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RADIO Toamasina Réouverture des radios Rft et Sky Fm
- par Moïse
Toamasina | Réouverture des radios Rft et Sky Fm | Le ministre Bruno Andriantavison a annoncé, hier, à Toamasina la réouverture des deux radios privées faisant l'objet de sanctions. |  | Bruno Andriantavison, ministre de la Communication, au devant de l’actualité ces derniers jours. | L'Etat autorise les deux radios privées qui faisaient l'objet d'une décision de fermeture à émettre de nouveau. Il se rattrape quelques jours après la mesure de suspension à l'encontre de l'émission quotidienne «Karajia» sur les ondes de la Radio Don Bosco (Rdb). Le président de la République Marc Ravalomanana en personne s'est adressé aux professionnels ainsi qu'aux propriétaires des stations de radio privées, hier à Toamasina, à propos de la conduite à tenir afin de mettre en place une collaboration avec l'Etat. Selon le président de la République, les sanctions seront ainsi levées pour les radios privées qui manifestent leur volonté de collaborer avec l'Etat. Par contre, l'autorité de tutelle n'hésite pas à pénaliser celles qui ne respectent pas les réglementations en vigueur. «Les radios privées qui violent encore les règles de jeu sont passibles de refermeture», a déclaré Marc Ravalomanana, hier, à Toamasina. Une occasion pour le chef d'Etat d'évoquer l'importance de l'ordre ainsi que la tranquillité publics. Il a lancé un appel au professionnalisme des journalistes et animateurs d'antenne afin qu'ils maîtrisent bien leur travail. Il a fait allusion au motif de la récente suspension de l'émission «Karajia». Atteinte à l’ordre public De son côté, le ministre des Télécommunications, des postes et de la communication (Mtpc), Bruno Andriantavison, a annoncé tout de suite après la réouverture de la Radio Feon'i Toamasina (Rft) lors d'une séance de travail avec les professionnels des médias de Toamasina. «La décision de réouverture de Rft a été prise ce jour tandis que celle de Sky Fm avait été officialisée il y trois semaines», a-t-il expliqué. La radio Rft appartenant à l'ancien ministre d'Albert Zafy, Fulgence Fanony, et la radio Sky Fm de l'ancien maire de Toamasina, Roland Ratsiraka, avaient dû arrêter leur émission en 2005. La raison de leur fermeture concerne l'atteinte à l'ordre public. Les propos des dirigeants de l'opposition sur les ondes de ces radios étaient à l'origine de la sanction. | Fano Rakotondrazaka Date : 22-01-2008 |
MUSIQUE MALGACHE Malagasy all stars Malagasy all stars
- par Moïse
Malagasy all stars | | Les cinq membres de Malagasy all stars, Eric Manana, Dama, Fenoamby, Justin Valiha, Régis Gizavo, se trouvent actuellement au pays pour enregistrer leur premier album « Keep Masoala ». Un opus sous le signe de la tradition et de l’amitié, destiné à mieux faire résonner la musique malgache à travers le monde. |  | Un instant de rigolade entre Fenoamby, Régis Gizavo et Eric Manana avant une prise de son au studio Mars. | Fenoamby : « Une affaire de cœur » Marius Fontaine, alias Fenoamby, aux kabôsy, chants et percussions, participe à l’aventure de Keep Masoala à travers trois titres : Halako, Hoala are, et un inédit Hidôla za niany. Pour lui, Malagasy all stars est d’évidence une affaire de cœur : « Je suis venu spécialement au pays pour enregistrer cet album, même si j’aurais dû rester à Paris pour quelques concerts. Malagasy all stars est très important pour moi, comme pour nous tous, car il s’agit de la promotion de notre culture à travers le monde ». Fenoamby se définit comme un humaniste. A la façon de Bonno (U2), il aime servir les grandes causes. «Pour moi, la musique est ce qui met les gens de bonne humeur et leur permet de supporter leur quotidien pas toujours facile. Notre but consiste à diffuser des messages positifs pour pouvoir espérer en un monde meilleur, sans armes et sans larmes. »
Régis Gizavo : « Aussi bien que les autres… » « Malaso » est l'un des trois titres que l’accordéoniste Régis Gizavo a composé pour Malagasy all stars, mais il en partage l’interprétation avec Eric Manana, « pour pimenter un peu les choses », note-t-il. Pour lui, Malagasy All stars est d’abord un concept de musique tourné vers l’international, avec l’ambition raisonnable de faire au moins aussi bien que les autres, en raison des moyens techniques mis à la disposition des membres. «Pour cette fois, la diaspora malgache n'est pas notre seule cible. Nous apportons chacun les sons et la culture de nos régions d'origine pour les faire retentir dans le monde » L’alchimie particulière se revèle dans le fait que les membres de Malagasy all stars se connaissent bien. « On a tous l'habitude de faire des tournées avec des artistes venus d'horizons différents, mais ici on est entre nous, c’est comme une famille. C’est ainsi qu’on peut espérer atteindre la perfection ».
Eric Manana (Lôlô) : « La musique malgache existe à l’étranger » Eric Manana est l'un des ambassadeurs de la musique folk des Hautes terres. Il a fait ses débuts avec le groupe Lôlô sy ny tariny. Résidant en France depuis 2000, il apporte en tant que guitariste et chanteur sa touche bàgasy aux Malagasy all stars. Le groupe s’est fait connaître en 2003 à travers de grandes tournées européennes : Festival de Brighton en Angleterre, Festival des Musiques métisses à Angoulème, plus quelques incursions en Allemagne en 2006. «Il y a beaucoup de demandes en Europe pour la musique malgache, c'est aussi la raison pour laquelle on s’est arrimés à ce projet, précise-t-il. On a choisi d'enregistrer Keep Masoala (garder le cap) au pays, car ici on est moins débordés par le boulot. On peut prendre son temps, jouer plus décontracté » Il faut dire que les cinq gros calibres de la chanson traditionnelle malgache ont eu bien du mal à se retrouver ensemble pour enregistrer, en raison de leurs emplois du temps chargés. C’est même la première fois depuis quatre ans ! Sitôt l’album en boîte, Eric repartira en France pour une autre aventure : un nouvel album avec Lôlô en avril. Mais c’est une autre histoire. | Juliano Randrianja Date : 22-01-2008 |
Le retour de la censure : Radio «Karajia» le premier de la liste....
- par Moïse
Il y a des limites à la bêtise | Les Malgaches seraient-ils si débiles qu'un simple quidam, … | un parfait inconnu de surcroît, pourrait les faire descendre dans la rue pour renverser le pouvoir et nous faire changer de république en trois minutes d'intervention téléphonique à la radio ? | A moins que le régime ne s'estime en faillite déclarée, à tel point qu'un simple appel téléphonique serait suffisant pour entraîner le pays vers le chaos. C'est la seule lecture possible d'un décret ministériel qui suspend une émission très courue qui donne de Madagascar l'image d'un pays où les citoyens ont droit à la parole et ne s'en privent pas. Il y a des limites à la bêtise | Les Malgaches seraient-ils si débiles qu'un simple quidam, … | un parfait inconnu de surcroît, pourrait les faire descendre dans la rue pour renverser le pouvoir et nous faire changer de république en trois minutes d'intervention téléphonique à la radio ? | A moins que le régime ne s'estime en faillite déclarée, à tel point qu'un simple appel téléphonique serait suffisant pour entraîner le pays vers le chaos. C'est la seule lecture possible d'un décret ministériel qui suspend une émission très courue qui donne de Madagascar l'image d'un pays où les citoyens ont droit à la parole et ne s'en privent pas. «Karajia», c'est l'émission matinale de la radio catholique Don Bosco. On y entend des vertes et des pas mûres sur le fonctionnement des services publics, sur la hausse des prix, sur les abus de toutes sortes ou les diverses petites et grandes infamies dont sont victimes Mesdames et MessieursToutlemonde. Pendant deux heures, les auditeurs dressent un tableau édifiant du comment les Malgaches vivent leur quotidien et comment ils jugent le gouvernement. Depuis plus d'un an, l'émission «Karajia»est devenu un véritable agora, un espace privilégié de rencontres que le gouvernement et chaque responsable de service public ou parapublic dont les actions et activités touchent de près à la vie des citoyens (la Jirama, par exemple) devraient religieusement écouter chaque matin. Quand on sait que les séances de questions-réponses au parlement n'intéressent quasiment personne, «Karajia» crève l'audimat et prouve à la face du monde que la démocratie directe n'est pas une inconnue à Madagascar ni la participation citoyenne à la vie nationale. Et c'est cela que veulent détruire les autorités. Le scandale est là. Et on est en droit de plaindre le ministre de la Communication. D'après ses explications, un exemple parfait de modération, il serait plus d'une fois, intervenu auprès de la RDB pour la prier de prendre les mesures adéquates pour maîtriser les auditeurs. Quand on le connaît, la décision n'a pas dû être prise de bon coeur. Certains avancent même, qu'elle lui a été imposée. On comprend un peu que la station n'ait pas écopée de la sanction suprême du politiquement incorrect, la fermeture. Certes, il y a des limites imposées par la bienséance ou le souci du bien public. La station catholique ne les a pas franchies. Mais, quand un anonyme déclare sur son antenne, qu'il faut descendre sur la place du treize mai, où est le mal ou le danger ? Le mal serait que quand un citoyen en arrive à vouloir revenir sur l'histoire, c'est que la coupe est pleine. La vérité fait toujours mal, et cela peut expliquer la chose. Mais, le retour de manivelle est autrement plus grave. En suspendant «Karajia», le gouvernement s'inflige une très mauvaise image de marque. «La démocratie l'insupporte». Mais, il y a pire. En faisant de l'affaire une montagne, le gouvernement met la puce à l'oreille. C'est comme s'il avouait que rien ne va plus, et qu'un rien, un souffle, une petite phrase, peut faire tomber le régime. Il y a des limites à la bêtise. | Mamy Nohatrarivo Date : 21-01-2008 | , c'est l'émission matinale de la radio catholique Don Bosco. On y entend des vertes et des pas mûres sur le fonctionnement des services publics, sur la hausse des prix, sur les abus de toutes sortes ou les diverses petites et grandes infamies dont sont victimes Mesdames et MessieursToutlemonde. Pendant deux heures, les auditeurs dressent un tableau édifiant du comment les Malgaches vivent leur quotidien et comment ils jugent le gouvernement. Depuis plus d'un an, l'émission «Karajia»est devenu un véritable agora, un espace privilégié de rencontres que le gouvernement et chaque responsable de service public ou parapublic dont les actions et activités touchent de près à la vie des citoyens (la Jirama, par exemple) devraient religieusement écouter chaque matin. Quand on sait que les séances de questions-réponses au parlement n'intéressent quasiment personne, «Karajia» crève l'audimat et prouve à la face du monde que la démocratie directe n'est pas une inconnue à Madagascar ni la participation citoyenne à la vie nationale. Et c'est cela que veulent détruire les autorités. Le scandale est là. Et on est en droit de plaindre le ministre de la Communication. D'après ses explications, un exemple parfait de modération, il serait plus d'une fois, intervenu auprès de la RDB pour la prier de prendre les mesures adéquates pour maîtriser les auditeurs. Quand on le connaît, la décision n'a pas dû être prise de bon coeur. Certains avancent même, qu'elle lui a été imposée. On comprend un peu que la station n'ait pas écopée de la sanction suprême du politiquement incorrect, la fermeture. Certes, il y a des limites imposées par la bienséance ou le souci du bien public. La station catholique ne les a pas franchies. Mais, quand un anonyme déclare sur son antenne, qu'il faut descendre sur la place du treize mai, où est le mal ou le danger ? Le mal serait que quand un citoyen en arrive à vouloir revenir sur l'histoire, c'est que la coupe est pleine. La vérité fait toujours mal, et cela peut expliquer la chose. Mais, le retour de manivelle est autrement plus grave. En suspendant «Karajia», le gouvernement s'inflige une très mauvaise image de marque. «La démocratie l'insupporte». Mais, il y a pire. En faisant de l'affaire une montagne, le gouvernement met la puce à l'oreille. C'est comme s'il avouait que rien ne va plus, et qu'un rien, un souffle, une petite phrase, peut faire tomber le régime. Il y a des limites à la bêtise. | Mamy Nohatrarivo Date : 21-01-2008 |
Victime d’un arrêt cardiaque à Sedan Marco Randrianantoanina des Barea échappe au pire
- par Moïse
Victime d’un arrêt cardiaque à Sedan | Marco des Barea échappe au pire | Marco Randrianantoanina, le joueur international malgache évoluant à Niort, France, a été victime d’un arrêt cardiaque vendredi à la 23e minute d’un match contre Sedan. Les pompiers ont réussi à le réanimer avec un défibrillateur cardiaque. Il est hors de danger. |  | Marco Randrianantoanina (2e à g.) avec les Barea lors du match contre la Côte d’Ivoire le 25 mars 2007 à Mahamasina. | Il l’a échappé belle. Marco Randriamanatoanina, joueur de 24 ans, défenseur des Barea évoluant à Niort, ligue 2 française, le reconnaît ; «par rapport à d’autres joueurs dernièrement, je suis en quelque sorte un miraculé, et je remercie les pompiers et tous ceux qui m’ont aidé a » a déclaré le joueur, samedi soir sur RTL, cité par Afp, « ce n’était pas mon heure », a-t-il rajouté. A la 23e minute du match de ligue 2 entre Sedan à Niort, Marco s’est tout d’un coup affalé sur la pelouse. « Jai eu un gros vertige et mal à la tête, avec l’envie de m’asseoir, je ne me sentais pas bien du tout sur le coup »a-t-il expliqué en décrivant les prémices de son arêt cardiaque.Les pompiers et services d’urgence sont intervenus directement sur le terrain utilisant un défébrillateur cardiaque pour le réanimer. Hors de danger Son cœur s’était alors remis à fonctionner. Transporté d’abord à l’hôpital de Sedan, le joueur malgache a ensuite été transféré à celui de Reims. « Aujourd’hui, tout va bien » a-t-il déclaré samedi à l’hôpital de Reims où il était en soins intensifs. Selon ses médecins, il est hors de danger. Marco a affirmé qu’il n’avait jamais eu de problème auparavant. Ancien joueur de Gueugnon, Brest et Birmingham, le Niortais devrait être hospitalisé à Paris «sûrement en début de semaine prochaine» selon sa déclaration. Il devrait subir des examens plus approfondis pour être fixé sur la suite de sa carrière. Marco Randrianantoanina avait été sélectionné pour la première fois avec son frère Claudio en équipe nationale malgache en mars 2007, lors du match éliminatoire de la CAN 2008 contre la Côte d’Ivoire à Mahamasina.
Encadré D’autres cas Plusieurs cas d’arrêts cardiaques durant un match sont survenus ces dernières années ; Le plus récent a concerné le capitaine de Motherwell en Ecosse, Phil O’Donnell, décédé le 29 décembre. Le défenseur du FC Séville Antonio Puerta, 22 ans, était lui décédé le 28 août 2007 après avoir subi plusieurs arrêts cardiaques pendant et après un match du championnat d’Esapgne. Le 26 juin 2003, le Camerounais Marc Vivien Foé, 28 ans, qui souffrait d’une hypertrophie cardiaque, s’était écroulé à Lyon, lors de la demi-finale de la Coupe des Confédérations contre la Colombie. Dans les années 70-80, le Nantais Omar Shannoun et le Bastiais Claude Papi succombaient aussi sur le champ de bataille. | Date : 21-01-2008 |
Plus que deux conseillers « vazaha » à IAVOLOHA.
- par Moïse Midi Mada 17/01/2008 Plus que deux conseillers « vazaha » - Nirina Z. Randriamalala IAVOLOHA. Des consultants étrangers issus des quatre coins de la planète et sortant tout particulièrement de Harvard, avaient gravité autour du président. Plusieurs « vazaha » avaient figuré au départ parmi le collège des conseillers du Président de la République. Le nombre de ces sherpas venus d’ailleurs a toutefois diminué au fil des ans sinon des mois. Aujourd’hui, ils ne sont plus que deux conseillers « vazaha » à travailler de près avec le chef de l’Etat. Il s’agit de l’ancien maire de Munich, le docteur Max Joachim Ensslin, conseiller économique et politique ; et de l’Américain Dean Williams, professeur de leadership à Harvard et au National Leadership Institute of Madagascar (NLIM) à Iavoloha. Ce dernier fut un moment épaulé par deux autres consultants étrangers, en l’occurrence, l’économiste australien Paul Porteous, sortant de l’université de Sydney et de Harvard ; et le Cambodgien Vichit Ith, ancien conseiller économique Senior du Premier ministre du Cambodge, qui est également diplômé de Harvard. Ils avaient contribué à l’élaboration d’une nouvelle vision économique pour Madagascar. Cabinet bis Un autre consultant international de nationalité grecque, Harilaos Vittas, spécialiste en finances et ancien du FMI, avait également mis |  |
ses compétences au service d’Ambohitsorohitra. Titulaire d’un Ph.D en Economie internationale, il avait étoffé le staff économique de la Présidence. Dans le domaine de l’Education, il y avait aussi l’Australien Frank Peach, sortant de l’University of Queensland. Le Président Marc Ravalomanana avait aussi recruté dans l’Océan Indien avec le Mauricien Prega Ramsamy, ancien secrétaire exécutif de la SADC. L’ancien représentant résident de la Fondation Friedrich Ebert à Madagascar, Peter Klaus Treydte, avait aussi officié comme conseiller en communication à Ambohitsorohitra. Idem pour Jacques Wilkins, ancien directeur de la communication du Premier ministre canadien. Il y avait aussi l’urbaniste français Georges Lamoure et le Norvégien Peter Langseth, spécialiste de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption. Autant de conseillers « vazaha » qui auraient pu, si ce n’était déjà le cas, former un cabinet bis. extrait du site de notre partenaire et ami Serge et du site http://razafimahazo.free.fr/Descendants/ReporterMdvv_Arch2008/Arcmdvv080119.htm 1000 mercis
Théâtre Miangaly présente la «République des imberbes»
- par Moïse
Théâtre | Miangaly présente la «République des imberbes» |
|  | Mohamed A. Toihiri (à dr), l'auteur de la «République des imberbes», reçu par le président George Bush. | La compagnie de théâtra contemporain Miangaly s'est démarqué par son dynamisme, ces derniers temps. Pour l'atelier initié par Christiane Ramanantsoa, si l'année 2007 a été marquée par la présentation des deux pièces, à savoir «Antigone» de Jean Anouilh et «Jeunes é-cri(ts) de la Compagnie Miangaly elle-même, 2008 sera inaugurée par un autre défi. Ce samedi 19 janvier à 15 heures, la troupe présentera La République des imberbes», une adaptation du roman éponyme de l'écrivain comorien Mohamed A. Toihiri. Petite anecdote : ce dernier est né aux Comores en 1955, mais il a passé son enfance à Madagascar, plus précisément à Toamasina. L'oeuvre «La République des imberbes», publiée chez Harmattan en 1985, est reconnue comme le premier roman comorien écrit dans la langue française. Elle retrace la vie effective des Comoriens à l'avènement et sous le règne d'un chef suprême fictif nommé Guigoz. | Hernan Rivelo Date : 16-01-2008 |
Nosy-Be Des touristes réunionnais expulsés
- par Moïse
Nosy-Be | Des touristes expulsés |
| Poursuivis pour le détournement d'une mineure malgache à Nosy-be, quatre touristes réunionnais ont été frappés d'expulsion immédiate après avoir été entendus au tribunal, hier. Trois autres ressortissants étrangers, présumés complices, ont été placés sous mandat de dépôt. Deux des prévenus sont le couple propriétaire de l'hôtel qui a hébergé les Réunionnais. Ils sont soupçonnés de proxénétisme. Cet acte confirme que le tourisme sexuel existe bel et bien à Nosy-Be. En début d'année, le président de la République, Marc Ravalomanana, et le Premier ministre chef du gouvernement, Charles Rabemananjara, avaient déjà alerté les autorités locales sur le danger de cette pratique lors de leur visite dans la localité. D’autres cas avaient défrayé la chronique dans le passé à Nosy Be où les parents se sont plaints au président de la République. Les enfants sont les principales victimes de ce commerce qui fait florès. | Teholy Martin Date : 16-01-2008 |
Musique Valimad lance les artistes de la brousse
- par Moïse
Musique | Valimad lance les artistes de la brousse | Le label Valimad Production s'est lancée dans une opération «chasse aux artistes «roots» ». Il prépare déjà la prochaine édition du Festival Angaredona. |  | Le joueur de valiha marovany, Rakoto Pierre, un talent découvert par Valimad Production. | Sur quelques airs de jijy (une manière de chanter très proche du rap et tirant son origine dans l'Ouest malgache), clamés sur le son d'un accordéon, le valihiste Rajery présente sa dernière conquête. Dans un studio à Ankadifotsy, et sous les oreilles admiratives de quelques techniciens attentionnés, il précise : «celui qui chante c'est Célestin. Il vient de la brousse de Mahajanga. C'est un véritable maître de jijy et de l'antsa sakalava. Nous avons décidé de l'amener à Tana pour enregistrer un disque. Cet après-midi, ce sera le tour de Rakoto Pierre, un joueur de valiha marovany aveugle que nous avons découvert dans le Sud-Est». A travers ces phrases, la fierté se lit dans le sourire du fondateur de Valimad Production en 2002. La maison a pris pour vocation la promotion de la musique du terroir à Madagascar. Y compris, toutes les actions faisant état d'une vaste campagne pour détecter les artistes et oeuvres représentant vraiment les racines de la culture musicale malgache. «C'est dans cette optique que nous avons créé le Festival Angaredona en 2004». A la suite de l'opération de novembre, Valimad a pu recueillir quelques noms figurant déjà dans la liste d'Angaredona 2008. Pour Fianarantsoa, au royaume de horija betsileo, le groupe Rantoanina, le joueur de jejy voatavo Raprôsy et le flûtiste Rabery y figurent. Des fines fleurs Pour le Sud-est, chez les maîtres de batrelaky, le chanteur Ranox de Mananjary, le valihiste aveugle Rakoto Pierre de Farafangana et le joueur de kabôsy Zokilahy de Manakara se trouvent en place. Et à Mahajanga, l'accordéoniste Célestin, le joueur de kabôsy Tsiôpla et le groupe Satrana, tous des représentants de l'antsa, l'antosy et le jijy sakalava, constituent de fines fleurs du «roots». | Hernan Rivelo Date : 15-01-2008 |
Transport ferroviaire Reprise du train voyageur Moramanga-Toamasina
- par Moïse
Transport ferroviaire | Reprise du train voyageur Moramanga-Toamasina |
| Aller à Toamasina en train sera de nouveau possible. L'ouverture de la ligne Moramanga-côte Est est en discussion entre les responsables des régions concernées, notamment celle d'Atsinanana, et la société Madarail, concessionnaire du réseau Nord du chemin de fer malgache. Une importante rencontre sur ce projet se tiendra, aujourd'hui, dans la capitale du Betsimisaraka. «Le but consiste surtout à désenclaver les communes, les villages et hameaux éloignés de la Route nationale 2», explique un des responsables qui mènent la discusison. Au total, douze communes devront bénéficier de la réouverture de la ligne de transport des voyageurs entre Moramanga et Toamasina. Ce trajet, pour l'instant, est seul concerné, mais la possibilité de poursuivre la ligne jusqu'à Antananarivo n'est pas à écarter. En tout cas, le projet apportera un nouveau souffle à l'économie et aux conditions de vie des populations qui vivent le long du chemin de fer et grâce à lui, du moins en partie. | Mahefa Rakotomalala Date : 15-01-2008 |
Transport aérien Air Madagascar annule des vols
- par Moïse
Transport aérien | Air Madagascar annule des vols | La fin du contrat de location du Boeing d'Air Madagascar crée des perturbations. Des vols seront annulés si la compagnie ne trouve pas une solution dans un bref délai. |  | La compagnie Air Madagascar traverse actuellement des difficultés. | Stupéfaction dans les agences de voyages. La compagnie nationale de transport aérien, annule une partie de ses vols vers Paris, du mois d'avril au mois d'octobre. Olivier Robinson, directeur général adjoint d'Air Madagascar, reconnaît que la décision a un rapport avec la fin de la location de l'un des Boeings 767-300 qui dessert les vols long-courriers. Le contrat de location avec la compagnie internationale de leasing Gecash prendra fin en mars. Elle a déja annoncé qu'elle n'est plus en mesure d'assurer la disponibilité de l'appareil après cette date. Trois vols hebdomadaires Selon les explications du responsable de l'agence de voyages Aventour Madagascar, la compagnie prévoit de maintenir deux vols hebdomadaires sur les trois actuels. Toutefois, celui sur Marseille reste opérationnel pour assurer également la liaison avec la France. Air Madagascar convoiera en priorité toutes les réservations confirmées. «La compagnie devrait aussi trouver des arrangements avec les autres compagnies desservant la France pour transporter ses voyageurs», déclare le responsable de l'agence Aventour. La direction générale d'Air Madagascar reste toutefois optimiste. «Cette configuration ne sera appliquée que si la compagnie ne trouve aucun appareil pour assurer ses services», confie Olivier Robinson. Le cas échéant, la compagnie s'arrangera avec les autres sociétés pour transporter ses passagers. Des compromis avec Air France ou Corsairfly seraient alors inévitables.
Encadré La liaison avec Milan perturbée Le vol hebdomadaire de la compagnie Air Madagascar sur la ville italienne de Milan, sera également bouleversé. Dans la configuration actuelle, la liaison s'effectue le mardi. D'après les informations de la compagnie nationale, elle sera suspendue de février à mai. A partir de ce dernier mois, le vol se fera tous les jeudis. La décision s'explique aussi par l'insuffisance des appareils de la compagnie. La liaison sur la capitale thaïlandaise reste opérationnelle, car Bangkok est la seule porte d'entrée d'Air Madagascar en Asie jusqu'à maintenant. | Doda Andrianantenaina Date : 15-01-2008 |
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