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express.gifAthlétisme - Laguna Phuket marathon international - par Moïse

Athlétisme - Laguna Phuket marathon international
Dernière chance pour Clarisse
La marathonienne, Clarisse Rasoarizay, jouera son va-tout pour pouvoir participer aux Jeux olympiques de Beijing. L'enjeu est de taille mais le défi est tout à fait à sa portée.
 
La reine du marathon joue sa dernière carte en Thaïlande.
ATMOSPHÈRE fiévreuse pour la marathonienne Clarisse Rasoarizay. Elle jouera sa dernière carte à la troisième édition de Laguna Phuket Marathon International, prévue le 15 juin 2008, dans le sud de la Thaïlande. Christian James Razafimahefa, président de la Fédération malgache d'athlétisme (FMA), l'a confirmé, hier.
« Plusieurs courses internationales sont prévues . Nos athlètes pourront tenter leur chance pour pouvoir participer aux Jeux olympiques. Mais le côut du déplacement en Thaïlande est cher et seul l'athlète le plus performant y participera », explique le président.
Clarisse Rasoarizay aura ainsi une deuxième chance de réaliser le minima de 2h 42 mn requis pour les Jeux olympiques de Beijing 2008. Elle y accompagnerait ses compatriotes, le boxeur Soloniaina Jean de Dieu Razanadrakoto et le judoka Elie Norbert. Rien n'est encore joué. « Je ne perds pas espoir et je peux parvenir à avoir le minima. La première course de la saison se révèle difficile mais la suite est toujours plus prometteuse. Comme je l'ai prouvé l'année dernière, j'ai été meilleure aux Jeux des îles de l'océan Indien qu'au championnat de Madagascar disputé à Antsirabe, trois mois auparavant », explique la championne de l'océan Indien.
Objectif réalisable
Elle avait raté de peu ce minima à Maurice en bouclant la distance de 42,195 km en 2h 44'56'', à cause de la difficulté du parcours. La preuve, les gagnants, comme l'Ethiopienne Woudnesh Nega Debelle (2h 44'41'') ou le Sud-africain George Mofokeng chez les hommes, n'avaient pas non plus réussi à atteindre leur objectif.
Clarisse devra ainsi effacer les deux minutes sur la route plate, suivie de quelques collines onduleuses de la Thaïlande. Une mission qui est tout à fait à sa portée selon son entraîneur Jean de La Croix Mahatana. « Ce sera la première fois que Clarisse courra en Thaïlande mais avec le rythme qu'on a adopté depuis le retour de Maurice, je crois en sa réussite », confie-t-il.
Plus de 4 000 participants dont 1 500 coureurs représentant pas moins de 40 pays sont attendus à cet évènement.
 
Soafara Ralaimidona
Date : 21-05-2008


Journée Mondiale pour un Tourisme Responsable - par Moïse

Journée Mondiale pour un Tourisme Responsable

La Coalition Internationale pour un Tourisme Responsable (www.ong-citrr.com) organise la Seconde Edition de la Journée Mondiale pour un Tourisme Responsable. Cet évènement sera organisé les 2 et 3 juin prochains à Paris. Le thème de cette année est : « Le Tourisme comme moyen de Lutte contre la Pauvreté ». Le pays mis à l’honneur est Haïti.
La Coalition Internationale pour un Tourisme Responsable regroupe aujourd'hui des professionnels experts du tourisme, plus de 335 ONG dans 90 pays à travers le monde engagées pour un tourisme responsable, ainsi qu'un comité scientifique composé d'experts des trois piliers du développement durable (économique/équité, social/culturel, environnement/biodiversité). Son objectif est de sensibiliser, informer, dénoncer, convaincre et alimenter le débat autour de l’intérêt de la pratique d’un Tourisme Responsable.
La Journée Mondiale pour un Tourisme Responsable est également organisée au Cameroun, Maroc, Bénin, Burkina Faso, Togo, Mayotte, Niger, Côte d’Ivoire etc.

Voici le programme :

Lundi, 2 juin :
Hôtel Claret - Paris 12ème (44, Rue de Bercy 75012 PARIS)
9h30: Conférence de Presse à l'Hôtel Claret
Librairie Itinéraires - Paris 1er
17h-20h: Présentation du nouveau livre de Jean Pierre Lamic: "Tourisme Durable, Utopie ou Réalité - Comment identifier les voyageurs et voyagistes éco-responsables?" à la Librairie itinéraires 60 rue St Honoré 75001 Paris Métro Chatelet, Louvre Rivoly, Pont neuf.

Mardi, 3 juin - Conseil Régional d’Ile de France, Paris 7ème
De 10h à 17h30 : Conférences, Films et Débats autour des thèmes du Tourisme Responsable, comme Moyen de Lutte contre la Pauvreté ». Pays mis à l’honneur : Haïti. Présence de représentants politiques du Conseil Régional d’Ile de France, d’Haïti, et d’experts français et internationaux du Tourisme.
Contact: contact@ong-citrr.com (adresse non Viadeo)
Site Internet : www.ong-citrr.com


express.gifNosy Be Le site de Mahatsinja et l'arbre sacré - par Moïse

Découvertes
Le site de Mahatsinja et l'arbre sacré

 
Donia n’est pas uniquement de la musique. Il est également une promotion de la culture traditionnelle malgache, notamment celle des Sakalava.
Outre les atouts touristiques de Nosy Be, belles plages, îlots magnifiques, fruits de mer…, le site de Mahatsinja, à l'ouest de Hellville, est une autre richesse de cette île.
Situé à quelques minutes de la ville en empruntant la route vers Andilana, le site de Mahatsinja est très connu pour son arbre sacré. Il s'agit d'un végétal dont le nom scientifique est le ficus.
La particularité de l’arbre sacré réside dans son extension en largeur, où les racines poussent sur chaque tronc et rejoignent petit à petit la terre.
Le site attire beaucoup de touristes depuis sa protection par la commune en 2004. « On a enregistré une augmentation du nombre des visiteurs, avec plus de 6 000 l'année dernière, s’ils étaient 2 500 en 2004. On prévoit cette année à plus de 8 000 visiteurs », précise Zeny Jacques, vice-président de la délégation spéciale de la commune de Nosy Be.
Le site de Mahatsinja compte également des dizaines de lémuriens habitués au contact humain, des crocodiles, ainsi que des tortues. D'autres espèces de faune et de flore sont éparpillées au sein du site dont la superficie est de 4 000 m2.
«Il y a un mariage de plusieurs coutumes sur cet arbre sacré, dont celles des Malgaches, des hindous et des Indiens», explique encore Zeny Jacques. Et d’ajouter, «Notre objectif est de classer ce site comme patrimoine mondial».

Encadré
Une autre vie durant quatre jours

«Donia c'est la fête. Nous sommes venus ici en groupe, et nous avons déployé tous nos moyens pour pouvoir y assister», explique Anicia, une jeune fille venant d'Ambilobe pour faire la fête au Donia.
« On s'acquitte du prix d'entrée. Un fois à l'intérieur, on se débrouille pour trouver de quoi boire et manger» continue-t-elle.
Pourtant, cette situation est quelquefois gênante, la majorité d'entre elles recourant à la «prostitution» pour rehausser l'ambiance. De plus, c'est aussi une occasion pour les amoureux de se rencontrer, et on voit partout au sein du public des couples qui s'embrassent.
Cependant, Donia a été aussi un moyen de communication avec les jeunes. D'où la participation de divers organismes tels que le ministère de l'Education nationale, le CNLS, l'UNICEF, PSI, et le FNUAP.
Ce dernier a fait des sensibilisations durant le festival, notamment en faveur du premier rapport sexuel le plus tard possible, l'utilisation du préservatif, et surtout le message aux parents : « oser parler de la sexualité à ses enfants n'est pas un inceste ».
 
Faly Randriamiarantsoa
Date : 15-05-2008

express.gifUn ouvrier malgache arnaqué à Maurice Il était venu à Maurice pour trouver une vie meilleure. Mais il y aurait vécu une véritable galère. Il pensait pouvoir toucher des salaires de 300 euros par mois. - par Moïse

Employé dans un salon de coiffure
Un ouvrier malgache arnaqué à Maurice
Il était venu à Maurice pour trouver une vie meilleure. Mais il y aurait vécu une véritable galère. Il pensait pouvoir toucher des salaires de 300 euros par mois.
 
L’immeuble abritant le salon de coiffure Sebastian International.

Un Malgache aurait été exploité pendant trois semaines par un Mauri-cien. Ménage, jardinage, peinture, l’homme aurait travaillé des heures entières sans aucune compensation.
«Salon de coiffure Sebastian International recrute coiffeur/coiffeuse/esthéticienne, billet gratuit, logé, nourri. Tél.: 7… ». Cette annonce parue dans un quotidien malgache a, de prime abord, l’air très alléchante. Mais elle se serait avérée être une véritable arnaque pour un ressortissant malgache.
Premier contact à Tana
C’est en février dernier, dans un hôtel à Madagascar, que Michel (prénom modifié) rencontre, pour la première fois, son employeur mauricien. « Après avoir vu l’annonce dans le journal, j’ai contacté cette personne. Elle m’a expliqué que je serais employé en tant que coiffeur dans son salon, pour un salaire de 300 euros (environ Rs 12 000) par mois, avec un supplément de Rs 800 pour la nourriture », explique Michel. Logé, nourri et rémunéré, c’est en toute quiétude que Michel s’envole pour Maurice le 27 mars pour prendre cet emploi.
Mais à peine débarqué à Plaisance, Michel comprend que son nouvel employeur n’aurait pas joué franc jeu avec lui. « Deux autres personnes, employées elles aussi au salon, ont fait le voyage avec moi et nous étions logés au même endroit. Le jour de notre arrivée, je m’attendais à recevoir Rs 800 pour la nourriture. Finalement, nous avons eu Rs 2 000 à se partager à trois pour le mois. Nous n’avons pu tenir qu’une semaine! », s’indigne Michel.

Alexandra Oraison
© La Sentinelle


express.gifLa restitution de l’émeraude malgache étudiée La chambre de l’instruction étudiait hier la demande de restitution de « l’émeraude de Chan ». La justice malgache cherche toujours à récupérer cette pierre précieuse. - par Moïse

La Réunion
La restitution de l’émeraude malgache étudiée
La chambre de l’instruction étudiait hier la demande de restitution de « l’émeraude de Chan ». La justice malgache cherche toujours à récupérer cette pierre précieuse.
 
La gangue de 536 kg incrustée de pierres précieuses est estimée à 100 000 euros.

A défaut de briller en exposition, l’émeraude de Chan fait brûler le torchon entre la France et Madagascar. Cette « émeraude sur gangue », béryl vert sur mica pour les scientifiques, est effectivement une pièce extraordinaire. Un « caillou » de 536 kilos sur lequel sont incrustées de nombreuses pierres précieuses. Un expert l’a estimée à 100 000 euros. A l’heure actuelle, elle est détenue sous scellées à la Réunion, dans une chambre forte tenue secrète.
Hier matin, la chambre de l’instruction de Saint Denis, étudiait la demande par les autorités malgaches de restitution de la pierre précieuse. Elle a mis sa décision en délibéré au 3 juin.
La société Orgaco, propriétaire de l’émeraude, dit en avoir besoin au plus vite. « Cette pierre fait partie d’une exposition de peinture qui doit partir à Hong-Kong sous peu. Nous en avons besoin. L’Orgaco a acquis cette pierre sortie légalement de Madagascar, avec toute la documentation administrative requise. Les douanes malgaches ont appliqué leur visa. Même le directeur des Douanes, Vola Razafindramiandra, s’en est expliqué à la télévision », explique Me Gauthier, l’avocat de la société, pièces à l’appui.
Exportations suspendues
L’affaire de l’émeraude a fait grand bruit, dans la Grande-île. Depuis, le conseil du gouvernement malgache a décidé de suspendre, sans préavis ni indication sur la durée, toute exportation de pierres précieuses. Au grand dam de ses propriétaires, qui voient la pierre bloquée depuis 2 mois.
En effet, la pierre devrait déjà se trouver en Chine, à Canton, en tant que pièce maîtresse de l’exposition du peintre Chan, Ile extrême . La pierre devait être à Canton du 11 avril au 10 mai. Une autre exposition est prévue à Hong-Kong, à partir du 13 juin.

© JIR
 


Date : 08-05-2008

express.gif« Nous recherchons un tourisme de qualité » Le directeur général du Tourisme apporte des éclairages sur le rôle de son département dans la formalisation des établissements touristiques. - par Moïse

Questions à… Marcel Rakotoseheno
« Nous recherchons un tourisme de qualité »
Le directeur général du Tourisme apporte des éclairages sur le rôle de son département dans la formalisation des établissements touristiques.
 

Quels contrôles le ministère du Tourisme vient-il de faire ?
- Les contrôles que nous avons effectués portaient sur le volet administratif et sur le paiement des vignettes touristiques. Nous avons constaté un certain nombre d'infractions. Les hôtels n'étaient pas en règle vis-à-vis de l'administration, ou bien ils ne se sont pas acquittés de leur part de taxes de séjour.
Les contrôles se font-ils de manière systématique ?
- Le ministère et l'Office national du tourisme de Madagascar ont contrôlé 242 établissements dans tout Madagascar au cours du second semestre de 2007. La prochaine mission se fera d'ailleurs au mois de juin.
Quel en est le but ?
- Cette décision entre dans le cadre de la normalisation des établissements touristiques. Il s'agit d'assainir le secteur en vue d'une amélioration de la prestation et de la qualité de l'accueil dans les établissements touristiques.
Quelle est la raison ayant motivé cette décision ?
- L'éternel problème reste la défaillance de la capacité d'accueil tant du point de vue qualitatif que quantitatif. Le nombre insuffisant d'établissements aux normes constituera le défi majeur des autorités. Les prestations en rapport avec les classements ne sont pas toujours respectées, et la notion d'hygiène demeure un sujet délicat. Nous devons faire respecter les normes pour asseoir un tourisme de qualité.
Comment s’effectue le contrôle ?
- L'hôtelier en infraction reçoit un avertissement. Il dispose ensuite d'un délai de huit jours pour déposer un document, appelé mémoire de défense, spécifiant la manière et les actions dont l'intéressé compte entreprendre pour éviter la fermeture de son établissement. Le document peut, par exemple, comprendre un plan d'investissement ou de formation pour le personnel. Selon son contenu, un délai, variable selon le cas, est ensuite imposé à l'hôtel en situation irrégulière pour la mise en oeuvre de ce plan.

Propos recueillis par
 

Doda Andrianantenaina
Date : 07-05-2008

express.gifNosy-Be Sept kilogrammes de feuilles de cannabis compressées et un kilogramme de goudron de cannabis ont été saisis, samedi, à l'aeroport de Nosy-Be. La drogue a été découverte dans les bagages d'un passager à destination de Mayotte. - par Moïse

Nosy-Be
Saisie de cannabis à l'aéroport
Sept kilogrammes de feuilles de cannabis compressées et un kilogramme de goudron de cannabis ont été saisis, samedi, à l'aeroport de Nosy-Be. La drogue a été découverte dans les bagages d'un passager à destination de Mayotte.
 
Nosy-be est souvent le théâtre de toutes sortes de trafics.
Beau coup de filet de la police de l'air et des frontières. Deux personnes, dont une femme, ont été arrêtées samedi à l'aéroport de Nosy-Be. Elles sont poursuivies pour trafic de drogue à destination de Mayotte. Leur arrestation a été motivée par la découverte de sept kilos de feuilles de cannabis et d'un kilo de goudron de cannabis dans les bagages d'un passager.
La marchandise avait été dissimulée dans une baffle. La police de l'air et des frontières l’a remarquée quand le bagage est passé au scanner de contrôle de l'aéroport. L'écran montrait une image étrange dans la baffle qui a été aussitôt enlevée du circuit. Compressées, les feuilles de cannabis se présentaient sous forme de briquettes. Le goudron en tablette ressemblait, lui, à des chocolats.
Après vérification, le propriétaire du bagage, un homme, a été identifié. Il devait prendre le vol de la compagnie Air austral à destination de Mayotte. L'enquête a également débouché sur l'arrestation d'une complice. Cette dernière est le fournisseur de la marchandise qui provient d'Ambanja.
Dans cette affaire, la police n'écarte pas l'hypothèse de l'existence d'un réseau de trafiquants vers l'île Mayotte. L'homme ne serait qu'un convoyeur de la marchandise. Madagascar constitue l'un des pays fournisseurs de drogue vers les îles soeurs de l'océan Indien, comme Maurice, La Réunion, Mayotte et les Comores. L'enquête est en cours.
 
Teholy Martin
Date : 05-05-2008


express.gifLe budget de réhabilitation du palais de la Reine s'élève à Ar 25 milliards. La participation des citoyens est sollicitée pour réunir les 60% de cette somme. - par Moïse

Réhabilitation
Quinze milliards d'ariary pour le Rova
Le budget de réhabilitation du palais de la Reine s'élève à Ar 25 milliards. La participation des citoyens est sollicitée pour réunir les 60% de cette somme.
 
Les techniciens de la reconstruction du Rova Manjakamiadana, satisfaits de l’avancement des travaux.
Le Rova Manjakamiadana nécéssite beaucoup d'argent pour sa réhabilitation, étant par ailleurs devenu patrimoine international.
Les travaux, qui devaient se terminer fin 2007, ne s'achèveront qu'en 2009. L'État malgache a versé 4 milliards d'ariary depuis leur début. Outre cet appui budgétaire, les donations des citoyens se sont élevées à quelque Ar 6,5 milliards 500 millions. Soit Ar 10,5 milliards au total. Il reste donc à trouver 15 milliards d'ariary pour réaliser tous les travaux.
«Nous ne sommes qu'à la fin de la deuxième phase du projet. En 2005, nous avions estimé à 25 milliards d'ariary le coût total du projet. Mais au fur et à mesure que les travaux avancent, le devis change », note Noël Ranivoarimanana maître d'ouvrage du projet.
« Le plus important est que la réhabilitation soit terminée. Nous comptons sur le soutien financier des compatriotes », poursuit-il.
Authenticité
La reconstruction du Rova Manjakamiadana comprend quatres phases de réhabilitation. Les deux premières consistent à relever toutes les façades et les piliers principaux du palais.
Les deux dernières phases seront consacrées à la reconstitution de l'intérieur et de l'extérieur du palais, avec les finitions nécessaires pour préserver l'authenticité du site.
« C'est vrai que nous avons besoin de plus d'argent, mais je pense que ce projet est actuellement sur la bonne voie. Je sais que les Malgaches sont conscients de l'importance du site », affirme Mejamirado Razafimihary, président national du Comité national du patrimoine.
« Jusqu'à ce jour, nous n'avons pas reçu d’aide extérieure. Ce sont des personnes physiques et morales locales qui nous soutiennent. Avec leurs aides, nous y arriverons. Nous pensons finir les travaux jusqu'à la toiture fin 2009 », précise-t-il.
Le palais de la Reine sera réhabilité de telle façon que son authenticité sera préservée. « Nous essayerons d'aller dans ce sens, conformément à la charte internationale de Venise sur la conservation du patrimoine mondial » lance encore Mejamirado Razafimihary.
Les travaux de reconstruction du Rova Manjakamiadana sont le résultat de grands efforts. Sous la direction de l'entreprise Colas, 203 ouvriers et deux spécialistes venant de France travaillent chaque jour au site avec des tailleurs de pierre venant de Mahitsy, et des architectes de métier.
«Nous avons dû reconstruire la façade est du palais au centimètre près. Les pierres devaient être taillées avant d'être replacées.
Nous avons dû remplacer 80 % des pierres », note Philippe Mouer, spécialiste en granite et en reconstruction des vestiges.
 
Juliano Randrianja
Date : 25-04-2008

madagate.gifAPPEL A SOLIDARITE TAHIRISOA JULLIARD - par moise44

 APPEL A SOLIDARITE
Date: 24 April 2008 à 00:00:00 MDT
Sujet: Amitié franco malgache


 


Un étudiant malgache, TAHIRISOA JULLIARD, habitant à Cachan (Ile de France) a disparu de manière tragique dans la nuit du vendredi 4 avril 2008 suite à une noyade dans La Seine.  
Son corps a été retrouvé par les autorités le Samedi 19 avril 2008.
L’organisation des services funéraires est assurée par les pompes funèbres: J. & Y.SPORTES - 82 RUE MARAT - 94200 IVRY SUR SEINE
Le coût total du rapatriement de son corps de PARIS à TULEAR s’élève à 5.500 Euros.
Un appel à la solidarité de tous est lancé pour aider sa famille à faire face à cette dépense. Les sommes réunies seront versées aux pompes funèbres. Le surplus sera remis à la famille au titre du famangiana.
Pour une gestion facile et transparente, toutes les aides  obtenues seront centralisées sur le compte de l’Association FILONGOA qui se chargera de régler les pompes funèbres.  
Un cahier de recettes est disponible sur le site www.filongoa.com pour que chacun puisse exercer son droit de regard sur le détail des recettes et cotisations versées. 
Chèques à libeller au nom de « Association FILONGOA » et l’envoyer à l’adresse suivante :
Association FILONGOA - 31, rue de la Gaité - 91100 ATHIS MONS.
Ou remise en mains propres aux contacts suivants :
Paulin TALIMAHITSY (91)- 06 63 97 53 10 - Faniaha DIMBY B.(92 Nord) – 06 61 85 13 05 - Valérie (Foyer Cachan) – 06 37 78 73 10 - Eddy (Foyer Arago)- 06 37 26 96 39 - Ginot HADJEE(94) – 06 23 04 85 93 - Dr TOKILAGNA (93) - 06 98 66 22 77 - Dr LAHIMASY Hangy (91)
CECI EST UN APPEL A SOLIDARITE,  FAITES –EN UNE TRES LARGE DIFFUSION AUPRES DE VOS PROCHES.
Toute l'équipe de Madagate.com Production France et Madagascar adresse ses sincères condoléances  à toute sa famille et leur assure compassion à leur douleur. 


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