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 Les vols sur Madagascar affichent complets Les vols sur Madagascar affichent complets
- par Moïse
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Compagnies aériennes
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Les vols sur Madagascar affichent complets
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L'arrivée du nouveau Boeing de la compagnie aérienne Air Madagascar devrait améliorer le nombre des touristes pendant la haute saison.
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| La destination Madagascar prisée par les touristes. |
Qu'il s'agisse des vols provenant de la Grande île ou à destination de celle-ci, les compagnies aériennes affichent complets. «Nous avons vraiment du mal à trouver des places dans les avions pour nos clients durant la haute saison», nous confie une responsable de l'agence de voyages Mada Tour &Travel. «Nous avons ainsi perdu beaucoup de clients qui ont préféré reporter leur voyage», continue-t-elle.
Des compagnies aériennes ont en fait demandé aux agences de voyage de réserver des places un an auparavant. Ce qui ne s'avère pas toujours facile du fait que le nombre des touristes qui voyagent dans un groupe n'est pas tout de suite fixé.
«Nous avons effectué des réservations il y a deux à trois mois, et des négocations ont été entreprises avec les compagnie aériennes, mais en vain», déclare notre interlocutrice d'un air désolé. «N'ayant pas obtenu de réponse dans l'immédiat, les clients ont choisi d'autres destinations», poursuit-elle.
Les coureurs désireux de participer à la deuxième édition de la manifestation Isalo Raid sont aussi victimes de ce phénomène de surbooking.
Croissance de 10%
«On attend une centaine de participants pour la deuxième édition qui se tiendra les 26 et 27 juillet, mais certains d'entre eux n'arrivent pas à obtenir des places à bord des avions à destination de Madagascar», confirme l'organisateur Jean-Marie Duval.
Cette situation aura donc des répercussions sur l'arrivée des touristes cette année. «Si les vols reviennent à la normale au début de juillet, l'objectif d'atteindre la croissance de 10 % par rapport à l'année dernière sera réalisé», estime Vola Raveloson, directeur exécutif de l'Office national du tourisme de Madagascar. Le problème ne devra pas en fait perdurer.
Selon les propos du directeur adjoint de la Compagnie Air Madagascar, Robinson Olivier, le nouveau Boeing arrivera à Madagascar à la fin de ce mois. «Les vols seront rétablis étant donné que cet appareil a la même capacité que le dernier», annonce -t-il. De son côté le président du conseil d'administration de l'Office national du tourisme, Joel Randriamandranto, voit la situation d'un autre œil. «Les places disponibles à bord des avions de toutes les compagnies aériennes ont déjà été vendues pour la période juillet-octobre. C'est un signe qu'il y aura du monde à Madagascar» se rassure-t-il.
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Lantoniaina Razafindramiadana
Date : 10-06-2008 |
Grâce à Bouygues, Bruno Mégret s’exile à Madagascar
- par Moïse Grâce à Bouygues, Bruno Mégret s’exile à Madagascar
extrait du site :
http://www.bakchich.info/breve844.html
vendredi 6 juin
L’exil est lointain. Après avoir annoncé qu’il quittait la politique, le 20 mai dernier, dix ans après son départ du Front national dont il était le numéro 2, le président du Mouvement national républicain (MNR), Bruno Mégret a également prévu de quitter la France : il va déménager et démarrer une nouvelle carrière à Madagascar, loin de la politique. Une filiale de Bouygues a prévu de le recruter pour le marché local.
Grâce à un Villeneuvois, les Ch'tis fêteront Dany Boon à Madagascar
- par Moïse
Boom minier La croissance du secteur minier expose les enfants à de nombreux risques. Des stratégies sont actuellement en conception pour éviter le pire.
- par Moïse
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Boom minier
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Les droits des enfants menacés
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La croissance du secteur minier expose les enfants à de nombreux risques. Des stratégies sont actuellement en conception pour éviter le pire.
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| Beaucoup d’enfants passent la moitié de leur temps dans les carrières. |
Une situation inquiétante menace les enfants à Madagascar. Une récente étude faite par le Bureau international du travail (BIT) et l'Unicef montre que le développement de l'exploitation minière peut favoriser le travail et l'exploitation des enfants.
La croissance des projets miniers peut violer les droits fondamentaux des enfants dont le droit à l'éducation, le droit à l'identité et le droit d'être protégé de toutes formes de violence et d'exploitation économique. « Beaucoup de zones d'exploitation minière sont loin des écoles publiques alors que les parents encouragent souvent leurs enfants à fréquenter ces zones pour gagner de l'argent », constate un ancien chef de fokontany près du gisement de tourmaline d'Ambatofitorahana.
Véritable risque
« Le développement du secteur représente véritablement un risque pour la protection de l'enfant et accroît sa vulnérabilité. Tous les partenaires, à tous les niveaux, doivent se mobiliser pour mettre en oeuvre des mesures structurées », explique Francesco d'Ovidio, conseiller technique principal du Programme international de lutte contre le travail des enfants.
Tout le monde se rappelle de la situation dans les zones d'exploitation de saphir d'Ilakaka et de Sakaraha, où la majorité des enfants qui travaillent ont moins de 15 ans. Dans ces mines, 79% des enfants affirment avoir travaillé dans des espaces confinés et dangereux. Un enfant mineur y gagne environ 1 000 Ariary par jour.
Bruno Maes, représentant de l'Unicef à Madagascar, appelle toutes les entreprises du secteur à instaurer un environnement qui protège l'enfant. « La responsabilité sociale doit être mise en valeur avec la croissance du secteur minier », ajoute-t-il.
Le projet Ambatovy, un des grands projets miniers du pays, assure qu'aucune personne mineure ne peut travailler chez eux. « Les procédures d'embauche ne le permettent pas. D'ailleurs, toutes les mesures sont déjà prises », souligne Jean Aimé Rakotoarisoa, directeur social du projet Ambatovy.
Encadré
Sept sites cibles
Sept sites sont identifiés comme prioritaires pour les actions de lutte contre le travail des enfants. Ceux d’Antanimbary, dans la région de Betsiboka, d’Andilamena dans la région d’Alaotra Mangoro et de Betafo dans la région du Vakinankaratra ; ainsi que d'autres sites dans les régions de Diana, Atsimo Andrefana, Ihorombe, Betsiboka et Anosy.
Le gouvernement malgache, avec le programme IPEC du Bureau international du travail (BIT) et l'Unicef, comptent y intervenir pour voir de près la situation et faire le diagnostic avec les acteurs locaux.
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Fanja Saholiarisoa
Date : 30-05-2008 |
Rossy à Antsahamanitra
- par Moïse
Spectacle
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Rossy à Antsahamanitra
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Pour ceux qui ont raté la « folie » d'Antsonjombe, ils auront droit à une autre chance pour retrouver le roi du tapôlaka le 15 juin à Antsahamanitra.
« À la demande de nombreux fans, un spectacle en salle a été déjà prévu avant que Rossy parte en France. Je n'ai pas obtenu le Palais des Sports. Toutefois, Antsahamanitra est le seul lieu pouvant satisfaire le public amateur de tapôlaka », affirme Jaobarison Randrianarivony, directeur général de Médias Consulting et organisateur de spectacle.
Dans une semaine, Rossy et son équipe continueront « Ino vaovao tour » à Toamasina, avant de rejoindre la ville d'Antsirabe le 7 juin pour un autre spectacle.
Le chanteur clôturera sa tournée à Fianarantsoa. Le roi du tapôlaka partira en France pour participer au Festival d'été après la fête nationale du 26 juin.
Le public en redemande. Des milliers de personnes ont dû rentrer bredouille lors du spectacle d'Antsonjombe.
« Nous sommes venus pour apprécier ce concert. Faute de billet et avec une sonorisation médiocre, on voudrait revivre ce moment avec plus de décibels et de nostalgie avec le maître du tapôlaka », lance Germain un de ses fans.
Rossy projette de composer une chanson en hommage à Perline, décédée, une amie d'enfance et l'une des prestigieuses divas du hira gasy.
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Date : 27-05-2008 |
Photographie aérienne Vincent Verra, Gérard Fournier, deux photographes amateurs, ont sillonné la Grande île pour prendre des photos aériennes. Ils en exposent une centaine au Sakamanga jusqu'à samedi.
- par Moïse
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Photographie aérienne
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Madagascar pris à la verticale
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Vincent Verra, Gérard Fournier, deux photographes amateurs, ont sillonné la Grande île pour prendre des photos aériennes. Ils en exposent une centaine au Sakamanga jusqu'à samedi.
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| Vincent Verra devant quelques-unes des photos exposées au Sakamanga. |
Du lac Anakao au fin fond de la région sud, les deux photographes ont pour objectif de faire connaître les modes de vie des Malgaches et de partager leurs œuvres avec les enfants du Sud de Madagascar.
« Nous avons lancé cette aventure un peu par hasard. Mais dans l'action, nos émotions ont été plus fortes. Pourquoi ne partagerait-on pas ce formidable panorama aux gens », lance Vincent Verra, un vrai passionné de la photographie.
50 heures de vol
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Les deux compères effectuent 5 heures de photos par jour, soit au total 50 heures de vol à travers la Grande île. Vincent Verra et Gérard Fournier se réveillent à l'aube afin de réaliser de beaux clichés.
« Le matin, la visibilité est plus adéquate pour mettre en boîte de magnifiques photos, en particulier dans les régions sud », précise Vincent Verra.
Volant à 130 kilomètres à l'heure, les deux photographes ont pris leur temps pour traquer la plus belle de toutes les photos à travers l'île.
« A plus de 100 km/h, c'est un peu difficile d'atteindre l'objectif. Nous avons dû effectuer certains détours pour obtenir de belles prises de vue. En tout nous avons pu prendre 10 000 photos pendant ces 50 heures de vol », souligne t-il.
Juliano Randrianja
Rossy pour un méga Tapôlaka Le moment est venu pour Rossy de retrouver le public tananarivien. Le retour du roi du tapôlaka, à Antsonjombe ce dimanche, promet d’être chaud.
- par Moïse
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Spectacle
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Rossy pour un méga Tapôlaka
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Le moment est venu pour Rossy de retrouver le public tananarivien. Le retour du roi du tapôlaka, à Antsonjombe ce dimanche, promet d’être chaud.
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| A force de répétitions, le concert d’Antsonjombe de Rossy vise la perfection. |
Il est loin le temps, en 2002, où l’on vivait l'ambiance d'un certain «Tapôlaka glady» dans la Grande île. Finalement ce dimanche 25 mai sera le moment opportun pour faire la fête. Une quarantaine de morceaux seront chantés pour répondre à la soif du public malgache. Tant attendu par ses fans, «Ino vaovao» de Rossy a déjà fait des « ravages » dans les provinces.
Les tournées de Rossy ont été des réussites. « Nous nous sommes amusés avec le public à Ambatondrazaka, au Donia et dans quelques villes du Nord. L'équipe est déjà rôdée et nous sommes fin prêts pour rencontrer les amateurs de tapôlaka de la capitale. J'espère que l’ambiance sera plus explosive pour Antananarivo», lance Joséphine.
Deux formations
Des invités surprises ouvriront le spectacle. Rossy et son équipe entreront en scène vers 15 heures. Le répertoire du groupe comporte une quarantaine de titres.
De «Any malala» à «Ino vaovao», en passant par « Mbola ho avy izy e », le spectacle promet d'être riche en nostalgie. Toutefois, les nouvelles compositions ne seront pas mises en veille. «Nous essaierons de satisfaire le public. C'est notre priorité et notre but ultimes», affirme encore Joséphine.
Le roi du tapôlaka sera soutenu par deux formations. Ralava (batteur) et quelques musiciens locaux vont rallier pour orchestrer les anciens morceaux. Une autre formation, composée de musiciens résidant en France à l'instar de Yoann (Cornemuse), Zaza et Solofo au clavier, Liva à la basse, complétera la clique.
Ces deux line up se succéderont jusqu'à la tombée de la nuit à l’occasion de « Io ary le vaovao ». Rossy et son équipe continueront «Ino vaovao tour » dans quelques régions. Toamasina, Fianarantsoa, Moramanga... seront les autres étapes pour les amateurs du «Tapôlaka».
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Juliano Randrianja
Date : 23-05-2008 |
Les Etats-Unis ont fourni lundi à Madagascar 4 600 livres en anglais et dans diverses matières.
- par Moïse
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ANTANANARIVO, 20 mai (Xinhua) -- Les Etats-Unis ont fourni lundi à Madagascar 4 600 livres en anglais et dans diverses matières.
Ces livres, d'une valeur d'environ 1,9 million de dollars, ont été offerts par l'ambassadeur des Etats-Unis à Madagascar, Niels Marquardt, au vice-ministre malgache de l'Enseignement supérieur et technique et de la formation professionnelle, Ying Vah Zafilahy.
L'Agence américaine pour le développement international ( USAID) a offert son assistance pour l'achat et la livraison de ces livres.
Selon la Constitution approuvée par le référendum national en avril de l'année dernière, l'anglais est l'une des trois langues nationales dans la grande île de l'Océan Indien.
Le malagasy et le français sont les langues les plus courantes à Madagascar, dont la population atteint jusqu'aux 18 millions de personnes.
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http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-05/21/content_636505.htm
Madagascar a fait don de 100. 000 dollars mardi à la Chine où un séisme de magnitude 8 a coûté la vie, le 12 mai, à plus de 40.000 personnes jusqu'ici.
- par Moïse
| Madagascar fait don de 100.000 dollars à la Chine suite au fort séisme |
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2008-05-21 10:35:01 |
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ANTANANARIVO, 19 mai (Xinhua) -- Madagascar a fait don de 100. 000 dollars mardi à la Chine où un séisme de magnitude 8 a coûté la vie, le 12 mai, à plus de 40.000 personnes jusqu'ici.
Le ministre malgache des Affaires étrangères Marcel Ranjeva a remis ce don à l'ambassadeur de Chine à Madagascar Wo Ruidi, lorsqu'il s'est rendu mardi matin à l'ambassade de Chine pour présenter ses condoléances et rendre hommage aux victimes du tremblement de terre qui a secoué la province chinoise du Sichuan (sud-ouest).
M. Ranjeva a déclaré à l'ambassadeur de Chine que le gouvernement malgache et le peuple partagent les douleurs et les souffrances des peuples chinois et tient à fournir une assistance aux familles endeuillées.
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http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-05/21/content_636516.htm
Crise alimentaire Marc Ravalomanana mobilise les partenaires de développement de Madagascar, en vue d'une solidarité face à la crise alimentaire mondiale. Il a annoncé, hier, des mesures de prévention
- par Moïse
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Crise alimentaire
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L’état annonce des mesures
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Marc Ravalomanana mobilise les partenaires de développement de Madagascar, en vue d'une solidarité face à la crise alimentaire mondiale. Il a annoncé, hier, des mesures de prévention
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| Le président Ravalomanana, hier, à Iavoloha. |
L'alerte est donnée. Le président de la République, Marc Ravalomanana, a profité de la cérémonie de clôture de la formation des maires à Iavoloha, hier, pour attirer l'attention des Malgaches sur les éventuels impacts de la crise alimentaire mondiale sur la Grande île.
Selon le chef de l'État, les difficultés rencontrées par plusieurs pays dans le monde n’atteignent pas encore Madagascar. Les agriculteurs procèdent actuellement à la récolte. Cependant, des mesures préventives s'imposent. « Dans 6 mois, en octobre ou novembre, nous risquons de connaître des difficultés », a-t-il anticipé.
Vision prévisionniste
Marc Ravalomanana a, ainsi, annoncé une « compensation » afin de maintenir, entre autres, les frais de transport, ainsi que le prix des produits de première nécessité (PPN) sur les marchés. « Les transporteurs qui maintiennent leurs tarifs malgré la hausse des prix des carburants bénéficieront de compensations pécuniaires de la part de l'État », a-t-il exprimé pour illustrer ses dires.
Même mesure pou
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| Les maires accueillant les déclarations présidentielles par un tonnerre d’applaudissements. |
r les producteurs de PPN. Le Président a pris comme exemple le cas du Tiko qui, selon lui, a déja joué le rôle de régulateur des prix de l'huile et de la farine.
De son côté, le premier ministre Charles Rabemananjara a rappelé, dans son discours, l'importance des cultures de contre-saison. « Heureusement que la crise alimentaire n'atteint pas encore Madagascar », se réjouit-il.
De leur côté, les partenaires de développement de Madagascar s'organisent eux aussi dans cette même vision prévisionniste. Les représentants du système des Nations unies, du Fonds monétaire international, de la Banque mondiale, de l'Organisation des Nations unies pour l'agriculture et du Programme alimentaire mondial ont rencontré Marc Ravalomanana, hier matin, au palais d'État d'Iavoloha.
Ils ont rendu compte au chef de l'État, des travaux entrepris avec le gouvernement pour faire face à la situation de difficulté alimentaire qui prévaut sur le plan international.
Le coordonateur résident du système des Nations Unies, Xavier Leus souligne aussi que cette crise ne sévit pas encore à Madagascar. Mais la prévention est impérative. « Il faut voir comment aider les pauvres, surtout à Madagascar, à faire face au coût de la vie », lance-t-il pour résumer la réflexion que les partenaires ont eue avec le président.
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Fano Rakotondrazaka
Date : 21-05-2008 |
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