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Votre grand Voyage à Madagascar
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Banques De nouveaux distributeurs automatiques à Tana
- par Moïse
Banques | De nouveaux distributeurs automatiques à Tana |
| Un soulagement pour les clients des banques locales. Le nombre des distributeurs automatiques de billets (Dab) augmente sensiblement dans la capitale. Mieux, ces infrastructures commencent à se délocaliser vers la périphérie de la Capitale. C'est le cas des guichets de la Bfv-Sg qui a ouvert de nombreuses agences aux 67ha et dans les zones périphériques comme Itaosy. Elle a également augmenté le nombre de ses Dab dans les quartiers où de longues queues se voient, comme à Ampefiloha. Les autres banques ne sont pas en reste comme Bni Madagascar qui vient d'ouvrir un nouveau Dab à Antaninarenina, près du ministère des Finances et du budget. L'ouverture de ces outils modernes pour retirer de l'argent constitue un indicateur de la performance d'une banque ainsi que de sa politique dans l'amélioration de ses services. Il faut dire que la concurrence est particulièrement forte dans le secteur, un des plus florissants dans la Grande île. | Mahefa Rakotomalala Date : 14-01-2008 |
Stylisme Mialy Seheno présente sa nouvelle collection
- par Moïse
Stylisme | Mialy Seheno présente sa nouvelle collection |
|  | La styliste Mialy Seheno aime « redéfinir » les tissus. | «Démontrer au monde entier, à travers les créations, la grande potentialité de Madagascar en terme d'imagination et en matières premières». Telle a toujours été l'ambition de la styliste Mialy Seheno. Depuis 10 ans, elle a représenté la Grande île à travers de manifestations en Europe, dans la zone océan Indien et à Singapour. Ce soir à 19 heures, Mialy Seheno présente sa nouvelle collection à l'hôtel Carlton, où par ses modèles, elle redéfinit les matières, en premier lieu la soie sauvage qu’elle combine soigneusement avec des tissus plus épais comme le jeans, le velours, etc. Ses œuvres sont marquées par l’utilisation de toutes les couleurs et les divers tons en tenant compte de l’évolution des mœurs dans le monde. A l’heure actuelle, Mialy Seheno évolue à Lyon, en France, où elle y a ouvert sa propre boutique «La soie en soi». Mais son passage dans le pays depuis quelques semaines correspond à une ambition d’ouvrir à Madagascar son propre atelier de création. « C’est dans le but de se rapprocher des matières premières et aussi de donner un plateau d'expression aux créateurs locaux », souligne-t-elle. A part sa richesse naturelle, Madagascar est un pays possédant des ressources conssidérables pour améliorer la productivité inspiratrice des jeunes talents dans le monde de la mode. C'est aussi un berceau d'idées pour la meilleure promotion des activités culturelles. | Juliano Randrianja Date : 12-01-2008 |
Tourisme sexuel Mahajanga prend des mesures
- par Moïse
Tourisme sexuel | Mahajanga prend des mesures | La lutte contre l'explotation sexuelle des enfants se trouve au centre des préoccupations des autorités majungaises. Il s'agit de prévenir avant que le mal sévisse. |  | Le chef de la police judiciaire, Damy Talily (à g.), a intervenu au cours de la réunion du comité de lutte contre le tourisme sexuel. | Le tourisme sexuel et l'exploitation sexuelle sur les enfants prennent de l'ampleur à Mahajanga. Conscient du danger menaçant, un comité ad hoc met en place des activités de prévention pour lutter contre le fléau. Ainsi, mercredi après-midi, les membres de ce comité présidé par le chef de région, Guy Doslain Arvely, avec le directeur du Tourisme, Virginie Razafindravola, ainsi que le commissaire Damy Talily, chef de la Police judiciaire, ont réuni les gérants et les responsables des différents hôtels, cybercafés, bars, boîtes de nuit et restaurants à la Maison de la Culture. Chaque intervenant n'a pas manqué de rappeler que les enfants de Mahajanga sont en danger. Il est vrai que le cas de cette côtière ressemble de loin à celui de Taolagnaro et de Nosy be, mais les responsables préfèrent «prévenir que guérir». Le procureur, présent à cette réunion, a surtout rappelé les dispositions pénales sur le tourisme sexuel et l'exploitation sexuelle des mineurs. «Cette réunion est une action de sensibilisation, d'information et de rappel des lois. Les réceptionnistes pourront être accusés de complicité avec le touriste sexuel, s'ils acceptent, favorisent ou tolèrent l'entrée des mineurs dans les chambres avec les clients», explique-t-il. Les activités de prévention s'étaleront sur 45 jours, mais elles seront toujours effectives tout au long de l'année. Elles s'accompagneront de mesures de répression. Tout comme les cas des chambres d'hôtel ou des bars, les gérants de cyber devront effectuer un contrôle strict sur le site sur lequel le client (mineur) surfe. Le directeur du Tourisme a ainsi dénoncé des cas de mineurs surfant sur des sites pornographiques ou regardant des films X. Ou encore des travailleuses du sexe encore adolescentes occupant les chambres d'hôtel. L'accès des boîtes de nuit est réservé exclusivement aux personnes de plus de 18 ans. Pédophilie Le juge des enfants, Lolita Tiandrazana, quant à elle, a été même très sévère. Elle qualifie le tourisme sexuel, ou exploitation sexuelle, de culture de sexe autorisée par les parents même des victimes. Ainsi les parents consentants, les éducateurs ou même les dirigeants religieux pris en flagrant délit seront sévèrement punis. «La loi prévoit une amende et une peine très dures. Des travaux forcés attendent les auteurs de ces délits», ajoute le juge. Le chef de la police judiciaire, Damy Talily, a révélé qu'à la suite d'une patrouille effectuée, deux personnes ont été surprises en flagrant délit , au bord de la mer samedi tard dans la nuit. «Ces personnes appréhendées sont des Malgaches. Les étrangers ne sont pas les seuls auteurs de ces actes. Une autre patrouille sera effectuée ce week-end», prévient le commissaire. Pour le chef de la police judiciaire, il faut surtout dénoncer ceux qui sont sous l'emprise de ce fléau. Les statistiques font état de 75 cas de détournement de mineur en 2007 à Mahajanga contre, une dizaine cas de viols et autant de proxenétisme et d'attentat à la pudeur. Un cas de pédophilie a également été évoqué, l'année précédente. Actuellement, un projet de loi est débattu à l'Assemblée nationale et au Sénat concernant l'exploitation sexuelle des mineurs, ainsi que le tourisme sexuel. | Vero Andrianarisoa Date : 11-01-2008 |
«Exporter le patrimoine génétique peut être dangereux»
- par Moïse
Questions à… Lydie Raharimaniraka | «Exporter le patrimoine génétique peut être dangereux» | Le directeur de la valorisation des ressources naturelles au ministère de l'Environnement parle des problèmes de conservation des richesses naturelles. | • En quoi consiste la valorisation des ressources naturelles ? - D'abord, il importe de rappeler que Madagascar figure parmi les 15 pays au monde à mégadiversité, classé au septième rang. Notre rôle consiste donc à éclairer les esprits en facilitant la tâche de tous ceux qui doivent avoir accès aux ressources naturelles. Il faut que toute la chaîne trouve du profit dans leur exploitation. • En réalité, c'est plutôt le contraire qui se produit. - L'ignorance est à l'origine de tout cela. Les gens connaissent mal la valeur de tout ce qui existe dans leur entourage. C'est pourquoi ils continuent de détruire massivement la biodiversité. Or, nous savons que chaque espèce possède sa propre vertu. • Outre les facteurs anthropiques, quelles sont les autres menaces pesant sur notre biodiversité ? - Mis à part le trafic perpétré par certains touristes et nationaux, une autre difficulté mérite d'être soulevée. L'exportation de notre patrimoine génétique constitue une menace grave pour nos richesses naturelles. Son commerce doit se limiter aux plantules qui peuvent se vendre en quantités énormes. Il faut arrêter de commercialiser les graines. Le risque d'importer certaines espèces peut arriver faute de solutions idoines. • Quels sont les problèmes cruciaux dans l'accomplissement de votre mission ? - La volonté de financer les recherches fait défaut à Madagascar. Pourtant, c'est le meilleur moyen pour améliorer la qualité et la quantité de nos ressources naturelles. Par ailleurs, les chercheurs et le secteur privé ne collaborent pratiquement pas. Un autre problème, moins important, a trait au matériel. Nos aéroports, dont celui d'Ivato, manquent de scanner organique permettant de faciliter les contrôles. • Quelles solutions proposez-vous ? - La réactualisation des lois doit passer au premier plan dans la valorisation des ressources naturelles. Nombre d'entre elles ne sont plus adaptées à la réalité. Par contre, la répression demeure insuffisante. Il faut que la communication soit favorisée dans la protection et la promotion de nos richesses. Propos recueillis par | Stéphane Solofonandrasana Date : 10-01-2008 |
Poésie Nanando sort un premier recueil
- par Moïse
Poésie | Nanando sort un premier recueil | Ando Tiaray Ravaonoronjanahary est l'une des plus jeunes poètes ayant débuté dans les années collèges. A 21 ans, elle sort « Andom-pahatsiarovana ». | Elle a écrit quelques poèmes depuis l'âge de 11 ans au collège. Nanando « Tsikirity momba fody » sort de son nid avec quelque 90 poèmes qui ont marqué son dixième anniversaire en tant que poètesse. Surpris par son talent, ses amis de classe, en quatrième, l'ont d’abord jugé avec septicisme. Curieuse et passionnée de poésie, Nanando est une autodidacte talentueuse. Connectée avec son entourage, la jeune poétesse puise son inspiration dans la vie quotidienne des gens. « Je suis un poète qui écrit pour encourager les gens dans leurs malheurs, contre la crainte et l'appréhension ou encore face aux obstacles engendrés par la vie quotidienne de mes compatriotes » affirme-t-elle. Nanando, son pseudonyme, tiré de Ando (rosée), est selon elle la goutte d'eau pour arroser les fleurs fanées dans les zones désertiques, une sorte de bonne parole qui peut ranimer le courage des personnes en détresse devant les difficultés de la vie. Parcours difficile « En fait, mon style perssonnel diverge de toutes les catégories d'écriture. Je ne suis pas un poète obnubilé par des thèmes précis », explique-t-elle. Quelques extraits de son ouvrage reflètent ces propos, comme Andon'ny maraina (Rosée du matin), Antso (Appel), ou Voasoratro ianao (Je t'écris), où l'artiste expose tout son talent dans la description des attitudes comportementales des hommes. « Je suis inspirée surtout dans la tristesse Quand j'écoute une chanson qui m'a marqué, je me mets tout de suite au travail selon mon aingam-panahy (feeling) », confie-t-elle. Toutefois, cette jeune artiste avoue avoir rencontré quelques obstacles avant la parution de son livre. « De nos jours, il est un peu difficile de ménager une carrière d'écrivain. Il faut beaucoup d'argent pour éditer un recueil de poésie de ce genre ». Elle a dû s'autoproduire pour arriver à ses fins. « Il y a beaucoup de poètes de talent qui souhaitent sortir leurs oeuvres, mais cela est cher et parfois non rentable », note Ando Tiaray Ravaonoronjanahary Nanando. Membre du cercle Havatsa Upem (Association des poètes et écrivains malgaches) depuis 2003, l'écrivain a réalisé son rêve d'enfance en s'inscrivant dans les annales des poètes (re)connus. | Juliano Randrianja Date : 10-01-2008 |
Agriculture Début de la récolte du riz précoce
- par Moïse
Agriculture | Début de la récolte du riz précoce |
| La récolte du riz régulateur débute à Antananarivo. Depuis quelques semaines, les rizières du Betsimitatatra et des localités voisines de la capitale commencent à prendre la couleur jaune, annonciatrice de l'approche du temps de moisson du riz précoce, le «vary aloha». Certains riziculteurs, tels ceux d'Ambohibao et de Fenoarivo-Alakamisy, ont même commencé à le faire et prévoient une production satisfaisante due à une pluviométrie suffisante. «Le retard de la pluie a surtout influé sur le repiquage du riz, qui aurait dû se faire en décembre. Le riz précoce a béneficié des conditions favorables de l'irrigation par la Sisaony ou l'Ikopa», explique un technicien de la direction régionale du développement rural d'Antananarivo. La grande période de la récolte du riz précoce se situe à la fin de janvier. En fait, le «vary aloha» est une sorte de riziculture irriguée, pratiquée dans les zones traversées par des rivières. Comme la période de la moisson se situe en pleine saison des pluies, elle sert surtout à atténuer la période de soudure en attendant la grande récolte qui débute au mois de mai. | Mahefa Rakotomalala Date : 09-01-2008 |
Télécommunication Le backbone arrive à Ambalavao
- par Moïse
Télécommunication | Le backbone arrive à Ambalavao |
| Le déploiement du réseau national de la fibre optique se poursuit. Le backbone a atteint Ambalavao et poursuit sa route vers Toliara. Après la connexion de la ville d'Antananarivo avec Toamasina, le réseau s'est implanté sur la Route nationale 7. Selon les informations fournies par la société Telma, maître d'oeuvre du projet, les travaux d'installation du backbone national ont, à l'heure actuelle, dépassé la ville d'Ambalavao. Le projet constitue un investissement important puisque le coût total de sa mise en place s'élève à plus de 20 millions euros. Le schéma final formera un Y, avec une liaison entre Antananarivo et Mahajanga. L'ensemble du réseau totalisera près de 2 000 kilomètres de fibre optique. Le point focal de l'implantation du réseau réside dans sa contribution au désenclavement des régions reculées. Il se fera avec la technologie Wi-max et par le réseau de faisceaux hertziens. Au terme du projet, presque toutes les communes de Madagascar seront connectées entre elles. En parallèle, Madagascar s'offre l'alternative d'une connexion avec la Réunion. Le ministère des Télécommunications, des postes et de la communication a récemment signé le lancement des études de faisabilité d'une connexion avec l' île. Le South Africa far eastern via la Réunion est aujourd'hui une option pour pallier toute éventualité de problème de connexion. La liaison s'avère moins coûteuse et plus facile à installer. Théoriquement, elle peut se réaliser en six mois pour 15 millions euros. | Doda Andrianantenaina Date : 05-01-2008 |
Approvisionnement De nombreux quartiers privés d’eau
- par Moïse
Approvisionnement | De nombreux quartiers privés d’eau | Quelques quartiers de la capitale ont subi leur première journée de coupure d'eau et d'électricité. Les difficultés commencent dans plusieurs foyers. | Panique à Ambohimanarina, Andavamamba et Analamahitsy. Ces quartiers figurent parmi les premiers à vivre une journée sans eau et une nuit sans électricité. Du moins aux bornes fontaines et sur les voies publiques. Alertée par les nouvelles publiées dans les journaux de la capitale, une mère de famille a accouru de bon matin pour puiser de l'eau à une borne fontaine de son quartier à Andavamamba. Aucune goutte d'eau n'en est tombée. «Je n'ai jamais imaginé que la Jirama puisse vraiment nous priver de cette ressource indispensable», se lamente-t-elle. Comme elle, beaucoup de ses voisins ont dû trouver d'autres points d'eau où s'approvisionner pour la journée. Perturbations Dans certains quartiers du sixième arrondissement, les habitants ont subi le même sort. Trouver une borne fontaine qui fonctionne, leur a pris quelques heures. « En dernier recours, nous avons profité de la pluie qui est tombée pour nous fournir un demi-seau d'eau», déclare Pâquerette Ratiarison d'Ambohimanarina, dont l'emploi du temps a été complètement perturbé. Les premières victimes «Je voulais faire la lessive ce matin, mais comme la borne fontaine ne marche pas, j'ai dû laisser mon linge tremper dans la cuvette toute la journée», précise-t-elle. Selon Andry Rajoelina, le nouveau maire de la ville, «les quartiers où il a obtenu un maximum de voix aux municipales, sont les premières victimes de la décision de la Jirama». Néanmoins, les discussions entre les deux parties ont commencé, hier. Il a rencontré, dans l'après-midi, Bernhard Rohman, directeur général de la Jirama, sans qu'aucune information n’ait filtré. | Fanja Saholiarisoa Date : 05-01-2008 |
Tourisme 344 000 visiteurs recensés
- par Moïse
Tourisme | 344 000 visiteurs recensés |
| Le bilan du secteur touristique est satisfaisant. L'année 2007 aura enregistré près de 344 000 touristes aux frontières. Cette affluence a engrangé environ 211 millions de droits de tirages spéciaux, soit environ 215 millions de dollars. Le nombre d'arrivées de touristes relevé aux frontières en 2006 était de 311 000. Une hausse de près de 11,9% a déja été enregistrée durant les six premiers mois de l'année. Les estimations pour 2007 ont tourné autour de 350 000 visiteurs. Les prescripteurs de voyages ont, aujourd'hui, du mal à trouver des chambres libres dans les grands sites touristiques. L'axe Sud, Nosy Be, Sainte Marie, Tolagnaro et Mahajanga sont actuellement les destinations les plus courues. | Doda Andrianantenaina Date : 05-01-2008 |
Distinction La France décore Père Pedro
- par moise44
Distinction | La France décore Père Pedro |
| La France, par l'intermédiaire de son ambassadeur Alain Le Roy, à la veille de son départ définitif de Madagascar, a décoré le père Pedro Opeka au grade de chevalier de la Légion d'honneur. «Je suis très heureux que mon dernier acte à Madagascar, en tant qu'ambassadeur, est de décorer, au nom de la France, le père Pedro Opeka pour le travail qu'il a accompli», a-t-il déclaré, hier, à la Résidence de France, à Ivandry. La cérémonie s'est déroulée en présence de quelques membres de quelques membres du corps diplomatique et de l'association Akamasoa et de certains partenaires du centre. Alain Le Roy voit en Père Pedro la «vocation à servir Madagascar», en énumérant une partie des actions réalisées par le prêtre argentin, arrivé dans la Grande île en 1970. «Akamasoa, l'association qu'il a fondée, a fait des enfants de la rue des élèves dignes», a-t-il souligné. Il met ainsi en exergue le taux, supérieur à la moyenne nationale, de réussite aux examens des élèves d'Akamasoa. Et rien que dans le cadre de l'association, Père Pedro a aidé 300 000 personnes, en 19 ans. Pour sa part, Jean Louis Robinson, ministre de la Santé et du planning familial se dit «fier que le grand chevalier de la protection sociale soit décoré». Il a également promis d'essayer d'étendre la coopération entre Akamasoa et les autorités. En évoquant ses propres expériences à Andralanitra, Père Pedro a voulu démontrer la possibilité de lutter contre la pauvreté. Pour ce faire, il prône la création d'emplois pour les jeunes. | Iloniaina Alain Date : 03-01-2008 |
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