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Les nouvelles technologies raniment Behoririka Un quartier de la capitale s'est fait la réputation de centre de commercialisation de matériels des NTIC. Ses promoteurs ont profité de la détaxation sur ces produits.
- par Moïse
Matériels
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Les nouvelles technologies raniment Behoririka
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Un quartier de la capitale s'est fait la réputation de centre de commercialisation de matériels des NTIC. Ses promoteurs ont profité de la détaxation sur ces produits.
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Citic. |
Depuis quelques années, Behoririka est considéré comme le Chinatown de la capitale, avec les boutiques et centres commerciaux chinois, ses commerces florissants. Les citoyens de l'Empire du Milieu l'ont transformé en un véritable chantier. Il ne se passe de mois sans qu'une construction de bâtiment n'y soit entamée.
Behoririka n'est pas non seulement le « Chinatown » de Tanà mais aussi la cité des nouvelles technologies. Les investisseurs étrangers ont choisi d'opérer dans un secteur plus valorisant : la technologie de l'information et de la communication (TIC).
C'est pourquoi, le 30 avril 2005, le nouveau centre commercial des TIC, le Citic, a ouvert ses portes au public. Depuis, les aficionados de l'informatique peuvent mettre à jour leurs connaissances, en matière de nouvelles technologies, en visitant les boutiques installées à cet endroit.
On y trouve les matériels dernier cri, les produits innovants dans le domaine des high tech. Téléphones, matériels et accessoires informatiques, gadgets multimédias sont étalés dans les vitrines des boutiques.
Les Chinois ne se sont pas contentés de ce coup de maître commercial. A quelques mètres du Citic est érigé un nouveau bâtiment flambant neuf, juste à côté du pont Behoririka.
Le Suprême Center, l'autre concurrent du Citic, est un nouveau centre commercial des NTIC.
Regrouper en un seul endroit des magasins informatiques et des boutiques de téléphonie constitue l'objectif des promoteurs de ce
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Suprême Center. |
s centres commerciaux.
Vitrine
Une telle démarche permet d'attirer les assoiffés de nouvelles technologies. «Il s'agit d'offrir aux consommateurs et aux utilisateurs des NTIC tout en un même lieu », expliquait à l'époque l'un des promoteurs de Citic.
Depuis, Behoririka s'est mué en une grande vitrine commerciale de l'informatique, des télécommunications, et des multimédias.
Ceux qui n'ont pas pu s'installer dans ces centres commerciaux ont choisi de s'implanter le long de la rue, profitant de la situation. Behoririka est devenu un quartier des nouvelles technologies.
Toutefois, il est fort improbable que les chercheurs malgaches en informatique s'y installent pour que Behoririka devienne un mini Silicon Valley ou un ersatz du Bengalore. Le côté commercial prime encore.
L'informatique à petit prix
Supreme center est un nouveau centre commercial dédié aux nouvelles technologies. Il se trouve juste à quelques mètres du pont de Behoririka.
Ses promoteurs se lancent dans un nouveau défi. Ce nouveau centre commercial des nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC) se veut être aussi une référence dans le secteur. La concurrence est déjà lancée depuis l'ouverture de ce nouveau palais des high tech. En tout cas, les consommateurs n'y trouveront que bénéfice, profit et vantages, ce à condition que la concurrence joue.
En effet, Supreme Center propose un large éventail de choix. Il compte attirer le plus de visiteurs possibles en misant sur une stratégie des prix.
Ainsi, des boutiques de téléphonie et des magasins de matériels informatiques ont choisi de s'installer dans ce nouveau centre commercial.
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Lova Rafidiarisoa
Date : 16-07-2008 |
14 juillet à Mahajanga Le consul général à Mahajanga a organisé une réception à l'occasion de la Fête nationale française. Il s'est félicité de l'amitié entre les deux pays
- par Moïse
14 juillet à Mahajanga
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Des relations au beau fixe
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Le consul général à Mahajanga a organisé une réception à l'occasion de la Fête nationale française. Il s'est félicité de l'amitié entre les deux pays.
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Le consul général de France à Mahajanga, Jean-Yves Septier, a souligné les bonnes relations entre Madagascar et la France. |
Les relations au beau fixe. C’est ce qui résume la coopération entre la France et Madagascar, plus précisément le consulat de France avec la ville de Mahajanga.
C'est ce qui transparaît du discours du consul général de France, Jean-Yves Septier, hier lors de la réception offerte à la diaspora française et aux invités à l’occasion de la Fête nationale du 14-juillet, au restaurant La Piscine.
«Nous entretenons une excellente relation avec la région, la commune urbaine de Mahajanga, ainsi qu'avec les différentes autorités judiciaires et administratives locales », a précisé le consul.
« Madame le nouveau chef de région est une personne courageuse, sérieuse et affiche autant de garantie. J’entretiens également de très bonnes relations avec le maire. L’amitié entre les peuples malgache et français est profonde. Les relations ne pourront que bien continuer», a-t-il souligné.
Le représentant des Français à Mahajanga a ensuite fait une lecture de la copie, au milieu de la réception, vers 12 heures 25, du discours de l’ambassadeur de France, Gildas Le Lidec, annonçant son prochain départ de Madagascar. La nouvelle a laissé l’assistance abasourdie.
Départ
«C’est la première fois que ce genre de situation arrive dans la diplomatie française», a répondu Jean-Yves Septier aux questions des journalistes. Il s’est toutefois gardé de tout autre commentaire au sujet du départ de l’ambassadeur de France, Gildas Le Lidec.
«Je ne suis pas autorisé à m’entretenir avec la presse. Nous avons un accord avec la direction de la presse au niveau du ministère des Affaires étrangères. Notre discours doit être cohérent et ne pas avoir d’empreinte partisane. Je m’en tiens là», a-t-il conclu.
En tout cas, le départ de l’ambassadeur n’affectera en rien la coopération entre les deux pays, a encore confirmé le consul général de France à Mahajanga.
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Vero Andrianarisoa
Date : 15-07-2008 |
L’ambassadeur de France invité à partir
- par Moïse
Diplomatie
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L’ambassadeur de France invité à partir
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Coup de théâtre hier à la résidence de France à Ivandry. L’ambassadeur français Gildas Le Lidec a annoncé dans son discours du 14 juillet, qu’il allait bientôt partir, Marc Ravalomanana n’ayant pas souhaité qu’il poursuive sa mission.
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Gildas Le Lidec, a célébré son premier et dernier 14 juillet hier à l’Alliance française à Andavamamba. |
Les relations diplomatiques entre Madagascar et la France entrent dans une zone de turbulence. Le président Marc Ravalomanana a demandé le rappel de Gildas Le Lidec, ambassadeur de l'Hexagone accrédité dans la Grande île. Ce dernier devrait donc quitter Madagascar dans quelques semaines.
C'est durant le discours de son premier 14 juillet à Madagascar que Gildas Le Lidec a annoncé son départ prochain. «Mon premier 14 juillet dans la Grande île sera également le dernier, puisqu'il me faut vous quitter prochainement», a-t-il déclaré devant les quelque 400 personnalités qu'il a invitées à la Résidence de France à Ivandry, hier.
L'ambassadeur n'a fait aucun mystère des raisons de son départ. A l'entendre, c'est le président Marc Ravalomanana en personne qui a demandé son rappel. «Je regrette que le président de la République malgache ne m'ait pas accordé la moindre chance de remplir l'exaltante mission dont je rêvais depuis longtemps et que m'avait confiée, il y a quelques mois seulement, le président de la République française», a-t-il signalé, amer.
Respectant la souveraineté de Madagascar, la France a donc rappelé son représentant. Ce dernier, «en fonctionnaire qui obéit», quitte la Grande Ile, «sans rancune, ni dépit», a-t-il précisé, mais avec tout de même une «infinie tristesse» et une «profonde frustration».
Se plier aux conjonctures
Aussi surpris que l'assistance, non par la déclaration de l'ambassadeur, mais plutôt par la manière dont celle-ci a été faite, Marcel Ranjeva, ministre des Affaires étrangères, a dû improviser un point de presse à la fin de la cérémonie. «Madagascar n'a pas émis de note verbale», a-t-il répliqué. Il a toutefois reconnu l'existence de «discussions à un autre niveau», et n'a pas démenti que Gildas Le Lidec a été déclaré p
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Le ministre Marcel Ranjeva (à g.) et Gildas Le Lidec, hier à la Résidence de France à Ivandry. |
ersona non grata.
Aucune autre information officielle n'a été donnée sur ce qui se cache derrière ce départ prématuré. Marcel Ranjeva a surtout insisté sur la nécessité de «faire une distinction entre les hommes et les Nations». Il a juste parlé de «conjonctures» auxquelles tout diplomate a le devoir de se plier, sans plus de précisions. Il a par ailleurs assuré que ce départ n'affecte en rien les relations diplomatiques entre les deux pays.
Dans tous les cas, des sources diplomatiques citées par l'Agence France Presse, font état de «onze demandes d'audience adressées au président Ravalomanana, restées sans suite» depuis février, date à laquelle l'ambassadeur a présenté ses lettres de créances.
Toujours est-il qu'en avril, après sa première rencontre avec le président français Nicolas Sarkozy, le chef de l'Etat avait déjà déclaré que «l'un comme l'autre pays sont souverains quant au choix des hommes avec qui ils veulent travailler». Ces propos ne semblaient pas alors concerner directement Madagascar. Ils avaient été tenus à l'époque où la France tardait à recevoir les lettres accréditant Narisoa Rajaonarivony comme ambassadeur de Madagascar en France.
Encadré
Un passé diplomatique peu apprécié
«Donnez-lui un crédit de quinze jours et vous verrez son professionnalisme», avait déclaré Alain Le Roy, prédécesseur de Gildas Le Lidec à l'ambassade de France. L'ancien ambassadeur avait alors été interrogé sur la nomination à Madagascar d'un diplomate qui avait été en poste dans des pays africains en guerre.
Avant d'être nommé au Japon, son poste avant la Grande île, Gildas Le Lidec avait été chef de la mission diplomatique française en République démocratique du Congo et en Côte d'Ivoire. Il avait également représenté la France au Cambodge entre 1994 et 1998.
Ce passé diplomatique de Gildas Le Lidec ne semble pas avoir été apprécié en haut lieu. Alors qu'il n'a pas encore présenté les lettres l'accréditant ambassadeur de France à Madagascar, la presse proche du pouvoir n'a pas manqué de se poser des questions sur les intentions françaises en le désignant.
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Lova Rabary-Rakotondravony et Iloniaina Alain
Date : 15-07-2008 |
L'ambassadeur de France à Madagascar démissionne
- par Moïse
Vous voulez en savoir plus......
http://www.lepoint.fr/actualites-politique/l-ambassadeur-de-france-a-madagascar-demissionne/917/0/260342
Photos du village Malgache à Brest 2008
- par Moïse
BREST 2008 l'association Hetsika "accueil, arts et cultures de Madagascar"
- par Moïse Dans le cadre de Brest 2008, l'association Hetsika "accueil, arts et cultures de Madagascar" en partenariat avec l'association PICAM-RODOBE vous invite à une :
Lecture poétique, dont le fil conducteur est le rouge malgache, accompagnée de joueurs de valiha et de kabossy (cithares malgaches), avec la participation exceptionnelle de M'Bassa du groupe A capella Salala, et du chanteur de salegy Béri-kely, en présence de l'écrivain Michèle Rakotoson, à l'occasion de la sortie de son dernier livre, "Juillet au Pays", ce :
Samedi 12 juillet 2008 à 13H00
Village de Madagascar - Brest 2008
29200 Brest
[Entrée libre]
L'équipe Hetsika
Blog: http://hetsika.blogspot.com
Site: http://www.couleursmalgaches.fr
Enseignement Campagne nationale pour le primaire en 7 ans
- par Moïse
Enseignement
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Campagne nationale pour le primaire en 7 ans
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Après avoir obtenu le feu vert des parlementaires, le ministère de l'Éducation nationale part en campagne pour une sensibilisation sur la réforme de l'éducation. Samedi, l'équipe de Stangéline Rambolamanana a mis le cap sur Mahajanga pour expliquer les tenants et aboutissants du prolongement du primaire à 7 ans.
La rentrée verra l'application de cette réforme dans 20 circonscriptions scolaires (Cisco) pilotes, suivie de 45 autres pour l'année 2009-2010. « Les 111 Cisco de la capitale pourront être couvertes d'ici 2012 », assure la ministre qui a rencontré à Mahajanga la grande famille de l'Éducation nationale.
Lors de son exposé, la ministre a souligné qu'un changement de programme est en vue avec le prolongement du primaire à 7 ans. « Le contenu du programme sera axé sur l'environnement de l'enfant et les besoins du pays », ajoute Stangéline Rambolamanana, sans plus de détails. Cette campagne ministérielle se poursuivra dans les autres
ex-provinces.
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Fanja Saholiarisoa
Date : 08-07-2008 |
Protection de l’eau Des habitations à raser
- par Moïse
Protection de l’eau
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Des habitations à raser
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Soucieux de préserver les ressources en eau et d’éviter les risques, le président de la République a annoncé la nécessité de détruire les constructions bordant fleuves, cours d’eau et canaux. Une mesure qui crée des grincements de dents.
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Les bords des canaux et fleuves sont désormais interdits aux constructions. |
La population de Tanjombato est consternée. La déclaration du président Ravalomanana qui interdit prochainement l'occupation des endroits bordant les zones à risques ne la laisse pas indifférente. Le Président a, en effet, annoncé que les habitations longeant des cours d'eau, des rivières, des fleuves et autres doivent être rasées.
«Ces zones devront être inhabitées et inhabitables pour protéger nos ressources en eau et pour protéger la population contre d'éventuels risques de maladies», a annoncé Marc Ravalomanana.
La réaction fuse auprès des concernés. «Nous attendons des mesures d'accompagnement du gouvernement pour caser ces gens qui logent en bordure de l'Ikopa depuis 50 ans. Il est difficile de les déplacer ailleurs sans une solution adéquate», souligne Jean Samuel Randrianarisoa, 1er adjoint au maire de la commune de Tanjombato.
Protection de périmètres
Mais Tanjombato n'est pas la seule région concernée. Il en est de même pour les populations de Mandroseza, d'Ambohimanambola, en passant par Anosy, 67 ha, jusqu'à Andohatapenaka et autres.
«Nous espérons que le gouvernement sait ce qu'il fait. Nous habitons sur un terrain près du fleuve d'Anosy où l'eau n'est même pas buvable. Nous ne sommes pas concernés, d'ailleurs, nous avons des permis de construire datant de plusieurs années», explique R
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Des constructions sont bâties sur les bords du canal Andriantany en dépit d’une interdiction. |
oger Randimbiarisoa, président de l'association des coiffeurs d'Anosy.
Mais la protection des ressources en eau n'est pas la seule préoccupation de l'Etat. La santé des gens et les innombrables risques auxquels ils sont exposés en habitant près des marécages est aussi à voir.
Les responsables prévoient déjà des mesures d'expropriation après cette déclaration présidentielle. «Cette mesure de protection de périmètres ne date pas d'hier. Mais elle tarde à être effective, il faut du temps avant que l'expropriation soit déclarée. Des interventions ont été déjà menées à Mandroseza et à Ambohimanambola auparavant. Actuellement, Tolagnaro aussi est concerneé par cette mesure», explique Raharimanantsoa, directeur de l'eau au sein du ministère de l'Energie et des mines.
La décision présidentielle pourrait être liée au projet de la Jirama d’installer d'ici 2009 de deux grandes pompes mobiles sur l'IKopa. Ces nouvelles infrastructures permettront de doubler la pression d'eau pour approvisionner la capitale.
Encadré
Longue démarche
La direction de l'eau annonce qu'une longue démarche doit être adaptée avant la mesure d'expropriation. Une enquête doit être faite quand une zone est placée dans un périmètre de protection.
Un décret d'utilité publique est ensuite émis, suivi d'une longue enquête auprès des usagers. L'enquête porte sur le nombre de personnes résidant dans la zone.
Une publication est ensuite affichée dans la commune concernée indiquant les personnes invitées à partir. La levée des périmètres dépend de la réaction du public et des résultats d'enquête qui s'en suit.
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Fanja Saholiarisoa
Date : 08-07-2008 |
A l'occasion du 48ème anniversaire de l'indépendance de Madagascar, le président malgache Marc Ravalomanana a lancé un appel jeudi pour renforcer synergie entre les peuples et l'armée nationale pour le maintien de la paix et le développement du pays.
- par Moïse
Madagascar célèbre son 48ème anniversaire de l'indépendance |
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2008-06-27 11:09:01 |
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ANTANANARIVO, 26 juin (Xinhua) -- A l'occasion du 48ème anniversaire de l'indépendance de Madagascar, le président malgache Marc Ravalomanana a lancé un appel jeudi pour renforcer synergie entre les peuples et l'armée nationale pour le maintien de la paix et le développement du pays.

(Photo: Xinhua)
Marc Ravalomanana a dit dans son allocution que le regard et la confiance du monde tourne vers Madagascar et son avenir en raison des efforts gouvernementaux pour mettre en oeuvre son programme de développement économique, ou Madagascar Action Plan.
Il a appelé à l'unité et à la confiance mutuelle entre les forces armées et les civils afin de construire la paix et le développement du pays.
Il a rappelé les réalisations récentes faites par son gouvernement, notamment l'achèvement du centre de conférence internationale pour le sommet de l'Union africaine prévue pour l'année prochaine, le commencement de production d'une cimenterie construite par une société privée chinoise, et d'autres projets d'infrastructure.
Il a promis de doubler la production agricole d'ici 2009 et de la tripler d'ici 2012 grâce à des grandes terres cultivables disponibles dans le pays afin de prévenir les effets d'eventuelles crise alimentaire mondiale à Madagascar.
Avec ces réalisations, Madagascar a gagné sa place dans le monde, a-t-il dit, en ajoutant que son pays, étant riche en intellectuels et en ressources économiques, ne devrait pas avoir peur de montrer au monde sa capacité.
Le même jour, le présdient Ravalomanana a assisté à une parade militaire avec les représentants du gouvernement, des corps diplomatiques et plus de 50.000 personnes, au palais de sport et de la culture de la capitale, où l'indépendance de Madagascar a été declaré il y a 48 ans.
Le 26 juin 1960, Madagascar a remporté totalement son indépendance de la France, qui l'a colonisé depuis 1896.
Célébration de la fête nationale de Madagascar GARDEN PARTY 26 JUIN 2008 PARIS
- par Moïse Célébration de la fête nationale de Madagascar avec Son Excellence Monsieur RAJAONARIVONY NARISOA, Ambassadeur de la République de Madagascar en France et Madame NARISOA, Son Excellence Madame Irène RABENORO,Ambassadeur, délégué permanent de la République de Madagascar auprès de l'UNESCO, Représentant Personnel de Monsieur Le Président de la République de Madagascar auprès de la Francophonie.
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