VOUS RECHERCHEZ... |
Votre grand Voyage à Madagascar
STUDIOS Meublés CENTRE-VILLE
|
|
|
 |
Nouvelles |
 |
|
Rolland Rakotoarivelo n'a pas été expulsé !
- par Moïse Rolland Rakotoarivelo n'a pas été expulsé ! Hier, plusieurs militants s'étaient donné rendez vous tôt ce matin à Roissy pour protester contre l'expulsion de ce père de famille du 94 arrêté en allant acheter des couches à son bébé et dont c'était le dernier jour de rétention. Il a réussi à refuser son embarquement à bord de l'avion qui devait l'expulser. Il risque maintenant de passer en correctionnelle et d'être condamné à de la prison pour ce que l'Etat estime être un délit. Soyons nombreux à le soutenir, vivre là où on veut n'est pas un délit ! Témoignage de la mobilisation de ce matin : Rolland Rakotoarivelo, le père de deux enfants du 94 qui était en rétention depuis 32 jours et devait être expulsé ce matin n'est pas parti. Des personnalités étaient intervenues hier dans la soirée pour exprimer leur indignation de voir deux enfants privés de leur père en guise de cadeau de Noel. Une cinquantaine de militants RESF et d'habitants du Val de Marne, dont plusieurs élus (une conseillère régionale, des élus municipaux) étaient ce matin dans le hall de l'aéroport de Roissy pour discuter avec les passagers et leur demander de soutenir Rolland. Malgré les pressions et les mensonges de certains policiers (qui lui disaient par exemple qu'il obtiendrait un visa de retour s'il se laissait expulser), il a tenu et bon et a refusé d'embarquer. Merci et bravo à tous. Il est actuellement en garde à vue et passera en principe demain devant le TGI de Bobigny pour refus d'embarquement. Il risque trois mois de prison mais le tribunal peut aussi bien le relaxer. C'est ce que nous irons demander pour lui à Bobigny. Source : http://www.educationsansfrontieres.org/spip.php?article1 le dimanche 23 décembre 2007 à 18h55 |
Adopter à la Réunion : 150 familles en attente
- par Moïse
Adopter à la Réunion : 150 familles en attenteCLICANOO.COM | Publié le 23 décembre 2007Après les échecs d’une procréation médicalement assistée, les couples désireux d’avoir un enfant optent pour l’adoption. Mais dans un contexte où le nombre d’enfants adoptables est largement inférieur à celui des demandes, le parcours s’avère très long.Maëva (*) est mariée depuis deux ans quand elle apprend qu’elle ne peut pas avoir d’enfant. “J’avais 28 ans. Ça m’a fait un choc”, confie-t-elle. Elle a recours à la procréation médicalement assistée. Mais après plusieurs essais, elle ne tombe toujours pas enceinte. “Nous avons longuement réfléchi avec mon mari. Nous voulions fonder une famille. L’unique solution qui s’offrait à nous était l’adoption”, poursuit Maëva. Commence alors pour ce couple un long parcours du combattant. Première démarche, la demande d’agrément. “Les familles nous font part de leur désir d’adopter par courrier. Nous les rencontrons pour leur expliquer la procédure, les informer sur le nombre de familles en attente et celui des enfants adoptables”, explique Marie-Thérèse Huet, responsable de la cellule adoption du conseil général. Après cette première entrevue, des travailleurs sociaux et des psychologues établissent des rapports. “Ils évaluent la situation sociale, familiale et matérielle. En sachant que le critère financier ne prime pas. Un couple aux revenus modestes peut tout à fait prétendre à l’adoption”, souligne Marie-Thérèse Huet. À la Réunion, le profil des familles a changé. Aujourd’hui, sur cinq demandes, trois concernent des Réunionnais, issus de toutes les classes sociales, alors que quelques années auparavant, les demandes émanaient essentiellement de familles métropolitaines, aisées, installées dans l’île. Les comptes-rendus rédigés, la commission d’agrément se réunit, les consulte et décide d’accorder ou non le précieux sésame. Selon les données du conseil général, très peu sont refusés. Sur les 50 dossiers examinés en 2006, seuls huit ont été rejetés. Quatre ont fait appel à un recours gracieux, deux ont finalement obtenu un avis favorable. Maëva se souvient du jour où elle a appris que son agrément a été accepté. “On a ouvert une bouteille de champagne. La première étape était franchie. Mais on savait que le plus difficile restait à venir”. Problème de l’offre et de la demande Si l’obtention de l’agrément ne prend “que” neuf mois, le plus long reste l’attente d’un enfant adoptable. Le problème, pour parler en termes économiques, est celui de l’offre et de la demande. Actuellement, 150 familles peuvent prétendre à l’adoption. L’année dernière, le conseil général a reçu 96 nouvelles demandes. Or, sur les 77 pupilles de l’Etat recensés en 2006, seulement une dizaine a fait l’objet d’un projet d’adoption. “Les autres sont soit déjà âgés, soit membres d’une fratrie, soit des enfants malades ou handicapés”, précise Marie-Thérèse Huet. Autrement dit, des enfants difficilement adoptables (lire par ailleurs). Il y a quelques années, la tendance était inversée. En 2000, 22 bébés sont nés sous X. Ce qui augmentait les chances d’adoption et diminuait le temps d’attente. “Le nombre de pupilles diminue, ce qui est une bonne chose en soit, et signifie que les mères se prennent mieux en charge”, note Madame Huet. Certes, mais cela réduit les possibilités d’adoption de Réunionnais. Or, ils constituent la majorité de la demande des parents adoptants. Face au manque d’enfants adoptables, certaines personnes se tournent vers les pays étrangers (Madagascar pour la plupart). Deux cas de figures se présentent : soit elles font appel à l’agence française de l’adoption, soit elles prennent contact directement auprès des orphelinats. Adopter hors de la France n’accélère pas forcément la procédure. Là aussi, le nombre d’enfants “disponibles” pour une adoption entre en ligne de compte. “L’agence française ne dispose pas d’une baguette magique pour l’augmenter”, commente Marie-Thérèse Huet. Elle poursuit : “Le temps d’attente varie selon les cas, il peut atteindre cinq années, parfois plus. J’ai rencontré des gens qui même après ce laps de temps ne voyaient toujours rien venir.” “Pour ma part, je refusais d’adopter à la Réunion. L’île est petite, tout le monde se connaît. Je craignais que mon enfant ne retrouve trop facilement ses parents biologiques”, se souvient Maëva. “C’est pour cette raison que nous avons adopté des Haïtiennes. Cela a été long. Cinq ans. Mais aujourd’hui, j’ai réalisé mon rêve : j’ai une famille.” Textes et photos : Gabrielle Boyer (*) prénom d’emprunt. Que deviennent les enfants non adoptés ? La majorité des demandes d’adoption concernent des couples qui n’ont jamais eu d’enfants et qui souhaitent accueillir des bébés de moins de deux ans. Pour les autres, l’adoption n’est pas impossible, mais devient difficile et la plupart sont confiés à des assistantes familiales. Dans le cas d’enfants trop âgés, malades ou handicapés, les chances d’adoptions sont minces. “Quand nous ne leur trouvons pas de famille à la Réunion, on prend contact avec d’autres départements qui font le nécessaire”, relate Marie-Thérèse Huet. Grâce à ce procédé, l’année dernière trois Réunionnais se sont envolés pour la métropole pour être adoptés par des métropolitains.
Cette page a été imprimée à partir de l'adresse : http://www.clicanoo.com/index.php?page=article&id_article=172084
Chasse Rabetsaroana tire la sonnette d’alarme
- par Moïse
Chasse | Rabetsaroana tire la sonnette d’alarme |
|  | Sylvain Rabetsaroana face à la presse, hier. | Le sénateur Sylvain Rabetsaroana, président du groupe parlementaire génération entrepreneurs (Gpge), réclame une réglementation stricte de la chasse à Madagascar. Le président du Gpge attire l'attention de l'opinion en évoquant, éléments à l'appui, ce qui se passe dans le nord-ouest de l'île. «Des étrangers viennent chasser nos oiseaux sans autorisation. J'ai des preuves que certains d'entre eux tuent près de 500 gibiers en une semaine», a-t-il déploré hier à Anosy, entouré de quelques parlementaires de son groupe. «Ce qui se passe actuellement est navrant», a déclaré le sénateur Sylvain Rabetsaroana. «Le tourisme, la surveillance des frontières ou encore la sécurité sont tous concernés par le phénomène», a-t-il poursuivi. Le sénateur Sylvain Rabetsaroana soulève la question de la valorisation de la faune. «Partout ailleurs, les chasseurs paient une taxe en fonction du nombre de gibiers abattus. Ce qui ne semble pas encore le cas chez nous, alors que les chasseurs revendent leurs prises, une fois arrivés chez eux», a-t-il encore ajouté. Le président du Gpge soulève quelques problèmes collatéraux derrière ces actes. «Ces étrangers arrivent directement chez nous par des aéronefs. Ils repartent avec les gibiers de la même façon, posant la question relative à la garde des frontières», a-t-il souligné. Enfin, le parlementaire s'interroge sur le sort des munitions utilisées lors de la chasse. «La réglementation est stricte à Madagascar, ne procurant que 100 cartouches pour chaque arme. Or, ces étrangers amènent un nombre incalculable de munitions. Je me demande où va le reste de leurs cartouches après la chasse?», s'est-il demandé. | Iloniaina Alain Date : 22-12-2007 |
Recherche Cinq inventions en bioénergie
- par Moïse
Recherche | Cinq inventions en bioénergie |
| La démocratisation de l'énergie renouvelable ne cesse de gagner du terrain. Cinq groupes de chercheurs ont été recompensés pour avoir trouvé chacun une alternative permettant de résoudre les problèmes quotidiens de la population. Chaque équipe a gagné la somme de 3 millions ariary. La vulgarisation de leurs inventions est encore à étudier. Les lauréats sont des membres d'associations, des enseignants-chercheurs et des étudiants. Parmi les produits de leurs recherches figurent un réchaud utilisant comme combustible l'huile de Jatropha (kinana), une mini-centrale hydroélectrique fonctionnant à l'eau de rivière, des savons et des bougies fabriquées à partir du Jatropha pour l'éclairage des ménages. Seule l'énergie solaire est absente. «Dans un premier temps, nous souhaitons que la couche défavorisée profite de nos inventions», déclare Alexis Andriamahazonilaina, membre de l'association Eco-regional initiative program à Fianarantsoa. Coups de main et récompenses «Les chercheurs malgaches ont besoin de coups de main et de récompenses pour se sentir encouragés à participer activement au développement du pays», déclare Fenosoa Andriamahenina, directeur de la fondation Tany meva, lors de la remise, mercredi, des primes aux cinq lauréats du concours. «Notre objectif est de donner de la valeur aux travaux de recherche», poursuit-il. Pour le moment, les responsables des centres de recherche se plaignent du manque de valeur accordée aux inventions. | Stéphane Solofonandrasana Date : 22-12-2007 |
Devises Une réserve d'un milliard de dollars à la Banque centrale
- par moise44
Devises | Une réserve d'un milliard de dollars à la Banque centrale | La réserve en devises de l'Etat a les reins solides. C'est ce qui a ressorti du conseil d'administration de la Banque centrale tenu à Mahajanga. |  | Le conseil d'administration de la Banque centrale avec le gouverneur, Frédéric Rasamoely (au centre). | L'économie malgache se porte bien. Pour preuve, la réserve en devises à la Banque centrale de Madagascar atteint le chiffre d'un milliard de dollars. Tel est le rapport de son conseil d'administration hier à Mahajanga, clôturant par la même occasion sa session pour l'année 2007. Le conseil s'est réuni mercredi 19 décembre au siège local de la Banque centrale en présence du gouverneur Frédéric Rasamoely ainsi que les différents membres du conseil. Ils ont tenu à ce que le Président Marc Ravalomanana assiste au point de presse qu'ils ont donné. Le ministre des Finances, Haja Nirina Razafinjatovo y a également été présent. « Cette réserve en devises, d'importance capitale pour Madagascar, représente une marque de confiance de la part des bailleurs de fonds et des opérateurs. Peu de pays arrivent à atteindre ce seuil d'un milliard de dollars de réserve en devises », a souligné le chef de l'Etat. Croissance de 6,3% «En 2001, quand j'étais maire de la capitale, le chiffre maximum était de 240 millions de dollars», a-t-il rappelé. Le ministre des Finances, quant à lui, a mentionné une prévision optimiste pour la croissance économique. «C'est bon signe. La croissance économique est actuellement passée de 3,5 à 6,3% pour cette année 2007», a expliqué Haja Nirina Razafinjatovo. En outre, le ministre a tenu à confirmer que le Fonds monétaire international (FMI) continue ses pourparlers avec Madagascar, contrairement à certaines allégations. «Le FMI travaille étroitement avec Madagascar. L'échange de documents avec le gouvernement, depuis mercredi 19 décembre, le confirme», a précisé le ministre. | Vero Andrianarisoa Date : 21-12-2007 |
Madagascar la derniere épreuve du Windsurf Challenge 2007
- par moise44 http://www.u-ride.net/modules.php?name=News&file=article&sid=2858
la nouvelle loi sur les investissements : la possibilité d’accès à la propriété foncière pour les investisseurs étrangers
- par moise44
Assemblée nationale | Une loi pour attirer les investisseurs | Les députés ont approuvé à l’unanimité et sans amendement la nouvelle loi sur les investissements. Elle prévoit de nombreuses mesures comme la possibilité d’accès à la propriété foncière pour les investisseurs étrangers. |  | Le ministre Ivohasina Razafimahefa (à g.) et le DG de l’EDBM Prega Ramsamy en conversation avec le député Leriva Manahirana (à dr.). | Comme une lettre à la poste. La nouvelle loi sur les investissements est adoptée à l'unanimité par les députés. Voila donc une étape de franchie pour cette loi très attendue par les opérateurs économiques tant locaux que résidant à l'étranger. Après plusieurs mois d'élaboration et des dizaines de consultations, le texte est approuvé par les députés. Soutenue par un bataillon entier de ministres et de techniciens, la loi passe sans amendements à la Chambre basse. Elle constitue l'un des outils de choc du gouvernement, dans le cadre de l'appel aux investisseurs. En optant pour une économie d'ouverture, le pays se doit d'accroître sa compétitivité et saisir toutes les opportunités commerciales. «L'élaboration de cette loi est motivée par la volonté du gouvernement de mettre en place un climat des affaires incitatif et favorable aux investissements», fait savoir Ivohasina Razafimahefa, ministre de l'Economie, du commerce et de l'industrie lors de la présentation de la loi aux députés. «Pour cela, il est nécessaire de lever tous les obstacles et les blocages ne permettant pas les opérateurs économiques d'oeuvrer convenablement», continue-t-il. Le but consiste surtout à renforcer de manière significative la compétitivité des entreprises déja installées sur le territoire. Rôle stratégique pour l’EDBM La loi prévoit, entre autres, plusieurs clauses de facilitations tant au niveau administratif que fiscal. Les procédures d'accès aux propriétés foncières ont été relativement allégées. La délivrance de visa et d'autorisation d'emploi a également été facilitée. Un autre type de visa, dit professionnel est de même instauré. Il a une durée de validité de trois ans. Le gouvernement s'engage, par ailleurs, avec cette loi à assurer la pérennisation d'un environnement fiscal plus attrayant. Le ministre Ivohasina Razafimahefa explique que la réforme de la fiscalité s'intègre dans cette optique. Avec l'effectivité de l'Economic development board of Madagascar (EDBM), le gouvernement prévoit une grande affluence au niveau des investissements. L'EDBM constitue le centre névralgique de toutes les activités de promotion des investissements. Succédant au Guichet unique des investissements et de développement des entreprises (Guide), l'EDBM acquiert une toute nouvelle dimension avec cette loi. Cette dernière met en exergue toutes ses nouvelles attributions. Cette structure, rattachée directement à la Présidence de la République, est dotée de pouvoir exceptionnel. Elle est en mesure d'octroyer des visas, de délivrer des autorisations d'acquisistion de terrains, ainsi que des attestations pour les entreprises franches. Pour être effective, la loi devra encore être examinée et approuvée par les sénateurs et avalisée par le Président de la République.
Encadré 1 Les objectifs de la nouvelle réglementation - Instaurer un cadre incitatif à la réalisation des investissements - Mettre les investisseurs nationaux et étrangers sur un même pied d'égalité - Simplifier les procédures administratives - Renforcer la compétitivité des entreprises installées à Madagascar - Permettre l'accès aux propriétés foncières pour les sociétés de droit malgache qu'elles soient ou non contrôlées par des intérêts étrangers.
Encadré 2 Deux ans de préparation L’élaboration de la loi sur les investissements et celle de la zone franche a débuté il y a deux ans. En effet, c’est en 2005 qu’une unité rattachée à la Présidence de la République, travaillant sous la direction de Prega Ramsamy, le directeur exécutif de l’Economic Development Board (EDBM), alors conseiller spécial du Président Ravalomanana commence à plancher sur la question. L’initiative de revoir les textes couvrant les investissements et la zone franche fait suite à l'insistance des bailleurs de fonds, plus particulièrement le Fonds monétaire international (FMI). Pendant plusieurs mois, les deux projets de loi ont fait l’objet de consultations avec le secteur privé, la société civile et le secteur public avant d’être approuvés par le conseil des ministres en 2006. | Doda Andrianantenaina Date : 20-12-2007 |
Huit pays africains s'unissent pour prévenir cyclones et inondations
- par moise44 LIRE LA SUITE DANS LE JOURNAL LE MONDE http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-33649455@7-50,0.html
Football : SuperCoupe de Madagascar Ajesaia prend de l’envergure !
- par moise44 Football : SuperCoupe de Madagascar Ajesaia prend de l’envergure !
Madagascar: plus de fusil en plastique sous l'arbre de Noël
- par moise44 Madagascar: plus de fusil en plastique sous l'arbre de Noël | | | 17-12-2007 | Le Père Noël n'amènera pas de jouets «de guerre» cette année à Madagascar. Ainsi en a décidé le Service des opérations auprès de l'Etat-major militaire et policier en bloquant les importations. Ce Service a bloqué les importations, la vente et l'achat de gadgets qui imitent le matériel militaire, comme les fusils, les pistolets ou les uniformes. Les forces de l'ordre elles-mêmes ont été trompées par de faux Kalachnikov achetés au supermarché, précise le Service, qui ajoute que «de toute façon, l'imitation d'une arme n'est pas un cadeau approprié pour un enfant». Ces derniers temps, certains délinquants ont utilisé ce type de jouet pour commettre de véritables infractions. Près de 300 personnes, dont une soixantaine de commerçants, ont été interrogées par la police dans le cadre de l'application de cette nouvelle mesure. |
SOURCE : http://www.bonnenouvelle.ch/20071217230/breves/madagascar-plus-de-fusil-en-plastique-sous-larbre-de-noel.html
|
|
 |
|
 |
 |
CONTACT DIRECT |
 |
|
Tel DIRECT
032 48 108 33
ou depuis La FRANCE
00 261 30 48 108 33
VOTRE INTERLOCUTEUR UNIQUE
POUR VOTRE VOYAGE

AHAONA MADAGASCAR
|
|
 |
|
 |
|
CONTACT DIRECT |
Tel DIRECT
032 48 108 33
ou depuis La FRANCE
00 261 30 48 108 33
VOTRE INTERLOCUTEUR UNIQUE
POUR VOTRE VOYAGE

AHAONA MADAGASCAR
|
|
|