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express.gifLes experts comptables aident les PME - par Moïse

Gestion
Les experts comptables aident les PME
Les petites et moyennes entreprises gagnent en compétitivité. Avec le Centre de gestion agréé, elles pourront bénéficier du savoir-faire des experts comptables.
 
Armand Tazafy, directeur régional des impôts, et Zo Ouali, présidente du CGA, signant la convention de mise en place du centre.
Le deuxième centre de gestion agréé (CGA) est mis en place à Analamanga. Après celui de la région Vakinankaratra, le projet CGA s'étend dans l'Analamanga.
Sa mission consiste notamment en l’assistance personnalisée en matière de comptabilité, à la tenue d’un dossier de gestion, au montage d’un plan d’affaire, à l’établissement des documents fiscaux, estampillés CGA.
«Nous pouvons désormais bénéficier des services d'experts comptables dans la gestion de nos comptes», explique Ralambo Andriantiana, trésorier du CGA Analamanga. «Il faut toutefois que le chiffre d'affaires de l'entreprise ne dépasse pas les 200 millions d'ariary», précise-t-il.
La signature de la convention, officialisant l'existence de ce centre, a été effectuée lundi dernier à Andraharo par Armand Tazafy, directeur régional des impôts pour Analamanga et la présidente du CGA, Zo Ouali.
Le CGA Analamanga regroupe actuellement une vingtaine de membres issus du C for C et de Entreprendre au féminin océan Indien de Madagascar (Efoimad). «Le centre peut accueillir près de 300 membres», confie Ralambo Andriantiana. Le montant de la cotisation couvrant les honoraires de l'expert comptable sera défini en fonction du nombre des membres.
Un des objectifs du CGA consiste aussi à favoriser l'intégration dans le secteur formel. Pour faciliter cette normalisation, le centre propose certains avantages administratifs et fiscaux destinés à encourager les initiatives.
«Les membres pourront avoir un accès privilégié aux informations statistiques sur un domaine d'activité spécifique», fait savoir Ralambo Andriantiana. Le centre s’occupe également de l’établissement des états financiers de chaque PME membre, une des pièces requises en matière de prêts bancaires.
Techniquement, le CGA sera un accompagnateur des petites et moyennes entreprises dans leur quête d'épanouissement. Le centre dispensera des appuis sur tout ce qui touche la comptabilité et la fiscalité à travers l'information et la formation.
 
Doda Andrianantenaina
Date : 03-04-2008

express.gifFête traditionnelle Un autre «jour de l'An» ce 6 avril - par Moïse

Fête traditionnelle
Un autre «jour de l'An» ce 6 avril
Un autre groupe d'héritiers des traditions malgaches prétend célébrer un deuxième jour de l'An. Après l'Asaramanitra du 8 mars, voici le Tsinana Alahamady.
 
Une farandole des lampions (harendrina) fait toujours la joie des enfants, quel que soit le prétexte.
Combien de fois le Nouvel an est-il célébré à Madagascar ? Le 8 mars, l'Asaramanitra, interprété comme le jour de l'An malgache selon le calendrier cultural, a été marqué au sein du « Club culturel Rarihasina », regroupant les fervents militants pour une identité malgache contemporaine.
Or, un autre groupe d'héritiers des traditions propose une date différente, ayant pour base un repère à part. « Le dimanche 6 avril 2008 exactement à 6 heures 56 minutes, le soleil, la terre et la lune se trouveront dans une position d'alignement absolu. C'est ce que les ancêtres appelaient autrefois Tsinana Alahamady », explique Rijamamy Rakotondrasoa, président de l'association Solofon'Ampandrana.
« Pendant 24 heures, on ne verra pas la lune, et la nuit sera totalement noire (maizim-bolana », continue-t-il. À noter que Solofon' Ampandrana est parmi les groupements promoteurs de ce « deuxième Nouvel an ».
Lampions
« Dans la croyance ancestrale, ce jour du Tsinana Alahamady est perçu comme faste, celui du grand destin, un jour des souverains (andron'andriana) », expose encore Rijamamy Rakotondrasoa. C'est pourquoi la date a été choisie pour entamer un nouveau repère de temps, une année nouvelle. « C'est le jour de fête, du fihavanana, des voeux, du pardon », soutient le président de Solofon'Ampandrana.
Des manifestations pour accueillir ce Nouvel an auront lieu dans quelques endroits emblématiques, tels Ampandrana-Ankadivoribe, Alasora, Ambatomanga, Ambohimanga.
Selon Rijamamy Rakotondrasoa, les pratiques cérémonielles se dérouleront exactement comme par le passé.
« La veille (samedi 5 avril) à partir du coucher du soleil, on fera du harendrina (farandole des lampions) pour chasser les mauvais esprits. D'autres rejouissances comme le fafirano (la bénédiction par l'eau), ou le sambasamba tatao (citation de tous les voeux) ne seront pas occultées », prévoit le président de l'association.
 
Hernan Rivelo
Date : 03-04-2008

express.gif« Le tourisme rural a un bel avenir dans le pays » - par Moïse

Questions à … Lydie Raberanto Ramanitrarivo
« Le tourisme rural a un bel avenir dans le pays »
La présidente du groupement des tours opérateurs décrit la nouvelle tendance du tourisme.
 
• Quelle est la tendance actuelle des touristes qui viennent à Madagascar ?
- Une forte poussée vers le tourisme rural est constatée depuis un certain temps. Les visiteurs ne considèrent plus la Grande île comme une destination balnéaire. De plus en plus, ils optent pour le tourisme vert, solidaire et responsable. C'est un produit qui présente un réel avenir dans notre pays.

• Et que font-ils durant leur séjour ?
- Certains touristes viennent à Madagascar pour effectuer soit des actions humanitaires soit des actions de protection ou de préservation de l'environnement. C'est aussi un tourisme de découverte qui leur donne l'opportunité de connaître la vie socio-culturelle du pays. C'est un véritable atout pour la Grande île tant elle est exceptionnellement riche dans ce domaine. Cependant, les touristes ne délaissent pas pour autant le balnéaire. Madagascar possède des milliers de kilomètres de côtes pourvus de belles plages.

• Dans le cas du tourisme rural, la population est-elle prête à accueillir les visiteurs ?
- Le développement de ce genre de produit ne se fait pas en quelques jours. A notre niveau, nous proposons déjà un accompagnement et un encadrement de la population locale. Le plus important est de sensibiliser les communautés riveraines sur la nécessité de préserver l'environnement. Toutefois, le problème de formation ne se situe pas uniquement à leur niveau. La professionnalisation du secteur touristique sera la tâche de tous les acteurs. Une des grande lacunes actuelles de la filière est pourtant l'insuffisance de formateurs.

• Comment comptez-vous accueillir les touristes sur place ?
- Les autorités sont conscientes aujourd'hui du potentiel de ce nouveau type de tourisme. Des efforts dans ce sens sont déja menés pour inciter les opérateurs économiques à investir dans les infrastructures. D'ailleurs, nous constatons un réel effort du ministère de tutelle pour établir un véritable dialogue avec le secteur privé.

Propos recueillis par
 
Doda Andrianantenaina
Date : 02-04-2008

express.gifAir Madagascar La compagnie nationale Air Madagascar réorganise ses plans de vols pour pallier le départ du Boeing 767-300. Celui-ci opérait sur les vols long-courrier. - par Moïse

Air Madagascar
Deux vols par semaine sur Paris
La compagnie nationale Air Madagascar réorganise ses plans de vols pour pallier le départ du Boeing 767-300. Celui-ci opérait sur les vols long-courrier.
 
Christophe Leloup, debout (à g.) et Haja Raelison, hier lors de la conférence de presse.
La compagnie nationale Air Madagascar réduit ses fréquences sur la capitale française. Durant le mois d'avril, Air Madagascar ne pourra assurer que deux vols hebdomadaires contre quatre actuellement. La principale raison en est la fin du contrat de l'un des Boeings 767-300 qui assurent les vols long-courrier.
« Cette situation ne devra pas avoir trop d'impact sur l'exploitation commerciale de la compagnie, vu que nous sommes encore en basse saison », a fait savoir Haja Raelison, chargé d'affaires auprès de la direction commerciale, lors d'une rencontre avec la presse, hier, à Analakely.
Négociations en cours
La situation devrait pourtant s'améliorer avec l'entrée en vigueur de l'accord de partage du code qu'Air Madagascar vient de passer avec Corsairfly. Air Madagascar pourra alors, à partir du mois de mai, recourir au service d'un appareil de Corsairfly pour un vol supplémentaire vers la capitale française.
La compagnie Corsairfly a un avion disponible pour cette saison. Le vol prévu les mardis effectuera, durant le mois de mai, une escale à Marseille.
À partir du mois de juin, la liaison se fera directement entre Antananarivo et Paris. « Air Madagascar bénéficiera aussi des services des prescripteurs de voyages de Corsairfly », avoue de son côté Christophe Leloup, directeur commercial de cette compagnie.
Haja Raelison ajoute que les négociations pour un nouvel avion est en cours. « Les avions existent, mais nous négocions au mieux les coûts d'exploitation », avance-t-il.
Le Code Share entre les deux compagnies ne sera plus alors d'actualité au moment où Air Madagascar trouvera un nouvel avion pour ses vols long-courrier. D'un autre côté, la compagnie nationale devra réorganiser ses plans de vols pour pouvoir assurer la liaison sur toutes les destinations. Celle avec Milan est pour le moment suspendue en raison d'une basse saison très marquée.
« La reprise se fera au mois de mai », affirme Haja Raelison. Les autres vols long courrier restent opérationnels. Air Madagascar maintient toujours ses deux vols hebdomadaires sur Bangkok qui reste son seul point d'entrée en Asie.
 
Doda Andrianantenaina
Date : 28-03-2008

express.gifCélébration du 29 mars 1947 Une commémoration classique - par Moïse

Célébration du 29 mars 1947
Une commémoration classique

 
Dépôt de gerbes au Mausolée d’Ambohitsaina.
Le pays s’apprête à commémorer le 61e anniversaire du soulèvement du 29 mars 1947. Les manifestations, plutôt classiques, ne semblent pas à la hauteur des événements.
Les cérémonies officielles commenceront par un culte œcuménique au temple FJKM d’Analakely, dès 8 heures 30 du matin. Les autorités se rendront ensuite à Ambohijatovo puis au Mausolée d’Avaratr’Ambohitsaina pour le dépôt de gerbes. Une autre manifestation sera organisée toute la journée au stade de Betongolo.
Des manifestations organisées par des associations privées sont également prévues. C’est, entre autres, le cas du débât autour des événements de 1947 par l’Association des journalistes doyens, ce jour, au Tranompokonolona Analakely.
A entendre Benjamina Ramanantsoa, enseignant-chercheur, les événements de 1947 renferment encore matières à réflexion.
«Les événements autour du 29 mars 1947 restent d’actualité malgré l’avancée des recherches historiques. Et le débât subsiste aussi bien à Madagascar qu’en France, pays colonisateur. C’est pour cela qu’il faut encourager les chercheurs», a-t-il soutenu.
A l’occasion de la commémoration, Benjamina Ramanantsoa souhaite également plus de considération pour les anciens combattants. «Certes, le pouvoir a déjà fait quelque chose, mais il faut faire davantage d’efforts. Je suis sûr que des anciens combattants qui ont sacrifié leur vie pour l’indépendance de la Nation vivent encore quelque part. Il faut les récompenser pendant le peu de temps qui leur reste. Ce sont des références historiques pour nos jeunes», a lancé l’enseignant-chercheur.
 
Iloniaina Alain
Date : 28-03-2008

express.gifSainte-Marie Hazo 4t tratry ny tafika an-dranomasina - par Moïse

Sainte-Marie
Hazo 4t tratry ny tafika an-dranomasina

 
Sady tsy nisy taratasy fahazoan-dàlana mazava momba azy no tsy nisy fahazoan-dàlana hitondra azy eny ambony rano ihany koa, ny hazo 4 taonina tratry ny tafika an-dranomasina tao Sainte-Marie, afak'omaly maraina. Telolahy no tompon'ny entana ary efa natolotra avy hatrany ny zandary mba hatao famotorana.
 
Nirina Rakotoson
Date : 28-03-2008

express.gifToamasina-Moramanga Un voyage tri-hebdomadaire de 13 heures - par Moïse

Toamasina-Moramanga
Un voyage tri-hebdomadaire de 13 heures

 
Le convoi comporte une locomotive, trois wagons de voyageurs et un de marchandises.
La ligne Toamasina-Moramanga sera assurée par trois aller-et-retour hebdomadaires. Elle desservira 17 gares et 9 points d'arrêt. «La reprise du train de voyageurs fait partie des engagements du Madagascar action plan. Elle est une priorité pour notre région, car elle revêt une importance capitale pour le développement », déclare Julien Andriamorasata, chef de région Atsinanana.
Le coût du transport sera facturé à 1 800 ariary par voyageur par section de 50 kilomètres. Les 250 kilomètres entre Moramanga et Toamasina seront donc divisées en cinq sections et coûteront 9 000 ariary au total. Par ailleurs, chaque voyageur aura droit à 50 kilos de bagages, le surplus étant payable en sus.
Le voyage dure 13 heures. Les jours de départ de Toamasina seront les mercredis, vendredis et dimanches à 18 heures, et à Moramanga tous les mardis, jeudis et samedis.
«Notre priorité reste la sécurité des voyageurs. Nous avons donc choisi le voyage de nuit, le convoi de jour étant réservé au transport de marchandises. Le trafic devient plus fluide pendant la nuit », explique Marina Ramaroson, chef de la division hygiène, sécurité et environnement de la société Madarail.
«Mais nous allons étudier la possibilité de programmer des voyages diurnes à partir du mois de juillet », souligne Patrick Claes, directeur général de Madarail.
 

Mahefa Rakotomalala
Date : 27-03-2008

 


Toamasina-Moramanga
Un train de voyageurs porteur d'espoir
La liesse populaire a marqué l’inauguration de la ligne régulière reliant Toamasina à Moramanga. Cette réouverture permettra de désenclaver une douzaine de communes.
 
Le train de voyageurs Toamasina-Moramanga part de la gare des manguiers.
Le train de voyageurs Toamasina-Moramanga a effectué sa première liaison vendredi. Rires, chants, applaudissements et débats enthousiastes ont animé les centaines de voyageurs qui ont effectué le voyage inaugural au départ de la gare des Manguiers de Toamasina jusqu'à celle de Manangareza. Un moment historique.
La suspension depuis une dizaine d'années de cette ligne régulière de chemin de fer de transport des voyageurs a entrainé l'isolement de plusieurs villages et communes éloignés de la route nationale n° 2.
Des localités aux noms bien connus, comme Anivorano, Andekaleka ou Ambila, ont perdu leur animation d'antan. Le train passe par 12 communes au total, et leurs maires venus effectuer le premier voyage y voient une opportunité de redorer le blason de leurs circonscriptions respectives.
Le convoi est composé d'une locomotive, de trois wagons de voyageurs et d'un de marchandises. Selon les prévisions, près de 5 600 passagers par mois seront transportés. Mais l'acheminement des produits constitue l'un des nouveaux souffles apportés par la reprise de la ligne.
Opportunité
Le voyage étant de nuit, les paysans débarquent le matin avec leurs produits frais à Toamasina ou à Moramanga. Les opérateurs touristiques voient également dans cette ligne une opportunité considérable à saisir. D'ailleurs, le Groupement interprofessionnel du tourisme et de l'hôtellerie de Toamasina (GITH) a participé activement aux efforts déployés pour aboutir à cette reprise.
«Le voyage en train permet de découvrir le coeur de la faune et de la flore, faisant la réputation de la côte Est de Madagascar », déclare Eliane Andrianjatovo, président du GITH.
En effet, à partir du 1er juillet, le voyage se fera de jour. «Il y a de nombreuses demandes pour que le voyage se passe le jour. Madarail s'organise et renforce ses dispositifs à l'heure actuelle pour pouvoir les satisfaire », explique Julien Andriamorasata, chef de la région Atsinanana.
La reprise de la ligne de chemin de fer entre Toamasina et Moramanga apparaît comme l'aboutissement des négociations entreprises entre Madarail, concessionnaire du réseau nord des chemins de fer malgaches, et la région Atsinanana.
En fait, à l'occasion de sa réouverture, la rentabilisation de la ligne est encore loin d'être acquise. Selon la société Madarail, elle accusera une perte de l'ordre de 17 ariary par passager à chaque voyage. Ce qui correspond à plus de 1,169 millions ariary de pertes mensuelles.
 
Mahefa Rakotomalala
Date : 27-03-2008


express.gifComores L'armée comorienne et les troupes de l'Union africaine sont entrées mardi dans la capitale d'Anjouan.Les partisans de Mohamed Bacar n’ont opposé aucune résistance. - par Moïse

Comores
Des combats près de Mutsamudu
L'armée comorienne et les troupes de l'Union africaine sont entrées mardi dans la capitale d'Anjouan.Les partisans de Mohamed Bacar n’ont opposé aucune résistance.
 
Les soldats comoriens et ceux de l’Union africaine ont rencontré peu de résistance.
Le palais présidentiel à Anjouan a été déserté lors de combats se poursuivant dans l'après-midi de mardi.
Aucun bilan d'éventuelles victimes n'était disponible depuis le début de l'opération « Démocratie aux Comores », lancée à l'aube à Anjouan par l'armée comorienne soutenue par les troupes mandatées par l'UA contre les autorités jugées illégales de l'île. On ne disposait pas non plus d'information sur la situation de Mohamed Bacar.
Après leur débarquement, l'armée comorienne et les troupes africaines sont entrées sans grande résistance dans la capitale d'Anjouan, Mutsamudu, accueillies dans la joie par une majorité d'habitants.
Jusqu’au bout
Sur l'île, des combats étaient toujours en cours mardi après-midi, a déclaré à l'AFP à Moroni, capitale de l'Union des Comores, le ministre comorien de la Défense, Mohamed Bacar Dossar.
A 13h00 locales (10h00 GMT), les troupes qui ont débarqué sur l'île tentaient de « réduire une poche de résistance en direction de sa résidence (de Bacar) à Barakani », quartier de la localité de Ouani, à quelques km de Mutsamudu, a ajouté le ministre.
« Nous n'avons pas d'informations sur Mohamed Bacar. On ne sait pas où il est », a-t-il commenté.
Entre Ouani et la capitale, des gendarmes loyaux au colonel Bacar se tenaient en embuscade dans les fourrés au bord des routes.
« Je dispose d'une centaine d'homme et nous allons résister jusqu'à la mort », affirmait à l'AFP le lieutenant Ibrahim Moussa.

© AFP
 

Date : 26-03-2008

express.gifBasket-ball - Tournoi RNS Sebam Mahajanga sacrée championne à Vichy - par Moïse

Basket-ball - Tournoi RNS
Sebam Mahajanga sacrée championne à Vichy
Coup d’essai, coup de maître pour l’équipe de Sebam de Mahajanga. Les champions de Madagascar ont remporté le tournoi de basket à la RNS de Vichy. De bon augure avant la Coupe de l’océan Indien.
 
L’ouverture officielle du tournoi avec le traditionnel défilé des équipes.
Parcours sans faute pour l'équipe deux fois championne de
l'océan Indien, Sebam de Mahajanga, à la 33e édition de la Rencontre nationale sportive de Vichy. Elle s'impose sur un score de +5 (60 à 55) à la finale face à l'Armadas à la suite d'une finale éreintante.
Les visiteurs de Mahajanga ont conquis le public de Vichy, spécialement Charles Rabekoto, dit Dagué. Ce dernier a été élu meilleur joueur du tournoi.
Clou du spectacle
La finale en basket-ball chaque année constitue le clou du spectacle de la rencontre nationale sportive en France. Cette année, l'équipe de l'Armadas, même avec toute son armada, importée de Madagascar à l'image de trois éléments du SOE de Madagascar dont Tolotra et Naguib. Ce dernier a changé de maillot cette année et a évolué sous les couleurs de l'Armadas. Mais malheureusement, la chance n'a pas été du côté de cette formation.
La cohésion forgée depuis quelques années à la Sebam a eu raison de l'équipe patchwork de l'Armadas. Ce tournoi a permis à cette équipe championne de Madagascar de préparer la prochaine Coupe des clubs champions de
l'océan Indien prévue à l'île Maurice en avril. Le pivot de l'équipe, Jackson, blessé au genou sera privé d'activité pendant 4 mois. Il a été transporté à l'hôpital et a reçu des soins d'urgence.
Le SOE, tenant du titre en 2007, a disparu dès les phases éliminatoires, tout comme le Cosfa.
 
Vero Andrianarisoa
Date : 26-03-2008

express.gifPâques 2008 L'inflation a miné Pâques cette année. Si les églises étaient bondées, seuls les lieux de pique-nique à proximité de la capitale ont été envahis, faute de moyens. - par Moïse

le week-end pascal à Madagascar
Pâques Malgaches
Pâques 2008
Une évasion de proximité s'installe
L'inflation a miné Pâques cette année. Si les églises étaient bondées, seuls les lieux de pique-nique à proximité de la capitale ont été envahis, faute de moyens.
 
Des familles ont dû faire le choix entre le transport et le pique-nique.
La foi a dominé l'ambiance pascale. Les églises et temples étaient bondés, samedi soir, alors que dimanche, des embouteillages monstres se voyaient aux abords de ces édifices.
Pourtant l'enthousiasme a été moindre que les années précédentes. La réticence des familles à s'évader, a été quasi générale. « Il est difficile d'envisager un grand pique-nique par les temps qui courent », explique une mère de famille qui a passé son lundi de Pâques du côté du marais Masay.
Beaucoup de familles ont opté pour ce lieu, le parc de Tsimbazaza et l'avenue de l'Indépendance étant toujours très prisés pour les férus de marche à pied.
Déception
Les plus chanceux ont profité de la journée de lundi pour découvrir d'autres endroits d'évasion. La RN3 vers Anjozorobe a attiré de plus en plus de pique-niqueurs. Des transports spéciaux ont été organisés au départ du centre-ville. « Au fil des années, le grand Tana se découvre mieux car les gens sont avides de nouveaux sites pour se relaxer », affirme le gérant d'un parc récréatif d'Ankororosy, commune rurale située à une dizaine de kilomètres d'Antananarivo.
Ankororosy a accueilli beaucoup de monde.
« Nous percevons Ar 500 par espace occupé par visiteur et Ar 1 000 pour les voitures. Ce qui est déjà un gain énorme pour la commune », explique un agent de la circonscription. Dans la commune rurale d'Ambohitrabiby, à 22 km de la capitale, les pique-niqueurs ont été très déçus. « Le site ne disposait ni d'eau courante ni de piscine naturelle comme il a été annoncé », rouspète Soloniaina Jeannot, un père de famille venu très tôt sur les lieux. Comme lui, une centaine d'excursionnistes sont rentrés bien vite en espérant se rabattre sur d'autres endroits.
 
Fanja Saholiarisoa
Date : 25-03-2008

 

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