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 Les rendez-vous de la Fête nationale Du vakodrazana à la musique urbaine
- par Moïse
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Festivités
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Les rendez-vous de la Fête nationale
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Du vakodrazana à la musique urbaine, l'«Arendrina» avec Iraimbilanja et un retour de quelques stars nationales pour clôturer la fête nationale, voici des rendez-vous pour les fêtards de la capitale. Les nuits risquent d' être plus longues à partir de ce soir avec un programme à ravir toute les générations. Deux jours de liesse populaire avec des centaines artistes au choix, alors faites vos plans.
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Mercredi 25 juin :
Jardin d'Ambohijatovo à 10 heures : Hira gasy. Du Hira gasy avec Rapaolison de Mandiavato et Ratovoson Ampahimanga. Ce sera une occasion d'apprécier deux maîtres de la musique traditionnelle des Hautes terres. Quoi que peu connus dans l'art oratoire, ces deux artistes possèdent un talent exceptionnel dans le kabary. À découvrir.
Podium du 13 mai à 14 heures 30 : Kela, démo de Hip hop et Tektonik, Baobab, Vilon'Androy et Poon. Le podium du 13-mai offrira un plateau pour les jeunes talents, avec la participation de quelques artistes de styles divers. Avec l'«Urban sound», les adeptes de la danse hip-hop et du tectonik pourront se régaler. Poon, le dernier prince de Pazzapa offrira un avant-goût de son premier album. Cet après-midi de fête pourra ravir les jeunes.
Anosy à 17 heures 30 : Feux d'artifice. Comme
à l'accoutumée, les Tananariviens pourront apprécier les feux d'artifice dès 17 heures 30 au lac Anosy. Pour cette année, le rituel est programmé un peu en avance pour éviter les embouteillages et permettre à tout le monde d'assister aux autres réjouissances.
Antsahamanitra à 18 heures : Arendrina avec Iraimbilanja. Après plusieurs mois de préparation, Iraimbilanja est fin prêt pour retrouver ses fans à Antsahamanitra. Avec comme enjeux majeurs, la grande célébration du 25e anniversaire du groupe, la réédition de l'Arendrina et un coffret de deux disques regroupant tubes classiques et nouvelles chansons. Un concert à ne pas rater.
Place du 13-mai à 20 heures : Bal populaire. Le bal populaire s'ouvrira à partir de 20 heures. Dago mix, DJ Ampela et Dhivin animeront la soirée jusqu' à l'aube. Parallèlement à la fête du podium, un mitabe au stade municipal de Mahamasina étoffe le rendez-vous de cette soirée. Un concours de chants et de danse organisé à travers les six arrondissements de la commune urbaine d'An
tananarivo entamera sa phase finale à 20 heures.
Le Bus Antanimena à 20 heures : Jaojoby. Le Roi du salegy change un peu de registre. Pour cette soirée, Jaojoby Eusèbe présentera son nouvel album « Donant Donant». Un avant-goût qui promet d'être bénéfique pour les mélomanes de la capitale. Il sera accompagné par ses filsainsi que les musiciens ayant participé à ce nouvel album, à l'instar de Nicolas Vatomanga et Seta (saxophone), Jimmy (percussions et batterie) , Tàna Gospel Choir, Solo Andrianasolo.
P'tit Tana Isoraka à 20 heures : Album Music. Pour les amateurs d'escapade en belle musique, Album Music sera de nouveau au P'tit Tana ce soir. Comme toujours, faire revivre la belle époque des Shadows, ces princes de l'instrumental, pionniers du rock britannique.
J.R. Restaurant Anosivavaka à 21 heures : Sakaiza. Après le concert au CCESCA en décembre, Sakaiza retrouvera la scène, ce soir au JR Restaurant Anosivavaka. Toujours en promotion du premier album « Efa fantatro hainao », le groupe tamatavien promet une soirée éléectro-acoustique.
Coffee Bar Antanimena à 21 heures : Silo. Cela fait belle lurette que Silo ne s'est pas présenté à titre personnel. Ce soir, le clavériste-guitariste invite les mélomanes à le joindre à son univers « silogik », au Coffee Bar.
Jeudi 26 juin - Stade municipal de Mahamasina à 9 heures. Défilé militaire à Mahamasina avec comme thème «Vahoaka sy ny foloalindahy, miasa miaraka, fandriampahalemana sy fampandrosoana ho reharehan'i Madagasikara».
Podium du 13-mai à 14 heures 30 : Poopy, Jaojaoby, Bekoto du groupe Mahaleo et Rossy. Les grandes stars se rallieront pour clôturer la fête de l'Indépendance. Avec le grand retour de Jaojoby et Rossy, cet après-midi promet d’être torride avec un spectacle inédit et des retrouvailles qui pourront ravir le public malgache.
P'tit tana Isoraka à 20 heures : Sang'hay. Le P'tit Tana promet de belles rerouvailles avec les jeunes maîtres de la musique fusion du Sud-est. L'éclectisme est de mise dans ce cabaret d'Isoraka, car le lendemain, on aura du rock avec Idem.
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Date : 25-06-2008 |
21 juin Diverses sonorités traditionnelles et contemporaines, de la danse ont marqué la Fête de la musique dans la capitale.
- par Moïse
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21 juin
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Grandiose Fête de la musique à Tana
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Diverses sonorités traditionnelles et contemporaines, de la danse ont marqué la Fête de la musique dans la capitale.
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| Tambours Gasy, toujours présent à chaque fête populaire. |
Madagascar dans le bain. A l'instar de 140 pays du monde entier, Madagascar a manifesté son enthousiasme pour la Fête de la musique célébrée tous les 21 juin. Dans la capitale, deux manifestations grand public ont particulièrement attiré l'attention.
La première s'est déroulée en deux soirées au Centre culturel Albert Camus. Le traditionnel a été au menu dans une première soirée, celle du vendredi, marquée par une forte représentation de la musique du Sud et du Sud-ouest : Tsiverilaza, Vaovy, Théo Mikea, Fataka, Médicis, Nainako, Vilon'Androy et aussi Jean Emilien et Tambours Gasy, pour la musique des Hauts-plateaux.
Spectacle inédit
« Célébrer la Fête de la musique avec tous les pays du monde, c'est éprouver la communion pour une passion qui unit tous les pays et toute l'humanité », déclare Jean Emilien, un maître du horija betsileo. Sinon, la seconde journée a été dédiée aux musiques dites urbaines, avec onze formations évoluant avec le rap et le rock.
La seconde, l'inédite de l'année, c'est sans doute le carnaval coorganisé par la Commune urbaine d'Antananarivo et Telma. Parti du siège de l'Alliance française d'Andavamamba, avec Andry Rajoelina, maire d'Antananarivo, en tête du carnaval, l'événement a vu la participation de diverses entités artistiques et sociales : musiciens, danseurs, comédiens, clowns, sportifs, collectionneurs automobiles, travestis, etc.
En passant dans les quartiers populaires comme les 67 ha, Antohomadinika, Vassacoss, le carnaval a été ovationné par une foule immense. Celle-ci n'arrêtait pas de crier et de siffler pour témoigner son admiration pour cet événement inédit.
A la place du 13 mai, destination finale de ce défilé, un public d'environ 10 000 personnes attend déjà. Un spectacle haut en couleurs s'est tenu durant trois heures. Tous les genres musicaux y sont passés, interprétés par de nombreux artistes venus des quatre coins du pays.
À chacun sa manière d'apprécier ce moment exceptionnel. Presque toutes les stations radios ont tenu à rendre hommage à cette journée. Les journalistes culturels et les artistes se sont donné rendez-vous au Piment Café pour des interviews improvisés. Ainsi, on peut dire que petit à petit, la célébration court vers une mobilisation générale.
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Hernan Rivelo
Date : 23-06-2008 |
Pour la fête de la Musique, la Place du 13 Mai sera le grand rendez-vous de la jeunesse. Dix jours de festivités où les adeptes de musique urbaine pourront découvrir une vingtaine de groupes de la capitale.
- par Moïse
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Fête de la Musique
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« L’urban sound à l’honneur »
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Pour la fête de la Musique, la Place du 13 Mai sera le grand rendez-vous de la jeunesse. Dix jours de festivités où les adeptes de musique urbaine pourront découvrir une vingtaine de groupes de la capitale.
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| Le hip-hop reste le courant musical de référence. |
Aujourd'hui marque le coup d'envoi de la fête de la Musique. En plus de la prestation de groupes de rock et de rap au Centre culturel Albert Camus cet après après-midi, les inconditionnels de hip-hop pourront danser sur du rap made in Madagascar avec Raboussa, Shao Boana, Tax, Karnaz... Demain à 14 h 30, sur la Place du 13 Mai, démonstration de danse tecktonik par les lycéens de la capitale. Le lundi soir, à partir de 19 heures, même lieu, les rockers ne sont pas oubliés. Iary ouvrira la messe en compagnie d'un vieux loup du rock malgache, Black Jack en personn
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| Iary et Black Jack, un grand souffle de rock malgache. |
e. Egalement de nouveaux groupes à découvrir comme Makiavelik ou Masoivoho Komity.
Avoir un maire impliqué depuis dix ans dans l'organisation d'évènements festifs est un atout pour la promotion des jeunes talents de la capitale. Soutenu par Telma avec l'appui de l'Alliance française d'Antananarivo, deux évènements majeurs plongeront les Tananariviens dans une ambiance de folie musicale pendant plusieurs jours.
« Comme je suis jeune moi-même, les festivités culturelles de ces quelques jours seront dédiées à la jeunesse», explique Andry Rajoelina, maire de la commune urbaine d'Antananarivo. «Il faut que ça bouge car nous sommes l'avenir », ajoute-t-il. Quant à Telma, partenaire officiel de l'évènement, son but est de faire de ce partenariat un grand moment de liesse populaire dans tous les arrondissements de la capitale.
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Juliano Randrianja
Date : 21-06-2008 |
Ecotourisme Un guichet unique à Andasibe La demande de visite et de prestations de service d'un guide au parc d'Andasibe passe désormais par un guichet unique. Son ouverture met un peu d'ordre.
- par Moïse
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Ecotourisme
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Un guichet unique à Andasibe
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La demande de visite et de prestations de service d'un guide au parc d'Andasibe passe désormais par un guichet unique. Son ouverture met un peu d'ordre.
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| Des touristes japonais visitant le parc national d'Andasibe-Mantadia. |
Un guichet unique est ouvert au parc d'Andasibe. Sa mise en place fait suite à la concertation des tours opérateurs, du ministère de l'Environnement, des eaux et forêts et du tourisme, ainsi que de l'Association nationale pour la gestion des aires protégées (ANGAP).
Les touristes visitant le parc national d'Andasibe et désirant les services d'un guide, s'acquittent d'une somme d'argent à un guichet à l'entrée, en contrepartie de ces services.
Auparavant, les visiteurs payaient directement leurs guides. Ce qui entraînait des traitements différents selon les circonstances.
«Le problème de guidage au niveau des parcs nationaux, surtout Andasibe, ternit l'image de la destination écotouristique à Madagascar. La désorganisation de l'accueil, le racolage des touristes dans les hôtels et l'arnaque sur des tarifs exorbitants pendant la haute saison dérangent le secteur», explique une responsable de l'écotourisme au sein de l'ANGAP.
Ainsi, le Parc national d’Andasibe-Mantadia a été retenu comme parc pilote pour l'ouverture d'un guichet unique.
Mais cette initiative n'a pas fait des heureux au début. Les guides du parc ont entamé une grève le 10 juin pour manifester leur mécontentement, et sans avertir la direction du parc national.
«Des mesures d'urgence ont dû être prises pour satisfaire les touristes arrivés par dizaines à ce moment-là. Toutefois, les guides ont repris leur service dès le lendemain», explique la responsable.
Une réunion a été organisée, le 12 juin, avec des représentants de la région d'Alaotra Mangoro, des responsables ministériels et de la direction de l'ANGAP, et les guides eux-mêmes.
Engagement
«Le concept de guichet unique a été accepté à l'unanimité. Les guides qui travaillent dans le parc seront ainsi soumis à des règlements internes», explique le chef de région, présent à cette rencontre.
Il a été convenu qu'un représentant des guides du parc pourra travailler auprès du guichet unique.
«En même temps, un délai de 15 jours a été accordé aux guides pour qu'ils rédigent des propositions ayant trait au contenu de leurs engagements individuels et associatifs», conclut la responsable au sein de l'Angap.
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Fanja Saholiarisoa
Date : 21-06-2008 |
Intégration régionale La création de la zone de libre-échange de la SADC sera effective au mois d'août, lors du sommet des chefs d'Etat. Madagascar sera parmi les pays concernés.
- par Moïse
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Intégration régionale
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Madagascar adhère au libre-échange
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La création de la zone de libre-échange de la SADC sera effective au mois d'août, lors du sommet des chefs d'Etat. Madagascar sera parmi les pays concernés.
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| Timothy Chisembwere, consultant de la SADC s’adressant à l’assistance. |
Madagascar intégrera la zone de libre- échange de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) au mois d'août. Cela signifie que 85% des produits en provenance des 14 pays membres seront exonérés de taxe douanière.
Face à cette intégration, les opérateus privés et les représentants du secteur public ont de nouveau été sensibilisés et informés sur les avantages et les points clés du protocole de commerce. Les règles d'origine des produits au sein de la SADC figurent parmi les points abordés hier au cours d'un atelier initié par l'USAID.
« D'après un audit effectué dans les pays membres, il a été recommandé de sensibiliser les acteurs publics et privés sur l'intégration régionale, notamment sur les procédures d'exportation et d'importation », annonce Teckerson, chargé de programme à Madagascar. Des spécialistes venant du Kenya sont intervenus lors de l'atelier.
« Il est important que les membres du secteur privé maîtrisent les aspects de ce protocole pour pouvoir conquérir le marché de 250 millions de consommateurs », annonce le directeur général du commerce, Mahazoasy Freddy.
Un potentiel énorme
Une stratégie précisant des actions concrètes dont l'instauration d'un fonds d'appui, des assistances techniques sera élaborée conjointement par l'Etat et le secteur privé.
« L'objectif est de rendre les opérateurs plus compétitifs et de percer de nouveaux marchés autres que dans les pays européens et américains », poursuit le directeur général. En contrepartie, les produits agricoles comme les produits semi-travaillés ont un potentiel énorme pour le pays.
En ce qui concerne la Comesa, Madagascar adhérerait à l'Union douanière en décembre. La décision finale revient aux autorités. Selon les explications d'un technicien du ministère de l'économie, du commerce et de l'industrie, l'adhésion au sein de deux unions douanières n'est pas possible dans la pratique.
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Lantoniaina Razafindramiadana
Date : 18-06-2008 |
Rossy reconquiert Tana Le « Tapôlaka Glady » a renoué avec la gloire samedi et dimanche sur son lieu d'éclosion.
- par Moïse
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Spectacle
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Rossy reconquiert Tana
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Le « Tapôlaka Glady » a renoué avec la gloire samedi et dimanche sur son lieu d'éclosion.
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| La prestation de Rossy a suscité une véritable liesse populaire. |
À travers deux spectacles hauts en couleur, Rossy et toute sa bande ont une fois encore démontré leur grand professionnalisme. Comme d'habitude, et il fallait s'y attendre, les deux rendez-vous ont suscité une véritable liesse populaire. Que ce soit samedi ou dimanche, chaque chanson a fait mouche dans la foule, invitant les spectateurs à lever le pied pour danser. Une manière efficace de contrer le froid hivernal qui commence à sévir dans la capitale.
La maîtrise de la scène a tout de suite rappelé la grande époque de Tapôlaka Glady qui a vu sa naissance dans ce même lieu. Le chanteur rasta était entouré d'une trentaine de musiciens, danseurs et choristes.
La cohérence et l'harmonie ont été de mise pour aboutir à un spectacle de grande qualité. Au niveau de la sonorisation, c'est impeccable : « Nous avons tiré la leçon d'Antsonjombe », confie Jaobarison Randrianarivony, directeur de Média Consulting et initiateur de Ino vaovao Tour.
Spéculateurs
Malgré ce succès, une petite mésentente pour l'obtention du ticket d'entrée a mis un peu d'ombre au premier concert de samedi. Une foule considérable a créé un attroupement à l'entrée de la Verdure : « Ou sont les tickets ? », s'écriait-on devant une force de l'ordre qui ne pouvait rien faire pour soulager ce genre de stress.
Dans le circuit spéculatif, le ticket était proposé à 8 000 ou 10 000 Ar, au lieu du tarif normal de 6 000 Ar. C'est ainsi que plusieurs fans déçus ont dû rentrer chez eux, faute de pouvoir s'en payer un. Du côté de Média Consulting, on évoque la prudence. Comme Jaobarison Randrianarivony : « Nous avons limité le nombre des tickets et prévu de ne plus en vendre sur le lieu pour les deux journées de spectacle, afin d'éviter tout débordement ».
Heureusement, la situation est revenue à la normale pour le second concert. L'affluence était au maximum, sans créer le moindre trouble au niveau de l'ordre. Ce qui ajoute encore des points au bilan déjà supérieurement positif, dans la capitale comme dans les provinces.
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Hernan Rivelo
Date : 16-06-2008 |
Mahajanga Un Français a été tué lors d'une altercation. Un problème de loyer serait à l’origine du drame.
- par Moïse
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Mahajanga
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Un ressortissant français tué dans une bagarre
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Un Français a été tué lors d'une altercation. Un problème de loyer serait à l’origine du drame.
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Venu rendre visite à son frère à Mahajanga, un ressortissant français a trouvé la mort dans une bagarre. Il s'agit de Jean-Louis Benejean. Grièvement blessé dans une altercation qui l'avait opposé avec un concitoyen, ce chef d'entreprise de 49 ans a succombé le 7 juin à l'hôpital dAmbondrona.
Selon la gendarmerie de Mahajanga, une bagarre a éclaté entre les deux parties alors qu'elles buvaient ensemble dans le quartier d'Amborovy. Hébergé par son frère, le défunt avait discuté d'un problème de loyer avec le présumé meurtrier, qui est également un chef d'entreprise à Amborovy. Le litige a alors dégénéré en un véritable combat sans merci.
Hémorragie
Des passants ont tenté de les séparer, en vain. Alerté, le frère de la victime est intervenu avant d'amener cette dernière à son domicile. A peine rentré, Jean-Louis Benejean a vomi du sang, tandis qu'il saignait du nez. Surpris, le frère l'a amené à l'hôpital. Quelques minutes plus tard, il s'est éteint.
Le constat du médecin révèle que le décès a été causé par une hémorragie interne due à des ruptures de vaisseaux. La section de recherche de la gendarmerie nationale à Mahajanga se charge de l'enquête que le consulat de France dans la capitale du Boina suit de près.
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Teholy Martin
Date : 13-06-2008 |
Trente dauphins trouvés morts à Antsohihy
- par Moïse
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Biodiversité
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Trente dauphins trouvés morts à Antsohihy
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Un fait marquant dans la biodiversité. Trente dauphins ont trouvé la mort dans leur tentative de trouver refuge au port d'Antsohihy. Ces dauphins étaient repérés depuis le 31 mai au large de la baie de Laloza. Leur comportement était inhabituel et ils voulaient se rapprocher de la côte. Mais l'échouage a engendré leur mort. Une soixantaine de dauphins se trouvent encore dans la baie, mais très fatigués et en piteux état.
Pour les protéger, la région Sofia a mobilisé la population d'Antsohihy pour les ramener au large. Mais leur initiative a été vaine car les dauphins reviennent toujours dans la baie. Les spécialistes venus sur les lieux annoncent que leur fatigue visible pourrait être fatale à ces cétacés, surtout à marée basse.
Pour prévenir une autre menace, la population a été formée sur la récupération des dauphins morts dans les mangroves, afin de les remettre à la mer. La consommation de leur viande dans ces conditions est formellement interdite. En cela, un comité ad hoc a été mis en place. Le ministère de l'Agriculutre, de l'élévage et de la pêche, celui de l'Énergie et des mines et celui de l'Environnement se donnent la main avec les organisations internationales, pour définir les mesures d'urgence. Des vétérinaires et spécialistes en mammifères marins sont attendus depuis hier sur les lieux, pour constater de visu le cas de ces malheureux animaux.
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Fanja Saholiarisoa
Date : 09-06-2008 |
Questions à… Narisoa Rajaonarivony, L'ambassadeur malgache en France parle de sa contribution dans la mise en œuvre du Plan d'actions pour Madagascar (MAP)
- par Moïse
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Questions à… Narisoa Rajaonarivony, Ambassadeur
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« Boucler le financement du MAP avant 2012 »
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L'ambassadeur malgache en France parle de sa contribution dans la mise en œuvre du Plan d'actions pour Madagascar (MAP).
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Quelle instruction avez-vous reçu pour la mise en œuvre du MAP ?
Les missions diplomatiques malgaches sont appelées à exécuter la politique de Madagascar dans le domaine de promotion du Plan d'actions pour Madagascar. Nous, ambassadeurs, devons sensibiliser les acteurs potentiels du développement à prendre part à sa réalisation.
Concrètement, quelles actions avez-vous initié en France ?
En France, nous entamons une sensibilisation de tous les acteurs du développement des secteurs privé et public, pour acquérir leur adhésion dans la mise en œuvre du MAP. Nous comptons aller jusqu'au niveau départemental.
Les rencontres avec les partenaires s'effectuent-elles d'une façon systématique ?
Après quatre mois de prise de poste, j'ai déjà été en contact avec l'Agence française pour le développement (AFD) afin de connaître les tenants et aboutissants de son programme d'actions. J'ai mené la même démarche auprès des autres partenaires pour essayer de voir comment nous pouvons élaborer une stratégie permettant une meilleure participation de tous ces acteurs au développement de Madagascar.
Le problème de financement entrave-t-il la mise en œuvre du MAP ?
Non. Bien entendu, on a besoin de ressources financières supplémentaires. Mais cela ne doit pas empêcher la mise en application du MAP. Ce programme se concrétisera dans les cinq années à venir. Nous espérons pouvoir boucler son financement jusqu'en 2012. Les bailleurs de fonds observent la manière dont nous appliquons les programmes déjà financés, afin de pouvoir décider la suite à donner à la collaboration.
La France pourrait-elle augmenter sa contribution ?
La France a déjà promis qu'elle va appuyer Madagascar et apporter des financements sur le MAP. Mais cela n'exclut pas le fait, non seulement de suivre, mais de la sensibiliser.
Propos recueillis par
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Fano Rakotondrazaka
Date : 13-06-2008 |
Ino vaovao tour Rossy Derniers concerts à Tana du rasta pour cette année. Le public de la capitale pourra retrouver l'ambiance d'un certain «Tapôlaka glady» de 1995 avec plus de décibels et de nostalgie.
- par Moïse
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Ino vaovao tour
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Rossy à Antsahamanitra pour l'apothéose
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Derniers concerts à Tana du rasta pour cette année. Le public de la capitale pourra retrouver l'ambiance d'un certain «Tapôlaka glady» de 1995 avec plus de décibels et de nostalgie.
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Pour les grands absents à Antsonjombe, ils auront encore leur chance pour voir le roi du «tapôlaka», samedi et dimanche à 15 heures.
Avant de retourner en France, Rossy et ses compagnons de route investissent Antsahamanitra tout le week-end.
Coté organisation, l'initiateur des deux spectacles a changé un peu de méthode pour éviter les bousculades, comme ce fut le cas à Antsonjombe.
Ainsi, les billets sont déjà mis en vente depuis hier dans quelques kiosques bien spécifiques. «Par mesure de précaution, des billets ne seront plus vendus pendant ces deux journées de concert. Il s'agit d'éviter les queues, sources possibles de perturbations », avance Jaobarison Randrianarivony, directeur général de Média Consulting, organisateur de «Ino vaovao tour».
Au niveau de la sonorisation, le public n'aura
pas à s'inquiéter avec les trois matos. Ceux de Média Consulting, de Rossy, et de Kiki seront combinés pour mettre beaucoup de décibels à ces deux concerts.
Bilan positif
«De par sa petite taille et sa configuration, Antsahamanitra est facile à sonoriser. Une puissance de 15 000 à 20 000 watts suffira pour satisfaire toutes les oreilles des spectateurs », souligne le directeur général.
Fianarantsoa, Toamasina, Antsirabe, Ambatondrazaka... , «Ino vaovao tour» de Rossy a été une réussite dans toute sa splendeur. Le public de la Grande île a eut sa dose lors de ses rencontres avec le roi du «tapôlaka». Son affluence n'a pas démenti les prévisions, lors de la tournée dans quelques régions.
Rossy clôturera son passage au pays par quelques concerts dans les périphéries. Imerintsiatosika, Ampefy et Moramanga recevront le groupe au complet.
Il partira en France pour participer au Festival d'été, après la fête nationale du 26 juin. Le chanteur projette de revenir chaque année à Madagascar, au grand plaisir de ses fans.
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Juliano Randrianja
Date : 11-06-2008 |
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