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express.gifQuestions à... Monseigneur Ignatios « La mission orthodoxe de Madagascar est réputée » - par Moïse

Questions à... Monseigneur Ignatios
« La mission orthodoxe de Madagascar est réputée »
Le représentant du Patriarche d’Alexandrie fait le point sur la communauté orthodoxe.
 
• Parlez-nous un peu de la mission orthodoxe à Madagascar...

- Madagascar est une épiscopie qui dépend directement du patriarcat d’Alexandrie. La religion est entrée dans la Grande île en même temps que le premier Grec, à l’époque du Roi Andrianamponimerina. Mais notre communauté n’a fondé sa première église
qu’en 1948. Un premier pope grec s'est établi dans la Grande île en 1994.

• Que signifie pour la communauté orthodoxe
la venue du Pape Théodoros II ?


- Ce pape est l’un des quatre patriarches dans le monde. Sa venue revêt une grande importance pour toute la communauté à Madagascar. Sa visite entre dans le cadre d'une évaluation des travaux réalisés par la mission. Il compte aussi rencontrer les popes et les fidèles malgaches, afin de s'enquérir des besoins. Il sera également reçu par les hauts dirigeants malgaches pour discuter de coopération avec Madagascar. Il faut noter qu’il a beaucoup d’estime pour le président Ravalomanana.

• La mission est réputée pour ses œuvres sociales à Alasora. Vos fidèles en sont-ils les seuls bénéficiaires ?

- Alasora est une place adéquate pour la mission orthodoxe à Madagascar. Mais notre Eglise ne fait pas de distinction, car elle aide tout le monde. Notre action n’a pas de vues religieuses ni ecclésiastiques. Nous voulons aider les pauvres et ceux qui sont dans le besoin.

• La communauté orthodoxe reste minoritaire au pays. Pourquoi ?

- C’est vrai que nous ne comptons que 6 000 fidèles dans tout Madagascar, répandus dans 50 « paroisses ». Seuls 22 prêtres malgaches officient pour le moment, sous la houlette d’un évêque. Mais nous ne sommes pas pressés d'agrandir la communauté.

• Comment vos œuvres sociales sont-elles
financées ?

- Le financement provient surtout de donations de Grecs de l’étranger, notamment ceux de la Grèce et de l’Australie. Ils tiennent beaucoup aux œuvres sociales de la mission à Madagascar. D’où leur détermination à nous soutenir dans toutes nos actions.
 
Fanja Saholiarisoa
Date : 14-02-2008

express.gifSANTE Des paysans créent une mutuelle - par Moïse

Haute-Matsiatra
Des paysans créent une mutuelle

 
Trois mille paysans de Sahambavy dans la région Haute-Matsiatra bénéficient de soins gratuits au Centre de santé de base II local. Ils se sont regroupés en une mutuelle de santé en versant une cotisation annuelle ou trimestrielle.
Le médecin-chef, Roger Raharison indique que «cette convention collective est d'une grande utilité pour les paysans, dans la mesure où ils peuvent bénéficier de consultations et de médicaments gratuitement, surtout en période de soudure».
La validité du soin gratuit expire en fonction de la contribution versée. «Selon la possibilité de tout un chacun, certains arrivent à payer la totalité, d'autres renouvelent leur participation tous les six ou huit mois», explique le docteur.
Le montant de la cotisation mensuelle s'éleve à Ar 500. La somme totale collectée permet au centre de fonctionner à merveille. “Nous n'enregistrons aucun déficit budgétaire”, poursuit encore le docteur. Le représentant de la commune de Sahambavy, Robert Aimé Andrianirina tente d'étendre cette action sociale sur le reste de la région.
 
Noro Haingo Rakotoseheno
Date : 13-02-2008

express.gifBILAN - Cyclone Fame Treize morts et 11 600 sinistrés - par Moïse

BILAN - Cyclone Fame
Treize morts et 11 600 sinistrés

 
Le bilan du passage du cyclone Fame s'allourdit. Il a surtout frappé la partie Ouest de Madagascar. La commune d'Ankazobe enregistre cinq personnes décédées sur les treize enregistrées auprès du Bureau national de la gestion des risques et catastrophes (BNGRC). Aucun dégât matériel n'a été inventorié dans cette circonscription d'Antananarivo. Au total, les 70% des sinistrés sur exactement 11 658 sont recensés dans les régions de Sofia et Boeny. Le plus lourd bilan, 8 413 sinistrés, est enregistré à Mampikony en plus de plusieurs hectares de rizières inondées. A Mahajanga II, commune de la région Boeny, l'inondation de onze fokontany a laissé 2 211 sinistrés et a détruit 90% des cultures. La plupart des écoles en ont pâti de sorte que les cours sont suspendus jusqu'à leur réfection.
Face à cette situation, le BNGRC et ses partenaires vont se réunir, demain, pour étudier le cas de ces deux communes les plus touchées, après Besalampy.
« Des évaluations sur terrain sont en cours à Mahajanga II et à Mampikony », souligne un responsable du BNGRC.
Encore dans la région Boeny, précisément à Soalala, une trentaine de pirogues ont disparu.
 
Noro Haingo Rakotoseheno
Date : 13-02-2008

 

Cataclysme. Aide de l’Arabie Saoudite.
Le Royaume de l’Arabie Saoudite vient de faire don
de 300 tonnes de nourriture et de matériaux de
secours au peuple malgache. Ces dons réceptionnés, ce jour, à Ivato sont destinés aux sinistrés victimes du dernier cyclone.

Coopération. 700 000 euros pour les militaires. La direction des matériels techniques des Forces armées à Soanierana vient d’être, la semaine dernière, dotée d’un atelier de reconstruction, « Sumb marmon ». Ce don de la coopération française est le deuxième du genre à y être inauguré. La cérémonie a été accompagnée d’une remise de matériels d’une valeur de 700 000 euros, soit 1,82 milliards d’ariary, au profit des forces armées malgaches.


express.gifCoopération Les Pays-Bas aident le tourisme - par Moïse

Coopération
Les Pays-Bas aident le tourisme
Les Pays-Bas proposent leur aide et leur compétence aux opérateurs malgaches. Le tourisme pourra bénéficier de ce soutien.
 
Rob van Eij Bergen du CBI (à g.) et Prega Ramsamy de l'EDBM se réjouissent de la coopération future entre les deux entités.
Des formations en vue pour les managers d'hôtels et les serveurs. Le secteur tourisme pourrait bénéficier d'un appui technique de la part du Centre pour la promotion des exportations vers les marchés européens (CBI) des Pays-Bas.
« C'est un secteur qui présente des perspectives intéressantes pour le pays », déclare le professeur Rob van Eij Bergen du CBI, lors d'une rencontre avec la presse hier à Ampefiloha.
Une délégation de ce centre s'est trouvée à Madagascar pendant une semaine pour une mission d'évaluation. Des techniciens du CBI ont évalué la possibilité de démarrer un appui aux exportations.
« Nous pouvons délivrer des renforcements de capacités à l'endroit des managers d'établissements hôteliers, ou même pour les exécutants tels que les serveurs », confirme le professeur Rob van Eij Bergen.
Le tourisme se retrouve ainsi en tête de la liste des secteurs d'interventions du CBI à Madagascar. Cet appui fait suite aux contributions du centre.
L'Office national du tourisme de Madagascar bénéficie déja de formations de la part du CBI. Ce dernier a également soutenu la participation des opérateurs malgaches aux salons professionnels, notamment aux Pays-Bas.
Assistance
« Madagascar est un pays qui intéresse les touristes hollandais », commente Prega Ramsamy, chief executive officer de l'Economic development board of Madagascar (EDBM), se présentant déja comme un interlocuteur du CBI.
Un accord de principe devra d'ailleurs se concrétiser pour servir d'ébauche à la coopération. D'une manière générale les objectifs des deux parties coincident sur plusieurs points.
« Le but consiste à développer et à améliorer les performances des secteurs porteurs et des opérateurs », explique de son côté, Eric Beantanana, directeur de la promotion et de la communication au sein de l'EDBM.
La promotion, la formation et l'assistance aux entreprises seront les principaux points d'interventions du CBI. D'autres secteurs jouiront aussi de ses compétences, à savoir l'exploitation des huiles essentielles, les ingrédients naturels, les fruits et légumes, l'artisanat et les produit bio.
 
Doda Andrianantenaina
Date : 13-02-2008

express.gifCOWDRIOSE Les bovidés contrôlés à Moramanga - par Moïse

COWDRIOSE
Les bovidés contrôlés à Moramanga
L'alerte est au rouge à Moramanga. Pour juguler l'avancée de la cowdriose, la circulation des bovidés est soumise à un contrôle strict, vérification du certificat d’origine et du carnet vaccinal.
 
La circulation des bovidés est soumise à des contrôles rigoureux.
Moramanga est sous la psychose de la cowdriose. La maladie jugée banale et saisonnière continue de mettre à mal le cheptel bovin des éleveurs qui ne savent plus à quel saint se vouer. Peut-être à l'Etat providence qui essaie tant bien que mal, sinon de maîtriser le mal, du moins de rassurer les éleveurs et l'opinion.
Des mesures ont été prises pour tenter de sauver ce qui peut encore l'être. «Des mesures à l'endroit des éleveurs, bouchers et grossistes ont été prises sur tout le territoire», annonce Romuald Athanase, responsable de la communication au comité régional de développement de la région Alaotra Mangoro.
Pour le moment, il ne s'agit pas de barrière sanitaire pour distinguer les cheptels malades de ceux bien portants, mais d'un contrôle systématique des troupeaux qui entrent à Moramanga.
Contrôles rigoureux

«Des séances de vérification du certificat d'origine des bœufs, de leur carnet vaccinal sont effectuées par les gendarmes en cours de route», précise Romuald Athanase. Arrivés à Moramanga, les troupeaux sont soumis à des contrôles rigoureux avant d'aller aux abattoirs. «Les responsables locaux de la santé animale ordonnent à tous les bouchers qui viennent d'acheter du bétail de regrouper les animaux en un seul endroit pour mieux les surveiller», souligne Romuald Athanase.
Sanctions

La gendarmerie, les autorités locales, la mairie, les chefs fokontany et les médecins des centres de santé de base agissent de concert pour appliquer cette décision ministérielle de contrôler la santé de l'animal avant son abattage. «Des sanctions sont prévues pour les contrevenants et la population des trente et un districts d'Alaotra Mangoro est au courant de cette décision», soutient Joël Henri, un responsable du comité régional du développement. Aucun animal ne devrait ainsi franchir l'abattoir si son état est jugé suspect lors du contrôle.
Voilà de quoi freiner le flux des bœufs vers Moramanga. La ville s'approvisionne à des fournisseurs des régions voisines ou d'autres contrées plus éloignées comme Tsaratanana, Tsiroanomandidy et Ambalavao.
Les éleveurs et les vendeurs de bœufs ont ainsi intérêt à détiquer leur bétail s'il veulent maintenir leur commerce et préserver la santé de tout le cheptel. Des séances intensives de sensibilisation ont été entamées à leur intention. Le salut est à ce prix.

Encadré
Un délai de rigueur

A l'abattoir, il est recommandé d'enlever toutes les viscères en moins de quinze minutes. Le délai dépassé, les microbes pathogènes traversent la barrière intestinale de sorte qu'ils se répandent dans la chair de l'animal. Seul le contrôle des docteurs vétérinaires au moment de l'abattage d'un troupeau peut attester l'authenticité de la viande censée sortir d'un abattoir.
Madagascar souffre pourtant d'un manque de vétérinaires qui sont recensés à trois cents. Ces employés sanitaires doivent couvrir la totalité du territoire national. Le ministère de tutelle a recours à des vétérinaires privés lors des interventions auprès des paysans.
L'Etat espère quand même combler une partie du vide avec la sortie de la première promotion des étudiants en médecine vétérinaire à Ankatso, cette année.
 
Noro Haingo Rakotoseheno
Date : 12-02-2008

express.gif400 employés mis au chômage Plus de 400 ouvriers de l'entreprise franche Acten Garment Manufacturing ont manifesté hier.Ils sont mécontents de partir au chômage sans pouvoir bénéficier de tous leurs droits. - par moise44

Ankadimbahoaka
400 employés mis au chômage
Plus de 400 ouvriers de l'entreprise franche Acten Garment Manufacturing ont manifesté hier.Ils sont mécontents de partir au chômage sans pouvoir bénéficier de tous leurs droits.
 
François Ravelonarivo (4e à g.), délégué du personnel, compte protéger les droits des employés jusqu'à la fin.
Grogne hier dans la cour de l'entreprise franche Acten Garment manufacturing sise à Ankadimbahoaka. Plus de 400 ouvriers ont manifesté leur colère pour avoir été envoyés au chômage.
« Nous avons arrêté de travailler depuis le 22 décembre. Aujourd'hui, comme il a été dit, nous sommes revenus pour toucher nos dus sur le solde de tout compte (STC). Mais les employeurs ne nous paient pas intégralement », se plaint William Rafanomezantsoa, machiniste au sein de cette entreprise franche, contraint de trouver un poste similaire ailleurs.
Respect de la loi
Hier, une centaine d'employés se plaignaient de n'avoir rien eu. « Nous avons travaillé moins de six mois et ne recevons aucun remboursement », précise Marie Jeannine Razafimbahiny, une mère de famille habitant près du Fasan'ny Karana. Comme elle, les employés craignent pour leur lendemain.
Tantely aussi, âgée à peine de 20 ans, doit se débouiller ailleurs pour trouver une place. Hier, quelques uns du personnel administratif de l'entreprise Acten, spécialisée en confection, se trouvaient dans leur bureau sans vouloir commenter quoi que ce soit de cette situation. Les journalistes, venus s'enquérir de la situation, ont été poussés vers la porte de sortie par des responsables.
Les locaux de l'entreprise sont vides, seuls quelques appareils sont restés intacts. Dehors, l'ambiance était très animée. « Nous avons déjà envoyé une lettre de plainte auprès des inspecteurs du travail, pour qu'ils défendent notre cause. La rencontre d'aujourd'hui va renforcer cet appel de détresse », note François Ravelonarivo, délégué du personnel.
Selon la Fonction publique, toute entreprise qui ferme ses portes doit aviser le ministère de tutelle. Aussi, elle doit payer tous les reliquats des employés et respecter la loi en vigueur en cas de crise économique.
 
Fanja Saholiarisoa
Date : 07-02-2008

express.gifCoopération Les microentrepreneurs s'initient à la gestion - par Moïse

Coopération
Les microentrepreneurs s'initient à la gestion

 
La société Microcred et l'Institut supérieur de la communication des affaires et du management (Iscam) signent un accord au bénéfice des microentrepreneurs.
350 clients de Microcred vont bénéficier d'une formation en gestion, comptabilité et marketing pour qu'ils puissent développer leurs entreprises. « Les petites structures ont besoin, autant que les grandes entreprises, d'un bonne gestion », avoue Michel Iams, directeur général de Microcred.
Ce sera également un moyen de garantir un taux de recrouvement des clients. En contrepartie, Microcred s'engage à recevoir les étudiants de l'Iscam pour des stages et soutenir éventuellement les initiatives estudiantines futures.
« Microcred devra dispenser des cours de droit, de management ou de finances publiques puisqu'elle va
même parrainer la filière finances et développement d'entreprise », avance de son côté Jaona Ranaivoson,
directeur général de l'Iscam.
Un an après sa création, Microcred dispose déja de près de 4 400 clienst actifs, avec un encours de crédit de près de sept milliards ariary. De nouvelles agences vont être mises
en place dans la capitale et en province.
 
Doda Andrianantenaina
Date : 06-02-2008

express.gifAnalakely Chasse aux opérateurs informels - par Moïse

Analakely
Chasse aux opérateurs informels
Les commerçants informels sur l'avenue de l'Indépendance devront exercer leur activité ailleurs. La commune leur propose un nouvel emplacement près du marais Masay.
 
Une fois les petits commerçants chassés, les «businessmen» ont investi l’avenue de l’Indépendance.
Plus d'activités informelles à Analakely. La commune urbaine d'Antananarivo (Cua) ne reculera plus et les commerçants du secteur devront plier bagage.
Un premier avertissement leur a été adressé, lundi matin, par le premier arrondissement, pour les aviser qu'il leur est désormais interdit de squatter l'avenue de l'Indépendance pour y exercer leurs activités.
Selon Serge Rakotomaharo, délégué au maire dans cet arrondissement, des mesures d'accompagnement seront prises, qui prendront en considération l'aspect social de l'expulsion.
« Il ne faut pas minimiser le fait que la plupart de ces vendeurs, quel que soit leur domaine, vivent au jour le jour de leurs activités ».
Business florissant
L'avenue de l'Indépendance est incontournable pour la population tananarivienne qui s'y rend ou la traverse pour vaquer à leurs affaires.
« Néanmoins, ils ne pourront plus y rester ». La Cua se préoccupe de l'environnement et de la verdure du centre-ville, et veut assainir les lieux. Assainissement qui s'étendra jusqu'aux alentours des pavillons d'Analakely, toujours d'après Serge Rakotomaharo. « Nous leur proposons la grande place du marais Masay pour installer leurs commerces », ajoute-t-il.
Pour les opérateurs du secteur informel, la décision est dure à accepter. « Il nous sera difficile de déménager d'ici, où notre business est florissant. Les responsables municipaux devront savoir que nous n'avons jamais pollué l'endroit », soutient Tina, spécialisé dans la vente de téléphones mobiles.
Cependant, la commune va plus loin. « Nous sommes sur le point de formaliser les activités de ces personnes afin qu'elles soient inscrites dans la liste des contribuables ». La rénovation ne s'arrêtera pas là. « Un projet d'aménagement du marais Masay est en cours pour les accueillir», précise Serge Rakotomaharo.
Après la descente de lundi, les responsables communaux comptent multiplier les rencontres avec les commerçants concernés pour les sensibiliser sur le projet.
 
Fanja Saholiarisoa
Date : 06-02-2008

express.gifSanté Régression du paludisme à Madagascar - par Moïse

Santé
Régression du paludisme à Madagascar

 
Le paludisme connaît un recul à Madagascar. L'année dernière, le taux de prévalence national de cette maladie était de 16%, d'après les résultats prélevés auprès des centres de santé de base, selon le bilan du Service de la lutte contre le paludisme à Analakely.
Le taux était de 18% deux années auparavant. Ce fait témoigne des efforts menés par le ministère de tutelle, qui utilise tous les moyens pour combattre cette maladie épisodique.
« Nous constatons actuellement l'impact des stratégies utilisées pour ne citer que la distribution des moustiquaires imprégnés d'insecticides lors de la campagne de la semaine de la santé mère-enfant en octobre », indique un responsable du service contre le paludisme.
 
Noro Haingo Rakotoseheno
Date : 04-02-2008


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