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clicanoo.gifRossy fait son come-back - par Moïse

Musique

Rossy fait son come-back

CLICANOO.COM Publié le 26 septembre 2008 cliquez ici pour lire la suite

Rossy, la star malgache, est de retour à la Réunion après 17 ans d’absence. Il sera ce soir sur la scène du 8e Manapany surf festival. Rencontre.


Galliéni écrit cela après avoir en personne écrasé et noyé dans le sang la révolte des populations de Madagascar - par Moïse

Un officier porte un regard sévère sur la guerre d'Irak
Le Point - Paris,France
Le seul petit problème, c'est que Galliéni écrit cela après avoir en personne écrasé et noyé dans le sang la révolte des populations de Madagascar, ...
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express.gifLe Tout Tana fait ses adieux à Rado - par Moïse

Obsèques
Le Tout Tana fait ses adieux à Rado
Les obsèques du poète Rado, décédé lundi soir, ont eu lieu hier. Tous ceux qui reconnaissent la valeur de ses œuvres lui ont rendu un dernier hommage.
 
Le cimetière d’Anjanahary fut noir de monde lors de l’inhumation de Rado dans le caveau « Makpela ».
«Soa levenana ny maty!». Une expression bien malgache pour dire que le mort a été entérré de manière digne et respectueuse.
En effet, plus d'un millier de personnes sont venues assister aux obsèques du poète Rado, Georges Andriamanantena de son vrai nom, hier après-midi.
Le cortège funèbre a quitté le Gymnase d'Ankorondrano vers 14 heures pour rejoindre l'église Tranovato Faravohitra, lieu prévu pour le culte d'adieu.
Partout où est passé la file de plusieurs dizaines de voitures accompagnant le poète pour son dernier voyage, c'était un hommage émouvant des Tananariviens à l'un des leurs, devenu leur père et leur modèle pour le dévouement qu'il a consacré à toute la Nation et à la littérature.
A Ankorondrano, Antanimena, Ankadifotsy Ambatomitsangana, Ambondrona jusqu'à Faravohitra, les gens se sont arrêtés, tandis que d'autres se sont mis aux fenêtres ou aux varangues, tous faisant légèrement des signes des mains, ou applaudissant, en guise de salut.
Une foule immense a déjà attendu dans la cour de l'église protestante de Faravohitra.
Parmi les hautes personnalités sur place, on a noté la présence du Premier ministre Charles Rabemananjara, de quelques sénateurs dont Moxe Ramandimbilahatra, de ministres dont celui de la Culture Jean-Louis Robinson, du pasteur Richard Andriamanjato, du chef de région d'Analamanga Fidy Ratsimbazafy, ou du maire d'Antananarivo Andry Rajoelina, etc.
Murmures infinis
Les artistes ont été fortement représentés par de célèbres chanteurs, comédiens, humoristes, poètes, écrivains. Sans oublier la participation active des scouts qui ont assuré le service d'ordre depuis Ankorondrano.
Le Premier ministre, représentant le Président de la République et le gouvernement, a déclaré dans son discours : «Ce qu'a laissé Rado à travers ses oeuvres, toutes les générations qui se succèderont s’en souviendront. Il a tracé un chemin de sagesse pour la Nation».
L'inhumation à Anjanahary s'est déroulée vers 17 heures. Mais tous ceux qui ont connu le poète tiennent à affirmer qu’il n’est pas mort. Aude Emma Randriamandranto, amie de longue date de la famille Andriamanantena et non moins poète a écrit en son hommage :
... Raha folaka hatreo 'zany peniny/Hanako eny ihany ny teniny...Ny hafatrafatra rehetra napetrany/Ho bitsibitsika tsy hisy fetrany/ Nirakofany mora ny lambany/Dia natory izy iny...angambany!».
Traduction libre "Même si sa plume s'est effondrée/ Ses paroles résonneront toujours/. Les messages qu'il a laissés/ Deviendront des murmures infinis/ Doucement, il s'est recouvert de son lamba/ Et il s'est endormi...peut-être!"
 
Hernan Rivelo
Date : 20-09-2008


express.gifLa nation reconnaissante Un hommage très culturel à Rado - par Moïse

La nation reconnaissante
Un hommage très culturel à Rado
Un grand hommage au poète Rado est prévu cet après-midi au Gymnase d'Ankorondrano. La solidarité des artistes est de mise.
 
Rado a reçu le Grand-croix de 2è classe de l’Ordre national en 2003.
La disparition du poète Rado, lundi soir, inspire la grande communion chez la grande famille de la Culture malgache. En effet, en réponse à la demande du ministère de la Culture, la dépouille de cette figure nationale de la littérature et de la vie populaire en général, sera transférée au Gymnase d'Ankorondrano, à partir de cet après-midi et jusqu'à demain après-midi, prévu pour l'inhumation au caveau de la famille Andriamanantena, au Makpela sis à Anjanahary.
Ce sera l'occasion pour la grande famille de la Culture malgache de rendre un dernier hommage «hautement culturel», digne de la dimension incommensurable de l'illustre défunt.
Ses innombrables oeuvres, entre autres des poèmes et des cantiques religieuses, seront ainsi particulièrement mises en valeur dans toutes leurs splendeurs, sans exclure les créations inédites des circonstances.
«Rado est un monument national de la culture et de la Nation tout entière. Ainsi, il nous est tout à fait logique de lui témoigner notre gratitude pour tout ce qu'il a fait et laissé pour héritage», déclare Jean Louis Robinson, ministre de la Culture, devant les artistes et la presse, hier matin au Palais des Sports.
En effet, la grande famille de la culture se met au diapason sur l'idée que la disparition de Rado devrait constituer un nouvel élan. «La solidarité de ceux qui tiennent à la culture malgache ne s'arrête pas à cette circonstance», avance le ministre. Pour preuve, il promet la construction d'une maison de culture qui portera le nom du poète.
Nouvel élan
A l'image d'un artiste aux talents multiples que l'était Rado - Georges Andriamanantena de son vrai nom, la manifestation réunira tous les artistes et les amateurs de la création et de la créativité.
Elle touchera une multitude de disciplines : déclamation poétique, musique, danse contemporaine, humour, art oratoire, animation scoute, etc.
Bref, autant de domaines qui ont vu le génie d'un créateur salué partout où il pose ses griffes. Effectivement un rendez-vous d'émotion avec les plus grands noms de la culture malgache qui reconnaissent au poète un père spirituel de la Nation et un modèle, et pour lui accompagner dans son dernier voyage terrestre.
 
Hernan Rivelo
Date : 18-09-2008


express.gifRado abandonne sa plume - par Moïse

Décès
Rado abandonne sa plume
Hospitalisé depuis un certain temps, son cœur s'est arrêté hier matin. L'une des figures emblématiques de la littérature de la Grande île s’est éteinte à l’âge de 85 ans.
 
Une des dernières apparitions en public de Rado (ici avec le maire Andry Rajoelina).
Georges Andriamanantena, alias Rado, tire sa révérence à l'âge de 85 ans. Doyen de l' Académie malgache et président d'honneur de l' Havatsa Upem (Union des poètes et écrivains Malgache), il a laissé une veuve et six enfants, dont quatre filles et deux garçons lesquels ont engendré pour le poète 26 petits et arrière petits-enfants.
L'amour, Dieu et la Patrie, trois thèmes qui lui sont chers. Un parolier de renom et un poète engagé, la vraie particularité de Rado réside dans son universalisme. La beauté de ses textes basés sur la fraternité qu'il prêche et celle de toute l'humanité est née de son sentiment de partage. Il a approfondi ce sentiment pour donner le goût de la poésie à ses compatriotes.
Solidarité
Le poète à laissé un héritage inégalable pour le peuple malgache tout entier. A noter que l'éminent membre de l'Académie malgache a sorti dix ouvrages contenant ses poèmes.
Toujours souriant, Rado a tissé des liens étroits avec les artistes de la Grande île. Pour preuve, en 2007, quelques artistes comme Solo Andrianasolo, Fanja Andriamanantena, Bodo, Bessa, Poopy, Rija Ramananantoanina, etc.... ont montré leur solidarité en aidant sa famille à recueillir des fonds pour son évacuation à l'étranger lors de la première crise cardiaque.
La dépouille mortelle est actuellement veillée à Mandrosoa Ivato. À la demande du ministère de la Culture, des sports et des loisirs, un jour de plus sera consacré à une veillée mortuaire, demain jusqu'à l'aube au Gymnase Ankorondrano.
Un culte au temple FJKM Faravohitra sera programmé avant l’inhumation au caveau familial «Makipela» du cimetière d’Anjanahary.
Les artistes seront invités à rejoindre ce matin à 9 heures le Palais des Sports et de la culture Mahamasina avant la conférence de presse du ministre chargé de la Culture concernant la cérémonie de deuil du grand poète qu’est Rado.

Encadré
Le parcours d’un poète engagé

Georges Andriamanantena est né le 1er octobre 1923 à Ankadivato dans le quartier d'Antananarivo situé à l'est du Palais de la Reine.
Il entra en 1929 à l'École officielle de Faravohitra, puis continua ses études à l'École d'Ambohijatovo Atsimo (de 1933 à 1941) et les termina au Collège P
Un poète éclectique ouvert à toutes les notions : famille patrie, politique…
aul Minault en 1942.
Georges Andriamanantena est le dernier fils des cinq enfants du pasteur Gaston Andriamanantena et de Razafindrafara. Dès son jeune âge, son père qui eut beaucoup d'influence sur son parcours littéraire, lui inculqua le goût de la langue et des valeurs anciennes malgaches, l'initia aux toriteny (sermon) ainsi qu'au kabary (discours) et à la musique.
Il développa ses connaissances avec des enseignants émérites comme le pasteur Ravelojaona connu pour son patriotisme et Alphonse Ravoajanahary, un des premiers romanciers de la littérature malgache moderne.
Hymnes d’espoir
Il entre dans la vie active comme comptable dans une société d'assurances (La Préservatrice) à Tananarive mais n'y resta pas longtemps car son goût de l'indépendance l'incite à quitter ce travail pour rejoindre son frère Célestin Andriamanantena à la rédaction du journal Hehy (Rire). Il exercera ce métier de journaliste dans un premier temps jusqu'en 1966. Il n’a interrompu cette collaboration que pour poursuivre ses études à l'École de journalisme de Strasbourg en 1960.
En 1961 lors de la enième saisie de leur journal, il écrit son célèbre poème «Ry fahafahana» (Ô Liberté). Pendant une dizaine d'années il travaillera à la maison d'édition protestante d'Imarivolanitra.
Il reprendra pendant deux ans son métier de journaliste, de 1976 à 1978, puis sera employé par le ministère de la Culture et de l'art révolutionnaire. Son premier recueil, paru en 1973 sous le titre «Dinitra» (Sueur) et préfacé par son frère, contient tous les thèmes chers à Rado. On y trouve des poèmes sur l'apartheid en Afrique du Sud, sur les luttes fratricides notamment en Rhodésie, sur la guerre du Vietnam. Comme, «Mahazo maty» (Tu peux mourir maintenant) écrits en mai 1972 et inspirés par la manifestation des étudiants. Il appuyait la jeunesse porteuse d'espoir et il ne craignait pas non plus de mettre en cause les pouvoirs en place. Rado peut être considéré comme l'un des meilleurs poètes engagés malgaches dans tous les sens du terme.
Chaque situation d'injustice éveille en Rado des sentiments de honte, d'impuissance et de révolte. Mais, dès lors qu'on s'attend à y trouver des lamentations et des cris de désespoir, ses poèmes sont au contraire des hymnes d'espoir.
Outre la poésie, il possède des dons incontestés pour la musique et la peinture. Rado a composé une vingtaine de chants religieux qui sont connus à travers l'Ile et même à l'étranger, non seulement par les protestants, pour qui ils ont été composés mais par tous les Malgaches.
 
Juliano Randrianja
Date : 17-09-2008

Ahaona Madagascar rend hommage à un des Grands Hommes de notre Peuple

et adresse ses sincères condoléances à sa famille et à ses amis.

Moïse

(qui vient à peine de découvrir les écrits de Rado...)


express.gifAntsahabingo La plage de toutes les curiosités - par Moïse

Antsahabingo
La plage de toutes les curiosités
Le village touristique de Mahajanga possède une belle plage. Mais on y rencontre non seulement les vacanciers et les promeneurs mais aussi des gens pratiquant certains rituels.
 
 
La plage d’Antsahabingo, mercredi 10 septembre à 6 heures du matin. Un va-et-vient incessant et une agitation inhabituelle règnent sur le lieu. Des visiteurs ou des promeneurs croyent que les vacanciers sont encore là. Mais erreur, ce ne sont que des locaux.
Ils viennent en famille, le père, la mère et les enfants ou encore entre amis. La plupart sont des femmes venues en groupes de quatre à cinq personnes et même à plusieurs.
Arrivés sur la plage, ils se déshabillent et se mettent, tout nu, dans leur lambaoany. Surtout les femmes. Les enfants sont tous nus.
Personne n’est gêné par le manque de pudeur. Chacun s’ignore. Ils se reconnaissent entre eux, probablement. Les femmes dénouent leurs nattes ou bien lâchent leurs cheveux.
Rite
Ils sont venus pour effectuer leur rituel séance de « toilette », ou « fidiovana », dans la mer d’Antsahabingo. D’ailleurs, la période s’y prête. A la nouvelle lune ou à l’apparition du premier quartier de lune, le début du mois, les Sakalava viennent sur les lieux pour la même raison. Se laver et demander bénédiction.
Après quelques minutes de recueillement en direction vers l’est, lieu de la levée du soleil, ils se retournent à l’ouest. Et répètent le même cérémonial. A la fin, ils plongent dans l’eau, la tête en premier, et ils commencent leurs toilettes. Les mères enfoncent la tête de leurs enfants dans l’eau.
Avant de partir, ils n’oublient pas de remplir les bouteilles d’eau de mer et les emportent chez eux. Quelques minutes plus tard, ils sont déjà partis. D’autres arrivent et répètent la même cérémonie. Pour ce rite traditionnel, les jours interdits sont les mardi et jeudi. La séance se tient avant midi, et tous les mois c’est la même processi
 
on.
Mais le village touristique connaît aussi d’autres activités. Des promeneurs y pratiquent un peu de jogging. D’autres prennent l’air frais.
Les sportifs s’y entraînent très tôt. Comme ce fut le cas de l’ancien footballeur du Fortior Club de la Côte ouest, Dezy Ramasy. Il était en train de faire son jogging, ce jour là. «Je me souviens encore sur cette plage. On courait très vite dans le sable et quand je vois aujourd’hui ces jeunes joueurs qui n’arrivent même pas à suivre la balle», regrette-t-il.

Encadré
Un lieu de culte traditionnel

La plage d’Antsahabingo a une particularité. Elle n’abrite pas seulement un village touristique comme son nom l’indique. Elle est surtout caractérisée par le fait que c’est un lieu de culte sacré et de recueillement pour les Sakalava.
On y puise aussi l’eau de mer. D’après les chercheurs traditionnels locaux. Il est considéré comme un patrimoine culturel sakalava.
Les gens y viennent pour effectuer le rituel «fidiovana», et c’est également un lieu de demande de bénédiction et de bienfait ou «fahatsarana».
Autrefois, les rois Sakalava ont accédé par cette plage, pour la première fois, à Mahajanga. C’est pourquoi, la croyance veut que les gens la vénèrent.
D’après les enquêtes effectuées par Mme Ninie, conseillère au sein de l’association pour la conservation et la protection environnementale et qui pratique la coutume ancestrale, la place est hantée pour ne pas dire habitée par un «lolondrano manankasina». Raison qui explique, de surcroît, les nombreuses noyades en cas de profanation ou de sacrilège perpétré à cet endroit.
Les agressions de la nature et les actes blasphématoires de l’homme ont causé la dégradation du village, d’après les chercheurs.
En 2004, un sacrifice de zébu a été dédié à «lolondrano», suite à sa demande, toujours d’après Mme Ninie. Par la suite, la plage d’Antsahabingo a retrouvé petit à petit son apparence d’avant.
 
Vero Andrianarisoa
Date : 16-09-2008

express.gifDeux semaines de théâtre malgache à ISOTRY - par Moïse

Spectacles
Deux semaines de théâtre malgache
Preuve de la vitalité du théâtre malgache, sept spectacles seront donnés au tranompokonolona Isotry à partir de ce dimanche jusqu'au 28 septembre. Tout un programme.
 
La troupe Jeannette, une des plus prestigieuses troupes du théâtre malgache.
Amoureux des planches, vous êtes à la bonne adresse. Sept spectacles seront donnés au Tranompokonolona Isotry à partir de ce dimanche jusqu'au 28 septembre. La troupe Jeannette interprètera diverses chansons du répertoire théâtral malgache, histoire de montrer que les pièces classiques ont leurs racines dans l’opérette.
Les chants dans l'opérette malgache servent traditionnellement de transitions entre deux ou plusieurs scènes ou à synthétiser un acte ou toute la pièce.
« Quand ils servent de transition, ils sont interprétés en solo, duo ou trio, mais quand ils sont employés pour synthétiser, ils sont interprétés en chœur » explique Mbato Ravaloson, président de la FMTM (Association des acteurs de théâtre à Madagascar) et initiateur de l'évènement.
Un dialogue entrecoupé par des chants, cette forme artistique est connue sous le nom malagasy de Kalon’ny fahiny, littéralement chansons d’antan.
Partie intégrante du patrimoine culturel malgache, les pièces classiques malagasy se reconnaissent par leurs chants, un mélange des genres clairement revendiqué, une morale obligée et une certaine fraîcheur naïve. La pièce Zéphine et Armand qui est au programme en est un exemple éclatant.
Malgré le peu de promotion dont il est l'objet, le théâtre malgache renaît de ses cendres, réactivé par toute une génération de jeunes comédiens bien décidés à prendre la relève.
Question de moyens
« C'est vrai que la promotion du théâtre se résume à pas grand-chose si on se réfère à celle de la musique ou des sports », déplore Mbato Ravaloson.
La raison est simple : pas assez d'argent dans les caisses. « On n'a pas les moyens de faire du battage publicitaire comme les autres, poursuit-il. Mais ce qu’est un peu encourageant, c'est de voir que les jeunes commencent à apprécier l'idée de se faire un nom dans ce domaine ».
Justement, des ateliers ont été organisés au mois d'août pour trouver de nouveaux dramaturges et des jeunes passionnés de théâtre. « Les ateliers ont abouti à quelque chose de positif, estime le président de la FMTM. Du côté des acteurs, la relève est assurée, mais le manque de dramaturges est un gros problème ».
Confiante en l'avenir du théâtre malgache, l'association projette d'ouvrir la première école d'art dramatique de la Grande île. En attendant, vous pouvez voir cette nouvelle génération à l'œuvre dès dimanche.

Encadré
Au programme

Antananarivo (tranompokonolona Isotry)
• Dimanche 14 septembre à 15 heures :

Ouverture officielle, interprétation des chansons théatrales avec la troupe Jeannette. Présentation des jeunes sortant du masterclass.
• Mercredi 17 septembre à 18 heures :
La pièce Onja-pilafila avec la troupe Vona iray
• Jeudi 18 septembre à 15 heures :
Débat sur la dramaturgie.
• Dimanche 21 septembre à 15 heures :
La pièce Zéphine et Armand avec les acteurs de la FMTM.
• Jeudi 25 septembre à 14 heures :
Deuxième débat sur la dramaturgie.
• Vendredi 26 septembre à 14 h 30 au Cemdlac Analakely :
La pièce Rafotsy saro-piaro avec le troupe Randrana.
• Dimanche 28 septembre à 15 heures :
La pièce Sahy mijoro avec la troupe Jeannette.

Mahajanga (Maison de la culture)
• Mardi 23 au 27 septembre :

Exposition sur l'histoire du théâtre malgachze avec un atelier organisé par le FMTM.
• Vendredi 26 septembre à 15 heures :
Zéphine sy Armand avec les acteurs de la FMTM.
 
Juliano Randrianja
Date : 10-09-2008


express.gifSoratra 2008 relance la lecture - par Moïse

Littérature
Soratra 2008 relance la lecture
Diverses associations projettent de redynamiser la lecture auprès du grand public. Plusieurs manifestations sont programmées.
 
Les intervenants au Soratra 2008 réunis autour de Michèle Rakotoson (assise au centre).
Faire retrouver le goût de la lecture chez les gens. Le défi est grand et de longue haleine, mais il faut s'y faire. Pour Opération Bokiko, le CEMDLAC et Rarihasina, le trio concepteur de «Soratra 2008» qui aura lieu du 29 octobre au 14 novembre, l'heure est à l'action par l’intermédiaire d’une vaste campagne de relance de la lecture publique.
En 2007, ce mouvement réunissant tous les défenseurs malgaches de la cause de la lecture, a privilégié l'édition. Cette année, ce sera le livre lui-même et dans tous ses aspects, qui se trouvera au centre des manifestations pendant deux semaines.
Apport
Une conférence verra l'intervention du ministre de la Culture, un atelier de mise en page sera initié avec la spécialiste Patricia Ramahandry, et un autre d'écriture sera animé par l'écrivaine Michèle Rakotoson. Une exposition sur les métiers du livre, un récit de contes par Ny Eja, une journée littéraire à l'université d’Antananarivo, une soirée de gala, etc. compléteront le programme.
En particulier, cette dernière manifestation apparaîtra comme un rendez-vous avec d’illustres paroliers de générations différentes, tels Henri Ratsimbazafy, Sorapo, Monja Manitsindava et Banjo Groupe, ainsi que des poètes comme Ny Eja, Haingo et Hanta.
«Le plus important dans ce geste collectif, c'est qu'il réunit toutes les bonnes volontés des passionnés du livre et de l'écriture», confie Michèle Rakotoson, pionnière du mouvement, résidant officiellement en France.
 
Hernan Rivelo
Date : 09-09-2008


express.gifRado dans un état critique - par Moïse

Poésie
Rado dans un état critique

 
A la suite d'un problème cardiaque et d’un tumeur au cerveau, l'écrivain et poète Georges Andriamanantena, alias Rado, se trouve actuellement dans un état critique à l'hôpital militaire de Soavinandriana.
Son état de santé a empiré depuis quelques jours.Sous sédatif, il a été admis d'urgence en salle de réanimation hier soir.
Depuis le 22 août , le médecin veille jour et nuit sur l'une des grandes figures de la littérature de la Grande île.
 
Juliano Randrianja
Date : 09-09-2008


Un incendie détruite le marché de ankirihiry à Toamasina ce 6 septembre 2008 - par Moïse

Une personne tuée et 600 maisons detruites dans un incendie à Madagascar
  2008-09-07 07:33:37  

     ANTANANARIVO, 6 septembre (Xinhua) -- Un homme a été tué et  600 maisons ont été détruites lors d'un incendie survenu vendredi  après-midi à Toamasina, une ville portuaire à 380 kilomètres au  nord d'Antananarivo, capitale de Madagascar. 

     Le marché "Ankirihiry" de la centre-ville de Toamasina a pris  feu vendredi dernier vers 11h30 heure locale (08h30 GMT), selon le journal local Quotidien publié samedi.  

     Un homme, 56 ans, a été tué par cet incendie, qui a également  détruit 600 maisons à proximité et a privé 798 hommes locaux  d'habitation.  

     Selon des estimations, cet incendie a entraîné une perte d'au  moins un milliard d'Ariary, la monnaie locale, soit 622.800  dollars américains.  

     Les pompiers se sont précipités sur les lieux peu après  l'éclatement de l'incendie, mais il leur a fallu plus de deux  heures et demie après pour maîtriser le feu sur le marché qui a  été construit en bois, selon le journal.  

     Le ministre malgache du Transport, Botozaza Pierrot, et les  dirigeants locaux se sont également rendus sur les lieux de  l'incendie pour observer la situation.

 

Source : XINHUANET  


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