole aux côtés du prix Nobel Monseigneur Desmond Tutu, l’actrice Mia Farrow, l’acteur Michael Douglas, la militante pour les droits de la personne, Cherie Booth Blair, l’auteur Ishmael Beah, la Juge Andrée Ruffo, l’ancien Premier ministre canadien Paul Martin, le maire de Montréal Gérald Tremblay et plusieurs autres, afin de continuer de livrer leur message de l’importance de s’engager pour un monde meilleur et plus juste où les jeunes doivent avoir le droit et le pouvoir de réaliser leurs rêves.
Les frères Razanakolona sont honorés d’avoir reçu cette invitation pour s’adresser à ceux qui peuvent contribuer à ce rêve. Pour voir le vidéo de la conférence : http://www.razalpin.org/fr/press video.php.
 

Date : 21-11-2007

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